LE CONTRAT ET SES CONSEQUENCE 2E PARTIE
Le lendemain.
Je vais seule sur le lit, allongée sur le dos, jambes écartées en grand, un coussin sous les fesses pour relever, un oreiller sous la nuque pour ne pas faire deffort, les bras en croix.
Je tiens les montants du lit de chaque côté. Mes seins gonflés, pointes durcies, ventre tendu, la fente dilatée, mouillée, trou de balle abordable, aimable, adorable, avenant, charmant, gracieux
DONC, CARRÉMENT AÉRÉE, ÉTALÉE, DÉPLOYÉE, AFFICHÉE, DOCILE, DIDCIPLINÉE, OBÉISSANTE, SOUMISE. !! Tel que je dois être pour respect du contrat de Georges.
JE DEMANDE au CHEF de mattacher les mains, les pieds, FERMEMENT.
Sans me faire mal. Je ne veux pas être tentée de méchapper.
Il est nu court sur pattes, un vrai gorille sa queue dressée.
Il Sait, il sera toujours le premier.
Je lui ai bien expliqué ce que je VAIS faire, à tous.
« Venez-vous asseoir sur ma bouche !!! Venez. »
Face à moi, les deux énormes cuisses enserrent mon visage, il me présente son zob devant la bouche
Je nai pour toute vision que le gland de cette queue large, la bite, les couilles rondes, boursouflées et pleines de jus encore, sûrement.
Si je glisse mon visage sous les bourses, ma langue atteint très vite son anus.
CEST LE BUT !! Je vais poursuivre durant les 24h qui viennent. Cest décidé.
Jamorce, un léchage de queue, en règle, savoureux, des couilles, une douce aspiration du gland, remontée au centre du cul, je lèche, je lèche Je purifie, je polis.
Ma bave humide, permet laccès facile, lentrée délicate de ma langue vive et ardente !!!
Son illet souvre, sous ma caresse
Il se sent plus ! Appuie ses fesses, il joue de ma langue. Tourne autour, la cherche
Je soutiens, jenvahis, je nai que ma bouche, ma langue, pour faire exploser ce gros noir rustre et vicelard, il offre ses fesses à licher.
JE FAIS PARTOUT avec cur. Pendant un bon quart dheure, jirai de sa bite à son anus, barbouillant tout au passage, je glorifie ce cul, je célèbre son chibre épais
IL CRACHE, ARROSE, ASPERGE !!!! Repu, vidé, il me laisse respirer
« Tu en veux dautres tout de suite ??? Ma chérie ??»
Auparavant, jai récupéré les deux petits pots de miel liquide et confiture pris dans le frigo. Je les avais mis à côté de moi.
En effet .lidée !
Pour massurer de ne pas être gênée en cours de léchage, jai prévu de les enduire au bon endroit !
« OUI, mon chef, OUI, vous men prenez deux, les plus grosses bites, les plus grosses, SURTOUT vous leur dites bien ce que je vais leur faire
Je veux quils jouissent.
Ceux qui ne parlent pas français, je les veux « brulants » « enflammés », sans retenue. Faites les boire !!! ».
Deux arrivent, les queues en lair, de 23/24, lun de 40 et un des plus vieux. Aucun ne parle français. Jai la bouche grande ouverte la langue sortie, en attente, comme si je léchais…Ils ont compris.
Le plus vieux vient sasseoir, tout de suite sur mes lèvres, il se place bien au dessus, descend, pour me conduire, sur sa grotte. Le salaud. Doucement je caresse.
Je lui recouvre lillet avec du miel. Lui prend cela pour de la salive ! Le tour est joué
Je pirouette autour, je bave, le bas des bourses, puis la queue, JENGLOUTIS.
UN fort grognement.. Il gerbe son jus tout de suite, à grands flots, résiste pas.
Cest fou ce quils ont en quantité !! !
Pour le consoler, je vais combler son anus, délicatement, autour plusieurs minutes, mélange de sperme, de bave, et de miel. Cest super. Ce bon goût.
Lautre me « bouffe la chatte », à pleines dents, introduit 4 doigts !! Me ravage, résultat, inévitablement, je lâche une grande vague de ma mouille, moi aussi dans sa gueule de sauvage. (Cest gentil, je les aime !)
Un réel enchantement !!!
Le vieux cède la place, lautre choisit la position 69, mavance son cul, en sécartant lui-même le derrière !
Ma langue docile lencercle, le sillonne. Son illet recouvert de miel aussi, est câliné, dorloté, comme jamais dans sa vie. Jinflige à ses couilles le même traitement, il « baise» ma bouche, avec puissance, exalté, sans contrôle, senfouit, limite sauvage
LUI AUSSI DÉLIVRE TOUTE SA PROVISION DE FOUTRE
Jai limpression davaler au goulot, tellement cest COPIEUX, RICHE, ABONDANT, dense, consistant, généreux et crémeux !!!! DU LAIT au miel !!!!!!!!
Bien épongés, manifestement bienheureux, ils quittent, je fais comprendre que :
« Je veux le CHEF »
Il arrive : « tu veux me voir ma petite cochonne ? Tu veux me sucer ? » « OUI mon chef, avant je veux changer de position, jai envie de les faire jouir autrement, faut me détacher ».
Cest fait. Je le pompe très vite, moi assise, lui debout, mon pouce fiché dans le cul,
Je ne quitte pas la bite une seconde RE Gerbage de sperme garantit !!
Je ne compte plus les verres de sirop. Pas 5 minutes ! Il shabitue à ne plus se retenir.
A ma demande, il attache mes mains derrière le dos, les pieds. Je peux marcher.
Cest un peu difficile mais suffisant pour ouvrir mon cul et offrir ma chatte en levrette.
Jai mon idée
« Envoyez-moi les 5 qui parlent français » « Les 4 autres après, je les veux « hors deux », par lalcool !! ».
Je résume, en gros, ceux-là, auront le même traitement à chaque fois, lun grignote ma chatte et mon cul bien présenté, fouille des doigts, malaxe, jadhère, tout est donné.
DURANT CE TEMPS, je lèche, suce lanus et les fesses badigeonnées de confiture liquide, de celui placé devant moi, SA CROUPE TENDUE enserrant mon visage, ma langue, ma bouche.,
Heureux, tour à tour, calmes, ils profitent, dégustent, se soulagent amplement, se vident, arrosent de leur bon jus.
Je fais demander le CHEF, pour me détacher.
Je vais me rafraichir. Dans la salle de bains je prends tout le gel lubrifiant.
Jai une grande idée, pour les 4 derniers, je les appelle « mes sauvages », ils ne sont pas beaux, parlent pas français, tous des grosses bites de taureau deux sont poilus comme des gorilles et aussi 2 des 3 plus âgés de 60 ans.
MON PLUS BEAU FANTASME VA SE REALISER !!!!
Livrée absolument nue, toutes les entrées disponibles.
4 noirs en rut, fauves à moitié ivres, farouches.
Sils étaient cannibales, je crois que je laisserai me « dévorer ».
Cest un peu ce qui va surgir
Mes « bêtes fauves» (cest gentil), les yeux exorbités mentourent, je suis debout, adossée au mur.
Jai fait des signes de ce que je veux
Lalcool les a embrasés. Des FOUS !!!!
Les quatre commencent à me « manger », mollets, cuisses, chatte, ventre, fesses, seins, bras, épaules, me roulent de copieuses pelles en me croquant la langue !!!!!
Je fonds sous ces dents et ses langues raboteuses.
Jai des frémissements, gémissements dexultationJE BAIGNE
Ils me font un bien FOU !!! Lassaut de mon corps est une véritable fête !!!! Un délire !!!
Je veux leur rendre, ce plaisir. Je les mets face à moi, suis à genoux, les tourne, une bite, lautre les fesses, lautre la bite, lautre les fesses.
Jentame une pourlèche neuve de leurs tiges, tous les trous de balle enduits, à grands coups, je me partage à fonds, je veux les faire jouir ensemble.
Suave dégustation.
Boire toute la semence sucrée mêlée, en même temps être leur esclave liée, (comme avec Brice, jadis).
Une fois tous les culs bien lichés, lavés, régalés, dorlotés, cajolés, embrassés, caressés, je décide de les braver, en tortillant mon derrière, ferme, vers eux.
Le but, provoquer UN désir obligatoire de MENCULER, je le souhaite
Chose souhaitée, chose faite, barbouillée de gel au maximum, je me prends les 4 engins énormes dans mon petit fondement délicat et sensible, bien élargie depuis hier.
Très Accueillant. Ca glisse comme dans du beurre.
« JE BRAME, JE HURLE, JE CRIE, JE RUGIS ! FORT ! UNE CHIENNE SALOPE !
JE métrangle DE BIEN-ÊTRE !! »
Les « sauvages » me labourent 2 fois chacunme dévastent le petit trou.
CES MECS SONT INEPUISABLES !! Trop en manque.
Après encore une série de pipes avec appétit certain, aux 12, le signal du départ est donné. Il est 16h00, le Samedi.
Jai le droit de téléphoner à mon mari. « Ca va ma chérie ?? »
« Merveilleux, très bien passé, jai vécu les plus belles 24 heures de fesses, de ma vie (sauf avec toi, chéri) DES BITES ! HUMM !! Entières dans mon cul.
Jai adoré. Je veux bien le refaire. Mais pas par contrat. Que pour NOUS. »
« Ce Con de Georges se figure décider, il se rend même pas compte que je prends mon pieds !!! »
A tout de suite chéri »
On roule, je reste toute nue, jusquau bureau. À travers Paris. Je récupère ma robe
Georges est absent