Histoires de sexe lesbiennes Histoires de sexe mobiles Histoires de tromper

La bourgeoise et le marabout – Chapitre 5




Les jours passent, pas assez vite pour moi. Au bout de cinq jours, je n’ai toujours pas de nouvelles de Monsieur Coulibadou. De plus, mon mari est un peu débordé dans sa société, il rentre tard, trop fatigué pour m’accorder la moindre attention intime. Le samedi, je me décide donc à brusquer un peu les choses avec lui.

— Chéri, ton travail t’épuise et tu dois absolument te changer les idées. Cela fait déjà presque deux mois que nous ne sommes pas allés danser, allons cet après-midi au Chalet du Lac à Vincennes

Depuis déjà de nombreuses années, nous aimons aller danser dans les guinguettes du bord de Marne ou dans les dancings de la capitale, même s’il y en a de moins en moins et bien que la clientèle y soit d’un certain âge.

— Tu as raison, me dit-il. Cela va nous faire du bien, préparons-nous vite et allons-y !

Tandis qu’il s’habille pour la circonstance dans la chambre, je m’isole dans mon dressing et choisis avec soin mes dessous et vêtements. J’ai envie de le surprendre.

Il est à peine 15h00 lorsque nous arrivons en voiture à destination. Nous laissons le soin au voiturier de ranger notre véhicule et nous dirigeons vers le vestiaire après que François, mon époux, ait réglé les deux entrées. Nous confions nos manteaux à l’hôtesse puis nous nous dirigeons vers la salle de danse pour nous installer à deux places situées près de la piste. Mon mari me dit

— Tu es en beauté ma chérie, j’adore cette petite robe noire qui te colle si bien à la peau

Je lui souris en pensant en moi-même qu’il appréciera certainement ma lingerie. Après un petit tango bien serré, qui permet à François de bien se coller à moi, nous voilà entraînés dans un paso-doble bien rythmé. Mon mari, qui apprécie particulièrement ce type de danse, me fait tourner, tournoyer et virevolter tel un torero jouant avec sa muleta devant un taureau. Bien vite, il se rend compte que ma robe est suffisamment ample pour bien se soulever à chaque pirouette qu’il me fait faire, dévoilant ainsi le haut de mes jambes parées de fins bas noirs retenus par les larges jarretières du porte-jarretelles acheté chez monsieur Robert sur les prescriptions de mon marabout. Une fois revenus nous asseoir à notre table, il me dit

— Tu es superbe avec cette lingerie. Tous les hommes n’en avaient que pour toi.

Puis, posant sa main sur ma cuisse la plus proche de lui, il remonte entre mes jambes, me force à bien ouvrir les cuisses et devine sous ses doigts le string fendu qui a déjà fait son bonheur.

— Je me suis apprêtée pour toi en pensant que tu saurais apprécier ces nouveautés recommandées par ma sexologue, lui dis-je tandis que sa main se fait plus vagabonde.

— J’y suis très sensible et tu as relevé que je ne suis pas le seul. Cela est très excitant, me dit-il avant d’ajouter qu’il aimerait bien me voir danser avec un autre homme.

Après quelques danses variées au cours desquelles il n’a pas cessé de me caresser de ses mains vagabondes pour apprécier mon porte-jarretelles ainsi que mon soutien-gorge à demi balcons qui remontent bien mes seins, il me dit qu’il s’absente quelques minutes pour aller chercher deux coupes de champagne. A peine suis-je revenue seule à notre table, qu’un homme d’un certain âge vient m’inviter pour un slow langoureux. J’accepte son invitation pour répondre ainsi aux attentes de François. Très vite, mon cavalier me serre bien contre lui et tandis qu’il me guide d’une main au son de la musique, l’autre main me caresse le dos, descend un peu plus bas vers mes fesses et se fait un peu plus pressante.

— J’adore ce que vous portez, me dit-il en accentuant la pression de sa main sur mon porte-jarretelles que l’on devine bien serré autour ma taille.

Puis il ajoute

— Votre mari doit être un homme comblé

D’une voix très sensuelle, ma bouche bien collée à son oreille, je lui réponds

— Il ne me l’a jamais confirmé mais il sait parfois bien me le prouver

Tandis que sa main me flatte ostensiblement la croupe, je peux deviner son sexe tendu bien collé contre mon bas-ventre. Je m’aperçois alors que mon mari nous regarde et il me fait un grand sourire.

Une fois revenue près de François et assise près de lui, il me dit en souriant

— Ton cavalier ne s’est pas gêné pour profiter de la situation

En me rapprochant de lui, je lui réponds

— Je croyais que tu voulais que je joue le jeu alors je l’ai laissé faire, dans la limite de la décence bien sûr

— Tu as bien fait, c’est ce que je voulais. Sentir un autre homme te désirer et te voir céder à ses envies, poursuit-il avant que je ne lui rétorque :

— Céder, en partie seulement ! Je ne suis pas ce genre de femme et je t’aime bien trop pour en donner plus.

Sa réponse résonne encore dans ma tête

— Cela n’a rien à voir avec l’amour chérie. Ce n’est qu’une affaire de sexe entre adultes consentants.

A peine sommes-nous rentrés à la maison que mon mari m’entraîne rapidement dans le salon. Il lance une musique langoureuse sur la chaîne stéréo et m’invite à danser. Très vite, ses mains descendent sur mes fesses tandis que sa bouche vorace s’empare de la mienne. Il me plaque contre lui, remonte ma robe au-dessus de mes fesses puis, d’un mouvement rapide, me fait pivoter d’un demi-tour et agenouiller contre un pouf en cuir.

— Je suis certain que ton cavalier aurait apprécié te trousser ainsi et te prendre à la hussarde dans un recoin sombre du dancing, me dit-il en glissant son gland par la fente du string.

Puis, pendant une bonne dizaine de minutes, il me besogne sans rien dire tout en me caressant les seins et les cuisses, en jouant avec les jarretières et en ressortant bien sa queue pour mieux la glisser de nouveau en moi à travers l’orifice de mon string bien trempé de ma mouille. Puis, dans un long râle, me tenant fermement par les hanches et son pubis plaqué contre mes fesses, il se déverse en moi en me traitant de bourgeoise dévergondée et de petite salope lubrique. Pendant les jours qui suivirent, aucune allusion ne fut faite à cette scène. Bien qu’apaisée, mon marabout me manquait.

Trois jours plus tard, mon corps est en émoi lorsque je reçois un discret SMS de Monsieur Coulibadou

— Rendez-vous demain 16h00 boutique vêtements Robert

Le lendemain, une fois mon déjeuner pris, je me prépare pour mon rendez-vous tant attendu. Faute de directives précises de mon marabout, très certainement pour que son mail reste suffisamment évasif au cas où mon mari m’aurait interrogé, je me contente de mettre une lingerie très classique pour une respectable femme du 16e arrondissement de Paris et une robe de mi-saison par-dessus laquelle un petit manteau de tweed complète la tenue. Lorsque je sors de chez moi vers 15h00 et me dirige vers la station de métro La Muette, personne dans le secteur ne peut imaginer que la femme qui passe, un peu hautaine et peut-être coincée, est en route pour un magasin de lingerie sexy et d’accessoires érotiques dans le quartier chaud de Pigalle. Si mes amies du club de bridge ou mes partenaires de la chorale de la paroisse savaient la teneur de ces rendez-vous secrets avec mon marabout, elles seraient certainement choquées et me rejetteraient probablement de leur cercle. Pourtant, si elles savaient combien cela peut être excitant de s’évader de cette vie stricte et austère…

Me voilà arrivée à la boutique de Robert. Je suis surprise d’y trouver également Ahmed, l’assistant du marabout qui m’accueille par ces mots.

— Bonjour madame de Saint Jouy, vous ne verrez pas monsieur Coulibadou aujourd’hui mais il m’a chargé d’un exercice qui s’inscrit dans votre traitement

Puis, il m’invite à monter au premier étage de la boutique, un endroit où je n’étais jamais allé jusqu’à présent et le gérant nous suit dans les escaliers. La pièce est grande avec de nombreuses tenues sur des présentoirs et dans des rayons. L’assistant me conduit dans une cabine d’essayage où différentes tenues sont déjà accrochées aux patères.

— Commencez par mettre cette robe noire, me dit-il. Puis nous poursuivrons ensuite avec quelques autres tenues.

Je retire mes vêtements puis enfile la robe prescrite. Elle est en skaï noir et me colle comme une seconde peau. Elle a un profond décolleté et est largement fendue sur les côtés, laissant ainsi largement voir le haut de mes cuisses. C’est Ahmed qui me fait sortir de la cabine et je suis toute surprise de me retrouver devant cinq ou six hommes dans la pièce.

— Maître Coulibadou souhaite que vous vous habituiez progressivement aux regards des hommes lorsque vous êtes habillée ainsi. Ces messieurs sont simplement là pour regarder.

Puis l’assistant me fait marcher devant ces hommes comme si je faisais un défilé de mode. Je suis rouge de honte en voyant leurs yeux suivre mes déplacements, fixer ma poitrine et regarder mes cuisses. Pendant une heure, en changeant de tenue tous les quarts d’heure, Ahmed va ainsi m’exposer aux regards lubriques de ces mâles. Me ramenant à la cabine, il me dit :

— Pour terminer, vous allez simplement mettre ce petit string noir, cette nuisette rouge et ces escarpins

Je m’exécute mais j’hésite à sortir de la cabine quand je me rends compte que la nuisette est complètement transparente et ne cache rien de mon corps tandis que le string masque à peine mon pubis. Mais Ahmed arrive, me prend par la main et m’entraîne au milieu de la salle. Je suis honteuse d’être ainsi exhibée devant ces inconnus mais la situation est vraiment excitante. Je veille à ne pas croiser le regard de ces mâles qui ne me quittent pas des yeux. L’assistant me fait marcher et passer ainsi devant chaque homme, très près, si près qu’il leur suffirait de tendre la main pour me caresser. Mais ils n’en font rien, ils ont dû avoir des directives précises.

L’assistant me raccompagne à la cabine et c’est alors que je reçois un SMS de Monsieur Coulibadou

— C’est parfait Hélène. Ahmed va maintenant finir cette consultation.

L’assistant s’approche de moi, m’embrasse à pleine bouche et me caresse le dos et les fesses. Dans le miroir de la cabine, je me vois en nuisette sexy m’offrant sans retenue. Puis, il me fait me retourner, écarte le fin tissu de mon string, me fait pencher en avant et se glisse dans ma chatte. Quel bonheur d’être ainsi prise après avoir été exhibée comme une salope. Pendant un long moment, il me besogne sans ménagement, se retirant entièrement, replongeant tout en moi, me flattant la croupe de ses mains, m’excitant de ses doigts la pointe de mes seins, me mordillant dans la nuque. Je ne pense à rien, je m’abandonne à cette saillie, je ne suis plus qu’un objet de plaisir pour ce jeune mâle. Puis le voilà qui se retire et me crache ses longs jets de semence sur la croupe et les fesses. Je suis épuisée mais comblée.

Une fois rhabillée, je sors de la cabine et descends au rez-de-chaussée où l’assistant est en train de parler avec le gérant. Robert me regarde avec un grand sourire, cela a mis un peu d’animation dans son magasin et je crois bien qu’il nous a épiés tandis que je me faisais prendre dans la cabine. Je vois d’ailleurs qu’il y a des écrans de contrôle près de la caisse dont certains montrent l’intérieur des cabines d’essayage. J’espère qu’il n’a rien enregistré ! Ahmed m’accompagne jusqu’à la sortie du magasin et me tend une enveloppe.

— De la part de Maître Coulibadou dans la perspective de la prochaine consultation à son cabinet, me dit-il avant de prendre congé de moi.

Je glisse vite le mot dans mon sac et remonte le boulevard en direction du métro. Je pense à ces hommes qui m’ont dévoré du regard pendant une bonne heure. Je souris en moi-même en me disant qu’ils vont certainement bien se masturber ou baiser leur femme ce soir en pensant à moi.

Related posts

Anna, ma belle fille – Chapitre 3

historiesexe

Petite-fille et fille, perverses ou nymphos. – Chapitre 17

historiesexe

Prise en main par mon voisin – Chapitre 3

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .