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Chaque week-end, jaime aller prendre un grand bol dair dans les Pyrénées, loccasion dun décrassage en règle par un longue marche/footing de plusieurs kilomètres.
Cest un rituel obligatoire, jen ai besoin, ancien militaire, cest larmée qui ma refilé le virus pour la course à pied et les longues promenades à travers la campagne (rire), jy ai dailleurs eu à plusieurs reprises loccasion de défendre les couleurs de mon régiment.
La quarantaine était venue et la retraite aussi, du moins, lâge de la reconversion ; avec des compagnons darme, nous avons monté une petite société de sécurité qui ma fois ne marche pas trop mal, notre passé plaidant pour nous.
Les jours fériés, jaime aller me réfugier dans un petit chalet que je me suis aménagé juste au-dessus de Foix, cest lendroit rêver pour de grandes escapades à travers les collines verdoyantes parsemées de petits lacs et de bois touffus.
Nous sommes alors début juillet 2005, un samedi, mon objectif était un parcours dune cinquantaine de kilomètres par des sentiers escarpés, loin de tout, en communion avec la nature en somme. Comme à mon habitude, Tout était réglé comme une horloge, levé avant le jour pour être en marche aux premiers rayons du soleil et ainsi pouvoir profiter de lendroit à la fraîche, camelback sur le dos avec une petite poche pour des barres de céréales au cas où ….. Sauf quun coup de fil vint bousculer mon planning, Franck, un de mes associés, mavait contacté pour des questions de dernière minutes concernant un contrat que nous devions finaliser le lundi et dont il avait la charge, Franck était aussi doué en OPEX que maladroit en affaire, cest dire ..
Du coup, jétais parti avec pas moins de deux heures de retard, rien que ça Vers 11h00 jétai encore loin de mon point darrivée et la chaleur commençait sérieusement à me peser, le soleil cognait fort et malgré ma motivation je commençai à faiblir. Du frais, rien quune petite brise, rien que ça me ferait un bien fou, mais non rien quun ciel bleu azur, un soleil de plomb et moi galopant rageusement, vénère davoir été retardé par Franck. Le sentier serpentait au milieu de plaines boisées agrémentées de petits plants deau et de lacs, difficile dans ces conditions de ne pas être tenté daller piquer une tête . Allé quoi, ten a vu dautre, bien pire tiens bon, bon sang !
Cest alors que la pente du sentier sadoucit puis se mit légèrement à descendre et à filer droit vers un lac en forme de haricot, bordé de part et dautre de grands arbres penchés vers cette grande flaque brillante tel un miroir, comme s’ils voulaient sy abreuver. Alors que je longeai la rive, je ne pus quapprécier la clarté de leau, le font fait de petits rochers couvert dune fine mousse dun jolie vert clair, cest alors que je cédai : tant pis la journée avait mal commencé, javais dépensé trop dénergie pour compensé me retard, loupée pour loupée, autant en profiter pour faire une halte dans cet endroit magnifique.
Je minstallai donc sous un arbre, près de leau, jétais en sueur, je portai pourtant le strict minimum, : un tee-shirt sans manche et un cycliste, difficile de faire moins et pourtant jétais trempé, je ruisselais littéralement.
Leau du lac paraissait si fraîche que je ne pus me retenir de défaire mes chaussures le temps dun bain de pieds Ouuuh, effectivement elle était fraîche mais quel bien fou, je me mis à marcher sur le bord du lac, menfonçant un peu plus dans leau jusquà hauteur des genoux, cest à cet instant que jeus une idée un peu folle, il ny avait pas âme qui vive, cétait un endroit très retiré et vu la chaleur, il me semblait très peu probable que jy fasse une rencontre alors .pourquoi ne pas piquer une tête, par cette chaleur cétait toujours mieux que de vouloir continuer à courir sur ce chemin en plein soleil. Après un bref instant dhésitation, je ressorti de leau, déposa mon camelbak puis retira mon tee-shirt que je pris le temps détendre sur une branche den lespoir quil sèche un peu.
Un bref coup dil pour massurer quil ny avait bien personne, je fis glisser mon short jusquau sol et commençai dans la foulé, un peu gêné dans ma tenue dAden, à menfoncer dans leau en faisant attention de ne pas trébucher sur un caillou.
Image IPB
Le contact de cette eau fraîche sur mes cuisses provoqua un léger frisson et mes poils se dressèrent, javoue que mon plaisir était grand, je me jetai alors entièrement à leau et me mit tranquillement à nager. Passé le choc dû à la différence de température, jappréciai cette sensation de fraîcheur qui envahissait chaque partie de mon corps, je fis quelques brasses puis me mis sur le dos, en planche, et me laissai aller au gré de leau les yeux perdu dans le bleu du ciel. Je ne saurai dire combien de temps sécoula quand soudainement un bruissement de feuilles accompagné par le craquement de branches ne me fit sortir de mon état « bucolique », un animal peut-être, du moins cest ce que jespérai . Je me redressai pour regarder en direction doù provenaient les bruits et là, surprise, non ce nétait pas, hélas, un animal, ni même un homme en ce cas lhonneur fut sauf, mais une femme vêtue dun maillot de bain deux pièces violet.
le soleil là faisait briller et la distance qui nous séparait mempêchait de là voir plus distinctement.
« Bonjour » me cria- t-elle
je lui répondis par un bonjour empli de gêne et jentreprenais de me rapprocher delle tout en veillant à ce que leau reste au niveau de mon nombril et pas trop près non plus afin quelle ne puisse voir à quelle point jétais « peu habillé ».
A présent une dizaine de mètre , un peu plus peut être , nous séparait lun de lautre, je pu alors apprécier le jolie minois de mon inconnue, de long cheveux ondulés très claires descendaient jusquà ses reins, elle était plutôt en chaire et avait des formes généreuses, des hanches bien dessinées, une forte poitrine à peine cachée par deux petits triangle de tissu qui couvrait tout juste les auréoles de ses seins.
Javais beau apprécier ce que je voyais, je nen étais pas moins terriblement gênée les questions se bousculaient dans ma tête : , depuis quand était-elle là ? Mavait-elle vu nu ? Comment allais-je sortir de cette situation pour le moins embarrassante ?
« Je constate que je ne suis pas là seule à apprécier ce petit endroit tranquille, loin de la foule » me lança- elle puis, pour ne pas laisser place au silence elle me posa la question :
« vous venez souvent ici ? »
« Non, .cest la première fois, je, ., je faisais un footing quand lenvi ma pris de me baigner il fait si chaud » lui
répondis- je toujours aussi embarrassé.
Cest à ce moment de lhistoire quil est important de préciser que je suis pudique, jeune jétais tout en hauteur (plus d’1,80 mètres pour
73 kilo petit kilo). Jai toujours étais mal à laise avec mon corps même si larmée ma permis de le transformer, de le sculpter,( à 30 ans javais atteint les 95 kilo de muscle que jentretenais depuis), néanmoins javais gardé cette peur de montrer mon corps au grand jour, surtout devant une femme.
Ceci dit, reprenons le cours de lhistoire,
« Vous vous êtes là depuis longtemps ? »
Elle sourit, tout à fait consciente de mon malaise.
« Suffisamment longtemps pour avoir pu apprécier toute la scène .Même si depuis ma place je nai hélas pas pu tout voir .. Je prenais un bain de soleil, derrière les hautes herbes juste là » me montra tel du doigt.
de lendroit quelle me désignait elle avait vu quasiment tout, la seule chose quelle navait pas du bien voir cétait ce que je gardais au frais dans leau et qui à ma surprise, malgré la fraîcheur du lac qui habituellement à un effet rétrécissant sur les parties génitales de lhomme, là mon sexe était plutôt parti dans une petite érection, la situation bien que « contrariante », avait également un effet excitant, il faut dire que jai toujours eu un faible pour les femmes un peu rondesla générosité de leurs formes me fait fantasmer et dans la situation qui nous occupe, la petit tenue de ma belle inconnue narrangeait rien .
« Juste avant de vous apercevoir je me tâtais pour une petite baignade moi aussi mais je me demandai si leau nallait pas être trop froide pour moi, je suis restée longtemps exposée en plein soleil » me dit elle
« Elle est fraîche mais si vous nêtes pas frileuse et en y allant doucement, vous devriez pouvoir y entrer sans problème.. Jétais en sueur quand jy suis allé.. l »
« Oui. cest ce que jai cru voir depuis mon observatoire votre corps brillait sous le soleil .. »
Elle nétait pas timide, accoster de la sorte à un inconnu mais ça me plaisait, elle me plaisait je lavoue, je là trouvai pleine de charme, les yeux bleus gris,1,60m guère plus, une mèche rebelle tombait sur son visage bronzé, son corps légèrement tanné, couvert dhuile solaire, luisait ce qui donnait à la scène un aspect presque irréel…..
« Bon, je vous fais confiance et je me lance ».. à ces mots elle commença à entrer prudemment mais sûrement dans leau du lac, les bras écartés tel un équilibriste sur un fil, tout en se dirigeant vers moi.
« Faites attention, les cailloux sont glissants » lui dis-je.
« Oui, cest ce que je vois » me répondit elle tout en continuant à avancer petit pas par petit pas, les yeux fixés sur ses pieds, leau déjà à hauteur de ces genoux.
A cest instant tout senchaîna très vite, elle perdit léquilibre et se retrouva assise dans leau grimaçant de douleur en se tenant des deux mains la cheville droite.
Sans réfléchir jallai vers elle lui porter secours.
« Je me suis tordu la cheville, quelle sotte je fais. »
Mais jétais déjà à sa hauteur, un genou au sol, leau ruisselant sur mon corps que je ne pouvais plus cacher, mon sexe à présent bien visible à ses yeux, mais sur linstant mes pensées se portaient plus sur sa cheville.
« Passez votre bras autour de mon cou, je vais vous porter jusquà la berge pour que nous puissions voir ça de plus prés.. »
Je passai alors mon bras droit sous ses jambes, à hauteur de ses genoux pendant que de mon bras gauche je là saisissais par la taille.
Puis je me redressai, sa hanche vint frotter contre mon bas ventre, son maillot mouillé laissait entrevoir les auréoles de ses seins dont les tétons avaient pointés au contact de leau.
Elle se laissa porter, allant jusquà poser sa tête dans mon cou pendant que prudemment, je nous sortais du lac ; sur un carré herbe, je vins là déposer, délicatement, puis sans un mot je magenouillai au niveau de sa cheville afin dexaminé ça blessure.
Elle ne disait plus un mot mais je sentais ses yeux détailler toute mon anatomie, je navais plus rien à cacher, le contact de sa peau contre la mienne alors que je là portais, avait achevé de faire monter en moi lexcitation, jarborai une forte érection, ma verge entièrement décalottée, soffrait aux yeux de la belle inconnue, la pression était si forte dans ma tige courbée, que les veines en ressortaient, une chaleur ardente était apparue dans mon bas ventre, flamme d’un désir qui menvahissait.
A genoux à ses pieds, ça cheville entre mes mains, je là massai lentement lui demandant à chaque mouvement si cela lui faisait mal, elle me disait à chaque fois,
« Non, là ça va, plus bas peut être, .. » esquissant un léger sourire coquin.
« Et bien, il me semble quil ny est rien de grave »
« Oui, mais continuez s’il vous plaît, ça me fait du bien.. enfin, si cela ne vous dérange pas.. .. Je ne voudrais pas abuser. »
Appuyer sur ces coudes, elle me regardait passer délicatement mes mains sur sa cheville, tandis quelle se pinçait la lèvre inférieure en rapprochant lentement son pied gauche tendu toujours plus près de mon sexe.
Voyant ce quelle complotait, je là regardai droit dans les yeux, arborant un léger sourire tout en laissant mes mains descendre vers son pied droit pour amplifier mon massage.
Si je lui dévoilai tout, sans plus aucun pudeur, javais plaisir à là contempler et à deviner ce qui était encore caché à mes yeux, sa tête légèrement penchée, ses cheveux humides jeter sur son épaule, son regard plein de malice, ses seins pointant dessous les petits triangles de tissus mouillés, sa petite culotte qui épousait la forme des lèvres de son vagin, son ventre humide et brillant, tout nétait que plaisir à contempler, plaisir que mon sexe trahissait largement par sa raideur, ma verge venant frotter mon nombril.
Soudain, je sentis son pied gauche frôler mes testicules, maladresse ?
Non, à nouveau je sentis le contact du dessus de son pied tendu sur le dessous de mes bourses, cette fois elle resta en contact, un léger va et vient se fit sentir, je fis comme si de rien nétait mais ma respiration trahissait mon plaisir, les mouvements de mon torse étaient trop saccadés.
Elle appuya son pied de plus en plus fort tout en augmentant lintensité de ses mouvements,
Jécartai les cuisses et me cambrai pour quelle ait davantage de surface à caresser tandis que, délaissant définitivement sa cheville, javais posé son pied gauche sur mon épaule droite, mes mains caressant ses cuisses ferme à la peau de pèche, tout en me rapprochant de sa petite culotte dont je convoitai la disparition prochaine.
Soudain, elle se redressa, me regarda fixement puis lentement comme pour savourer linstant, approcha ses lèvres des miennes, un baiser léger, puis un autre, nos bouches sentrouvrirent, les baisers se firent alors plus ardents, à présent nos langues senlaçaient doucement, nos yeux fermés pour mieux profiter de linstant.
Je passai ma main dans son dos, remontai tranquillement jusquau nud de son bikini, saisi un des lassés et tira, le haut se détacha facilement mais je ne pus encore admirer cette poitrine qui soffrait à présent à moi, occupé par nos baisers de plus en plus fougueux à limage de notre désir grandissant toujours davantage.
Dun mouvement furtif, elle retira ce morceau de tissu devenu inutile tout en continuant à massener ces baisers brûlants.
Je passai alors mes mains autour de son cou, et tout en caresse jentreprenais une douce descente vers ses deux précieux dont lenvie de les toucher bouillonnait en moi, je ne tardai pas à les atteindre, mes mains sentrouvrir pour mieux apprécier les formes généreuses de ses mamelons, doux et tout en volume, dune rondeur parfaite, ses seins prenaient toutes la place dans mes mains, mon inconnue sétait cambrée pour les mettre en valeur et mieux me les offrir, mes doigts vinrent jouer avec ces tétons aux pointes fermes, toute réalité avait disparu, jétais comme dans un rêve, le genre pour lesquels on ne souhaiterait jamais se réveiller.
La belle inconnue navait quant à elle pas perdu son temps, et alors que mes mains étaient bien occupée, je sentis deux doigts venir former un anneaux autour de mon pénis, elle entama un léger va et vient, tandis que de son autre mains elle vint jouer avec mes testicules, vierges de tout poil, allant juste un peu plus bas, dans lentre cuisses, égarer ses doigts sur la partie la plus douce de mon corps, une des plus érogène aussi , juste avant le départ de la fente conduisant à mon anus..
Après de longues minutes, entre baisers torrides et massages, moi toujours à genoux, je décidais de me redresser, elle sembla surprise mais ravie car ma verge gonflée et décalottée était pile sous ses yeux, elle me jeta un regard coquin je mapprocha plus près delle, A pleine main elle saisit ma tige dressée, passa son pouce sur ma verge dont la peau était tendue à lextrême et hyper sensible, je tressaillis à chacun de ces passages jusquà ce quelle y posa délicatement ses lèvres, douce chaleur qui comme un courant électrique parti du bout de mon sexe et remonta jusqu à ma gorge un deuxième puis un troisième baiser je fermai les yeux et laissai partir ma tête en arrière signant ainsi mon abandon, je sentis alors la chaleur de sa bouche entourer, aspirer ma verge que de ça main par un mouvement vers le bas elle tendit un peu plus.
Depuis maintenant un long moment, plus aucun échange verbal nétait nécessaire, il suffisait dun regard, dun geste pour que nous nous comprenions, lêtre pudique et timide avait laissé place à un homme à la virilité affirmé.
Alors que mon inconnue entamait un va et vient sans contact avec ses dents, juste ses lèvres et sa langue, je vins poser mes yeux sur elle, la cambrure de son dos creusait un profond sillon conduisant tout droit vers la fente quencadraient ses fesses rondes que son maillot de bain, dans la position adoptée, peinait à cacher.
A présent, elle était venue saisir à pleine mains mes fesses fermes quelle prenait plaisir à malaxer tout en continuant de la tête son va et vient sur ma tige.
Jen avais la chair de poule tellement le plaisir était grand, elle avait déjà su fleureter avec mes principales zones érogènes.
Face à cette chaleur enivrante qui envahissait la moindre parcelle de mon corps à m’en faire dresser les poils et pointer les tétons, je décidai de m’occuper plus en détail de ma belle, je passai donc ma main dans ses cheveux en l’invitant à stopper son massage et à se reculer.
Elle se remit alors à nouveau sur ces coudes, ses seins s’offraient enfin pleinement à ma vue, dieu qu’ils étaient beaux, d’un volume conséquent, partant légèrement sur les côtés, les tétons fièrement dressés dans m’a direction.
Je m’agenouillai à nouveau, mon sexe dressé vint se coller contre mon bas ventre, je défie les nuds qui tenaient la petite culotte de ma belle inconnue, elle se souleva m’invitant à lui retirer ce dernier morceau de tissu ce que je fis, découvrant un petit triangle de poils blond coupés court juste au-dessus de sa fente doù émergeait sa vulve déjà gonflée.
Elle écarta les cuisses au maximum pour mon plus grand plaisir, son vagin sentrouvrit, je savais ce qu’il me restait à faire.
Je me mis à quatre pattes et dirigea ma bouchon vers son entre cuisse, pris le temps d’y déposer de doux baisers brûlants de part et d’autre de sa fente histoire qu’elle s’impatiente, sa respiration était forte et rapide, sentant son désir monter je vins poser un long baiser sur sa vulve, puis un deuxième, elle frissonna de plaisir, la pointe de ma langue vint s’immiscer dans la fente chaude et humide de son vagin, remonter jusqu’à son bouton d’amour que je titilla un instant avant de me mettre à le suçoter, la belle fit de petit coup de rein à chaque passage de ma langue sur sa vulve.
Elle fit glisser sa main droite sur son bas ventre, ses doigts vinrent de part et d’autre de son vagin afin de l’écarter et d’offrir les profondeurs de son intimité à ma langue, je ne me fis pas prier, je glissai de part et d’autre puis allai aussi profond que le permis ma langue, ma belle poussait des soupirs de plaisirs, son excitation me mettait en transe, sans arrêter mes délices, je passa mon genoux gauche au-dessus de sa jambe droite, puis écarta les jambes afin de descendre au plus bas, sentir mon sexe en contact sur son mollet, ainsi positionner, je pouvais par petit mouvement des reins faire légèrement glisser mon barreau contre son mollet histoire de calmer le feu ardent du désir que me transportait bien loin de toutes réalités.
A présent, son vagin était bien humide, ma langue ni était pas pour rien, l’heure était venu que mon glaive vienne sintroduire dans son fourreau.
De baisers en baisers, je remontai alors de son bas ventre en passant entre ses seins jusqu’à son cou puis, sa bouche, je rapprochai dans le même temps mon sexe vers son entre jambe jusquà ce que ma verge vienne en contact avec sa fente douce et chaude.
Durant de longue minutes de baisers fougueux, ma verge gonflée et hyper sensible se frotta contre les lèvres de soie de son vagin avant que, dans un mouvement plus ample je ne finisse par entrer dans le sanctuaire, juste le boue de mon pénis entre ses parois brûlantes, plaisir intense à la pensé du dénouement. J’entrai jusqu’à mi-parcours de ma tige, observant les réactions de ma belle,. Après quelques va et vient elle s’abandonna complètement à son plaisir, sa fente enrobait mon sexe dure et tendu, jétais comme dans un écrin satiné, les parois de son vagin étaient d’une douceur extrême… je finis par rentrer lentement dans un « hummmmmmmmmmm » de plaisir, la totalité de mon sexe jusqu’à ce que mes testicules viennent en contact avec son entrecuisse.
Je profitai de tout son corps, la couvrant de baisers brûlants tout en continuant mon va et vient ponctué par ses petits gémissements de plaisir quand soudain, je sentis un liquide chaud enrober ma verge puis descendre le long de ma tige.
« Oh oui !!oh oui, oui .. »
Ma belle venait de jouir.
Je là laissai reprendre ses esprits tout en poussant le plus profondément possible mon organe au fin fond de son antre, plaisir de toucher le fond.
Fébrile, elle posa son dos dans lherbe, libérant ses bras qui vinrent dans la fouler saisir ma tête pour la coller contre ses seins, les gonflant en les pressant entre ses coudes afin de mieux offrir ses mamelons à mes caresses.
Le moment était venu de changer « dapproche », je là guidai pour se mettre dans la position de « L’offrande secrète » offrant à mon regard ses hanches nettement évasées et sa croupe bien marquée, la perfection de ses fesses adorablement arrondies.
Je passai ma main dans ses cheveux, déposant dans le même temps un long baiser dans son cou largement offert alors que japprochai à nouveau ma verge de sa fente, je neut aucun mal à entrer, la cyprine abondante servant de lubrifiant, je fis pénétrer lentement et sans à-coup ma tige dans sa totalité, mes bourses en contact contre sa cuisse droite.
Ainsi placé, son vagin nétait pas grand ouvert et frottait contre mon sexe comme sil était devenu plus étroit nous offrant de nouvelles sensations très intenses.
Jamplifiai le va et vient mais il ne fallut que peu de temps pour que je sois obligé de contenir le foutre chaud qui montait toujours un peu plus à chaque mouvement, je voulais absolument lentendre jouir avant de me lâché et je dû ralentir pour faire « retomber la pression », pas évident avec sa main gauche me caressant les fesses, cette vue imprenable sur cette plantureuse poitrine ballotée au rythme de la chevauchée sexuelle.
Ma belle inconnue poussait des gémissements de plaisir et alors que je calmai mes pénétrations elle me dit :
« Non, ne tarrête,, va y plus fort, je vais jouir !!!!! »
Je reparti de plus bel, contractant de toutes mes forces les muscles de mon membre dressé pour contenir la poussée de ma semence, mon inconnu gémissait et serrait de plus en plus fort ma fesse à en faire pénétrer ses ongles de ma peau, je priai pour quelle jouisse.
Jatteignais mes limites, je nallai plus pouvoir me retenir plus longtemps quand soudain, je sentis un flot abondant couler sur mes testicules, ma belle inconnue gémit dans un violent orgasme, heureux de sentir se liquide chaud et doux je lâchai prise et à mon tour, dans un râle de plaisir, je jouis violement et avec abondance.
Retirant sa jambe gauche, je pu mallongé et poser ma tête sur ses seins
Par la suite, après avoir repris nos esprits, nous nous sommes baignés, cette fois si elle ne trébucha pas, je notai également quelle navait aucune séquelle de chute. Nous jouâmes comme des enfants à nous arroser, à celui qui celui qui attraperai lautrepuis finir par rentrer chacun de notre côté .