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Un couple très ouvert – Chapitre 1




Lorsque j’ai croisé Camille pendant plusieurs années sur les bancs de l’université, rien ne laissait présager que près de vingt ans plus tard, je serais en ménage avec elle… Ainsi va la vie et le hasard fait parfois bien les choses…

Lors de la fête de fin d’études quatre ans, c’est long nous avions baisé ensemble vite fait dans un coin retiré et nous avions convenu à l’issue de notre coït que c’était un bon coup’ : elle avait joui comme jamais, avait-elle dit, et moi, je m’étais copieusement vidé dans le préservatif… Mais était-ce l’euphorie du moment ou même un peu trop d’alcool et quelques cigarettes chargées de cannabis qui nous laissaient cette impression ?

J’étais parti au Canada poursuivre mes études pendant une année et surtout nouer des contacts avec les gros exploitants forestiers en vue de mon retour en France et de la reprise de l’affaire familiale dans l’industrie du bois avec mon plus jeune frère qui, trois ans après moi, suivait la même filière…

Camille, de son côté, était partie en Australie et en Nouvelle-Zélande, un peu dans le même but : nouer des contacts avec les exportateurs d’ovins, car cela pourrait servir à son père, grossiste en viandes au MIN de Rungis.

Nos routes avaient divergé à ce moment-là, et il avait fallu le rassemblement des anciens étudiants pour qu’on se retrouve bien des années ans plus tard…

Ce soir-là, nous avons beaucoup parlé de nos vies, de nos espoirs de fonder une famille, déçus par une vie trépidante…

L’un comme l’autre, nous avions quelque peu changé… Camille était désormais une jeune femme épanouie, aux formes très agréables à contempler… Une poitrine volumineuse haut placée sur son buste, des hanches un peu larges et une chute de reins à damner la reine de Saba ! Ses cheveux noirs étaient ornés de fils gris qui lui donnaient un air sérieux, d’autant qu’elle arborait des lunettes à monture d’écaille…

De mon côté, j’avais pris quelques kilos dont je n’arrivais pas à me défaire malgré les longs footings que je m’imposais au moins trois fois par semaine ! Mais pour Camille et moi, cette maturité nous allait bien !

Certes, comme elle l’avouait sans honte, elle avait des coucheries’ plus hygiéniques qu’autre chose, alors que pour moi, cela ressemblait plus à un morne désert… Je n’avais aucune relation féminine bien qu’une amie de la famille ait tenté de me mettre le grappin dessus pendant plus d’un an… Le célibat nous convenait tout à fait !

De mon côté, j’expliquai à Camille que pour ne pas m’embarrasser de la recherche d’une conquête d’un soir ou d’un week-end, je fréquentais les clubs échangistes de la région, mais hélas, en Province, il faut parfois faire beaucoup de kilomètres pour les trouver.

J’avais retrouvé Camille et pendant quelques mois, nous avons enchaîné les sorties culturelles et en boîte de nuit pour aller danser… puis nous achevions la journée du samedi ou la nuit dans son appartement… Parfois, c’était beaucoup plus rare, nous allions dans un club coquin du quartier du Marais ou des Halles qui étaient fréquentés par des personnes de nos âges triées par le tarif de l’accès et particulièrement sexy.

Hélas, le dimanche après-midi arrivait trop vite, et je devais reprendre le train pour La Rochelle où j’habitais encore avec mon jeune frère qui désormais était mon associé, mon père nous ayant passé la main depuis quelques années.

Les affaires marchaient bien… nous devions faire de fréquents voyages dans les pays exportateurs de bois comme le Canada ou l’Afrique où nous avions des correspondants chargés de vérifier que la marchandise qui nous était adressée correspondait bien à ce que nous recherchions…

De son côté, Camille venait de quitter son appartement dans le XIVème arrondissement de Paris pour s’installer dans une immense maison située dans le sud de l’Essonne. Je lui avais dit que c’était bien trop grand pour elle seule… Mais avec un petit sourire coquin, elle m’avait répondu qu’elle avait de nombreux amis des deux sexes et… qu’elle avait des projets. Je n’en ai rien su ce jour-là !

J’ai laissé mon jeune frère Hervé à La Rochelle et je me suis installé avec Camille… Nous avons conclu en accord chez un notaire pour partager la charge de l’achat de la maison qui malgré nos revenus importants, constituait une charge à honorer rapidement !

Située dans un grand parc arboré, la maison comportait un grand séjour ouvert sur la cuisine américaine et quatre chambres pourvues pour deux d’entre elles d’une salle de bain attenante ou d’un cabinet de toilette avec douche pour les autres. L’étage mansardé n’était pas encore aménagé, mais il y restait de la place pour plusieurs pièces… Il y avait aussi une immense terrasse avec le foyer d’un barbecue dans lequel on aurait pu faire rôtir un mouton !!!

En plaisantant, Camille disait qu’il ne manquait qu’une piscine…

Avec les moyens de communication modernes, je conservais le contact avec mon frère qui gérait les arrivées de bois et le site de stockage et de découpe. De mon côté, j’avais établi mon bureau dans une pièce mansardée de la maison d’où je me chargeais du négoce avec les grands groupes de BTP et les enseignes spécialisées… Quelques rendez-vous suffisaient à faire rouler les affaires et une personne de confiance gérait le site d’entreposage relativement restreint, car la plupart des expéditions partaient directement depuis la scierie…

C’est au retour d’un voyage de deux semaines au Sénégal que Camille m’a dit qu’elle avait fait faire de travaux en mon absence et qu’elle allait me montrer le résultat. Elle m’a entraîné dans une des pièces attenantes à mon bureau où j’ai découvert un local ultra-moderne équipé de nombreux écrans de télévision que Camille a mis en marche… Quelle surprise ! Je découvrais les diverses chambres de la maison, les salles de bains et le sous-sol.

Je la savais un peu voyeuse, mais je ne m’attendais pas à cela…

Depuis cette pièce, elle pourrait espionner tout ce qui se passait dans la maison, saisir nos invités dans des positions scabreuses dont elle conserverait les meilleures séquences… Elle ajouta alors que l’installation serait complétée par l’aménagement du sous-sol avec un sauna, un jacuzzi et divers autres instruments qu’elle avait commandés…

Les travaux ont commencé par de la peinture et de l’électricité, mais aussi par l’installation discrète des caméras… Je laissais Camille se débrouiller avec les entreprises, car c’était son’ idée… que je ne voulais pas contrarier.

Puis ce fut l’installation du jacuzzi que je trouvais bien grand pour nous deux. C’était la même chose pour la cabine de sauna : on pouvait facilement y tenir à dix personnes au moins ! Et il restait encore beaucoup de places dans ce sous-sol…

Lorsque tout fut installé et fonctionnel, nous avons inauguré les lieux… Avec Camille, nous nous sommes plongés longuement dans les remous du jacuzzi pour nous délasser après une semaine assez mouvementée et y faire l’amour… Puis nous sommes passés dans le sauna où il faisait une chaleur quasi insupportable qui nous a immédiatement fait transpirer… La sueur ruisselait sur nos corps, les gouttes coulaient dans mon dos et entre les seins de Camille qui appréciait la situation les yeux mi-clos.

Après une douche froide revigorante, nous avons enfilé nos peignoirs et nous sommes montés dans notre chambre… Si dans le sous-sol, la situation n’était guère propice aux échanges de caresses et autres privautés, j’ai pris Camille dans mes bras en lui disant que tout cela était très bien et que j’allais lui faire l’amour une seconde fois comme jamais encore je lui avais fait !

Le reste de la nuit fut calme… Au petit matin, j’avais une érection proche du priapisme et Camille en a profité… Elle a rejeté la couette et sans aucune préparation, elle m’a enjambé, et lentement est descendue sur mon vit dressé comme un pal sur mon pubis… Quand elle a été bien installée, elle s’est arrêtée pour m’expliquer ce qu’elle voulait faire de la partie restante du sous-sol…

Elle voulait l’aménager en donjon’ avec un certain nombre d’engins de torture ou de soumission pour des séances où des personnes de nos connaissances coquines pourraient venir se livrer à leurs besoins d’assouvissement. Elle m’a alors expliqué que c’était son amie Sandrine qui lui avait soufflé cette idée…

Sandrine, je la connaissais pour l’avoir rencontrée lors de soirées coquines chez des amis communs et elle m’avait même sucé à fond la dernière fois où nous nous étions croisés, mais jamais nous n’avions couché ensemble.

Camille m’expliqua alors que faute de place chez eux, Sandrine et son compagnon avaient pensé que cela serait une bonne chose d’avoir un lieu où ils pourraient faire ce qu’ils ne pouvaient pas chez eux à cause d’un appartement trop exigu et aussi des enfants qui pourraient se poser des questions…

J’étais surpris, car je ne connaissais pas les penchants masochistes de ces amis… Mais Camille me répondit aussitôt que c’était assez fréquent et que Sandrine et son compagnon n’étaient pas les seuls…

J’étais toujours enfoncé dans la chatte de Camille qui maintenait mon érection par de savantes contractions de ses muscles internes qui massaient ma queue… et nous avons poursuivi notre conversation…

Ma compagne de jeux et de lit envisageait plusieurs choses comme une croix de Saint-André, un chevalet d’astreinte dans lequel on pourrait immobiliser le cou et les poignets pour baiser ou sodomiser la personne immobilisée… qui pourrait même être contrainte de sucer un autre homme… Camille me décrivait tout cela avec beaucoup de détails, un peu comme un commercial dans ce genre d’articles aurait pu le faire… Elle avait aussi prévu une table d’élongation avec des poids et des poulies et divers autres agrès qui pourraient agrémenter son donjon’. Il y aurait même une panoplie de fouets et de cravaches divers et variés… Elle a ajouté qu’ainsi, les participants n’auraient pas à apporter leurs instruments’ !

Je ne suis pas un adepte des sévices, mais la description imagée de Camille et les mouvements qu’elle avait entrepris sur mon sexe m’avaient en quelque sorte excité et bientôt le rythme de notre copulation matinale a augmenté et nous a conduits à la jouissance simultanée !

Mais en ce samedi matin, il n’était pas question de flemmarder au lit, car les matériels commandés par Camille devaient être livrés vers 10 heures et installés aussitôt par les livreurs !

Une fois que tout a été terminé, nous avons fait le tour de tous ces agrès pour vérifier que tout était bien en place. Camille m’a dit à ce moment-là que mon rôle lors de la première soirée serait organiser, serait d’accueillir les participants et de les guider jusqu’au sous-sol et qu’elle se réservait le rôle de dominatrice en chef’ quand le besoin s’en ferait sentir… et qu’elle saurait me récompenser si je faisais mon travail correctement !

Au cours de l’après-midi, nous avons élaboré les invitations à envoyer à une dizaine de personnes de nos connaissances qui partageaient les mêmes penchants pour la luxure et la coquinerie.

Une semaine à attendre… mais personne ne déclina l’invitation…

Le samedi arriva bientôt !

Cet après-midi-là, Sandrine et Hervé, son compagnon, sont arrivés les premiers… Elle avait envie de découvrir avant les autres comment Camille avait fait aménager le sous-sol.

Ces deux coquins avaient une tenue tout à fait adaptée à ce qui allait s’y dérouler… Hervé portait une chemisette ouverte largement sur son buste et un pantalon style baggy’ et Sandrine avait revêtu une robe bustier juste soutenue par de fines bretelles. Au travers du tissu, on distinguait les tétons proéminents de ses seins. La robe s’arrêtait à moitié de ses cuisses et elle portait des chaussures aux talons démesurés qui la faisaient aussi grande que son compagnon.

En voyant le chevalet d’astreinte, elle nous dit que ce devait être génial d’y être immobilisée, elle ajouta même que la fille ou l’homme pouvait aussi bien être pris en levrette pendant qu’elle ou il sucerait un partenaire de l’autre côté.

Quelles perspectives…

J’ai accueilli trois autres couples que Camille semblait bien connaître… Ludovic et Jessica, Antoine et Cléopâtre (marrant…), Serge et Amandine puis en dernier, sont arrivées deux femmes que Camille a présentées comme des relations de travail : Françoise et Sylvie…

Tout ce beau monde était dans la tranche d’âge 35 / 40 ans et semblait très à l’aise, car je l’ai compris ensuite, la majorité s’était déjà rencontrée ailleurs !!!

Tout ce petit monde bavardait autour du champagne qui nous attendait dans le salon du rez-de-chaussée. Les femmes avaient toutes des tenues faciles à enlever comme celle de Sandrine et pour au moins eux d’entre elles, ne semblaient pas s’être embarrassées de soutien-gorge. Les hommes avaient des tenues décontractées… faciles à enlever elles aussi !

Sur un signe de Camille, j’ai invité nos hôtes à nous suivre vers le sous-sol où une musique douce et sensuelle s’échappait d’une chaîne stéréo…

Le jacuzzi et le sauna avaient été mis en route bien avant l’arrivée des invités et étaient prêts à l’usage… les remous bouillonnaient lentement dans une eau qui devait être aux environs de 25° et le sauna était prêt lui aussi à accueillir les premiers candidats… à la recherche d’une certaine intimité et/ou d’une sudation bienfaisante.

Les premières à faire tomber leurs vêtements furent Jessica et Cléopâtre qui ensuite ont déshabillé leurs maris… Tous les quatre portaient uniquement des strings et je pouvais admirer les poitrines rondes des femmes dont les tétons étaient déjà bien érigés… et les mâles bandaient déjà eux aussi !

Ils se sont plongés dans l’eau bouillonnante et j’ai remarqué que Jessica se serrait contre Antoine en lui disant des mots à l’oreille et les deux autres s’embrassaient à bouche que veux-tu, Cléopâtre chevauchant les cuisses de Ludovic.

C’était bien parti ! Ces quatre-là n’allaient pas tarder à se retrouver sur les tapis de plage disposés çà et là ! Faire l’amour dans l’eau, ce n’est pas toujours facile !

Serge et Sylvie avaient jeté leur dévolu sur Françoise, une des amies de Camille, et ils ont formé un trio coquin, les deux femmes déshabillant Serge dont le sexe et les bourses ont été entrepris aussitôt par deux bouches voraces et des mains caressantes…

Hervé avait immobilisé sa femme sur la croix de Saint-André, et il parcourait son corps entièrement nu avec une sorte de plumeau en insistant sur les zones érogènes… Je voyais Sandrine se tordre de plaisir, cherchant à la fois à échapper à la caresse et la faire dériver sur un autre endroit… Ils avaient trouvé un usage inhabituel de cet agrès qui est plutôt utilisé pour châtier à la cravache ou au fouet un (e) adepte de la punition.

Là, ce n’étaient que caresse et effleurement sensuels… Pourquoi pas !!!

Quelques instants plus tard, Sandrine étant libérée de ses entraves, j’ai vu Hervé bavardant avec Françoise et Sylvie auxquelles il faisait découvrir les lieux… Je l’entendais décrire quels étaient les emplois possibles des divers agrès quand Françoise lui a demandé :

J’ai envie d’essayer la croix… mais avec douceur… comme Sandrine. Je n’ai pas envie de souffrir !

OK… je vois ce que tu veux… on va s’occuper de toi… Sylvie, tu es partante ?

Oui… qu’envisages-tu ?

Tu verras après, mais pour le moment, installons ta copine, prends ce bandeau et assure-toi qu’elle ne voit rien… Ensuite, je l’entraverai !

Puis j’ai vu Camille entraîner Sylvie vers la cabine de Sauna… je savais ce qui allait se passer… Sylvie était dotée d’une paire de seins de folie, rond et généreux qui malgré leur taille se tenaient bien… les aréoles bistres d’une vraie brune étaient ornées d’un téton très proéminent que j’ai découvert orné d’une barrette qui le traversait… et Camille, je le savais était un peu envieuse de ces femmes gé né reu ses’ qu’elle ne pouvait pas concurrencer avec son 90 B ! Mais elles ont été rapidement rejointes par Ludovic et Serge… Les hostilités’ (si on peut dire) étaient bien parties… et connaissant Camille, j’imaginais aussitôt que ces deux-là allaient se gouiner allègrement !

Je devais m’occuper de Françoise… Après l’avoir entravée sur la croix, je m’assurai quelle ne voyait rien malgré le bandeau sur ses yeux…

Je promenais entre ses cuisses l’extrémité d’une cravache prise sur le présentoir… Je frôlais le pubis puis je redescendais sur les genoux, passant le méplat de la cravache sur le pli poplité que je savais sensible chez la plupart des femmes.

Françoise avait une toison assez peu fournie et elle était taillée en triangle dont une des pointes semblait indiquer l’entrée du sexe… Retournant la cravache, je suis allé ouvrir les nymphes avec le pommeau pour faire rouler le clitoris puis je suis descendu entre les lèvres qui étaient imprégnées de cyprine… Françoise était bien excitée par ces premières caresses ! Elle me suppliait :

Encore… C’est bon… Encore, caresse-moi partout !

Tu ne perds rien pour attendre !

J’ai changé d’instrument… une sorte de martinet aux poils fins et relativement longs montés sur un manche court… Par jeu, j’ai cinglé les hanches de Françoise une fois de chaque côté et je lui ai dit que j’allais lui faire sentir la douceur… J’ai fait courir les poils le long de ses cuisses puis je suis monté jusqu’à la taille et ensuite la poitrine… Les poils doux couraient sur sa peau que je voyais s’ériger en une chair de poule… Manifestement, Françoise était très réceptive… alors, pourquoi cesser ?

J’ai continué à caresser son corps avec divers instruments, et voyant sa chatte baver comme jamais, je n’avais vu de chatte aussi humide, j’ai repris le martinet dont le manche épais imitait un phallus de belle taille et de belle facture, je l’ai glissé dans le sexe offert par la position.

Voilà une chose qui va libérer tes tensions !

Oh oui… Fais-moi du bien ! Continue… Après tes caresses, sentir mon sexe envahi… humm c’est bon !

Je te fais jouir ainsi, mais après, je te libère et je te baise !

Raconter toutes les péripéties de cette soirée serait fastidieux, mais pour la soirée inaugurale du donjon’ de Camille, je pense que tout le monde a été satisfait !

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