Histoire de sexe fétiche Histoires gays

Sissy à bord – Chapitre 4




(… suite…)

Je passais le reste de la matinée à étudier les explications rudimentaires du set de maquillage, et fit quelques essais, mais le résultat était clownesque, heureusement quil y avait une petite bouteille de démaquillant compris dans le set !

Laprès-midi jaidais en cuisine, puis en fin daprès-midi je me promenais sur le bateau, désuvré. Entendant du bruit qui venait dune pièce proche du réfectoire, je my rendis. Cétait une salle aussi grande, avec dans le fonds un vieille TV et quelques canapés, au milieu plusieurs tables, et de lautre côté quelques baby foot et une petite bibliothèque avec quelques livres et quelques comics. Une des tables était occupée par quatre marins, qui jouaient aux cartes. Il y avait des pièces de monnaies, des cartes sur la table, et chacun avait cinq cartes en main. Il y avait le second, qui semblait gagner la partie vu le tas de pièces de monnaie plus important devant lui, deux autres marins que je ne connaissais pas, et Ron, qui me fusilla du regard dès que jentrais. En plus il avait le moins de monnaie face à lui, je supposais donc quil perdait la partie. Jallais les laisser jouer et quitter la pièce, mais le second mappela

— Non, ten vas pas ! Cest mon jour de chance aujourdhui, je gagne du pognon et une jolie poupée, ha, ha, ha !

Je mapprochais. Je sentis les regardes des quatre hommes sur moi. Étrangement, je pus sentir les trois regards de désirs, et celui de dégoût. Cétait différent. Les regards pleins de désirs me caressaient, mentouraient, le regard plein de dégoût me rejetait, me piquait Je portais les bottines, desquelles dépassaient des petites socquettes blanches, une jupe courte et un débardeur assorti, sous lequel on devinait un soutien noir et mauve. Sous la jupe un string assorti.

Je mapprochais du second, qui mattrapa par la taille et me fit asseoir sur ses genoux. Je mis mes mains autour de son cou, pour ne pas tomber. Et parce quil était tellement viril. Dans ma tête, son sexe imposant fit son apparition non, non, pense à autre chose !

— Je paye pour voir !

Des pièces atterrirent au milieu de la table, où il y en avait déjà quelques-unes, près du paquet de carte. Le second tenait dune main ses cartes, son autre main venant se poser sur mes fesses, les caressant virilement. Le premier marin laissa tomber ses cinq cartes sur la table, sans les retourner

— Jai rien

Lautre marin montra son jeu, étalant les cinq cartes face visible.

— Paire de 10 à las

La main du Second malaxa mes fesses, plus virilement, avec force. Le rouge me montait aux joues, je tentais de rester concentré sur le jeu que je découvrais. Ron dévoila ses cartes, un sourire aux lèvres.

— Hé, hé, à moi le flouze les gars ! Jai un brelan de dames !

La main du Second passa sous le string, suivant mon sillon, tournoyant autour de mon anus. Jessayais de rester concentré, mais ça devenait de plus en plus difficile. Je ne pouvais ignorer mon sexe de plus en plus dressé, ces papillons dans le bas-ventre Il regarda encore quelques instants les trois dames posées sur la table, et le sourire victorieux de Ron

-Bien joué, Ron. Vraiment, beau jeu

Lautre sapprêtait déjà à ramasser les pièces au milieu de la table

— cest juste dommage que ton brelan vaut moins que mon full de roi par les valets !

Et une à une il montra ses cinq cartes au reste de la table le roi de pique, le roi de carreau, le roi de cur, le valet de trèfle et le valet de pique Le sourire de Ron se figea alors que celui du Second sagrandit.

— Je pense que jai encore gagné !

Ron frappe ses deux mains sur la table, le rouge aux joues. Mais lui cétait pas dexcitation, cétait plutôt de colère !

— Ce ce nest pas possible ! Cette malchance ! Cest cest de sa faute ! Faut la foutre par-dessus bord !

Il me pointait de son doigt, le visage de plus en plus ivre de colère. Je voulus me lever, et partir, mais le second me retint sur ses genoux. Il me caressa les cuisses, puis lentrejambe, bien en face de Ron.

— Tu sais bien que ça na rien à voir. Et gare à celui qui la touche. Vous avez vu comme elle est jolie

Il continua à me caresser, dévoilant mes fesses en relevant la jupe, mon ventre en relevant le débardeur

— Moi elle mexcite cette poupée et celui qui y touche aura à faire à moi, juré et au capitaine aussi dailleurs

Il parlait calmement, continuant à me caresser, mais on sentait dans sa voix une fermeté, une assurance du genre « me cherchez pas ou vous me trouverez, et ça va faire mal » !

Ron le toisa, lair mauvais, puis recula, faisant tomber sa chaise, et partit en claquant la carte.

Le Second ny pensait déjà plus, continuant à me caresser. Je sentais la bosse dans son jeans.

— Et si tu ramassais largent pour moi ma jolie ?

Je me levais, puis me penchais vers la table, ramenant les pièces du milieu de table vers le paquet de pièces devant le second. Il y en avait beaucoup, incontestablement, il avait gagné la partie !

Pendant que je faisais ça, je sentis ses mains sur mes fesses, caressantes, malaxantes, soudain, il tira sur mon string, et ensuite il déplaça la languette sur le côté, sur ma fesse droite. Il me tira ensuite par les hanches vers lui je sentis directement quil avait sorti son membre bandé de son jeans, lorsque le gland toucha mes fesses quelle sensation électrisante ! Les deux autres marins nen croyaient pas leurs yeux ! Il écarta mes fesses, plaçant son sexe bandé sous ma rondelle, puis me souffla à loreille, assez fort pour que les deux autres lentendent « Et si tu tasseyais, maintenant ? »

Jobéis son gland pénétra doucement mon anus, puis, masseyant sur lui, sa hampe je ne pus réprimer un soupir de plaisir en sentant cette bite énorme me remplir petit à petit. Heureusement que javais déjà lanus un peu ouvert grâce aux pénétrations des jours précédent, sans quoi il maurait fait mal, vu sa taille et le fait quil entre en moi à sec Finalement, je me trouvais totalement assis sur lui, lui fiché en moi, tandis que mon sexe éjaculait dans le string noir et mauve Les deux autres marins nen croyaient pas leurs yeux ! Le Second, me prenant par les fesses, commença à me faire coulisser le long de sa bite bandée, et les sensations étaient exquises ! Totalement dominé par lui, totalement remplit par son membre dur et bandé, et en plus observé pendant que je me faisais prendre, tout cela mexcitait au maximum pris par livresse du plaisir, je rejetais ma tête en arrière, cherchant la bouche du second nous nous embrassâmes, passionnément, puis il me poussa contre la table, se levant, pour pouvoir mieux senfoncer en moi, accélérant ses mouvements, me tenant par les hanches, me dominant je vis les deux autres marins qui caressaient les bosses que formaient leur pantalon je les invitais à venir vers moi ils ne se firent pas prier le premier arriva sur ma gauche, déboutonna son pantalon, et sorti son membre bandé je léchais sa hampe, puis son gland, et rapidement, un coude sur la table pour maintenir mon équilibre, le fit entrer dans ma bouche je voulais être rempli par ces sexes bandés, je voulais les sentir en moi ! Je le suçais, tandis que le Second ralentit ses mouvements, pour ne pas me déséquilibrer au lieu de la vitesse et de la force, il tournoya en moi, senfonçant lentement, mais profondément Le marin que je suçais navait pas beaucoup de résistance, et au bout de quelques minutes, il jouit dans ma bouche. Javalais sa crème salée avec gourmandise, léchant encore son gland jusquà la dernière goutte Lautre marin lui fit une réflexion sur le fait quil navait pas tenu longtemps, mais je ne fis pas vraiment attention, le Second accélérant à nouveau ses coups de boutir, avec force

Je réussis néanmoins à me tourner sur la droite, me mettant sur mon autre coude, pour me trouver face au second marin, qui sastiquait doucement son sexe bandé, entièrement glabre, sans un poil il sapprocha pour que je puisse le lécher, puis lenfourner Le Second ralentit à nouveau la cadence, pour que je puisse sucer le marin à son aise Il ne dura pas longtemps non plus, se vidant dans ma bouche. Je le léchais aussi jusquà la dernière goutte, puis le lâcha le second repris sa cadence infernale, allant et venant en moi avec passion, jusquà ce que je sente son sexe battre en moi, au fonds de moi, et que dans un rugissement de plaisir il se vide en moi, sa semence chaude me remplissant

Lorsquil sortit de moi, mon anus béant vu la grandeur de son membre, je tombais à genoux, les jambes tremblantes, du sperme dégoulinant sur mes testicules et mes cuisses. Et cette impression de vide, encore plus immense ! Lavant de mon string était trempé de ma propre semence

Le Second se rassit, reprit contenance (et son souffle), puis se rhabilla.

— Au fait tu sais jouer au poker ?

Je fis non de la tête, ayant moi plus difficile à trouver mon souffle.

— Flûte, il va nous falloir trouver un quatrième joueur !

Il tapota mes fesses, puis se leva, et partit à la recherche dun autre joueur. Les deux autres marins maidèrent à me relever. Il fallait que jaille me reposer là ! Je remis de lordre dans ma tenue, les remerciait, puis sortit dans le couloir. Je maccrochais à la sorte de rampe, le roulis était plus fort que dhabitude, javais les jambes tremblantes, et mal au derrière ! Il ny avait pas été de main morte, le Second, et quel membre il avait ! Jaurais de la chance si je pouvais masseoir sans mal demain ! Je descendis péniblement lescalier, mais soudain sentis une présence derrière moi

Je neus pas le temps de me retourner un filet mentoura, et des mains me poussèrent sans ménagement vers le pont Ils étaient deux, et je reconnus sans mal Ron.

— Mais lâchez-moi ! Quest-ce que vous faites mais

Nous étions sur le pont. Le soir était tombé, et de gros nuages gris foncés-mauves roulaient sur le ciel soudain, un éclair stria le ciel, suivit dun redoutable grondement de tonnerre Le roulis était vraiment très fort, et de grosses vagues sabattaient sur le pont du bateau, le temps était mauvais, les vagues sur locéan énorme !

Un frisson me parcouru léchine cest vers le bord que nous allions ils voulaient me jeter par-dessus bord !

— Mais vous êtes fou ? Quest-ce que quest-ce que vous allez faire ???

— Je vais sauver ce bateau petit. Désolé, mais ta place nest pas ici ! Tu vas nous apporter le malheur !

— Non ! Au secours ! AU SECOUUUUUUUUURS !

Je criais de toute ma voix, tandis que nous nous approchions du bord. Un nouvel éclair stria le ciel, suivi dun coup de tonnerre. Je voyais avec effroi les vagues immenses, impossible de nager là-dedans, tomber à leau cétait la mort assurée ! Je tentais de me débattre, jappelais de toutes mes forces

— Ron ne fait pas ça !

Le Second apparut dans lencadrement de la porte. Ron et lautre marin me tenaient par les jambes et les épaules, jétais contre la rambarde, un simple mouvement de bras de leur part, et jétais à leau ! Le Second semblait très menaçant.

— Ecoute Bob, tes le Second, tu dois comprendre ! Aucun marin ne peut accepter

Un coup de feu fit taire le marin. Nous nous tournâmes tous vers le pont supérieur, où se tenait le Capitaine. Un pistolet à la main.

— Ron, écoute Bob et lâche le petit. Tu es le seul à ten plaindre, et ce que tu fais, cest de la mutinerie. Je ne permettrai jamais à aucun marin sous mes ordres de se mutiner

Au mot mutinerie, le mari qui me tenait par les jambes me laissa tomber et recula de quelques pas, se désolidarisant tout de suite de Ron, qui me tenait toujours par les épaules

— Mais enfin, vous ne comprenez rien !

Soudain un éclair plus grand que les précédents déchira le ciel, et frappa le bateau. Au lieu du tonnerre on entendit un sinistre craquement, et un de ces gros câbles métalliques qui partait du pont supérieur et allait vers le bout du bateau, fut sectionné il arriva droit sur nous ! De surprise Ron me lâcha, et je tombais sur mes genoux, mes jambes ne me portant plus. Je sentis le câble me frôler, suivi dun cri, dun drôle de bruit, puis plus rien je me retournais, Ron avait disparu. Il y avait beaucoup de sang, sur la rambarde, sur le sol, et sur le câble, qui traînait au sol Vu la violence du choc, les restes du corps de Ron avait dû être projetés à la mer

Le marin, Bob, et moi nous retournâmes vers le Capitaine. Pour toute épitaphe, il eut ces mots :

— Le malheur frappe toujours celui qui lappelle sans cesse Bob, consigne la mort de Ron dans le journal des incidents. Dès

que nous aurons touché terre, fait envoyer ses effets personnels à sa famille. Il faut aussi prévenir

Je nentendis pas le reste, tombant évanouis

Je méveillais dans le lit du Capitaine. Il faisait sombre, le jour se levait doucement. Je laperçus alors, il était là, endormi, assis sur une chaise à quelque pas du lit. Il avait veillé sur moi. Il avait pris son arme pour me sauver, puis il avait veillé sur moi ! Cette pensée emplit mes yeux de larmes. Je me sentais vraiment aimé, et cela me toucha profondément, memplissant de chaleur les papillons revinrent voltiger dans mon bas ventre Je sortis silencieusement du lit, et magenouillais entre ses jambes. Très doucement, jouvris sa braguette, et sorti son membre, tout endormi il ne lui fallut que quelques coups de langue pour quil prenne un peu de vigueur, et une mise en bouche pour le faire bander tout à fait sa raideur amplement acquise, je me relevais, et lenjambais, plaçant son gland gonflé de désir contre mon anus puis massis lentement sur les genoux du Capitaine, mempalant sur son membre raide, le sentant me pénétrer lentement Mon dos reposait contre le torse puissant du Capitaine, je blottis ma tête dans son cou, et attendit je sentis son pieu fiché en moi, mais ne bougeais pas, sentant toute les sensations de son membre veiné de chaire en moi, qui tressautait doucement je sentis lodeur de lafter-shave du Capitaine, la peau de ses joues avec sa barbe de deux jours, piquante et virile, blotti contre lui, jembrassais doucement son cou, son menton, levant la tête pour atteindre doucement ses lèvres était-il encore endormi ou faisait-il semblant ? Maidant des accoudoirs de la chaise, je me fis coulisser, serrant mes muscles anaux autour de son membre, et je me fis monter et descendre, le branlant avec mon cul avec mon intérieur, avec tout ce que javais je me faisais coulisser le long de son membre dur et ça faisait un bien fou ! A lui aussi, même sil faisait semblant de dormir, je sentais sa respiration et son cur accélérer je continuais, contractant au maximum mes muscles, sentant son sexe encore grossir et durcir en moi, il ne tiendrait pas longtemps ! Lorsque je le sentis battre en moi, je lâchais tout, le faisant senfoncer au plus profond de moi, me tassant sur lui cétait si profond, avec son membre au maximum de sa raideur et de sa grosseur que jen jouis instantanément, et lui aussi ! Je sentis sa crème chaude me remplir les entrailles, et lembrassais encore, comme un fou. Il rendit mon baiser passionnément, puis il referma doucement ses bras sur moi, et nous restâmes comme cela, immobiles, moi blotti dans ses bras, son membre débandant doucement dans la chaleur de mon rectum, puis ressortant par mon petit trou huilé de son sperme

Après un moment, je pus lui parler

— Je je suis désolé pour Ron je ne voulais pas que ça lui arrive cétait cétait horrible !

— Ce nest pas de ta faute pour Ron. Il sest mis lui-même dans les ennuis. Il était tellement buté, et superstitieux.

Je hochais la tête, sans rien dire.

— Tu sais, il devenait de plus en plus grincheux, et réticent à obéir. Il devenait un problème, et javais déjà écrit à la compagnie pour demander sa retraite anticipée. Cest vraiment con quil ait fait une pareille connerie tu te rends compte sil avait réussi à te jeter par-dessus bord ? Je crois que je laurais

Sa main caressa doucement mon visage mon ventre mes cuisses puis il se leva, me prenant comme si je ne pesais rien, et me déposant sur le lit, ventre contre le matelas, fesses vers lui il menjamba et frotta doucement son sexe entre mes fesses, caressant mes fesses, les malaxant, les rapprochant pour faire glisser plus aisément son membre, jusquà ce quil reprenne vigueur puis il écarta mes fesses, et à nouveau menfila, faisant aisément pénétrer son membre raide dans mon petit trou encore mouillé de son sperme il navait plus une érection aussi forte que la première, mais il était assez raide pour toucher à chaque coups de boutoir ce point sensible en moi, qui déchargeait des éclairs de plaisir dans tous mon corps, qui me faisait vibrer, qui menvoyait au septième ciel ses mains me tenant virilement par la taille, il senfonçait en moi, me faisant lamour avec passion, ma tête dans son oreiller pour couvrir mes cris de plaisirs jétais à nouveau dans cet état dorgasme permanent, mon sexe laissant couler sans arrêt un sperme très liquide, un feu dartifice dans la tête je ne le sentis même pas jouir, tellement jétais dans les vapes de plaisirs

Je me rendormis comme ça, tandis quil était toujours en moi. Lorsque je méveillais, il faisait clair, ça devait être le milieu du jour, et il nétait plus dans la cabine.

Le voyage continua à travers lAtlantique, les jours se succédant les uns aux autres, comme les sexes que je suçais ou qui venais dans mes fesses… plus le temps passais, plus je sombrais dans cette frénésie sexuelle je ne savais plus dire non, dès que je voyais une verge dressée, dès quon me caressait virilement, je fondais, les papillons se formaient dans mon bas ventre, et javais envie de sexe, javais envie de jouir en plus javais appris à aimer le goût du sperme, à un point tel que rien que lodeur me faisait bander avec le temps et les hormones, je voyais également des changements, très lents, mais mon visage saffinait, mes fesses et mes hanches sarrondissaient, et mes seins gonflaient un tout petit peu, mes tétons devenant plus sensibles quavant ces changements étaient très lents, mais mencourageaient à devenir plus provocante, plus aguichante

J’apprenais aussi quelques bases de maquillage, léger, mais joli.

Jaimais attendre le Capitaine dans sa cabine, accroupi sur son lit, la croupe en lair, offerte, le string soit sur les chevilles, soit en place mais avec la corde déplacée pour laisser mon anus libre il me trouvait ainsi, dans cette position, en entrant dans sa cabine. Je savais que ça lexcitait, il sortait son membre, sans attendre, le faisait glisser entre mes fesses, avant de me pénétrer sauvagement, et de me faire lamour avec passion, avant de se vider dans mon cul qui nattendait que ça pour me faire jouir

Javais également remarqué que le Second passait aux wc tous les matins à la même heure. Jaimais également ly attendre, assis sur un wc Lorsquil entrait, jouvrais la porte de la cabine-wc il venait jusquà moi, et tout obéissant jattendais quil me regarde pour faire pipi, assis. Il sortait alors son membre, que je suçais, léchait, ce membre si gros, puis que je prenais en bouche, le suçant, caressant ses grosses testicules velues, jusquà ce quil éjacule dans ma bouche javalais tout son sperme, lui léchant le gland pour bien le nettoyer puis jallais le lui tenir pendant que lui urinait

Mais par-dessus tout, ma frénésie sexuelle me conduisait à chercher à avoir plusieurs hommes en même temps, cest ce qui mexcitait le plus. La dernière fois que javais essayé de minitier au poker, et javais perdu, je me retrouvais couché sur la table, sur le dos, les jambes en lair. Jambes maintenues par le joueur qui avait remporté la mise, et qui ajustait son membre bandé en face de mon petit trou offert il senfonça en moi, tandis que les deux autres joueurs se masturbaient, leurs sexes juste au-dessus de mon visage je léchais leurs testicules, puis une hampe, puis lautre, puis un gland, puis lautre, puis de nouveau leurs testicules. Je navais pas le droit de les prendre en bouche, cétait la règle du jeu mais lorsquils éjaculèrent, jouvris grand ma bouche affamée, et ils éjaculèrent lun après lautre dans ma bouche, sur mes lèvres, sur mes joues à ce spectacle, celui qui allait et venait dans mon cul se vida également, se poussant bien profond en moi quel pied !

Je me souviens également de la soirée mémorable avant darriver à Bahia Ce soir-là, je mhabillais de bas résilles les plus provocants, dun ensemble corset et string mauve et noir avec beaucoup de dentelle, des escarpins à talon et jallais à la cantine, où quasiment tout léquipage se réunissait pour prendre un verre tous ensemble. Ils étaient quasi tous là, et navaient dyeux que pour moi. Je flirtais avec lun, puis avec lautre sentant des mains, se perdre sur mes fesses, sur mes cuisses, sur mes seins jétais là pour leur plaisir et ils le savaient. Me sentir au milieu de tous ses mâles avides de sexe, comme une brebis perdue au milieu des loups, mexcitait terriblement. Les mains se firent plus pressantes, puis quelquun membrassa, une langue tournoya dans ma bouche, avec la mienne, puis une autre soudain, je me sentis soulevé du sol, lon me débarrassa de mon string et lon massit sur le rail devant le passe plat, où dhabitude ils posaient les plateaux pour les repas mes jambes pendants entre le rail, mes fesses dépassant derrière bien vite un gland tiède et humide vint gentiment frotter mon anus avant de le pénétrer han, une verge tendue en moi, cétait si bon je ne voyais que le rideau fermé du passa plat, sur lequel je posais mes mains pour garder léquilibre, tandis que le gars allait et venait en moi, et que je sentais le regard des autres, et jentendais leur commentaire grivois le marin poussa un râle, et je le sentis se vider en moi il se retira, et un second arriva, menfilant directement après Mon rectum remplis de sperme, puis vidé de la présence de ce membre raide, puis à nouveau rempli par un nouveau cela me fit jouir, mon sperme coulant de mon sexe bandé au sol

Certains le remarquèrent, jentendis une nouvelle série de commentaire grivois, puis jentendis un déplacement derrière moi quelque minutes après, un marin posa sous le rail, sous moi, une sorte de grand gamelle en fer je ny prêtais plus attention, car le second marin jouis en moi il se retira, et un nouveau membre bandé menfila ils allaient tous me prendre en ligne ! Jentendis derrière moi des rires, des chopes quon trinquaient, des bruits de conversation et de nouveau un jet de sperme chaud en moi et un sexe qui se retirait du sperme coulait de mon cul, le long de mes fesses, de mes testicules, et gouttait dans la gamelle Un quatrième marin se présenta, son gland se poussant en moi quelle monstre ! Sans le voir, je reconnus le mandrin de Bob, le Second. Cétait lui qui avait la plus grosse, et là, il me ramonait furieusement, son gros gland titillant comme un fou ma prostate je jouis une seconde fois, mon sperme tombant droit dans la gamelle sous le rail dans un râle, il jouit lui aussi en moi il fut remplacé par un autre marin, qui fit gicler du sperme hors de mon cul bien rempli à chaque coup de boutoir tous ce sperme gouttait dans la gamelle Lui aussi se vida en moi le suivant prit son temps, allant et venant très lentement en moi, mais très profondément ma prostate et mon rectum sur-titillé me mettaient dans un état dorgasme permanent, je perdais de plus en plus pied, mon sperme coulant doucement de mon sexe pourtant à moitié bandé un autre marin vint, et lui ne tint que quelques minutes mais déjà il fut remplacé par un autre

Quel plaisir ! Tellement fort que jétais entre la conscience et linconscience, tout mon corps nétant plus que plaisir les dix-huit ou dix-neuf marins présents, me passèrent lun après lautre dessus, et certains recommencèrent une seconde fois finalement, je me sentis à nouveau soulevé en lair, mon dos contre un poitrail puissant, mes jambes relevées, mon cul maintenu au-dessus de la gamelle je sentis le sperme qui me remplissait couler en sens inverse, sortant de mon cul pour remplir la gamelle, qui était pleine de ce liquide blanchâtre puis je me retrouvais sur les genoux au sol ils vidèrent la gamelle dans une chope vide, quils me donnèrent. Tous les marins avaient une chope de bière en main, moi celle de sperme

— A mon signal, on fait tous cul-sec ! Trois, deux, un et glou !

Tous les marins portèrent leur chope à leur lèvres, la bière sécoulant dans leurs gosiers je portais la chope pleine de sperme et la vidait aussi il y en avait beaucoup, cétait fort et javoue écurant, je préférais le sperme par petite quantité mais je la vidais, jétais dans un état second et je voulais leur faire plaisir ! Ils posèrent tous leurs chopes vides sur les tables, tandis que je terminais de vider la mienne, le sperme me remplissant lestomac, sous les applaudissements et les coups de sifflet des marins puis je titubais, groggy, littéralement ivre de plaisir, et lanus douloureux, je titubais jusquà ma chambre et mon lit, où je tombais dans un profond sommeil.

Le lendemain, lorsque je me réveillais, le Capitaine était là. Il me regardait, et me sourit lorsque jouvris les yeux. Il me caressa tendrement la joue. Et me demande si je voulais rester avec eux. Nous étions occupés à accoster à Bahia. Nous devions y rester quatre jours. Et lui était là, à me demander de rester, laissant les commandes au second. Au début, lorsquils mavaient surpris comme passager clandestin, jétais bien décidé à endurer cela le temps de la traversée, et une fois arrivé au Brésil, de donner corps à mon rêve. Mais javais tellement changé depuis. Et je métais aussi informé, sur le Brésil, et savais bien que jamais je naurais de concession pour un tenter de trouver un filon, cette époque était révolue depuis longtemps Une partie de moi ne voulait pas abandonner le Capitaine, ses marins et leurs sexes tendus, si bons ! Jacceptais donc la proposition du Capitaine.

Durant les quatre jours sur place il me fit rencontrer son ami, le médecin, qui mexamina, et me donna dautres produits. Ils discutèrent dune certaine opération, qui était trop tôt pour le moment, puis parlèrent du bon vieux temps, tandis que je les suçais lun après lautre

Nous quittâmes Bahia, et le cargo repris son chemin. Les marins mavaient quasiment tous rapportés un souvenir de Bahia, qui une carte, qui un livre, mais en majorité, je reçus de la lingerie fine, des jupes courtes, et même une superbe pair de chaussure, avec un long talon, faites de fines bandelettes de cuir, de la part de Will et Mike Nous voyageâmes durant des mois, le cargo quittant Bahia et remontant vers le canal de Panama, puis escale à Hawaï et route vers le Japon du Japon nous traversâmes locéan Pacifique vers la Malaisie, puis Singapour. De Singapour nous traversâmes lOcéan Indien, nous arrêtant au sud de lInde puis au Sri Lanka. Puis nous fîmes route vers la péninsule arabique, la mer rouge, le canal de Suez. Ensuite nous traversâmes la Méditerranée, avec arrêt à Barcelone, Gibraltar et Lisbonne et puis de nouveau le Cap Vert, lAtlantique et retour à Bahia

Je fis le tour du monde avec eux pendant plus dun an et demi. A chaque étape cétait chargement et déchargement de containers. Et les marins revenaient avec des sous-vêtements affriolants, des bas, des bustiers, des chemises de nuits, des déshabillés, des chaussures que je mettais pour eux, les provocants, les masturbant, les suçant, leur offrant mes mains, mes lèvres, ma langue, ma bouche, mon cul que ce soit un par un ou en groupe, je fis lamour comme jamais durant cette année et demi mon corps changea aussi, mes petits seins encore plus sensible, mes fesses plus généreuse, ma face plus féminine. Mes poils, coupés ne poussaient quasiment plus, et mon pénis bandait moi dur, mon plaisir et mes éjaculations ne venant plus que des sexes qui me pénétraient lorgasme anal, cétait divin, bien mieux que mes précédentes masturbations je pouvais même jouir sans bander, ce qui me rendait aussi femme que leurs regards emplis de désir quand ils me voyaient J’eus également le temps d’apprendre à mieux me maquiller, je reçu même un livre du doc à ce sujet, pour devenir expert en la matière, tous les conseils et astuces s’y trouvaient !

Je passais une année et demie délicieuse avec eux, mais à la fin, javais limpression de tourner en rond. La routine commença à sinstaller, et la routine ce nest jamais bon, ça tue la passion le Capitaine eut lair triste quand je lui ai dit que je les quitterais à Bahia, mais il ne fit rien pour me retenir. Cest le seul qui me faisait lamour différemment des autres les autres maimaient bien, mais cétait toujours le désir qui les guidaient vers moi pour le Capitaine, je sentais que cétait autre chose

Arrivés à Bahia, ils me firent tous un superbe cadeau dadieu : ils se cotisèrent pour me payer une opération chez lami du Capitaine : de A, mes nouveaux seins passèrent à 95D avec ça, et quelques vêtements emportés du bateau, je fis vite fureur ! Il suffisait que je me promène près des boîtes de nuit à la mode pour me faire accoster par de riches vacanciers ou hommes daffaire, gagnant en une nuit des sommes affolantes ! Lorsque jen eu assez, je quittais Bahia pour Rio de Janeiro. Là je recommençais à jouer la pin-up dans les boîtes branchées, ou sur les plages bien courues, jusquau jour où je tombais sur Eddy, qui après une nuit torride me proposa de travailler pour lui, pour un de ses films Je commençais à tourner des films x sous un nom de scène encore inconnu à lépoque : Bahia Starr ! Le succès de mes films venant, après Rio ce fut Los Angeles, et ma carrière ne fit que monter, monter…

Voilà Steven comment tout a commencé, comment je suis devenu une des grandes stars du X et que jai pu gagner tant de prix et de récompense !

— Et bien merci Bahia de nous avoir accordé cette interview, avec comme question comment es-tu devenue la star que tu es aujourdhui … Quelle histoire ! Mais avant de redonner lantenne à nos studios du « Journal du X », jai une dernière question. Même si lévénement a été très confidentiel, il paraît que tu as épousé en secret à Las Vegas un Capitaine de cargo, devenu depuis armateur ? Cest vrai ? Cest celui de ton histoire ?

— Chuuuut cest un secret ! Je préfère vous laisser imaginer !

— Et bien, nous nen saurons pas plus ! Merci encore Bahia Starr pour cette interview franche ! Ici en direct de Los Angeles, cétait Steven Goldbit pour le Journal du X !!!

(Fin !)

Related posts

Sur Scène – Chapitre 1

historiesexe

Maman très chaude, enfants pervers. – Chapitre 17

historiesexe

Rédaction magique sur Xstory – Chapitre 1

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .