Mardi arriva, après une soirée banale bien trop longue, après une nuit bien trop longue. Je partis un peu plus tôt que d’habitude , espérant bien attendre Hélène sur mon chemin. Grand bien m’en pris! Cette dernière m’attendait dans le fameux petit trou de la haie.

"Eh bien, tu as un sixieme sens, me dit-elle, cela fait a peine 15 secondes que je suis la. Je n’a même pas eu le temps de retirer ma culotte pour me toucher. Tant pis pour toi, c’est toi qui le fera!"

Je ne répondit rien d’autre qu’un sourire, avant de m’engoufrer dans la petite cachette. Elle avait son pantalon baissé, me permettant d’admirer un mince string noir.

"Fais attention a mon string, il est frag…" dit elle au moment ou je mis la main dessus et l’arracha avec vigueur, la faisant lâcher un petit cri de douleur.

"Aie! Mais tu es dingue! Me cria t-elle.

— Bien sur que non, va pas me faire croire que ce mince bout de fil puisse faire autre chose que me gêner! dis-je en le lui fourrant dans son minou déjà humide.

-He! Mais qu’est-ce que…!"

Elle n’alla pas plus loin. J’imagine que la sensation qu’elle éprouva, avec un fil rêche se balladant dans son vagin lui coupa la parole.

Je continua, toujours mon sourire au lèvres. Quand aux siennes , elles étaient toutes ouvertes, que ce soit ça bouche ou son lapin.

"Ha…ha…ha!" miaula-t-elle en lâchant sa mouille, que je sentis parfaitement.

"Très bien, je t’ai fait jouir, rends moi la pareille, dis-je en baissant mon jogging, qui laissait aisément deviner mon erection.

-He, non, je te rappelle que c’est toi l’escl…"

Elle ne put finir sa phrase , je lui enfoncit mon poing entier, contenant toujours le string, dans son vagin dégoulinant de cyprine.

"Je t’ai dit, fait moi jouir. Tu veux que je devienne rude, salope?"

Elle me regardit droit dans les yeux. De mon mètre 80, je la dominais d’une tête, accentuant encore son air mievre de soumission qu’elle me fit. Je retira ma main trempée d’une cyprine abontante et odorante. Je jeta le string dans un coin.

Ensuite, lentement, elle se mit a genou, baissa mon caleçon , et engloutit mon monstre tendu a son maximum.

"C’est bien, tu es une bonne chienne, dis-je en lui mettant mes mains derrière sa tête. Continues."

Elle commença son va et viens, commandé par mes paumes. Après une dixaine de minutes, sa bouche fue remplie de ma semence.

"Bien. Il est temps d’y aller."

Je remis mon caleçon et mon jean pendant qu’elle n’avait qu’a remettre son pantalon.

"Camille ne passe pas par ici, c’est bien dommage, dis-je d’un ton vague. C’eut eu pu être plus sympathique.

— Ça n’aurait rien changé, me repondit-elle avec un ton étrange dans sa voix. . Elle est au mariage de son oncle. Elle est partie hier soir.

— Quel est ce ton étrange? On diarait que tu me cache quelque chose?"

Elle ne répondit rien.

Nous nous separames peu avant l’entrée du collège. Je restis un peu en arrière. Une chose était certaine : tant que l’on était dans ce collège ou ma réputation était misérable, on ne pourrait pas rentrer ensemble a l’interieur, ni même se parler autrement qu’entre camarades de classe.

Bah. Au point ou j’en était il y a même pas une semaine, ce n’est pas le fait que l’on ne puisse se voir (et plus encore) seulement le soir ou le matin qui allait m’attrister.

La première heure de cours fut pénible comme chaque première heure, mais la seconde apporta une bonne nouvelle : on appris que, notre prof d’histoire/Geo étant malade, nous beneficiames de deux heures de temps libre le midi, me permettant de rentrer chez moi. En lançant un regard furtif a Hélène, qui me souriait, je compris qu’elle avait la même idée que moi.

A la récré, peu avant de pouvoir sortir, j’alla voir meghan pour lui dire bonjour.

"Coucou meghan!

— Salut, dis voir, je sais que t’as pas histoire et que tu peux sortir. Est-ce que je peux t’accompagner?

— Mais heu… Je rentre déjà avec Hélène et heu… Tu comprends?

— Je sais que Camille n’est pas la. Et comme j’ai ouï dire d’Hélène que tu te debrouillais bien avec deux filles, on s’est mis d’accord pour que je remplace Camille aujourd’hui." dit-elle avec un magnifique sourire. Puis elle m’embrassa sur le lèvres.

Je sais que je n’écrit que deux fois par an, mais plus une histoire est désirée, plus elle est savoureuse 🙂 a plus tard!

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