Ma belle-fille, que j’élève comme ma fille depuis le décès de son père, a toujours eu un problème avec la nourriture. PETITE, elle était déjà gourmande. Mais très vite c’est devenu plus problématique. Magalie mange sans cesse, sans faim et n’importe quoi, avec une préférence notable pour les sucreries. Les différents psys que nous avons pu rencontrer expliquent cela par un besoin de remplir le trou béant qu’a laissé la disparition brutale de son père.
Magalie est maintenant majeure. Magalie est très ronde pour ne pas dire grosse. C’est un sujet de raillerie au lycée. Elle n’a pas d’ami et a développé une phobie scolaire. Avec sa mère nous avons tenté de lui faire l’école à la maison mais l’isolement et l’enfermement n’ont fait qu’empirer les problèmes de Magalie. Elle se gave sans cesse. Nous avons bien essayé de mettre la nourriture sous clé mais elle trouve toujours un moyen et si elle n’en trouve pas, elle part en crise telle une droguée. Il lui faut sa dose de sucre et de malbouffe.
N’en pouvant plus, nous avons décidé de faire interner Magalie dans une sorte de centre désintoxication. Les règles y sont strictes. Nous savons que Magalie y est malheureuse mais nous savons aussi que c’est pour son bien. Magalie n’y a droit à aucun excès. Tout ce qu’elle mange est pesé, vérifié, contrôlé et surtout rationné. Magalie nous en veut terriblement. Elle ne veut plus nous voir. Sa mère, trop contrariée, a décidé de ne pas aller la voir ce week-end. Ma chère femme est dépressive depuis de longues années maintenant. La pathologie de Magalie a eu bien des conséquences dans notre vie. Et même dans notre vie sexuelle qui est bien pauvre depuis que ma chère et tendre prend de nombreux antidépresseurs…
Pour ma part, trop peiné que les deux femmes de ma vie se fassent la tête, j’ai décidé de lui rendre visite, accompagné d’une petite douceur pour mieux l’apprivoiser et la convaincre d’appeler sa mère. Je sais que je ne devrais pas, mais tant pis.
Je me rends donc au centre. Je frappe à sa porte, accompagné de l’infirmière de service. L’infirmière m’annonce. Dans un premier temps Magalie refuse de me laisser entrer. L’infirmière insiste. Rien n’y fait. Je congédie l’infirmière lui disant que je saurais la convaincre. Une fois l’infirmière partie, je frappe de nouveau à la porte et dis
Ma chérie, je ne suis pas venue les mains vides. Je t’ai pris les sucettes que tu aimes tant, laisse-moi entrer. Je veux te parler.
Ni une ni deux Magalie se rue sur la porte, me fait entrer et referme derrière moi. Sans même me saluer, Magalie me supplie de lui donner ce que j’ai apporté.
Je lui sors une première sucette de la poche de mon pantalon. Elle se jette littéralement dessus et la fourre dans sa bouche. Une fois sa dégustation finie, elle me saute au cou et me fait un énorme bisou sur la joue.
Oh merci mon papounet ! Si tu savais comme j’en rêvais ! Ici la nourriture est infâme. Nous n’avons jamais droit à des gâteries du genre… Tu en as d’autres pour moi mon papounet ?
Ma chérie tu sais bien que ce n’est pas raisonnable… Tu es là pour guérir…
S’il te plaît mon papounet, je ferai tout ce que tu veux. Encore une ! Dit-elle en me faisant les yeux doux.
Alors promets-moi d’appeler ta mère et t’excuser pour les mots que tu as eus à son encontre la fois dernière. Tu sais elle est très malheureuse depuis…
Oui mon papounet. Promis ! Tout ce que tu veux !
Tout en disant ces mots sa main se rapproche de ma poche de pantalon contenant son met tant attendu. Pour se faire elle frôle mon entrejambe. Ce geste pourtant clairement non voulu me donne un sacré coup de chaud et réveille quelque chose en moi. Alors que je lui donne une nouvelle sucette à la fraise, je me surprends à la détailler pendant qu’elle suce avec délectation ce bonbon.
Magalie est ronde, très ronde. Elle a joli visage de poupée. Ces rondeurs lui confèrent une énorme poitrine que je n’avais jamais remarquée. Ou du moins pas de cette façon. Je remarque que le plaisir qu’elle ressent en mangeant cette sucrerie lui fait pointer les tétons au travers de la simple chemise de nuit que le centre lui a fournie. Une image me traverse l’esprit. Je m’imagine la tête fourrée dans cette opulente poitrine.
J’ai dû rester figé sur ces seins plus longtemps que je ne l’aurais souhaité car Magalie l’a remarqué et me demande pourquoi je la regarde comme ça. Surpris, je lui réponds en bégayant qu’elle est très belle, que c’est une très jolie jeune femme.
Magalie croque dans le reste de la sucette qui lui reste en bouche.
Elle se retourne vers moi et mobserve avec un regard différent qu’à son habitude et un sourire en coin.
Ce sont mes seins qui te plaisent à ce point mon papounet ?
Elle joue avec sa langue et le bâtonnet de la sucette tout en continuant de me fixer d’un air aguicheur.
Tu peux les toucher si tu veux mon papounet. Je laisse parfois un cuisinier les toucher pour avoir du rab à la cantine. Mais toi, les sucettes que tu m’as ramenées sont bien meilleures. Je te ferais tout ce que tu veux pour en avoir d’autres.
Je secoue la tête, choqué par ses propos et m’écarte d’elle.
Elle me rattrape aussitôt par la main, se rapproche et pose ma main sur son sein gauche.
Mon sang ne fait qu’un tour. Le contact avec ce sein me rend fou. Je ne peux plus réfléchir mon autre main attrape son sein droit.
Je me mets à malaxer ces deux gros obus. Magalie en profite pour glisser sa main dans ma poche de pantalon, et tout en frottant mon entrejambe, me substitue la dernière sucette.
Je lui arrache des mains et lui ordonne d’enlever sa chemise de nuit si elle veut pouvoir se délecter de cette friandise. Celle-ci s’exécute sans rechigner. Elle passe sa chemise de nuit par-dessus sa tête, dévoilant ainsi l’objet de ma convoitise. Magalie est maintenant en culotte devant moi. Elle replie ses bras sur ses seins pour les cacher.
Donne-moi ma sucette et tu pourras faire tout ce que tu veux de mes seins durant tout le temps que durera ma dégustation.
Je lui rends alors sa sucette. Elle lâche ses seins. Je me précipite dessus et me mets à téter un de ses mamelons.
Magalie fait des petits bruits de succion en suçant sa sucette. Ça m’excite encore plus. Je me délecte de ses seins. Magalie pousse de petits gémissements. Je ne sais si c’est la sucette ou mes caresses qui lui procurent ce plaisir. Mon sexe est tendu dans mon pantalon. Je suis à deux doigts d’exploser. Je constate que Magalie prend particulièrement son temps pour cette sucette. Peut-être apprécie-t-elle réellement mes caresses ? Je m’enhardis et dirige ma main vers son sexe. Elle me laisse le caresser par-dessus sa culotte. Alors que j’essaie de glisser un doigt sous sa culotte, je sens sa main passer sur entrejambe et malaxer mon sexe à travers le tissu de mon pantalon. Ce contact m’électrise et je jouis instantanément.
J’entends alors que Magalie croque le restant de sa sucette.
Elle me dit alors
Non non mon papounet. Pas ma chatte. C’est fini pour cette fois. Si tu en veux plus, tu devras revenir très vite avec de nouvelles friandises.
Elle m’embrasse sur la joue.
Je comprends alors que je me suis fait avoir par ma jeune belle fille ! Moi qui pensais la tenir par le bout du nez en lui apportant des friandises… Je me suis fait avoir à mon propre jeu ! Je sais déjà que je reviendrai le week-end prochain avec d’autres sucreries. J’en veux plus ! Je veux goûter à son sexe. Peut-être que sa petite chatte sera sucrée avec tout le sucre qu’elle avale ?
Je suis moi aussi accro.