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Les 1001 perversions de Nathalie – Chapitre 3




Le lendemain, lorsqu’elle se réveille, il faut un certain temps à Nathalie pour réaliser que les évènements qui se sont précipités dans sa vie ne sont pas le songe d’une nuit d’été. Depuis deux jours à peine, un tsunami a chamboulé son existence de bourgeoise tranquille Quatre mâles en rut l’ont saccagée une nuit entière et elle a hurlé de plaisir… Sa première sodomie, le sexe si gros, si dur de Houssam remplissant son cul… Et la queue de Marc, la veille, sa seconde sodomie La bouche de Léa sur sa chatte, ses doigts dans son con Tout ça remonte à la surface, et elle sait que dorénavant, plus rien ne sera comme avant. 

Et cette moiteur sournoise qu’elle connaît bien maintenant, qui monte dans son ventre, cette chaleur qui gonfle sa chatte et fait durcir ses tétons. Elle a envie. Encore. Envie de sexe, envie de queues, envie de chattes. Elle écarte les cuisses. Son index passe sur sa fente qui s’entrouvre déjà, toute humide. Le bout de son ongle touche son bouton déjà dur. 

Son souffle s’accélère au fur et à mesure que ses caresses se font plus précises. L’index pénètre, puis trois doigts. Maintenant, elle se bourre vite et fort, bruits mouillés nettement audibles. Elle fait des efforts pour ne pas crier, se met sur le ventre. Une main glissée sous son ventre, l’autre par-dessus son cul, elle se doigte l’anus. 

Son doigt entre tout seul, son corps répond. Elle jouit de sentir ses doigts proches à se toucher, à peine séparés par la fine membrane de chair. Elle crie dans l’oreiller, y écrase son visage, elle continue à se pénétrer, ne veut pas s’arrêter. Et puis le plaisir redescend. 

— Bonjour ma chérie ! Déjà chaude ? 

Dans son délire, elle n’a pas entendu Léa entrer dans la chambre.

— Il est déjà tard ! Marc nous attend pour le petit-déjeuner. Il a hâte de te faire boire ton lait de mâle du matin.

Comme Nathalie fait mine de passer un peignoir, Léa intervient :

— Non Marc te veut nue, viens.

Sur la grande terrasse, Germain a servi un opulent petit-déjeuner. 

Nue, debout devant Marc, elle sent ses yeux, mais aussi ceux de Léa parcourir son corps.

— Délicieuse petite garce, venez me sucer. 

Elle s’accroupit devant lui et entreprend de défaire sa ceinture. Puis elle s’attaque au bouton du pantalon avant de baisser le zip de la braguette où déjà elle sent la tension qui l’habite. Il se soulève légèrement pour qu’elle le débarrasse de son pantalon, ne lui laissant que son tee-shirt et son slip moulant sa virilité.

Elle dépose des petits bisous sur le lycra noir puis lentement sa langue passe sur toute la longueur de cette bosse qui ne fait que grandir. Enfin, sentant monter l’excitation de Marc, elle le libère, faisant franchir à sa queue turgescente le rempart de tissu en la saisissant de ses doigts. Le fixant dans les yeux avec son sourire le plus ingénu, elle le porte à sa bouche, déposant au bout du gland un petit bisou des plus sages.

Tout en le maintenant entre ses doigts, elle entreprend de le branler lentement. Puis c’est un petit coup de langue rapide qui parcourt son gland, arrachant à Marc un gémissement de plaisir. Elle continue à le masturber en le fixant, et enfin elle le prend dans sa bouche, entre ses lèvres. Très douce, elle s’applique à le sucer le plus lentement possible, lui faisant profiter de la douceur de sa langue et de la chaleur de sa bouche. Ouvrant les yeux de nouveau, elle le fixe : il est à elle.

Elle s’applique, alternant les séquences de fellation rapide et d’autres, beaucoup plus lentes, où elle fait sortir le gland gonflé pour lui asséner de délicieux petits coups de langue ou mieux, le lécher sur toute la longueur de sa queue, jouant toujours de ses yeux dans les siens pour voir son plaisir. 

Léa se lève et se positionne à ses côtés. Elle est si belle, si sensuelle, Nathalie est obligée de se surpasser. Elle va dépasser tous ses tabous pour lui prouver, mais aussi à Marc qu’elle est la plus douée.

Léa la fixe dans les yeux alors qu’elle suce son homme du mieux possible, lui arrachant déjà des râles de plaisir. Elle lui sourit tout en continuant à branler Marc d’une main. Léa lui tend ses lèvres, elles s’embrassent, sa langue la fouille, elle la câline, la cajole, elle adore. Puis elle reprend Marc dans sa bouche alors que Léa a remplacé sa main par la sienne, lui imposant un rythme encore plus élevé. Ses yeux se perdent de nouveau dans ceux de Marc qui semble lutter pour ne pas craquer. Léa semble lire dans leurs yeux à tous les deux.

— Marc, elle va te faire jouir dans sa bouche de garce. Tu adores ça, n’est-ce pas, mon chéri ?

Mais Marc en veut plus que cela.

— Nathalie, je vous rappelle que vous deviez être punie, aussi vous allez me faire jouir dans votre bouche et je vous interdis d’en perdre une goutte.

Léa la pousse légèrement sur la nuque pour qu’elle reprenne Marc en bouche. Comme dans un rêve, elle se met à le sucer encore plus profondément, le sentant grossir encore sur sa langue alors que Léa pose sa main sur sa chatte trempée. Elle la caresse, passant sa main à plat. Puis son index frôle son bouton, le pince, arrachant à Natahlie un râle de plaisir étouffé par son bâillon de chair. 

Marc se cabre, rugit. Nathalie sent une, puis deux, puis trois décharges de sperme s’écraser sur son palais. Elle prend soin de ne rien perdre, et alors qu’elle ouvre les yeux elle voit Marc tétanisé par le plaisir, tendu comme un arc sur son fauteuil. Il ressort de sa bouche, et en se tournant vers Léa elle lui montre le plaisir de son homme dans lequel sa langue surnage. En la fixant dans les yeux, elle déglutit une, puis deux gorgées, salées et tièdes. Pour toute réponse, Léa colle ses lèvres aux siennes et elles échangent un baiser souillé du plaisir de Marc.

— Je ne te savais pas aussi douée, ma chérie. Maintenant, à la douche !  

Léa l’entraîne dans la salle de bains et la pousse sous la douche. L’eau tiède qui ruisselle sur son corps lui fait du bien. Léa se colle à elle et l’embrasse en lui caressant le cul et les reins. Elles sont collées l’une contre l’autre, chacune fouillant la bouche de l’autre, les cheveux plaqués sur leurs visages. Léa glisse une main dans sa raie et ses doigts tripotent son anus. Son index s’enfonce dans son cul.

— Fais-moi pareil murmure-t-elle.

Elles se font jouir en se frottant et en se masturbant l’anus.

Puis Léa lui demande de s’accroupir et décroche le pommeau de la douche. Elle le lui glisse entre les cuisses et la branle avec pendant que son autre main lui tripote toujours l’anus. Le jet d’eau écarte sa vulve, la pénètre. Le liquide gicle au fond de son con, alors que le manche de la douche écrase son clitoris. Nathalie se tortille entre les mains de Léa, et finit par jouir en poussant un cri et en éclaboussant autour d’elle.

— Eh bien, ma chérie, constate Léa, tu deviens insatiable ! Plus tu en as plus tu en veux !

C’est vrai, Nathalie doit s’avouer qu’elle est en train de devenir boulimique de sexe. Léa s’empare d’un grand pot de crème. 

— Je vais t’appliquer une crème relaxante, il faut que tu sois dispose pour la journée. 

Elle entreprend de lui appliquer la crème sur les épaules et le cou. La respiration de Nathalie s’accélère quand Léa s’attaque à ses seins. Elle les enduit de crème, malaxant les masses de chair, tripotant avec un plaisir crapuleux les pointes gonflées. Narines pincées, Nathalie savoure les sensations procurées par les doigts agiles, ses mamelons épais dardent déjà.

Léa se met à oindre son ventre, fait luire la peau, introduit un doigt dans le nombril. Nathalie s’abandonne aux attouchements, ses seins se soulèvent puis retombent au rythme de sa respiration saccadée. Elle se sent couler à nouveau. Léa se place derrière elle pour passer la crème sur son dos, puis sur ses fesses. Elle caresse, frotte le cul offert, pétrit les globes.

— Quel cul splendide ! On en mangerait !

Elle glisse un doigt dans le sillon des fesses pour explorer l’anus palpitant qu’elle sent s’alanguir. Elle-même, à présent chaude, sent sa mouille couler. Elle applique la crème sur les cuisses, les fait luire. Sa main s’aventure vers la fente qui bâille. Nathalie écarte davantage les jambes pour livrer son con maintenant trempé aux doigts fouineurs.

Léa s’empare de ses seins qu’elle caresse, s’attarde sur les tétons.

— Tu es très sensible des nichons, Nathalie, je vois tes pointes grossir encore.

Elle passe la main sur le buisson qui recouvre la chatte, caresse la vulve, étire les longues lèvres. Elle a un sourire.

— On voit bien ton gros clito… et tes lèvres épaisses.

Nathalie soupire quand elle lui enfonce trois doigts dans la chatte.

— C’est un vrai marécage ! Tu me mets ta mouille plein la main !

Le ventre en feu, Nathalie écarte davantage les cuisses pour offrir son con. 

— Oui, oui, j’aime tes doigts dans ma chatte ! Frotte-moi bien ! 

Léa la branle d’une main, et de l’autre lui tripote le clitoris. Bouleversée, Nathalie remue sa croupe, projetant son bas-ventre à la rencontre des doigts qui entrent et sortent de sa faille gluante. Léa cesse son manège, interrompant net la montée de la jouissance. C’est elle qui mène le jeu.

— Ne t’en fais pas, tu vas prendre ton pied ! Je sais m’occuper des femelles en chaleur comme toi ! 

Nathalie est prête à se soumettre à toutes ses lubies, ses mamelons et son clitoris sont durs, presque douloureux.

–  Dis-moi ce que tu fais pour te soulager, quand tu n’as pas été sautée par ton mari !

— Je mets trois ou quatre doigts dans ma chatte… et je me branle les yeux fermés, tout en me triturant les mamelles et en tripotant mes pointes et mon clitoris ! 

— Je vais arranger ça.

Elle s’agenouille, lui écarte les cuisses, sa langue effleure la chatte dégoulinante de jus.

— Montre-moi ton cul, Nathalie ! 

Elle s’agenouille docilement sur le tapis présentant son cul.

— Ouvre-toi, je veux voir ton trou ! 

Elle écarte ses globes, expose sa raie. Elle frissonne lorsque un doigt parcourut son sillon.

— Tu es aussi un tout petit peu velue de ce côté… J’aime.

Elle passe la langue, s’attarde un peu, revient face à elle. Ses yeux pissent le vice :

— Nathalie, ça sent fort. J’aime, ça sent le cul et la mouille et un peu la pisse.

Elle replonge entre ses jambes. Nathalie se met à geindre quand la langue  s’enfonce dans les replis de son con baveux. À genoux sur le tapis, Léa lèche, suce, mordille, mange sa chatte en feu. Les yeux chavirés, Nathalie se pétrit les seins, torture ses tétons bandés, secouée par un immense orgasme. 

— À toi, maintenant, Nathalie ! Je veux sentir ta langue dans ma chatte et mon trou du cul ! Couche-toi !

Obéissante, elle s’étend sur la moquette et Léa s’assied sur elle. C’est-à-dire sur sa bouche, tout ton visage est enfoui entre les fesses de Léa, prisonnier de sa croupe. Léa la chevauche, son nez dans son cul et sa bouche dans son con. Elle se frotte comme une furie, à grands coups de reins, les mains crispées sur ses mamelles. Elle a des grognements obscènes et se met à geindre :

— Fort ! Baise mon cul, grosse salope ! Encule ! Suce ! Fais-moi jouir ! Fais-moi gicler ! Ouiiiiii ! 

Elle se jette en avant, entoure les jambes de Nathalie de ses bras et enfouit sa tête entre ses cuisses, contre son con. Elle pousse un hurlement :

— Je jouis ! Je vais pisser ! 

Sa pisse qui jaillit et lui remplit la bouche déclenche le second orgasme de Nathalie. Enchevêtrées en 69, elles roulent sur la moquette en se pissant parmi 

(à suivre)

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