Lors du précédent épisode, je vous racontais mon weekend avec Jérôme, un collègue. Nous réalisons des photos et des films pour son site web. Nous venons de sortir dun magasin de fringues, nous sommes dans une galerie commerciale. Jérôme a choisi une micro-jupe noire à volants très courte et nous venons de passer à la caisse.
Je me ballade avec un gode dans le cul qui me gêne. Je suis partagée entre l’excitation et la sodomie permanente qui me fait mal. Jérôme me filme avec une petite caméra très discrète. Il samuse à me faire monter les escaliers plutôt que les escalators et à filmer sous ma mini-jupe.
Je ne suis vraiment pas à laise, le gode me fait mal, même si la douleur est plus diffuse. Je suis habillée sexy et les hommes me mâtent dans la galerie commerciale. Nous rejoignons sa voiture dans le parking souterrain et je peux enfin retirer le gode, évidement, toute la scène est filmée.
De retour à lhôtel, jenfile ma nouvelle petite jupe à volants et un string. Nous sortons à pieds dans la rue, et encore une fois les regards se posent sur moi. Jai gardé la queue de cheval, les bas auto-fixant noirs, les bottes à talons aiguilles, et le top saumon décolleté et ample. Associés à la micro jupe, ces vêtements font ma tenue hyper sexy.
Après déjeuner le serveur est venu souvent vers nous petite promenade en ville.
Samedi après-midi, scène 3 : «balade en ville »
Jérôme et moi nous nous promenons dans la ville. Jérôme me fait demander mon chemin à un monsieur en prenant des photos discrètement à distance. Je joue lidiote sans cervelle. Je demande quel bus il faut prendre pour aller au parc de la ville.
Nous prenons le bus, Je massois à côté dun jeune homme. Il jette des regards sur me cuisses. Lorsque nous descendons à larrêt suivant, tous les regards me suivent.
Nous entrons dans le parc de la ville. En ce weekend, quelques personnes se promènent en couple ou en famille. Je suis un peu plus à mon aise, je ne suis pas la seule à porter une mini-jupe, même si je constate que ici aussi les hommes me regardent.
Jérôme fait des photos dans les allées et les massifs de fleurs. Le parc est assez grand et nous nous retrouvons seuls dans un petit coin caché par des haies. Je commence à vraiment trouver agréable la promenade, lorsque Jérôme me rappelant le but de notre séjour, demande :
— Relève ton haut pour montrer tes seins !
— Tu es fou, on peut nous surprendre
— Dépêche-toi alors au lieu de discuter !
Je jette un regard autour de moi, un couple séloigne, ils sont de dos, personne dautre. Je relève rapidement mon haut et expose mes seins à lobjectif de Jérôme qui me mitraille. Jai juste le temps de le baisser alors que deux femmes apparaissent. A leur regard, je vois quelles ont vu quelque chose. La scène a achevé Jérôme qui me dit quil ne tient plus et qu’il a besoin de me rentrer et de me baiser.
La scène mexcite aussi, je mouille dans mon string. Un peu plus loin, un marchand de glace donne une idée à Jérôme. Sur le film suivant, je suce sensuellement une glace vanille.
Cette fois Jérôme me dit qu’il a trop mal dans son pantalon à force de bander, et qu’il faut absolument le soulager. Laprès-midi sachève rapidement, et nous retournons à lhôtel.
De retour dans la chambre, Jérôme me saute littéralement dessus. Nous nous retrouvons rapidement nus tous les deux. Déjà en érection, il me prend sans ménagement alors que je suis à quatre pattes sur le lit. Puis sans même me prévenir, il me sodomise, marrachant un cri de douleur. J’ai mal. Mon trou nétant pas encore remis de la séance de gode de la matinée, est à nouveau écarté par le sexe de Jérôme. Pendant quil me sodomise, ses doigts pénètrent dans ma chatte. Je crie à chacun de ses mouvements, je mouille sur ces doigts qui senfoncent en moi.
Il sort et me prend à nouveau par le vagin. Il donne des coups de butoirs, jhalète toujours à quatre pattes, mes seins se balancent au rythme de ses mouvements. Je jouis alors quil me dit quil va me dresser à être une parfaite petite salope.
Tout à coût il me retourne sur le dos, je suis empalée sur son sexe et il me défonce. Son souffle et de plus en plus courts, il marrache des cris de plaisir et de douleur. Je mords loreiller du lit pour ne pas hurler lorsque son sexe explose. Je sens du sperme couler de mon sexe et je réalise quil ma baisé sans capote.
Très vite, il me se rapproche de ma bouche que jouvre instinctivement, un second jet de sperme se dépose alors que son sexe vient juste de pénétrer entre mes lèvres. Il me baise par la bouche alors que a bouche se remplit de sperme.
— Une salope comme toi doit être baisée par tous les trous !
Je profite de la fin de journée pour consulter mes mails et me connecter sur le site internet de Jérôme, il est sous la douche.
Sur mon profil, mes vraies mensurations sont indiquées. Dans ma présentation de la première histoire, ce sont celles dune poupée Barbie, un fantasme. Je change la photo que je naime pas trop, par une photo encore plus déshabillée. Je réponds aux commentaires sur mes photos.
Comme la veille, je prends une douche hors caméra cette fois, Jérôme étant sur son ordinateur et enfile ma petite robe pour la sortie resto.
Au dîner la conversation sengage sur la volonté dOlivier, notre patron, de trouver un homme qui se chargera de moi. Olivier ne me trouve pas assez sexy et bien éduquée. Jérôme mapprend quil a appelé Olivier et quil va se charger lui-même de mon éducation.
— Attention, me dit-il tu vas devoir faire des progrès très rapidement, dès lundi.
Premier point, tu ne peux mettre que des jupes aux maximum 1 cm sous les fesses. Olivier en a marre de tes tenues BCBG. Je vérifierais, tu auras une punition à chaque fois que cette consigne nest pas respectées. Bien entendu, tu dois assortir ta tenue avec des hauts moulants ou décolletés.
Je nose pas lui demander quel genre de punition il envisage.
Second point, tu dois te montrer très polie et prévenante avec les clients et tous les hommes de la boite. Voilà qui mangoisse pour le retour au bureau de lundi
Notre séjour se termine. Nous rentrons le dimanche matin sur Lyon, Jérôme me dépose chez moi.
— Noublie pas mes consignes à mettre en pratique dès demain !
J’ai le reste de la journée pour faire le point. L’idée me vient de tout arrêter, mais en même temps je sors toutes les mini-jupes de ma penderie Je maperçois que je tiens trop à mon boulot et à ma réputation. Un frisson me parcours à l’idée que tous mes contacts puissent voir les photos et les films. Et si en plus si je n’ai plus de boulot… bref le pour et le contre et vite fait. Et ça te plait de jouer la petite salpe me dit ma petite voie intérieur. Je secoue la tête et me penche sur les jupes étalées sur le lit.
J’ai déjà une micro-jupe plissée écossaise et ma nouvelle à volants à ras des fesses. J’ai aussi une mini-jupe en jean qui est à peine sous les fesses. Par curiosité, je la mesure, elle fait 36,5 cm. Mes autres jupes sont classiques, environs 40 cm. Deux jupes droites tailleurs et une portefeuille. Il va falloir que je les raccourcisse. Je ne suis pas très expérimentée en couture et je passe l’après-midi à couper et à faire des ourlets.
Lundi matin, je mhabille en parfaite secrétaire avec un chemisier cintré, une mini-jupe et veste tailleur, bas, escarpins, string et soutien-gorge en dentelle blanche. Dans la glace je me trouve sexy, les regards que me lancent les hommes dans le métro me laissent penser que je ne me suis pas trompée.
Au bureau, je me mets au travail comme dhabitude. Des collègues passent me dire bonjour, je vois dans leur regard que ma tenue fait de leffet. Jai même droit à un compliment. Jérôme entre à son tour et ferme la porte de mon bureau. Il est satisfait, mais me dit quil va quand même vérifier. Jérôme prend la règle qui est sur mon bureau et me place dos à lui pour mesurer le bas de ma jupe Je ny crois pas, il va vraiment jusquau bout.
— Cest limite mais ça va, fait attention, tu devrais mettre un peu de sécurité dans tes longueur de jupe.
Il me laisse, il a des choses importantes à voir ce matin. Je me remets au travail, je reçois un client qui à RDV avec le commercial. M Farge a un regard vicieux et je naime pas la façon dont il me dévisage. De retour dans mon bureau, mon patron Olivier me demande de lui porter un document. Lorsque jentre dans son bureau, il maccueille avec un grand sourire et se lève même pour me faire la bise.
— Elodie, tu es magnifiques, enfin tu thabilles comme il faut, tu es très bandante, je vais finalement surement avoir envie de te baiser.
Cette phrase me fait rougir, je ne sais pas pourquoi, je le remercie en baissant la tête.