Alain titilla un téton avec sa langue ou avec ses dents, pendant quune de ses mains promenait son gros sexe entre les lèvres toutes mouillées de la petite chatte de sa nièce. Le corps de Liliane commençait à se trémousser dans tous les sens, son excitation montait en puissance. Le gland tout gonflé se retrouva sur lentrée du vagin, ce puit damour qui expulsait sa cyprine et qui allait permettre un glissement plus facile vers lintérieur.
— Je sens bien ton gland à lentrée de ma chatte mon tonton chéri, tu vas le faire entrer doucement et ensuite je veux que tu lenfonces le plus doucement possible, non pas que jai peur que tu me fasses mal, mais je veux le sentir écarteler mon vagin, je veux sublimer au maximum ton entrée en moi, ensuite tu feras ce que tu voudras de mon corps, je taime mon amour et jai confiance en toi et dès cet instant ta queue est à moi.
— Tu te trompes ma chérie, ma queue est à moi et je vais la partager avec toi autant que tu le voudras mais elle est aussi à ta mère, et vous deux mes belles salopes vous aurez de la jouissance autant que je pourrai vous en donner.
Alain fit entrer son gland, une fois à lintérieur, il sarrêta, regarda sa nièce, celle-ci lui fit un grand sourire qui voulait dire : Cest bien et maintenant continue. Il se releva, prit appui sur ses deux bras et ses pieds, enfin il senfonça inéluctablement vers les profondeurs de ce doux vagin jusquau moment où il toucha lutérus. Tout en agissant, il regardait sa progression, il voyait son énorme queue glisser dans lorifice vaginal. Il regarda Liliane qui avait les yeux fermés et de chaque côté une larme coulait. Il savait que cétait des larmes de joie et de bonheur.
Son bonheur à lui était également à son comble, il sentait son sexe prisonnier dans cet antre très glissant et très chaud. Liliane releva ses jambes pour ceinturer le corps de son oncle, cest cette attitude qui donna à Alain le top de départ de la furie sexuelle de ces deux êtres. Ses vas et viens allèrent doucement au début pour sintensifier ensuite, Liliane serrait ses jambes et donnait des à-coups avec le reste de son corps, il y avait une très belle harmonie dans leur mouvement.
— Comme cest bon mon chéri, baise-moi fort, il faut que ça dure longtemps, je sens ta queue frotter les parois de ma chatte et le gland qui vient taper mon utérus en bout de course, vas-y baise moi fort, je taime chéri ! Que cest bon lorsque ta pine ressort et que dun coup tu la rentres jusquau fond. Je sens que lexcitation menvahie de plus en plus, je nai jamais ressenti une chose pareille, lorsque je ferme les yeux je vois ton phallus mécarteler et envahir tout mon intérieur, je tremble de désire, va plus vite mon cur, et jouis en moi je veux que ton sperme reste le plus longtemps possible dans ma chatte et je veux aussi que ta pine reste à lintérieur après notre jouissance.
— Alors jouis ma chérie car moi je ne vais plus tenir longtemps, je vais me déverser dans ta chatte.
Ils nattendirent pas longtemps pour jouir, ce fut comme une explosion de jouissance, elle, se cabrait en formant un arc de cercle et lui, son corps épousait la forme selon le mouvement de sa nièce, à ce moment précis, ils étaient soudés lun à lautre et rien naurait pu les désunir.
— Oui ! Je jouis chéri, enfonce toi encore plus, je jouis..
— Moi aussi je jouis Liliane ma petite salope, tu baises merveilleusement bien, comme cest bon..
Alain resta allongé sur le corps de sa nièce, ils se roulèrent galoche sur galoche jusquau moment où ils manquèrent dair. Dautorité, Alain se retira de cet étui vaginal, immédiatement Liliane porta sa main pour bloquer la sortie de la liqueur damour de son oncle mélangée à sa cyprine. Il se coucha sur le dos tout contre le merveilleux corps de sa nièce, tourna sa tête vers celle de sa partenaire et lui dit :
— Ma chérie, ton travail nest pas fini, regarde ma tige est toujours bien raide alors, à toi de jouer maintenant, tu vas me la nettoyer avec ta langue, je veux quelle brille comme un sou tout neuf !
— Cela tombe bien mon amour jen avais envie de ta grosse queue dans ma bouche et tu veux que je la reluise seulement ou bien tu veux autre chose ?
— Fais comme tu le souhaites, je te la laisse pour quelques minutes.
Liliane se releva pour venir se placer entre les jambes de son amant, prenant à deux mains le gros sexe de son oncle, jeta un regard sur celui-ci et dun trait engoba cette belle bite. Elle se lenfonça jusquau fin fond de sa gorge, une main caressa les couilles toutes gonflées de sperme et un doigt de lautre main senfonça dans lanus dAlain et la valse commença. Tout en branlant la queue avec sa bouche, la langue jouant au passage du gland, plus les caresses et la sodomie par le doigt, Alain sentait monter la jouissance – Allez chérie fais-moi jouir, lui criait-il. Liliane se retira et lui dit :
— Tu queue est merveilleuse, si je pouvais, je la garderais dans ma bouche en permanence, cest avec toi que jai eu le plus envie davoir un sexe à sucer, jouis maintenant mon tonton chéri, je veux toute ta liqueur dans ma bouche et je vais me faire jouir avec ma main en même temps !
Nattendant aucune réponse, elle se remit à sucer son gros jouet, elle accéléra sa fellation aidée par une main pour branler la partie de la bite qui ne rentrait plus dans sa bouche, lautre main dont deux doigts senfoncèrent dans son vagin tout dégoulinant de sperme mélangé à sa cyprine. Lexcitation était à son apothéose, plus rien nexistait sur terre pour ces deux êtres.
— Oui ! Ma chérie je vais jouir, ouvre bien ta bouche comme cela je vais voir mon sperme sortir de ma queue et te la remplir au maximum.
— Je jouis aussi mon tonton.
Elle neut pas le temps de continuer à parler, les jets de sperme se succédaient lun après lautre, son cul tressautait suite à sa propre jouissance. Sa propre liqueur coulait le long de la raie du cul pour arriver sur son anus et continuait sa route le long de ses cuisses.
Elle se releva en regardant Alain, la bouche grande ouverte, elle lui montra tout ce quelle allait avaler, ce quelle fit immédiatement. Restée à genoux, se délectant de ce breuvage, Alain se plaça derrière elle, malgré deux jouissances successives il bandait encore, il mit son gland tout baveux sur la rosette qui était toute humide et dun coup, il senfonça dans le rectum de sa nièce jusquà la moitié de sa bite.
Liliane, surprise cria sous la douleur de la sodomie, elle ne sentait plus le sexe de son oncle, elle ne sentait que la douleur de lécartèlement des parois de son cul. Après quelques secondes, Alain se retira dun trait comme il était entré, ce qui provoqua une autre douleur.
— Tu vois ma chérie, après la jouissance tu as eu le droit à la douleur, la prochaine fois je tenculerai en douceur car je veux que tu deviennes accroc à la sodomie comme tu les pour les pipes, ok !
— Oui mon oncle ! Je ferais tout ce que tu voudras, mais maintenant jai mal et je ne vais pas pouvoir poser mon cul sur une chaise, pour le reste mon chéri tout a été merveilleux.
— Moi aussi jai été enchanté, tu es une très bonne baiseuse et je ne te parle pas de tes fellations, cest divin. Ce soir je te masserai ton petit trou avec ma langue mais je ne te sodomiserai pas cest promis.
Le téléphone sonna, ce fut la surprise pour les deux amants, nattendant aucune communication. Liliane décrocha, jeta un regard à Alain et celui-ci comprit immédiatement quil se passait quelque chose en voyant la décomposition du visage de sa nièce. Elle reposa le combiné après avoir prononcé deux ou trois mots.
— Cest maman, elle revient à la maison dans deux heures environ avec la grand-mère. Je suis triste car jespérais passer une merveilleuse nuit dans tes bras.
— Moi aussi, mais ma chérie, nous en aurons dautre nuit ! Va te préparer pendant que je vais commencer à faire le dîner puis ensuite je prendrai ma douche.
— Comment vas-tu thabiller pour le repas ? Moi je reste en maillot de bain, je pense quon sinstallera dehors !
— Moi aussi en maillot et oui, on mangera dehors.
Vers 20h, Justine et sa belle-mère arrivèrent à la maison. Justine ne fut pas surprise de revoir sa fille et son frère encore en maillot de bain, mais le fut de voir que tout était prêt pour dîner au bord de la piscine. Une surprise énorme attendait Liliane après avoir fait la bise à sa grand-mère, celle-ci lui balança en plein visage :
— Ma petite fille tu es habillée comme une putain, on voit presque tout, même une putain ne se mettrait pas à table dans cette tenue, quelle honte quand même !
Il y eut un froid glacial, Justine regarda sa fille puis son frère et enfin sa belle-mère et dit :
— Maman, ce sont les vacances, il fait chaud et ici on est chez nous, personne ne nous voit !
— Peut-être, mais cest indécent comme tenue pour manger et en plus lorsque je suis là !
Liliane qui venait de passer un merveilleux moment à faire lamour se sentit terriblement vexé dêtre insultée de putain. Gardant son calme elle répondit à sa grand-mère :
— Puisque tu minsultes, je vais te dire quelques mots pour mettre enfin les choses dans lordre. Depuis que je suis petite, tu ne mas jamais offert un cadeau pour les fêtes ou mon anniversaire, jai vu comment tu faisais chier mon grand-père et il ny a pas dautre mot, alors pour clore le débat, je vais tannoncer ma décision qui sera irrévocable : Ici je suis chez moi, cest ma maison, cest moi lhéritière et propriétaire, je fais ce que je veux, je mhabille comme je le désire, et pour finir comme je suis chez moi et que je nai jamais compté pour toi, demain matin tu vas à Bordeaux et ne remets jamais plus les pieds chez moi. Pour temmerder voilà comment ce soir je vais me mettre à table, Liliane venait tout en parlant de retirer le slip et le haut de son maillot de bain.
— Tu es toute belle ma nièce préférée, lança Alain.
— Tu ne vas pas rester ainsi, dit Justine.
Voyant que la grand-mère allait parler, Liliane la regarda :
— Toi ! Ne dis pas un mot, et comme je suis une putain comme tu dis, jai envie de baiser avec mon tonton histoire de te faire voir jusquoù je serais capable daller !
Alain sentait une érection grandissante depuis quil avait vu sa nièce retirer son maillot de bain et de voir cette petite chatte imberbe, il avait envie de se retrouver assis autour de la table afin de cacher ce quil lui arrivait.
— Et toi, tu ne dis rien ! Dit la grand-mère en sadressant à sa belle-fille. Les enfants du frère de ton mari sont bien plus respectueux envers les grands-parents que ta fille.
— Ne voulant pas prendre la défense de ma fille, jajouterais que vous avez toujours eu beaucoup dattentions et damour pour eux et rien pour Liliane, maintenant cette histoire est entre vous et elle, puisquelle est majeure et que cette maison est à elle, moi je nai rien à dire.
— Mangez sans moi ! Je nai plus faim et as-tu un somnifère à me donner je voudrais oublier en dormant !