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Consolatrice des trop grosses comme des trop petites bites – Chapitre 1




Consolatrice des grosses comme des petites bites

Un jour donc jai pu comparervoir, toucher un modèle différent

Commençons par le début. Le lundi soir et le jeudi, après le travail, pour garder la forme, entretenir notre corps, Robert pratique dans un club dathlétisme la course à pied et moi, Simone, je fais des longueurs de bassin à la piscine olympique de la ville. Ce lundi il y a foule à la piscine, toutes les cabines côté femmes sont occupées, la caissière menvoie côté hommes. Jessaie une clenche, la porte souvre, jentre à reculons, je pousse le loquet, je me retourne et me trouve en face dun homme nu occupé à se frotter les cheveux vigoureusement, les deux bras levés, les mains sur sa serviette qui cache son visage. Mais cest un homme et quel homme. Enfin ce que je vois en baissant les yeux ne permet pas le doute. Sous lhirsute toison brune au bas de son ventre, sur lépais coussin de ses testicules, pend une verge molle, au repos, de dimensions impressionnantes, longue, large, épaisse, un truc incroyable. Du jamais vu, de linimaginable. Je ne réussis pas à détacher mes yeux de cet attribut sans doute hors du commun. Force est de le constater, une queue comme celle-là, ça existe! Cest époustouflant, incroyable, sidérant. Maismais

-Mais que faites-vous dans ma cabine? dit la face sortie de la serviette.

Il voit mon regard planté sur son sexe, fasciné comme loiselet devant un serpent. Son sexe fait un bond, prend des dimensions nouvelles, sallonge, épaissit encore et se redresse. Cest une arme, une menace, je veux fuir, dans mon trouble je ne trouve pas le loquet, me heurte à la porte et sens sur mon épaule une main qui me retient

-Nayez pas peur, je ne vous ferai aucun mal. Excusez-moi, jai dû oublier de verrouiller la porte. Vous pouvez vous retourner, ma serviette cache linstrument qui vous fait fuir. Pour me faire pardonner, je vous invite à prendre un verre avec moi au bar de la piscine.

Ce type ne manque pas daplomb. Je le regarde. Le visage est agréable, agrémenté dune fine moustache soignée, souriant, peut-être ironique. Il a des cheveux bruns, jaurais pu le deviner à la vue de ses poils pubiens. Il sort de leau, cest un sportif qui sentretient ; en somme un bel homme doublé dun charmeur.

-Allez mattendre au bar, je vous rejoins immédiatement.

Je sors, je me dirige vers le bar. Cest idiot. Pourquoi boire un coup avec un type qui ma peut-être tendu un piège? Pourquoi lui obéir aussi facilement? Je ferais bien mieux de trouver une autre cabine et daller nager. Est-ce leffet de sa grosse queue sur mon cerveau chamboulé, est-ce sa réaction, ce bond surprenant du gland vers le plafond quand lhomme ma vue? Dans ma tête ça fait crac boum huhu! Jen tombe assise sur un tabouret de bar, le souffle court, le pouls accéléré. Ciel, que marrive-t-il? Pourquoi suis-je si émotive? Pourquoi ce tremblement nerveux dans les mains.

-Je me présente, Abel, je vous prie encore dexcuser ma distraction. Que prenez-vous?

-Simone, chevrote ma voix. Vous êtes pardonné, il arrive à tout le monde dêtre distrait. Il ne fallait pas vous croire obligé de moffrir un verre.

-Mais cest avec le plus grand plaisir! Cela me donne loccasion de faire la connaissance dune très charmante personne.

Après un échange de banalités courtoises, il ose aborder le sujet glissant.

-Vous mavez regardé comme si jétais anormal. Vous nêtes pas la première.

Il sexplique. Il est célibataire, a une bonne situation. Plusieurs fois, amoureux dune belle jeune fille, il a failli sengager dans une vie de couple. Mais à lapparition de son sexe, chaque partenaire a fui, qui pour ne pas rater son train, qui pour réparer un oubli, chacune trouvant un prétexte pour cacher son épouvante. Ce nest pas tout dêtre bien membré. Une fois une veuve a bien voulu passer lépreuve, il la pénétrée non sans mal, elle a beaucoup gémi mais progressivement les rapports ont été moins douloureux, le vagin sest adapté à la verge, la dame a semblé prendre goût à une relation charnelle suivie puis elle a disparu sans au revoir, sans doute conquise par un pénis moins exigeant. A trente ans il vit seul. Il est très malheureux. Son histoire fait pitié. Jen suis émue aux larmes. En moi, le saint-bernard se réveille. Avec Robert javais découvert ma vocation particulière de consolatrice des affligés. Il croyait avoir un sexe trop petit pour satisfaire une femme. Je métais donné pour mission de lui prouver quon pouvait laimer malgré la taille réduite de son organe, je métais investie à fond, je lavais poussé à me prendre et depuis je vivais avec lui un bonheur quasi parfait sur le plan sexuel. Et aujourdhui je découvre une détresse presque égale chez un sujet doté dune verge trop grande pour être acceptée par les femmes. Cest une fatalité. Imprudente je questionne:

-Abel, pourrais-je taider?

Car au cours de confidences aussi intimes nous sommes rapidement passés de vous à tu. Il va me demander de lui dénicher une femme au vagin élargi, pourquoi pas une mère de famille nombreuse. Sa réponse me terrifie.

-Tu es certainement la personne sincère, attentive aux souffrances des autres qui pourrait me rassurer. Tu as des capacités découte formidables, tu es réceptive et ton corps est certainement fait à limage de ton esprit ouvert et de ton cur généreux.

Il y a une demi-heure nous ne nous connaissions pas. Il ma apitoyée et déjà me confie la tâche de lui venir en aide. Il sait toucher la corde sensible en flattant. Baratin? Déclarations sincères? Suis-je condamnée à voler au secours des déshérités comme Robert et de ceux que la nature a trop bien servis. Mais actuellement jai un mari; la donne a changé. Esprit ouvert, cur généreux, peut-être. Corps réceptif: là jai un doute sérieux sur mon degré de capacité daccueil. Jai vu son organe quasi monstrueux, il na rien de rassurant au repos, en semi érection il fait peur. Quand monsieur sera dans de bonnes dispositions saurai-je résister à la terreur et ne pas fuir comme les autres filles. Dans ce cas jaugmenterais son désespoir. Mais, je me surprends à envisager de tenter de laccueillir. Je suis folle à lier! Mon bon cur me perdra. Abel me fixe, vais-je le désespérer ici et maintenant, sans rien essayer. Je pourrais faire un geste, pendant un temps limité, dans des conditions fixées davance. Ma réponse tarde, son espoir grandit, ma résistance à lenvie de calmer ses angoisses faiblit.

-Bon, suis-moi, je vais voir ce que je peux faire.

Robert ne reviendra pas avant une heure, notre domicile est proche. Abel le trouve coquet. Il attend. Jimpose mes conditions.

-Voilà: je vais te rendre un service purement technique. Nous disposons de peu de temps avant le retour de mon mari. Nous convenons de faire une tentative dunion charnelle. Tu te présenteras à lentrée de mon sexe, tu chercheras à me pénétrer. Si tu y parviens, tu sauras que lexercice est techniquement réalisable et tu pourras affronter avec vaillance les autres candidates, leur faire savoir que tu ne les estropieras pas nécessairement. Si la pénétration se révèle impossible, tu reconnaîtras que jai fait preuve de courage et de bonne volonté. Quoi quil advienne, je te prête mon corps à lessai, mais mariée je suis, mariée je veux rester; je naime quun homme, le mien. Ne nourris aucun espoir de me conquérir. Lappartement a une entrée principale et une porte de service. En cas dalerte tu devras lutiliser en suivant cet itinéraire. Daccord?

-Et comment! Je ne te remercierai jamais assez

-Alors en tenue, cher Abel. Que jexamine de plus près ton défaut: lexcessif développement de tes organes sexuels; montre-moi ton épouvantail.

Dans ma chambre je me déshabille vite devant lui. Il est aussi pressé et aussi rapide que moi.

De me voir nue suffit à transformer instantanément sa grosse nouille tombante en un redoutable gourdin, encore plus grand, massif et lourd que je ne lai imaginé. Vraiment je suis dingue daccepter ce rôle. Pourquoi ai-je cette vocation de sauver, de redonner courage et joie de vivre. Et lautre vaniteux se prend en main, sastique le manche comme sil nétait pas déjà assez long et volumineux. Je suis mariée, mais les dimensions de lhomme de ma vie nont rien de commun avec cette massue masturbée par ce pauvre Abel. Donc, il y a peu de chance que notre activité de couple ait préparé mon vagin à recevoir facilement ce long et gros machin du malheureux jeune homme. Plus je le regarde, plus je tremble.

-Tu crois que nous pourrons? Veux-tu me préparer, menduire de salive pour faciliter le glissement de ma mentule dans ton con vaillant

-Oui, mais tu devras également provoquer la lubrification de ma chatte. Tu sais ce quest un soixante-neuf? Oui. Couchons-nous donc en position et ne traînons pas.

Il a vite trouvé ma foufoune, a poussé quelques exclamations, ma complimentée, puis il est passé aux travaux pratiques de façon plutôt habile pour un homme si peu expérimenté en raison de la fuite systématique de ses partenaires confrontées au monstre que je vois de près maintenant. Il lèche admirablement les abords, envoie tantôt sa langue chargée de salive à lentrée du puits pour amorcer ma production de cyprine, tantôt un ou deux doigts pour prendre la mesure de la profondeur dudit puits et pour étudier lélasticité de ses parois tout en pompant mes fluides. Il suce, lèche, pénètre, remue, additionne les doigts pour mélargir, grogne de satisfaction en constatant que je me prête à ses variations dans ce jeu de préliminaires indispensables au succès de notre dessein. Japporte zèle et compétence pour préparer sa matraque. Je le tiens dans mes deux mains placées en anneaux successifs autour de la longue colonne de chair palpitante.et jaccorde à limpressionnante pointe qui dépasse de mes mains des lapements, des coups de langue en cercles autour de la couronne supérieure de ce sceptre royal. Je vais me décrocher les mâchoires si je le prends en bouche. Cest si facile avec Robert que ma bouche contient entièrement. Courage, il le faut. Mes lèvres passent, mes dents doivent racler la surface. Jenfourne un peu, je défourne, jaspire de lair et je recommence

-Oui, cest bon, continue, un peu plus.

Sait-il ce quil réclame, le pauvre démesuré; je suis au bord de létouffement et il prétend senfoncer encore. Au fond de ma gorge sa queue chatouille ma luette et il reste encore des centimètres de tube à lextérieur de mes lèvres. Je frappe sur ses cuisses pour quil cesse de pousser dans mon gosier. Heureusement, je noublie pas lheure.

-Stop, si tu veux pénétrer mon vagin, il faut sy mettre.

En position du missionnaire, il frappe à la porte, en vain. Je tire sur les lèvres de mon sexe, rien ny fait. Il est trop gros. Quand il force le passage, je crie de douleur. En levrette il passe la tête au prix dhorribles douleurs et de plaintes pitoyables. Il y a un mieux, jai le sentiment de mélargir un peu, mais encore trop peu. Il se couche sur le dos, tient son énorme pique dans une main, la dirige vers le ciel, mattend. Je lenjambe, je lui fais face, je maccroupis jusquà toucher le nud de mes lèvres. Quatre mains les saisissent et écartent la fente. Abel me parle dun losange rose. Un centimètre, deux, trois, mes chairs cèdent sous la pression. La hampe sinfiltre lentement, senfonce millimètre après millimètre dans le manchon qui glisse lentement vers le bas. Je me mords les lèvres pour ne pas hurler. Je fais des cercles autour du pivot qui menvahit. Mais la pénétration est de plus en plus difficile. Le foret a atteint la profondeur à laquelle Robert parvient les jours de grande forme, la suite na jamais été visitée, explorée. Là sarrête les chemins de randonnée ordinaire dune queue vigoureuse mais ordinaire dans mon corps dépouse heureuse. Tout reste à faire. Sil y a des peintures rupestres au-delà de cette limite, elles nont jamais été effacées par les frottements dun pénis, foi de Simone. Après Abel entrera en terra incognita, à la façon des grands explorateurs du XV siècle. Je redoute linvasion brutale de ces détroits aux bords rapprochés, aux aspérités non polies, je redoute surtout le passage en force dun bélier impitoyable et les douleurs quil pourra engendrer dans ces contrées inconnues et insoumises jusquà ce jour.

Le temps me paraît interminable, la douleur est de moins en moins supportable. Parfois je me soulève le long du mât pour la soulager. Mais Abel entend aller au bout et plaque ses mains sur mes hanches et il ajoute au poids de mon corps leffort de ses muscles pour mencorner complètement, pour senfoncer jusquà la matrice. Il me perfore, me troue et finit par comprendre que quelques millimètres perdus en remontant permettent den gagner dautres en redescendant. Je vais pleurer, Abel pousse un cri de victoire, il a heurté le fond du gouffre, ma envahie, enfilée, embrochée comme une volaille. Il est fou de joie et se moque de mes tourments. Et maintenant ses mains me repoussent vers le haut puis me laissent retomber, mempaler et il me possède encore et encore. Monsieur a atteint les limites et entreprend après la perforation de me labourer, de me fouiller, de me sabrer avec le vague espoir de mapprofondir encore si cest possible. Mon vagin devient machine à masturber, bien vite machine à traire et les jets de sperme agissent sur mes brûlures comme un onguent apaisant. Cette fois je marrache à son emprise, je remonte la longue tringle qui ma fouillée.

Ouf, je suis meurtrie mais délivrée. Je le crois. Abel me culbute sur le dos, mécarte les cuisses, se repositionne et me prouve que désormais, dans nimporte quelle position il pourra me prendre. Son pieu infernal a craché ses énormes réserves de sperme gras et glisse grâce à son jus un peu plus facilement dans mon vagin écorché. Sans pitié, sans considération pour le don que je lui ai fait, le sauvage pompe, me bourre, va et vient en longs mouvements et malgré moi menvoie au septième ciel. Jai eu mal, très mal, mais je jouis, je jouis, je joui hihihi, je hurle de plaisir cette fois, je passe un temps fou dans la ouate des nuages de volupté extraordinaire. Et la brute heureuse me remercie dun premier et interminable baiser à pleine bouche pendant quil me farcit le sexe dune nouvelle et surabondante portion de spermatozoïdes. Il était temps de le délivrer de la pression de réserves accumulée.

-Oh! Toi alors, tu as été merveilleuse!

-Oui, mais vite, cest fini, il faut te sauver ou mon mari va te casser. A propos, tu mesures combien ainsi déployé?

-Vingt quatre.

Toilette, départ précipité. 24, cest le double de 12… Sans compter la différence énorme de diamètre. Et ce qui me trouble le plus, cest cet orgasme fantastique qui nen finissait plus

Pourvu que mon coureur à pied soit fatigué ce soir. Je ne supporterais pas une autre union, même avec sa petite queue. Mais, mon Robert, je laime. Si. Abel, un accident, un excès de générosité. Car jaime mon mari. Je laime! Abel: un détonateur. Robert va en profiter! Grâce au travail dAbel, Robert me fera mieux jouir et il en tirera une juste fierté. Mais le voilà.

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