Mathieu constate soulagé que sa mère est encore habillée ; il redoutait quelle ne soit déjà changée.
Elle défait son chignon dans la salle de bain, lui tourne le dos et ne le voit pas approcher.
Elle sursaute quand il lenlace, ne lattendait pas déjà.
Il est tétanisé par lenjeu mais ne laisse rien paraître ; il la touche partout, lui embrasse les épaules et le cou.
Elle est surprise par sa détermination. Il semblait si mal à laise au début du réveillon, si peu maitre de ses pulsions ; son audace létonne.
Elle sent sa queue qui pousse contre son derrière et sinstalle entre ses fesses, malgré leurs vêtements.
Si elle sécoutait, elle soulèverait sa robe pour quil la prenne sur place ; elle voudrait laisser libre cours à sa nature de femelle trop longtemps bridée.
Mais ils vivent un moment unique, bien trop important pour quelle libère maintenant la chienne qui sommeille en elle.
Elle ne veut pas quil conserve de leur première fois le souvenir dun rapport sexuel qui ne serait quanimal.
Au lieu de se découvrir pour lui présenter sa chatte, elle se retourne et lui rend son étreinte.
Elle attrape son visage entre ses mains et enfonce sa langue dans sa bouche.
Ils sembrassent, avec cette voracité un peu gauche, cette urgence spontanée dont font preuve les collégiens qui découvrent leur sexualité.
Leurs lèvres se cherchent, leurs langues se trouvent. Ils échangent un long baiser mouillé, grisés par le plaisir provoqué par ce simple mélange de salive partagée.
Mathieu a passé les mains sous sa robe, les a glissées dans sa culotte, à même la peau.
Il fait rouler entre ses doigts les fesses moelleuses qui débordent ; il a les mains pleines du cul de sa mère.
Elle passe les siennes dans sa chemise et lui caresse le ventre et les flancs.
Tout en lembrassant, il lentraine à travers la pièce et trébuche en reculant.
Il tombe assis sur le lit ; elle est debout, face à lui.
Il la ceinture, enfouit son visage dans son ventre, saccroche à elle comme sil se noyait.
Elle le repousse et recule, le défie, les yeux dans les yeux ; arrogante et fière, elle se libère.
Il accompagne du regard la trajectoire de la robe dégrafée qui chute à ses pieds.
Le petit slip brésilien, les seins qui remplissent les bonnets pleins, les bas de soie qui bordent le haut de ses cuisses ; il voit tout, elle va le rendre fou.
Il se lève, arrache sa chemise puis se déboutonne. Son pantalon à ses pieds, débarrassé de son caleçon, il est nu.
Il lattrape par les épaules et lattire vers lui ; ils tombent ensemble sur le lit.
Il sattaque au soutien gorge ; il est maladroit, impatient.
Il tremble, ses gestes sont désordonnés pourtant il parvient à crocheter le petit mécanisme.
Lattache cède, les bonnets tombent ; la lourde poitrine est libérée.
Les gros seins blancs jaillissent, avec leurs fiers tétons qui pointent, agressifs.
Il fait suivre le petit slip. Il tire sur les ficelles, les élastiques. La culotte craque ; il larrache, elle crie.
Elle est nue sur le lit, avec lui ; il na épargné que les bas de soie quelle portait.
Tout est à lui : Ses seins. Sa chatte. Son cul. Tout.
Ecarlate, les yeux exorbités, il lui grimpe dessus ; sa grosse queue bute contre le sexe dont il cherche lentrée
Marion avait imaginé, pour leur première fois, un corps à corps complice, de la tendresse partagé.
Elle voulait une initiation en douceur, quil profite de son expérience.
Mais il est si excité elle nose même pas le toucher, elle va simplement le guider.
Elle sinstalle dans le même axe, écarte les cuisses et souvre en grand pour accepter le gland.
Il na plus quà pousser
Elle est tellement mouillée quil a limpression dêtre enveloppé tout entier ; son sexe disparaît, aspiré par le fourreau lubrifié.
Marion se cabre sous lui et pousse un long gémissement.
Le simple fait dêtre pénétrée lui provoque un orgasme instantané. Elle nen revient pas davoir joui dune simple poussée.
Elle répond aux sollicitations de la queue qui la dilate et lenvahit en sactivant à son tour, donne de furieux coups de reins dans sa direction.
Les sensations sont insoupçonnées, cest un pur délice, le plaisir est total ; elle se mord le gras de la main pour sempêcher de hurler.
Mathieu est dépassé par les événements.
Depuis le temps quil en rêvait, il baise enfin sa mère.
Sa queue a trouvé sa place dans sa chatte si longtemps convoitée.
Il est planté en elle comme un trophée, enfoui au plus profond des chairs écartelées.
Il voit les gros nichons qui remuent sur le torse, secoués et ballotés ; il les regarde, hypnotisé.
Malgré toute sa bonne volonté, son désir acharné, le plaisir arrive bien trop vite, par petites vagues successives.
Il sent les délicieux picotements dans ses reins, la chair de poule qui gonfle sur sa peau, les frissons qui envahissent son corps. Limmense chaleur.
Il jouit. Il éjacule dans le ventre de sa mère, linonde de sa semence.
Il ferme les yeux et visualise le chemin quemprunte sa première giclée : il « voit » son sperme qui jaillit, qui tapisse son utérus.
Il se vide en dautres puissants jets de foutre gras qui lui crépissent la matrice.
Mais Marion nen a pas encore fini avec lui.
Elle croise les pieds dans son dos, le sert entre ses bras en étau.
Elle ajuste son bassin au sien et jette ses reins loin devant.
Elle veut profiter, jusquau bout, des ultimes soubresauts de sa queue.
Leurs pubis sentrechoquent. Le son provoqué par leurs os qui se cognent la rend folle et décuple son ardeur.
Elle le mord, plante ses ongles dans ses épaules et le griffe jusquen bas du dos, ne lui laisse aucun répit.
La fureur sexuelle qui sest emparée sa mère effraie un peu Mathieu.
Il a compris dinstinct quelle se débrouillait en solo maintenant, concentrée sur son propre tempo.
Il se demande sil sera capable de répondre présent encore longtemps, sil bandera le temps suffisant.
De combien de temps a-t-elle besoin pour parvenir à ses fins ?
Il fait lapprentissage de laltruisme, de labnégation sexuelle.
Il observe à la lettre le contrat tacite qui stipule quun amant doit encore soccuper de sa partenaire, une fois son plaisir pris.
Il découvre quil est plus difficile de faire jouir une femme que de jouir lui-même.
Pour garder sa motivation intacte, pour que sa queue reste au garde à vous, le spectacle que lui offre sa mère est en lui-même suffisamment stimulant.
Il observe, fasciné, les variations subtiles ou prononcées qui interviennent sur sa physionomie et dans ses gestes pendant quelle cherche à prendre son pied.
Il na besoin de rien dautre pour conserver son érection, jusquau bout…
Elle le sent venir de loin. Il arrive.
Chrysalides sous sa peau, renouveau dans sa chair, papillons éclos.
Son ventre explose : elle est dévastée par un nouvel orgasme à répétition
Marion a tellement joui quelle ne comprend pas. Elle navait encore jamais connu autant de plaisir en si peu de temps.
Pour une première fois, son fils sest montré bien plus performant quelle ne lespérait.
Il lui a offert deux beaux orgasmes ; elle nen attendait pas tant.
Peu à peu, elle évacue la pression, relâche la tension musculaire accumulée, garde les jambes et les bras noués.
Ils restent blottis lun contre lautre, en sueur, épuisés et comblés
Quand Mathieu se lève enfin, il saperçoit quil ne tient pas debout ; il na plus dénergie, elle la littéralement vidé.
Il se débarrasse de son pantalon qui est resté chiffonné autour de ses chevilles puis rentre dans le lit, incapable du moindre effort.
Lapplique de la salle de bain est toujours allumée et diffuse une douce lumière tamisée chambre.
Marion est assise au bord du lit. Elle enlève ses bas avec des gestes infiniment gracieux, les enroule jusquà ses pieds.
Il la regarde, est ému, troublé par lérotisme que dégage ce simple spectacle innocent.
Une fois entièrement nue, elle le rejoint sous les draps et ils senlacent ; une Mère et son Fils, des amants complices
Mathieu ne dort pas. Tout se bouscule dans sa tête.
Sa mère repose entre ses bras, endormie. Il sent son souffle qui lui chatouille le cou, son corps lourd abandonné contre sa peau nue.
Cest un véritable supplice, son désir revient au galop.
Comment pourrait-il dormir, avec cette tentation à portée de main ?
Il descend sous les draps, en apnée.
Il rabat les couvertures. Avec la complicité de lapplique allumée, il voit parfaitement ce quil fait.
Il écarte doucement les lèvres avec ses pouces, lui ouvre la chatte, la renifle ; le fumet est encore plus prononcé que lautre matin, dans la salle de bain.
Il trouve lodeur un peu écurante, mais aussi ensorcelante ; il senivre du parfum si caractéristique quexhale le sexe dune femme après lamour : ce mélange obsédant de jus intime et du sperme qui sy est mêlé.
Il hésite un moment puis lèche toute la vulve, donne de petits coups de langue précis, bien placés.
Il adore lui bouffer la chatte, il ne sen lasse pas ; il aime son gout acre et poivré, si particulier.
Mais il veut la baiser. Il a encore envie de la baiser.
Il remonte, sinstalle entre ses cuisses. Il tâtonne dune main curieuse, guide sa queue vers lentrée du vagin.
Il perçoit le renflement des lèvres sous ses doigts, les poils qui chatouillent son gland ; il est émerveillé de constater quil lui suffit de la toucher pour quelle soit complètement trempée.
Marion se réveille et comprend aussitôt les intentions de son fils. Encore toute endormie, engourdie, elle écarte docilement les cuisses pour lui faciliter laccès.
Il la pénètre à fond, dun puissant coup de queue, la cloue au sommier.
Il senfonce jusquaux couilles, avec lexquise sensation que le vagin de sa mère est parfaitement adapté aux dimensions de son membre viril, comme sils étaient complémentaires, destinés à se rencontrer.
Elle râle, gigote sous lui, lui confirme sans échanger un mot quelle laccepte sans restrictions ni contraintes.
Confiant, il devient sûr de ses mouvements, impose son rythme, va et vient au plus loin.
Il était trop excité tout à lheure, il na pas pu se retenir ; il est vexé et veut se racheter.
Il va faire durer le plaisir ; il va la faire crier, la faire jouir le reste de la nuit
Tout à son fantasme de mâle dominant, Mathieu ne sattend pas à la réaction de sa mère.
Soudain, elle sarc-boute violemment et au risque de le désarçonner, le fait brutalement basculer.
Elle inverse les rôles et sinstalle sur lui, à califourchon. Toujours bien empalée, elle prend les commandes.
Elle creuse les reins. Les muscles internes de son vagin interviennent. Toute la surface de sa queue est emprisonnée, stimulée par de savants spasmes intimes quelle déclenche et exerce sur le sexe planté.
Cest délicieux, il ne peut pas lutter, ce quelle lui fait est extraordinaire ; il jouit en décollant son bassin et en saccrochant à ses seins.
Il crache quelques gouttes de foutre, pour lhonorer encore une fois, mais na plus rien en réserve, ses couilles sont vidées.
Elle sagite toujours sur lui, comme si elle nétait pas concernée par cette ultime éjaculation.
Elle ferme les yeux, bras en croix, reste sur ce sexe qui vient de lui donner tout ce qui lui restait, dans une posture de déesse lubrique crucifiée qui nen aurait jamais assez.
Quand elle admet enfin quelle ne pourra plus rien en tirer, elle se calme et saffale sur lui, de tout son poids
Après, il veut être seul. Sil ne quitte pas son lit, il ne dormira pas, il sait quil ny arrivera jamais sil reste à ses côtés.
Il se lève, regagne comme un somnambule le petit lit de camp qui lui était à lorigine destiné. Il na pas plutôt posé la tête sur loreiller quil sendort aussitôt
Mathieu a seulement dormi trois heures quand il se réveille et pourtant il est requinqué, en pleine forme.
Il ny a plus de lumière dans la salle de bain, la chambre est plongée dans le noir, il ne voit presque rien.
Il sassied dans son lit et cligne des yeux pour shabituer à lobscurité.
Dans la pénombre, il distingue la présence de sa mère couchée.
Il rabat les couvertures et tripote sa grosse érection matinale en pensant à la nuit quil vient de passer.
Il a du mal à réaliser quils lont enfin fait !
Il se lève, entrouvre les volets puis sapproche du lit où il contemple longuement son forfait endormi, fier de lui.
Sans réfléchir, il entre dans son lit, se niche voluptueusement dans sa couche, flatte du bout des doigts le contour des courbes opulentes de son corps nu, à labri sous les couvertures
Alors quelle est tout juste réveillée, Marion installe confortablement son fils, à laide de plusieurs oreillers, afin quil soit surélevé.
Après tout le plaisir quil lui a donné cette nuit, elle va lui offrir son premier cadeau de la journée. Après tout, cest Noël aujourdhui !
En appui sur les coudes, elle agace le filet, promène sa langue sur le sommet de son gland.
Elle est à genoux entre ses cuisses. Mathieu voit simultanément la bouche de sa mère qui saffaire et son cul bien cambré dans le miroir de larmoire juste en face de lui ; cest peut-être Noël mais lui, il est au paradis.
Pour quune pipe soit réussie, Marion sait que le spectacle proposé doit être à la hauteur des sensations éprouvées.
La dimension purement visuelle quoffre une fellation est aussi importante que la technique utilisée et demeure un facteur clé pour obtenir leffet escompté.
Cest pour cette raison quelle la installé de la sorte, avant de commencer à le sucer, pour quil nen perde pas une miette.
Mais elle doit se dépêcher, ils nont pas toute la journée
Il devait arriver en fin de matinée.
Non seulement il ne passait pas les vacances avec eux pour la première fois de sa vie, mais il avait prévenu : il raterait le réveillon mais serait présent pour le repas de Noël, pas dinquiétude.
« Cest promis ! », avait-il affirmé.
Ils sétaient mis daccord. Marion viendrait le chercher.
Mais de la même façon quune grève denseignants provoque parfois une incidence, bouleverse des existences, changer dhoraire peut savérer tout aussi périlleux
En choisissant un train de nuit plutôt quun TGV, Martin arrive tôt le matin et non pas vers midi, comme prévu.
Il suppose, à juste titre, quils dorment tous encore et ne voulant déranger personne, il opte pour un taxi.
Il nest pas encore sept heures lorsque le véhicule le dépose.
Martin pénètre dans la maison, impatient de les retrouver.
Il connaît bien lendroit, les lieux de son enfance, il visite chaque pièce mais personne ne semble déjà levé, il monte les escaliers.
Il est pressé de saluer sa mère quil na pas vue depuis si longtemps.
Il nest encore jamais entré dans sa chambre sans frapper, il est trop bien élevé, mais il oublie les convenances et ouvre la porte …