Histoires de sexe gratuites Histoires de sexe travesti

Nuit blanche – Chapitre 1




Ce soir je reste bloquée dans cet hôtel. Jaurai aimé rentrer chez moi, je lavais promis à mon homme. Dommage javais réussi à acheter tout ce quil fallait pur le rendre fou de désir: une gaine lacée noire, un string encore plus mini que les autres qui montre plus quil ne cache, des bas noirs et des escarpins noirs aussi. Je viens dessayer le tout devant la grande glace de la salle de bain: je parais encore plus salope. Je me plais: il va me violer quand il me verra demain.

Jenlève tout pour me coucher nue sur le grand lit: je caresse mes seins qui durcissent comme quand jai envie dune bite. Je me tripote un peu la chatte. Je suis sur le point de me branler. Jhésite un instant.

Je me souviens que je suis dans un hôtel de luxe: je peux demander ce que je veux au concierge.

— Allo, je voudrai une compagnie.

— Bien madame, un instant.

Il me rappelle peut-être 5 minutes plus tard.

— Oui, jai trouvé un escort boy qui devrait vous plaire.

Pour la première fois de ma vie je vais baiser avec un homme que je payerai. Je me demande leffet que ça me fera, est-ce quil baise bien, Comment est sa bite, est-ce quil fera tout ce que je lui demanderai: je suis drôlement gourmande aujourdhui, surtout depuis que je sais que je vais ouvrir mon porte monnaie.

Une demi heure plus tard, on frappe à la porte. Je ne me suis pas rhabillée: je dois donner limpressions de nêtre quune salope. Jouvre largement la porte, un grand homme entre. Cérémonieusement il me fait un baise main. Ma nudité na pas lair de leffrayer, il en a vu dautre. Il membrasse sur la bouche: un baiser parfait, mieux que ceux de mon époux. Il me tient par la taille, vient bien contre moi; je sens mes seins contre sa poitrine et sa bite contre mon ventre: il ne bande pas encore. Je me frotte à lui pour voir sa résistance: il est comme les autres: mon ventre lexcite beaucoup: je sens le sexe gonfler. Je commence à le déshabiller, il marrête:

— Non je le fais pour que tu vois bien.

Il fait un épluchage impeccable, sa chemise dabord me permet dadmirer ses pectoraux et ses plaquette de chocolat sur labdomen. Je regarde en bas: il enlève ses chaussures et chaussettes, avant de retirer son pantalon: il reste en caleçon: sa bite est prête à sortir: jattend le moment. Il se tourne pour cacher sa nudité et se retourne quand il est enfin nu. Jai un choc en voyant sa bite. Je la pensais énorme alors quelle est banalement normale, comme celle de mon mari.

Il me reprend dans les bras, cette fois en me tenant la taille et les épaule. Cette fois je sens bien sa queue contre moi: jen ai envie dans mon ventre.

Calmement, en homme dexpérience, il me couche sur le lit, écarte mes jambes: je lui montre toute ma chatte. Il est assis à mes cotés, sans se presser il passe une main à lintérieur de ma cuisse droite, la caresse depuis le genou jusquà laine. Il recommence de lautre coté. Cette fois sa main ne sarrête pas, elle va plus haut, jusquau pubis. Il me fait languir; jai besoin de caresses plus personnelles. Il le sait et ne fait rien pour calmer ma soif de jouissance. Au contraire, il membrasse encore sur la bouche; sa langue entre plus profond: ma langue rend tous les coups. Il pelote ma poitrine, la faisant encore plus gonfler.

Quest-ce quil attend pour me baiser? Je lai payé tout à lheure pour ça, non. Je suis sa cliente, il doit me faire jouir. A moins quil ne fasse tout ça justement pour que jai envie de lui à en crever.

Je cherche sa bite, il me la refuse. Jaurai aimé le masturber ou le sucer: son sperme doit être bon dans une bouche de femme.

Enfin il consent à poser sa main sur mon sexe. Il a toutes ma chatte dans sa main. Il la caresse à grand coup en va et vient sur elle, sans sattarder à un endroit quelconque. Pourtant il me fait mouiller encore.

Je me tend vers sa main: il me caresse enfin le clitoris. Il a écarté les petites lèvres pour faire ressortir le bout de mon endroit préféré.

Je ferme les yeux: quil branle bien, mieux que ce que je peux faire. Il appuie juste ce quil faut, il ne va pas trop vite: il attend un instant avant de changer de vitesse, comme sil lisait dans mes désirs.

Je ne vais pas tenir longtemps ainsi. Je vais avoir un orgasme imminent. Il tarde pourtant à venir: il sait comment ralentir mon plaisir. Je ne sais combien de temps dure la masturbation. Je ne men plains pas du tout.

Je sens venir du fond de mon ventre une vague qui monte doucement jusquà mon cerveau: je me crispe, relève mon con vers sa main. Il sens le moment exact où je crie ma jouissance: il entre deux doigts au moins dans mon vagin. Je le sens à chaque crispation de mon sexe. Il me baise presque en attendant que je finisse de jouir.

Quel amant. Je ne regrette rien, pas même de tromper mon amour avec un homme que je paie rien que pour ça.

Cet amant ne ma pas baiser. Il vient sur moi, entre mes jambes, sa queue bien droite qui vise mon trou. Je me demande si je doit le diriger ou quoi. Le temps de réfléchir à la question, lui a déjà répondu; il est à lorée de ma chambre des délices. Il entre doucement comme si jétais vierge. Il écarte mes chairs en me faisant geindre. Il se couche sur moi en mécrasant. Son poids sur moi est le bien venu. Je maccroche à lui avec les bras et les jambes. Quitte à faire la bébéte à deux dos, allons y, je ne me gêne pas.

Sa bite est bonne dans mon ventre. Il me fait jouir encore, et encore.

Il sort de moi, me retourne en levrette. Sans rien me demander, il vient sur mon anus. Le caresse un bon moment avec son gland: il me fait jouir pour la première fois de cette façon. Il se retire pour prendre ma cyprine, en tapisse lentrée se remet en place et m’encule. Je sens mon anus se détendre devant son assaut. Il va et vient dans le cul. Jaime sa façon de faire, différente bien sur de celle de mon époux qui pourtant m’encule bien.

Ses couilles battent contre mes fesses. Ce salaud me fait jouir sans arrêt. Je voudrais son jus dans mon cul ou la bouche. Ce nest pas moi qui décide, il se tend: je reçois une décharge de son sperme dans les boyaux. Quel plaisir il me donne ainsi.

Je me rend compte que nous navons pas dit deux mots.

— Tu va encore me faire jouir?

— Bien sur, je ne suis pas de ceux qui cale. Regarde ma bite, je nai pas débandé.

Cest vrai, sa bite est toujours en forme. Il me la donne: je peux le branler comme jaime faire. Jespère quil va encore cracher son jus. Le branler nest pas suffisant.

Jemploie maintenant la méthode forte: je le prends dans la bouche, je le branle à la base: jaime bien tenir un homme par sa queue, il me semble que je suis la dominatrice, alors que je ne fais quobéir à mon instinct de femme. Je vais bien plus loin, je caresse le scrotum, me perdre vers son anus, là où jaime me faire mettre. Il écarte les fesses, laisse mes doigts lenvahir. Jéprouve un plaisir bestial à presque lenculer en le suçant. Je ne sais si ce sont mes doigts dans son anus ou ma bouche: il jouit sans gêne et sans rien dire dans la bouche. Avant le goût de son sperme javais le goût de mon cul. Maintenant la dominante dans la bouche est sa semence abondante. Il bande encore. Jai envie de tirer un dernier coup.

Il me met sur le ventre, jécarte les jambes, il passe sur moi, sa queue longe lécartement des cuisses et après avoir frôlé mon cul il est enfin dans le vagin. Cette fois il entre comme en terrain conquis: cest toujours agréable dêtre pénétrée ainsi. Il la met au fond de mon ventre. Je le sens toujours quand il recommence à aller et venir. Je participe bien sur: ses mains viennent emprisonner mes seins. Il membrasse dans le cou. Je ne sais plus où jen suis, il me rend folle de plaisir. Il éjacule encore un fois: je sens son jet puissant.

Cette fois sen est trop: je crie mon orgasme: je ne crois pas avoir jamais crié.

Laube arrive: il me faut rentrer. Je crois que je vais avouer à mon mari que je lai fait cocu: je préfère, tout se sait maintenant. Alors que lui aussi ma bien dit une fois quil avait couché avec une cliente. Nous en avions profité pour baiser comme des dingues. Jespère quil acceptera aussi.

Cest bien ce qui sest passé en rentrant jai avoué ma faute: il ma embrassée:

— Tu as bien jouis au moins ?

— Oui.

— Tant mieux, je vais te punir:

Il ma forcé à me mettre toute nue, ma faite coucher, sest jeté sur moi pour me la mettre comme jamais je crois. Il ma faite jouir plusieurs

Related posts

Alice au pays des cartes vermeil – Chapitre 3

historiesexe

Les aventures de ma femme – Chapitre 1

historiesexe

Au camping avec ma soeur – Chapitre 2

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .