« J’ai les billets de train. Toujours d’accord pour partir en vacances ? »
Je venais d’annoncer cela à Adeline, nous étions début juin, et elle accueillit la nouvelle avec un sourire qui faillit lui décrocher la mâchoire. J’avais bossé plus que jamais depuis un an, sans rechigner à faire des heures supplémentaires, ce, pour deux raisons. Nous voulions partir sur les côtes méditerranéennes depuis des années, mais faute de moyens et de temps, cela n’avait pas été possible. Et puis comme il était hors de question de laisser ma mère même une petite quinzaine, il me fallait trouver une solution. J’avais donc cumulé les heures au boulot, rien dépensé de superflu, et j’étais parvenu à mon but. Nous allions passer deux belles semaines en Août sur la Côte d’azur, et envoyer notre mère dans les Vosges auprès de sa sur qu’elle n’avait pas revue depuis des lustres. Sa santé n’étant pas au mieux, l’air des Montagnes lui ferait le plus grand bien.
« Ah, c’est trop cool, il faut encore attendre deux mois, ça va être long, s’écria Adeline avec un ton joyeux mais non caché d’impatience. Et tu as prévu quoi alors, car tu ne m’as rien dit.
— C’est une surprise, mais tu n’as pas besoin d’en savoir plus. »
Ma mère nous regardait avec un sourire heureux, sans révéler le fait qu’elle savait tout. Je lui en avais parlé pour avoir son ressenti. Au départ, il était même question de l’emmener avec nous, mais elle préférait nous laisser seuls et aller en montagne de son côté. Nous nous regardions sans ciller alors qu’Adeline se montra un peu boudeuse, limite capricieuse de ne pas avoir plus de détails. Ma mère lui dit alors avec les paroles pleines de sagesse d’une maman aimante: « tu devrais savoir que s’il ne te dit rien, c’est que ça en vaut la peine. Tu sais que tu peux lui faire confiance non ? ». Et cela suffit effectivement à calmer les ardeurs de ma petite sur. Cela dit, ma mère ne savait pas vraiment tout non plus…
La veille de notre départ, nous menâmes notre mère au train, sachant que sa sur gérerait le reste sans aucun souci. En rentrant, bien que trépignant dans l’attente de notre propre départ, Adeline ferma la porte à clé et tout en se déshabillant me lança : « Allez, on a la maison pour nous tous seuls, et tu vas devoir me faire patienter. Si tu veux que je reste calme, tu sais ce qu’il faut faire. » Inutile de discuter, je n’en avais ni l’envie, ni même l’intention. La voyant ainsi disposée, je m’empressais de l’imiter et ce fut une effusion des plus intenses à même le sol. Ma mémoire me fait défaut en écrivant ces quelques lignes sur le nombre de fois où nous avons fait l’amour ce jour-là, mais j’ai juste encore le souvenir que le soir, je ne pouvais plus rien faire, vidé de ma vitalité et la hampe en feu. Adeline n’insista pas et la nuit fut calme, autant qu’elle d’ailleurs. Mais une fois dans le train, j’eus de nouveau à faire à la pile électrique. Adeline était intenable, pressée il est vrai de découvrir enfin ce qui l’attendait. C’était une vraie gosse, à regarder les paysages qui défilaient sous ses yeux, ou constater que la météo changeait à mesure que nous avancions. Quand elle vit les premiers reflets de la mer, elle en fut émue à un point tel que tout son être se calma d’un coup. Il n’y a guère qu’en carte postale qu’il lui avait été donné d’assister à un tel spectacle. Elle avait le visage collé à la vitre du train et se perdait déjà dans les abysses de la grande bleue, sans même y avoir trempé le petit orteil. Elle se retourna vers moi et me dit doucement : « merci… ».
Je me contentais de lui répondre avec le plus doux des sourires. Elle était celle que j’aimais, celle à qui je donnerais tout dorénavant, et la voir aussi heureuse ne pouvait que me ravir. Quand nous débarquâmes sur le quai, la chaleur étouffante contrasta de loin avec la fraîcheur du wagon dont nous sortions. Adeline retira son pull aussi sec, laissant apparaître alors sa superbe poitrine sous un maillot moulant à souhait. Le regard des autres vacanciers ne trompa pas sur l’effet qu’elle produisit en cet instant. J’étais fier de pouvoir penser qu’elle était mienne, autant que j’étais sien. Elle mit ses lunettes de soleil et un taxi nous emmena vers ce que j’espérais être un paradis pour elle. J’avais choisi un petit camping en bord de plage directement, et loué un bungalow qui, même s’il était simple, verrait les effusions de nos vacances en tout cas. L’ultime fait qui scella notre couple à jamais, fût-il nécessaire, arriva à l’accueil dudit camping quand, forcément, on nous salua en tant que « Madame et Monsieur ». Portant le même nom, on nous considéra de fait comme de jeunes mariés. Adeline, saisissant l’opportunité plus rapidement que moi lança au gérant : « et c’est notre voyage de noces !! » Petit mensonge, vérité cachée peu importe, tout ce qui avait pu se passer avant devenait secondaire (d’une certaine façon…), car cet aveu spontané d’Adeline entérinait définitivement notre amour. Elle m’embrassa et s’accrocha à mon bras alors que le gérant nous emmena vers notre « suite nuptiale ». Pendant que je prenais les consignes des lieux, ma chère et tendre sur s’esquiva dans la chambre, revint quelques secondes après dans un maillot de bain blanc deux pièces qui contenait à peine sa jolie poitrine, et dont le slip donnait à son triangle d’amour un léger renflement. Le pauvre gérant ne pouvait plus prononcer un mot, tombant en extase devant ma sur. Intérieurement je rigolais et Adeline de lancer : « Allez dépêche-toi, j’ai envie d’aller me baigner !! ». Sans comprendre pourquoi, je vis notre hôte d’un instant signer sans plus de réflexion la mise à disposition du bungalow avant moi, et repartir la langue pendante.
« Tu as vu comment il m’a regardée ? me demanda Adeline.
— J’ai surtout vu comment il est reparti. Étonnant qu’il ne soit pas tombé à la renverse. Tu as abusé sur ce coup ma chérie…
— J’en avais assez d’attendre, on est en vacances. Allez, on y va maintenant ??? »
Je passais à mon tour un maillot de bain, et bras dessus bras dessous, serviette sur l’épaule nous parcourûmes les deux cents mètres qui nous séparaient de la plage. Bien que très touristique, ce camping avait la particularité d’avoir sa plage privée, et au moins, nous pûmes nous installer ailleurs que dans un mouchoir de poche. Ma petite sur jeta sa serviette et couru dans l’eau aussi sec. Je regardais le léger remous de la mer caresser son corps, elle, ma divine sirène aux formes si parfaites. C’est quand elle ressortit le haut de son corps que j’entrais à mon tour dans l’eau. « Tu as les seins qui pointent ma chérie, et avec le blanc, ça se voit bien. Mais j’aime ça, et tu es magnifique… » Elle m’embrassa tout en se collant contre moi et la baignade eut un véritable effet relaxant. Les regards alentours fusaient sur Adeline, mais elle ne semblait pas y prêter attention, trop heureuse de jouir enfin de vacances tranquilles loin de tout ce qui nous empêchait de vivre librement. Au bout d’un certain temps, nous passâmes sur la plage histoire de se faire dorer la pilule comme le dit la belle expression. Mais alors que je lui appliquais de la crème, elle me susurra discrètement : « Tu as vu, presque toutes les femmes sont seins nus. Elles sont plus âgées que moi mais tu crois que ça ferait vulgaire si je faisais pareil ?
— Moi ? Bien sûr que non. Fais-toi plaisir. »
Elle retira alors son haut, et les « OH » non audibles d’admiration arrivèrent quand même par quelques regards soutenus.
Je m’allongeais alors à mon tour, constatant tout le bonheur de celle qui était mienne, mon plaisir à la voir ainsi dénudée, enfin libre de pouvoir le faire tout du moins, et donc heureuse. Mais la chaleur de mon corps ne pouvait toutefois rivaliser avec l’ambiante et je retournais dans l’eau au bout de quelques minutes. De mon bain de fraîcheur j’observais les hommes passer et repasser devant Adeline, leur tête presque à se détacher pour la regarder une seconde de plus. Elle vint me rejoindre tout naturellement seins nus. Après tout, pourquoi se gêner maintenant ? La température de son corps contrasta avec celle de l’eau et elle se mit à frissonner. Se collant alors à moi elle m’embrassa pour reprendre de la vigueur. Mais sentir sa poitrine contre la mienne, ses tétons qui pointaient (avec le froid cette fois), j’en attrapais une trique terrible. « MHHHH, tu veux qu’on rentre ? me demanda-t-elle vicieusement.
— Non, mais on peut faire ça dans l’eau. Si on s’éloigne un peu du bord, ça se remarquera moins. Ça te tente ? »
Elle glissa sa main entre nous, sortit ma verge tendue à souhait, écarta son maillot et alors que je marchais vers le large, entrais en elle dans le même temps. C’est Adeline qui bougeait sur moi, et si elle s’était littéralement empalée jusqu’à la garde, elle ne remuait que le minimum. Elle bascula en arrière alors que je la tenais par les hanches, laissant ses deux globes splendides à la surface de l’eau.
Je ne donnais pas de grands coups, cela aurait attiré l’attention à coup sûr, mais lentement, de toute ma longueur je la pénétrais, ressentant chaque centimètre parcouru le long de cette grotte. Elle se mordait les lèvres pour ne pas qu’on l’entende, et je m’amusais de la voir ainsi prisonnière de son plaisir, ne pouvant rien faire d’autre que de se livrer à moi en silence. Malgré le rythme lent de nos ébats, le risque de se faire remarquer, mon excitation montait et montait. J’explosais en elle subrepticement, mais ce fut un orgasme intense et partagé une fois encore.
Histoire de calmer nos ardeurs, nous restâmes dans l’eau encore un moment. J’essayais de ne pas trop la regarder s’ébattre en tenue légère, de ne pas fixer ses seins magnifiques pour ne pas sombrer de nouveau dans l’envie de la reprendre sur le champ. Puis nous sortîmes de l’eau, prîmes le soleil encore un peu et décidâmes de rentrer afin de nous installer quand même. Les vacances étaient organisées mais quand Adeline me demanda ce que nous ferions le soir et les autres jours je lui répondis simplement : « il y a juste un truc que je devrai te montrer, à part ça, tu fais le programme à ta façon. Ce sont tes vacances, c’est toi qui décide ma chérie. Est-ce que ça te convient ?
— Je suppose que tu ne me diras pas de quoi il s’agit ?
— Bien sûr que non, c’est une surprise et je veux vraiment voir comment tu vas réagir.
— Alors comme c’est moi qui décide, je la veux demain !
— OK. »
Le reste de la soirée fut consacré à la visite du camping. Adeline étant restée en maillot de bain, simplement ajusté d’un petit paréo sur ses hanches, elle continua de faire sensation tout du long. Loin de la bonne cuisine de notre mère, c’est dans le petit snack du camping que nous prîmes notre repas avant de rentrer. Il faut dire qu’Adeline m’avait chauffé toute la soirée et même si je me contrôlais physiquement, je bouillonnais de la prendre.
Une fois la porte du bungalow fut-elle fermée que les murs se mirent à trembler. Un ébat sans retenue eu lieu entre ma belle et moi, et nous laissâmes toute la passion déchaîner nos sens, frustrés de n’avoir pas pu assouvir cela avec autant de liberté, libres de pouvoir enfin bannir cette frustration aux antipodes de nos esprits. Je portai Adeline contre la première paroi venue, et tel le soldat au garde-à-vous, ma verge tendue entra en elle d’une traite. Elle était tellement excitée, tellement mouillée que la pénétrer ainsi ne posa pas l’once d’un problème. Elle avait resserré ses jambes autour de moi et me dit alors dans le creux de l’oreille : « baise moi, baise moi à fond, défonce moi. Aujourd’hui il n’y a personne pour nous en empêcher ! »
L’embrassant comme à l’accoutumée, plus cette fois pour étouffer ses cris que par amour charnel, je redoublais les coups dans sa petite chatte toute lisse, entrant et sortant ma queue entièrement le plus possible. Le bas de ses reins et ses fesses cognaient en rythme contre le fin mur derrière elle. Mais voulant la satisfaire comme elle le réclamait, surexcité par ses paroles, je la reposais au sol, lui fit mettre les bras contre le mur, écartais ses jambes et lui replantais mon pieu aussi sec. Je dus mettre une main sur sa bouche pour ne pas la laisser hurler de plaisir. Elle eut un premier orgasme si fulgurant qu’elle envoya un de ses longs jets si savoureux directement sur le sol. C’est dans la seconde qu’elle se retourna, posa ses mains sur ma tête et me fis descendre vers cette fente trempée qui n’attendais plus que ma langue. Je la savourais, récoltais le jus de cette fleur unique et magnifique, la léchais jusqu’à ce qu’elle jouisse encore une fois en m’éclaboussant le visage.
Elle me plaqua au mur à mon tour et entreprit une gâterie des plus divines à son tour. Elle avalait ma queue en entier tout en tenant et en appuyant sur mes fesses comme pour me forcer à aller encore plus loin. Je posais alors moi-aussi mes mains sur sa tête et imprimais un rythme effréné entre ses lèvres. Je faillis bien jouir, mais mon esprit se rappela à temps que ce n’était pas encore l’heure. Je la relevais brusquement et la plaçais sur la petite table. Allongée sur le ventre, je lui mis les bras dans le dos et replongeais dans sa petite fente. Elle m’arrêta aussi sec et, toujours dans cette furie sexuelle qui nous tenaillais depuis une bonne demie heure, se tourna encore pour me dire : « par derrière, baise-moi le cul ! » Nous étions dans un autre monde, une autre dimension, elle était crue, vulgaire dans ses propos, et moi, loin de m’en étonner répondais à ses appels sans coup férir. Je pointais donc mon gland sur sa petite rondelle et commençais à y entrer doucement. Elle eut un mouvement de recul mais pas pour y échapper, bien au contraire. Elle s’empala d’elle-même sur ma queue quasiment d’une traite et me relança « je t’ai dit de me baiser, alors défonce moi bordel !! »
Je crois n’avoir hésité qu’une seule seconde avant d’y aller franchement, et, sans plus de retenue, lui enfonçais mon pieu au fond des entrailles. Elle tenta d’étouffer ses cris, je lui envoyais alors son tee-shirt, seul chose que je parvins à attraper. Elle mordit dedans alors que j’exhaussais son souhait. Tout en maintenant ses bras dans son dos, je faisais aller et venir ma longue colonne de chair à en élargir son petit anneau. Je poussais le vice jusqu’à ressortir mon gland afin d’admirer toute la quintessence de mon travail de défonce, de cette tâche dont elle m’avait demandé de m’acquitter. Elle eut un autre orgasme, mais cette fois, pas d’arrêt au stand, la course était trop bien lancée et je continuais à la pilonner violemment. De dehors, le bungalow devait donner une sensation de léger mouvement, et même si nos cris n’en étaient pas, un promeneur curieux pouvait aisément comprendre ce qui se passait à l’intérieur. Adeline jouit une fois encore, je vis son corps se raidir puis se relâcher doucement. Mais il fallait en finir dignement, et je la fis mettre à genoux devant moi. Tout comme elle j’employais des mots crus : « Tu ne crois pas que je vais me vider tout seul. Allez, à toi de bosser maintenant, et n’en laisse pas une goutte !! »
Adeline ouvrit la bouche et engloutit les jets aussi goulûment qu’il lui fut permit de le faire. Excité comme pas possible par la situation, je n’essayais même pas de me retenir et laissais ma semence tapisser les parois de cette bouche gourmande, elle qui n’attendait plus que cela pour parachever cette soirée pour le moins surprenante. Anéantis tous les deux, nous nous mîmes au lit et le sommeil nous gagna sans tarder.