Je vais vous conter une histoire vraie, qui s?est passée il y a quelques années. Je fut initié au sexe par la voisine de mes parents, une belle femme d?une quarantaine d?année, sur le corps de laquelle s?était déroulé nombre de mes fantasmes nocturnes d?adolescent.

    Cette année là, l?opportunité de rester seul à la maison pendant les grandes vacances scolaires m?enchantais plus ou moins. Vous devez vous rappeler cet age ou vous vous sentez trop ? mûre ? pour partir avec vos parents, et ou par la force des choses, votre age, votre confiance en vous et vos moyens financiers ne vous confèrent pas une autonomie suffisante à un périple estival libre. Cet age aussi ou le désir sexuel et surtout la curiosité qu?il procure fait imaginer des histoires inconsidérées, qui pour moi allaient se réaliser au-delà de mes désirs.

    Elle avait emménagé dans le voisinage depuis quelques années, elle était veuve disait-on et avait une vie sentimentale banale, faite de quelques relations plus moins suivies, et plus ou moins régulières. J?ai eu la chance de la connaître tôt, grâce à mon copain du quartier, qui habitait avec ses parents la maison directement voisine à la sienne. La pudeur entre jeunes garçons avait fait qu?on en parlait peu, mais étions toujours ravis d?aller effectuer chez elle quelques menus travaux d?entretient, ce qui nous faisait un peu d?argent de poche. Puis les années passant, nous avons commencé à juger de ses formes, mais toujours très timidement.

    Cette femme imposait un certain respect, elle avait l?age de nos mères, ce seul point l?expliquait. Elle était brune, de petite taille, et son corsage attirait constamment mes yeux. Elle avait une poitrine généreuse, et je ne cessais d?essayer de deviner le soir dans mon lit, les contours exacts de ses seins, une fois libérés de ses soutiens-gorges imposants. Elle était légèrement ronde, mais ses jambes galbées qu?elle arborait fièrement l?été venu, étaient exemptes de tous défauts et laissaient imaginer un corps délicat et doucement bronzé.

    Cette année là, je savais que mes journées allaient être rythmées par des travaux extérieurs chez elle. En effet, elle était célibataire cet été, et j?étais tout désigné pour effectuer les diverses tailles et tontes estivales de son jardin, compte tenu que cette année, aucun homme ne partagerait sa vie et les corvées qui incombaient à la maintenance d?une propriété comme la sienne. Dès le lendemain du départ de mes parents, je me rendais chez elle pour voir avec elle les taches qui allaient être mienne durant ces quelques chaudes semaines. Je me sentais fort, sur de moi, je me sentais être un homme, inexpérimenté en tout certes, mais un homme. Cette nouvelle assurance, me permis d?avoir un échange adulte dès cette rencontre.

    Elle ouvrit la porte longtemps après que le carillon électrique eu sonné mon arrivée. Et non, elle ne sortait pas de la douche avec une mince serviette sur le dos, mais m?ouvrit au contraire avec un tailleur strict, qu?elle portait couramment les jours de travail. Elle portait des bas, (comme je l?aurais volontiers imaginé), ou des collants, ( comme devait être la réalité ) blancs, légèrement soyeux qui allongeaient sa silhouette, mise en valeur par son tailleur gris, très serrée à la ceinture, qui lui conférait une allure très jeune.

    - ? Tu viens pour mon jardin thomas ? ? dit-elle d?un air pressé

    - ? Tout à fait ! ? Dit-je le plus directement du monde, tandis que je forçais mes yeux à regarder les siens et non son corps.

    - ? Eh bien je te laisse les doubles des clés de la maison, je dois remplacer un collègue malade en urgence. Je serais de retour ce soir, tu n?es pas obligé de m?attendre. J?ai fait une liste sur le bureau du salon, organise toi comme tu le souhaites. ?

    Sa réponse si rapide et décidée, me laissa sans voix, et je fit juste un hochement de tête.

    - ? A bientôt ? dit-elle, tout en se faufilant entre moi et la porte pour filer à sa voiture.

    Je ne pouvais m?empêcher de regarder ses petites fesses sévères s?éloigner. J?essayais en vain d?imaginer si elle portait une culotte. Elle me fit un signe rapide de la main une fois sa marche arrière effectuée, et sa voiture fila vers la route nationale. J?étais toujours à imaginer sa culotte lorsqu?il me vint à l?esprit que ses placards devaient regorger de ses dessous intimes. Cette idée provoqua une érection immédiate, et je n?avais plus qu?à rentrer pudiquement a l?intérieur de sa maison en fermer la porte. Mais l?idée de fouiller ses placards intimes me fit peur, peur de m?immiscer sans autorisation dans un domicile inconnu. Je me dirigeais donc vers le bureau, ou une liste griffonnée recensait les travaux à faire. Cette liste m?intéressait subitement beaucoup moins que cet intérieur qui excitait ma curiosité et mes sens. Les quelques papiers sur son bureau décrivaient en un charabia abscons l?extrême complexité de son métier d?avocate. Puis, l?idée de ses sous-vêtements me repris de plus belle, et malgré ma raison qui me disait non, le reste de mon corps se dirigea dans le couloir à la recherche de sa chambre à coucher. Celle ci était d?un style asiatique (avec mon recul actuel japonais), et l?armoire principale fut vite ouverte par mes mains presque tremblantes. A ma grande déception, je n?y trouvais qu?un assortiment de linge de maison, d?habits, mais rien de très intime. Seul une mini-jupe noire en cuir extrêmement courte attirait mon attention. En effet, l?avais l?impression de l?avoir vue dans toutes les tenues qui se présentaient à moi tant je l?avais observée pendant des mois, seule cette mini-jupe noire me semblait inconnue. J?imagine que si elle l?avait porté dans le quartier, cela m?aurait ému, et je n?aurais sûrement pas été le seul. J?étais tout de même déçu, et non sans avoir soigneusement fermé l?armoire, je me précipitais vers une commode du même style, et le premier tiroir ouvert, je fut enfin récompensé.

    Ses petites culottes étaient rangées sommairement, et une séparation évidente était faite entre ses culottes de tous les jours, et d?autres plus sophistiquées. Ces dernières étaient très variées, de toutes les formes ( avec du recul, des tanguas, caracos, culottes échancrées, shortys), et de toutes les matières, dentelle, tissu, soie. Certaines même (strings) me paraissaient dérisoires, je me demandais même si cela faisait réellement office de culotte. Mon érection reprenait de plus belle, et ma culpabilité un temps effacé par le spectacle reprenais alors que j?ouvrais le second et avant dernier tiroir. Alors qu?un grand nombre de soutiens gorges très variés s?offrirent à moi, je ne pu m?empêcher de défaire la braguette de mon jean, et soulager l?étreinte qu?il imposais sur mon sexe déjà bien dur. Mes mains commencèrent alors délicatement à prendre ces délicieux soutiens gorges. J?était comme un enfant dans un magasin de jouet, je ne savais par ou commencer, mais une chose était sure, c?est que je voulais toucher à tout.

    Mes mains se baladèrent sur ces bonnets amples, parfois balconnets, parfois armaturés, il me semblais toucher en vrai ce que j?admirais souvent sur les catalogues de vente par correspondances que tous les jeunes de mon age avaient sûrement déjà feuilleté aux pages sous-vêtements féminins.

    Mais là, en taille bien supérieures aux tailles présentées par les mannequins de ces catalogues. Je me mit en recherche de la taille de ces monuments de désirs, sur les petites étiquettes. Je fut étonné de constaté que plusieurs tailles étaient représentée, 90C, 90D, et 95B. Je m?empressais alors de choisir un modèle, et de le placer sur le lit, un peu au-dessus d?une petite culotte sélectionnée. J?imaginais à l?intérieur de ces deux bouts de tissus son corps. Je bandais tellement fort que ma main vint vite tenter de soulagement mon membre, en le bralant volontairement. J?imaginais ses seins emprisonnés dans ce soutient gorge noir, ses tétons durcis pointant à travers la fine épaisseur de dentelle, son sexe chaud finement recouverts de ce tissu soyeux, alors que le mien venais de me faire jouir en quelques secondes.

    Je regardait hébété la situation, et une honte absolue vint en mois alors qu?avec un mouchoir en papier j?essayais d?essuyer au mieux les traces de mon plaisir laissé un peu partout autour de moi. Alors que je réfléchissais comment ranger ses sous-vêtements tels que je les avait trouvés. La porte d?entrée claqua d?un bruit sourd. Mon coeur failli lâcher.

    Elle entra dans sa chambre, la haut de son tailleur déboutonné et fut stoppé nette en me voyant debout planté au bord de sont lit. Elle me regarda d?un air sévère et dit :

    - ? Que fait tu là ?!? ?

    - ? euh…. ?, bredouillai-je, j?étais pétrifié et ma belle aisance de ce matin était envolée.

    Elle semblais aussi peu décidée quant à la suite qu?elle allais donner à cette situation. Je le vis dans son regard, qui malgré la sévérité qu?il m?imposais, laissais apercevoir une sorte de flamme douce et sensuelle.

    Ses yeux se posèrent sur les dessous que j?avais posé sur le lit. Après quelques secondes, son visage s?adoucit, et ses yeux plongèrent profondément dans les miens :

    - ? Tu est un petit coquin non ? ?

    Ce ton maternel, et son regard sauvage mis la confusion en moi, et évidement, je ne pu répondre quoi que ce soit.

    Elle s?approcha de moi. :

    - ? Tu ne préfères pas toucher ceux que je porte ? ? me dit elle alors que sa main prenait la mienne, et l?emmenât sous mon chemisier, qui était entièrement déboutonné mais qui cachais complètement sa poitrine.

    Le contact de ma main avec la peau de son ventre chaud me fit bander à nouveau. Je ne pensais plus a rien. Ma main fut alors dirigée à la base de sa poitrine. Je sentais son coeur battre très sereinement, alors que le mien aurait volontiers sauté à travers la pièce s?il n?était pas retenu dans mon buste. Sa main, sans desserrer son étreinte dirigea alors ma main droite vers son sein gauche. Ses yeux guettaient mes réactions, comme un fauve guette sa proie, mais j?était une victime facile, car incapable de contrôler quoi que ce soit, mes yeux hypnotisés fixaient vaguement le mur derrière elle. La rondeur de son sein me semblait énorme, alors que ma main guidée par la sienne découvrait petit à petit cette merveille. Mon sexe ne tenais de nouveau plus dans mon pantalon, et l?apogée fut atteint lorsque je me décidait à regarder ce que faisais ma main.

    Son chemisier était enfin ouvert, et laissait paraître ses deux seins, bien recouvert par un soutient gorge blanc, les bonnets étant pour moitié faits de tissu, et pour moitié de dentelle. Ils semblaient énormes, deux bosses magistralement bombées, dans lesquelles j?aurais aimé me noyer. La partie haute des bonnets en dentelle, laissait entrevoir ses tétons, gros et ronds. Ma main maintenant libre empoignais maintenant cette masse tendre, et la massait doucement. J?étais guidé par mon instinct.

    Fin 1

    Suite 1

    Ayant retrouvé ses deux mains, elle se mit à défaire ma braguette, et libera mon sexe, qui se dressais en avant.

    - ? dit moi, tu fera des heureuses dans quelques années ! ? dit elle, comme si elle avait deviné que j?était vierge.

    Pourtant, beaucoup de garçon de mon age avait déjà vécu leur première expérience.

    - ? Tu sais, j?ai deux seins, tu as deux mains, la nature est bien faite ? continuais elle, avec un léger sourire.

    Après un sourire crispé, ma deuxième main se plaça sur son autre sein, qui me paru plus dur que son compère que ma main s?y était placée pour la première fois. Après quelques caresses un peu plus assurées, je me rendais compte que ses seins s?étaient raffermis par mon contact. Comme si elle lisais dans mes pensées, elle dit toujours très sereinement

    - ? tu voit, ils aiment ça ?

    Sa main droite se mis à branler mon sexe, alors que la main gauche effleurais mes testicules. Elle se rendit compte que ces simples caresses allaient me faire jouir immédiatement, elle retira ses mains. Elle s?assis sur le lit. Elle me saisi par la taille et me plaça juste en face d?elle, à 20cm du bord du lit. Sa bouche était au niveau de mon sexe, et ce dernier pointait vers elle, rouge de désir. Mon coeur failli à nouveau s?arrêter, imaginant ce qu?elle allait me faire.

    - ? je vais te faire jouir tout doucement ?

    Ces mots me firent brûler d?envie, et je n?arrivais pas à faire un seul geste, et penser à quoique ce soit, a part à cette bouche pulpeuse, soulignée d?un rouge à lèvre légèrement brillant, qui me disais de tels mots.

    - ? Je vais promener ma langue sur ton gland … ? me dit elle juste avant que sa langue rose brûlante viennent caresser mon sexe. Cette langue brillante de salive, pris vite ses marques que mon sexe.

    - ? Puis, je vais mettre ton sexe dans ma bouche….complètement ?

    Ses paroles résonnaient comme des menaces, d?un bien belle torture. Ses lèvres s?entrouvrir un peu plus pour engloutir mon gland. Une impression de chaleur et de douceur me coupa de la réalité, mes yeux rivés au plafond, je sentais mon membre s?engouffrer dans sa bouche, toujours plus profond. Une fois au fond, tout du moins, au plus profond que mon sexe pouvais rentrer, elle lâcha son étreinte buccale.

    - ? Regarde moi, c?est ta punition pour avoir visité mon intimité de la sorte… ?

    Je ne pu baisser les yeux tout de suite. Je sentis sa bouche faire un va et vient rapide autour de mon sexe. Comment imaginer qu?elle faisait sa toute seule, j?avais l?impression que plusieurs langues et plusieurs bouches s?affairaient pour me faire jouir.

    Tout tournais autour de moi, je retenais un cri rauque qui voulais sortir de ma gorge, et me décidait à regarder le spectacle. Quel spectacle que sa main droite fermement scotchée à la base de mon membre, sa deuxième main devant sa bouche, suivant le rythme effréné de ses sussions jouissives. Des petits bruits humides sortaient de sa bouche, qui comme une lionne dévorant sa proie, se régalais de mon membre. Ses yeux félins dévorant les miens, fut la dernière vision que j?eue avant que mon sexe ne remplisse sa bouche de mon sperme. Elle avala goulûment ce mélange de sperme et de salive, et alla délicatement chercher le long de mon sexe la moindre goutte de ce mélange de sperme et de salive.

    Après quelques secondes, elle se leva, s?approcha de la porte et me dit comme si de rien n’était :

    - ? Bon, allons voir la liste ensemble, et demain, tu te met au travail d?accord ? ?

    - ? OK ?, furent les seules syllabes que je pu prononcer. Je me rendit compte que c?était les deux premières depuis qu?elle m?avais surprise dans sa chambre.

    Alors qu?elle était déjà partie dans le salon, j?allais la rejoindre, et eu pour le reste de la journée, une aisance que je n?avais jamais connu auparavant.

    Nous nous séparâmes la nuit venue, en échangeant simplement un geste amical et un sourire.

    J?allais me coucher après avoir mangé un rapide encas, un peu abasourdit par ce qui venait de m?arriver, mais avec la lucidité de penser que je devais prendre des forces, car les vacances allaient être longues.

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