Nous rentrons de Bordeaux par lautoroute, il fait beau et le trafic est très fluide en cet après-midi de printemps. Fanny regarde par la vitre, perdue dans ses pensées. Je roule tranquille, les deux mains sur le volant, et me dit quune seule main suffirait et que lautre serait mieux sur la cuisse de ma femme Je décolle ma main droite et la pose doucement sur sa cuisse. Elle me laisse faire et écarte doucement ses jambes pour me faciliter la tâche. Je relève sa jupe jusquen haut, ce qui me permet de profiter du spectacle de temps en temps, car jévite de quitter la route de yeux Nous dépassons un camion et elle rabaisse sa jupe et resserre les cuisses par pudeur. Une fois le dépassement effectué, je la remets dautorité dans la position initiale : jupe relevée le plus haut possible et jambes largement écartées Ma main caresse sa cuisse de haut en bas, et sattarde de plus en plus vers lintérieur, en haut Jécarte dun doigt son slip et caresse sa toison, puis ses grandes lèvres. Surprise, elle referme les cuisses mais je les lui écarte à nouveau Je lui demande denlever son slip qui me gêne, elle résiste un peu puis abandonne la lutte, me donne lobjet désiré, et me laisse faire tout en continuant à regarder dehors, appuyée contre lappui-tête. Mon doigt glisse le long de ses lèvres. Je les parcours de bas en haut, les pince délicatement, et constate quelles sont trempées Je souris et en profite pour glisser un doigt curieux à lintérieur de sa chatte, qui noppose pas de résistance à cette intrusion Mon doigt fait des va et vient lents et réguliers, je jette un il rapide et apprécie le spectacle qui mexcite beaucoup je marrêterais bien sur la Bande dArrêt dUrgence pour la sauter Nous approchons à nouveau dun poids-lourd et elle tente de refermer les jambes mais je len empêche jai décidé de doubler le camion dans cette position, une main sur le volant et lautre plongée entre les cuisses grandes ouvertes de ma femme jaccélère à peine et le dépassement est lent, très lent, je roule à peine plus vite que le camion je surveille le chauffeur dans le rétroviseur du camion lorsque jarrive à sa hauteur et je vois avec plaisir ses yeux exorbités !!! Avec le pare-brise panoramique de notre monospace, il doit avoir une vue imprenable sur les cuisses largement écartées et mes doigts plongés dans la jolie chatte ouverte ! Fanny a également remarqué que lhomme nous avait vus et elle sourit derrière ses lunettes de soleil, apparemment ravie de sa petite exhibition ! Nous continuons notre chemin comme ça, offrant un spectacle inoubliable aux rares camions que nous avons à dépasser. Certains semblent de pas nous voir, absorbés dans leurs pensées, mais dautres se rincent lil sans vergogne et semble apprécier le spectacle ! Je décide de marrêter à la prochaine aire dautoroute afin dassouvir un besoin naturel et de faire la petite pause dont la sécurité routière nous rabat les oreilles Elle fait de même et nous nous retrouvons à la sortie des toilettes. Là, surprise, un camion est arrivé entre temps et je me dis quil a dû reconnaitre notre voiture Le chauffeur descend de sa cabine se retrouve sur notre passage, sourire aux lèvres. Il nous dit bonjour, nous lui répondons poliment, sans plus. Il nous demande « vous avez déjà visité un poids-lourds comme celui là ? Cest la Rolls des poids-lourds, vous serez épatés ! » Fanny me regarde et je réponds à lhomme « pourquoi pas ? ca doit être sympa, quest ce que tu en penses chérie ? » elle répond que oui, et lhomme ouvre sa porte pour faire monter ma femme dans la cabine. Les marches sont hautes et lhomme la prend fermement par les hanches pour lui éviter de glisser, et, volontairement ou pas, son geste fait remonter la jupe de Fanny suffisamment haut pour avoir une vue imprenable sur ses fesses et même une bonne partie de son intimité puisque la culotte de ma femme est toujours dans ma poche il est visiblement surpris mais nen perd pas une miette et la complimente sur la beauté de ses jambes. Je la vois rougir, elle vient de se rendre compte quil a dû se rincer lil outrageusement elle sassoit au volant comme si de rien nétait et lhomme lui explique fièrement lusage des innombrables boutons et manettes, on dirait un tableau de bord dAirbus Par moments il doit se pencher pour actionner une manette et ne se gêne pas pour poser sa grosse main sur sa cuisse pour prendre appui, et bien sûr il oublie de lenlever lorsque ce nest plus nécessaire et se frotte contre elle plus que de raison En tenant le volant, il teste innocemment avec son avant-bras la fermeté de la poitrine de Fanny. Il doit sentir à travers le mince chemisier que ses tétons sont gonflés et pointent fièrement ! Je suis en bas, devant la porte de la cabine, et je souris de son manège grossier et de le voir draguer ma femme aussi ouvertement. Il lui propose de continuer la visite. Elle se glisse sur le siège du fond tout en jetant un il discret sur la protubérance que lon ne pouvait pas manquer au niveau de la braguette du routier Il bande toujours depuis le spectacle involontaire offert par ma femme lors de la montée des marches. Il la suit tout en la dévorant du regard car le mouvement a encore fait remonter un peu plus sa jupe. Je monte côté conducteur en refermant doucement la porte. Il recommence à lui vanter les mérites de son engin, et elle regarde partout, en évitant de croiser son regard pour le laisser se rincer lil à sa guise Elle est fière dêtre lobjet de toute notre attention. Elle remarque un rideau derrière les sièges et lui demande ce que cest. Il répond que cest sa chambre, ouvre le rideau, et nous fait découvrir une cabine de repos très spacieuse, tapissée de photos de femmes nues dans des positions suggestives Il lui demande de lexcuser et lui explique quil voyage seul loin de sa famille parfois pendant plusieurs semaines. Elle lui demande sil arrive à bien dormir dans une cabine de camion, il répond que oui, et lui propose de lessayer Curieuse elle passe derrière et sallonge pour tester le confort de la couchette. Il sagenouille devant elle et elle se retrouve pratiquement coincée sur la couchette, lhomme lui barrant le passage vers la sortie il pose sa main droite sur le genou de ma femme puis remonte doucement vers le haut de sa cuisse tout en la regardant droit dans les yeux. Gênée, elle tente de se relever pour se dégager mais il appuie sa main gauche sur sa poitrine et loblige à se rallonger ! Elle proteste devant tant daudace mais il nécoute pas et déboutonne le chemisier de ma femme avec sa main gauche tout en continuant à promener son autre main sur sa cuisse. Elle lui demande darrêter immédiatement, quil va trop loin, mais il répond « tu faisais moins la fière dans ta voiture, avec les jambes bien écartées ! ». Elle vient de comprendre que lhomme lavait vue sexhiber en le doublant et que maintenant il voulait tâter la marchandise promise… Rouge de honte, paralysée à la fois par la peur et lenvie, elle ferme les yeux, en se disant que finalement cette situation avec un inconnu lexcite beaucoup et que de toutes façons elle na guère le choix… Le routier a maintenant entièrement défait et écarté le chemisier, et malaxe plus quil ne caresse les seins de Fanny pendant que son autre main se glisse sous sa jupe et se plaque sur sa chatte. Il est agréablement surpris de sentir directement sa toison ! ma salope, tu nas pas remis ta culotte ! sexclame t-il, ravi et admiratif. Il la caresse quelques instants puis lui relève la jupe et examine longuement lobjet de sa convoitise elle ne lui facilite pas la tâche mais il sen moque, il est le plus fort et fera delle ce quil voudra. Elle serre les cuisses pour lempêcher daller trop loin mais elle provoque leffet inverse de celui recherché lui, il pense quelle y prend du plaisir et quelle veut lempêcher denlever sa main ! Il lui replie les jambes puis les écarte complètement et admire sa chatte ouverte avec ravissement avant dy plonger un doigt inquisiteur et de la fouiller sans ménagement au plus profond de son intimité déjà trempée elle sursaute mais ne dit rien, elle est à la fois morte de honte et terriblement excitée de se faire doigter par un inconnu, sur un parking où on pourrait la surprendre il lui pelote les seins, dont les pointes lui font mal tellement elles sont dures, lautre main lui caresse la chatte de long en large, parcourt sa fente, plonge ses gros doigts à lintérieur, et elle se surprend à ne plus protester, et même à trouver cela agréable Elle tourne la tête vers la cloison afin de ne pas lui montrer quelle commence à y prendre goût, mais le type le sent bien et ne se prive pas de le lui faire savoir par un peu galant « mais tu mouilles en plus ! ». il en abuse tranquillement, un doigt, puis deux elle est tellement trempée que lhomme les introduit et fait des va et vient sans difficulté elle essaie tant bien que mal de résister à la montée du plaisir mais son corps la trahit Il se penche en avant et lui lèche les seins, puis lui aspire les bouts pendant que sa main continue de la doigter sans ménagement. Malgré elle, ses reins ondulent et vont à la rencontre des doigts pour leur faciliter le travail et leur permettre de sintroduire toujours plus loin. Lhomme explore chaque recoin de son intimité, le moindre centimètre carré na plus de secret pour lui. Il na plus besoin de lui écarter les cuisses car delle-même elle les écarte largement et elle trouve finalement bien agréable de sabandonner ainsi à la perversité du mâle La main de Fanny est coincée entre sa cuisse et le pantalon du type. Elle sent une bosse qui lui semble énorme au niveau de la braguette et la touche plus ou moins involontairement. Elle la pince doucement de haut en bas pour en apprécier la taille et la raideur. Le routier se sent encouragé et lui dit « elle te fait envie ma queue ? je suis sûr que tu nen a encore jamais vue comme celle là ca va te faire du bien, trempée comme tes» il joint le geste à la parole, ouvre sa braguette et sort un engin véritablement imposant. Par pure curiosité féminine, elle relève la tête pour le regarder et en reste bouche bée Il prend la main de ma femme et lenroule autour de sa queue, dont elle peut à peine faire le tour avec ses doigts ! Pendant que lhomme plonge à nouveau ses doigts dans son intimité, elle fait glisser sa main autour de lengin et le branle doucement, puis caresse les bourses quelle soupèse pour en estimer la taille et là aussi elle est surprise du volume, les réservoirs semblent pleins… Elle tire sur la peau et décalotte le gland gonflé. Il se penche à nouveau mais cette fois cest entre les cuisses que sa langue se pose. Il lèche les grandes lèvres en exprimant bruyamment son plaisir de gouter au nectar intime de Fanny pendant quelle le masturbe « quelle salope, tes trempée » . Il introduit sa langue dans son petit trou et elle gémit de plaisir en ondulant les hanches et en remuant sa tête en tous sens, les yeux fermés. Le gars est très excité (moi aussi dailleurs, ce spectacle méchauffe pas mal) et ordonne à ma femme de se mettre en levrette, les genoux sur le sol de la cabine. Le passage de transmission fait une grosse bosse sur le sol et oblige Fanny à écarter les cuisses de part et dautre. Il lui relève la jupe en haut des reins, de manière à bien lui dégager les fesses. Il les caresses et lui dit quelle a vraiment un beau cul et quil va lui défoncer la chatte et la remplir de sperme ! Elle doit être effrayée vu la taille de la bête quelle vient dapercevoir, mais il nhésite pas et présente son gland à lentrée de la fente encore inondée. Elle pousse un cri de surprise en prenant conscience de la taille du pieu de chair qui va la pénétrer mais il pousse fermement et commence à senfoncer lentement. La nature est bien faite car malgré elle, les lèvres sécartent docilement sous lassaut viril et finissent par avaler entièrement lénorme gland. Elle souffle et sa respiration se fait plus bruyante. Lhomme la tient fermement par les hanches. Il pousse encore et son mandrin continue de senfoncer entre ses cuisses, puis finit par disparaitre, comme avalé ! Elle à limpression détouffer tellement cette queue lui remplit le ventre et elle accélère encore sa respiration. Elle a envie de sentir le liquide chaud couler en elle et dun coup de rein donne le signal de départ au mâle. Lhomme est ravi de se sentir encouragé et commence à la ramoner à grands coups de piston. Elle halète et laisse bientôt échapper des petits soupirs espacés. Il posé les mains sur chaque fesse de Fanny, les écarte pour mieux admirer son petit trou, et yenfonce vigoureusement son pouce. Il lui dit « cest ca que tu voulais salope, tes vraiment une chienne.. Tu la sens ma queue ? Tu aimes ca ? Vas-y dis le !» Devant son insistance, elle répond dun « oui » timide entre deux gémissements. Et lui : « dis le plus fort salope, tu laimes ma queue ? je veux tentendre ! et ne mens pas, tu es complètement trempée ! » elle lui crie « oui !!!» lui : « je vais te défoncer le cul, je vais te faire jouir comme une chienne en chaleur » elle « Ooouui vas-y ! Cest bon, je la sens humm elle est groooosse.humm vas-yooooh ooooouuiii» il accélère le rythme et ses hanches cognent contre les fesses de Fanny, il linsulte et lui dit les pires insanités, elle répond toujours « oui » . il commence à se répandre dans sa chatte, elle ressent chaque giclée du sperme brulant au plus profond de son corps et les accompagne dun gémissement qui traduit la force de chaque coulée épuisé, il ne bouge plus mais elle ondule encore doucement comme pour le vider jusquà la dernière goutte de sa semence. Il reste planté dans la chatte de ma femme, complètement emmanché. Quand il sent que sa queue a diminué de volume, il la retire doucement, et une fois entièrement sortie japerçois une grande coulée blanchâtre sortant du vagin encore dilaté et coulant sur les cuisses de Fanny. Il a dû la remplir copieusement pour que ca déborde autant ! Il la fait se retourner et présente sa queue devant la bouche de ma femme. « Suce-moi » ordonne t-il. Elle hésite une seconde, il insiste et lui tient la tête, puis elle approche sa bouche de la queue qui vient de la faire jouir. Elle sort sa langue et la passe sur bout du gland, récoltant une goutte qui était restée là, puis fait le tour de lengin en léchant doucement et quasi religieusement chaque centimètre carré de bite, comme pour la nettoyer de la moindre trace de leurs ébats Elle revient vers le bout puis lavale, mais elle ne peut aller très loin étant donné le diamètre inhabituel de cette queue elle se contente de sucer et aspirer le bout du gland, et ne tarde pas à redonner une belle vigueur au pieu qui la ravagée si délicieusement. Le gars la complimente en lui disant quelle suce « comme une pro », pas très romantique mais bon « putain tu ma refais bander je vais moccuper de ton petit cul, il doit être bien serré sil est comme ta chatte » elle sinquiète et ne souhaite pas quil passe à lacte, il la déchirerait avec un tel engin ! Elle décide de prendre les devants, se saisit de la queue et la branle vigoureusement. Au bout de quelques secondes à ce rythme effréné, elle lui fait cracher une dernière giclée, qui atterri sur sa poitrine et coule entre ses deux seins. Elle sessuie la poitrine et les cuisses puis nettoie consciencieusement la queue encore gonflée qui vient de lui procurer tant de jouissance Le routier lui caresse affectueusement les seins et les fesses une dernière fois avant de la laisser partir en lui disant quelle est bonne et quil la rebaisera quand elle voudra, et me dit «merci pour la partie, amusez vous bien ce soir, je penserai à vous ! » elle finit de se rhabiller tant bien que mal, et nous repartons sans demander notre reste après cette demi-heure de pure folie