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Choc culturel…et gynécologique ! – Chapitre 6




Françoise, dans son cabinet, repensait à la soirée malheureuse d’hier, avec son mari. Une défaite humiliante de plus à son actif !

Mais que lui arrivait-il, nom de Dieu ? Lui si doux, si respectueux des femmes, si chaste… à peine un rapport sexuel par semaine… et encore toujours en utilisant des positions très sages !

Et maintenant, il lui demandait des informations très indiscrètes sur les paraphilies de ses patients et patientes !

Elle se doutait bien qu’il y avait un truc qui ne collait pas dans son comportement.

Depuis plusieurs jours, elle devait chaque soir, en revenant du travail, lui révéler des détails toujours plus scabreux, sur les déviations sexuelles des gens qu’elle essayait de soigner… un bien grand mot. Alors, elle se résignait à lui expliquer les penchants pour la soumission violente de l’une d’elles, des fantasmes de zoophilie d’une autre, avec passage à l’acte pour cette Clara qui ne rêvait plus que de faire l’amour avec son chien. Et maintenant cette fille complètement barge voulait le faire devant son mari, mais elle ne savait pas comment le lui annoncer, et comment il réagirait ?

Et Thomas, avec sa mère incestueuse et si friande de tortures et sévices divers, imposés par son fils, devant les deux domestiques de la maison, et leurs orgies toujours plus dégueulasses !

Françoise n’en pouvait plus de remuer toute cette merde ! Et sortie de son cabinet, elle devait se replonger dans tous ces dossiers putrides, et décrire à son mari ce qu’elle avait entendu durant la journée. Elle voyait bien que Saddam se délectait de toutes ces horreurs, lui, qui la semaine d’avant, était complètement dégoûté, ne fût-ce qu’en voyant deux amants s’embrasser goulûment dans la rue !

Or, son mari en voulait toujours plus, toujours plus de détails, d’histoires croustillantes… Elle voyait son sourire vicieux à l’énoncé de toutes ces perversions, et ses yeux brillants de luxure. Et toujours après, il la" baisait"! Oui, il ne lui faisait pas l’amour, comme avant, mais il la baisait, la défonçait littéralement en poussant des clameurs perverses, en la traitant de tous les noms, et en faisant des choses qu’elle n’aurait jamais imaginées de lui ! Il la prenait en levrette comme un soudard, visitait de plus en plus de positions plus ou moins scabreuses. Quand il la prenait sauvagement, elle l’entendait la traiter de putain, de grosse salope… Hein, tu aimes ça, pouffiasse, tu la sens ma queue dans ta petite chatte de chienne en chaleur, je vais te bourrer, je vais te faire crier tellement tu vas jouir !

Chaque mot était devenu une lame chauffée à blanc qui lui pénétrait le cerveau, et qui lui vrillait chaque fois un peu plus les nerfs. Et Françoise subissait les assauts de son mari. Certes, elle prenait aussi son pied, mais tous ces assauts sans chaleur, sans amour, sans humanité, cela la terrifiait, venant de l’homme qu’elle avait toujours aimé et chéri. Alors le reste du temps, elle se sentait sale… sale à avoir accepté tout cela, sale à en avoir joui parfois à gorge déployée !

Seulement, voilà, elle, la sexologue éprouvée, ne savait pas comment se sortir de ce piège. Conseiller les autres, elle savait le faire… mais appliquer ses propres principes et connaissances à son couple, elle n’y parvenait pas. Cordonnier mal chaussé !

Elle avait peur de refuser quelque chose à Saddam, de le blesser, de le perdre en définitive… car elle sentait bien qu’il serait alors capable d’aller voir ailleurs, de trouver chez une autre ce qu’il ne pouvait avoir avec sa femme. Et il en voyait des chattes tous les jours… normal, pour un gynécologue. Et lui, le médecin, le savant du quartier, plutôt bel homme, n’aurait aucun mal à se trouver une créature prête à toutes les bassesses, pour devenir la maîtresse du "grand toubib de la cité" !

Alors, elle cédait chaque jour un peu plus de sa dignité de femme libre, elle devenait petit à petit la chose sexuelle de son mari. La dernière fois, quelques jours en arrière, elle avait cédé, "échangée", une soirée spéciale dans une boîte très particulière elle aussi, contre la sodomie qu’elle lui refusait.

Hier, cela avait été le contraire. Saddam voulait retourner dans la boîte "particulière", et la voir se soumettre à d’autres hommes. Elle avait alors proposé à Saddam de se laisser enculer; le mot était sorti comme cela de sa bouche pour éviter de se trouver au centre d’une orgie dans la boîte échangiste. Saddam s’était alors régalé à déflorer sa femme par-derrière… tout compte fait, cela n’avait pas été aussi douloureux que Françoise l’aurait cru… Sur la fin, elle en avait même éprouvé du plaisir ! Mais quelle bassesse, dans quelle dépravation se retrouvait-elle un peu plus chaque jour ! Elle se dégoûtait, elle-même, d’accepter les propositions toujours plus salaces de son mari, et d’y trouver un certain plaisir… La question était : jusqu’où cela allait-il continuer ?

Alors que sa dernière patiente avait annulé son rendez-vous in extremis, Françoise se remémora la soirée qu’elle avait passée le samedi dernier. Elle repensait avec frisson à la sensation qu’elle avait eue, quand le type avait commencé à la doigter, alors qu’ils étaient assis tous les trois au bar, sur ces chaises hautes, elle, le pubis à découvert !

Elle avait apprécié la caresse de l’homme, de cet inconnu, qui prenait possession de son sexe sous les yeux de son mari. Mi-honteuse, mi-excitée, elle lui avait lancé un regard implorant comme pour dire : Saddam, ne le laisse pas abuser de moi ainsi !"

Mais, elle avait lu dans le regard de son mari un excès de concupiscence et de vice qu’elle ne lui avait jamais connu. Visiblement, il adorait voir sa femme se faire masser le sexe ainsi. Alors, elle s’était abandonnée, grisée par l’atmosphère du lieu, et la vodka qui lui réchauffait l’esprit. Et puis, ils étaient descendus avec l’homme, dans les sous-sols. Alors Françoise avait compris, en voyant les scènes qui se déroulaient autour d’elle, les gens enlacés, à moitié nus sur les sofas, les chambres munies de carreaux de verre, permettant aux voyeurs d’observer les couples ou les groupes, qui se livraient à toutes les luxures possibles et inimaginables : son mari l’avait emmenée dans une boîte à partouze !

Quand l’inconnu l’emmena dans un box, avec un lit et des anneaux fixés au plafond, elle s’était laissée enchaîner, les bras levés; prise au piège. Alors, l’homme l’avait enlacée et l’avait embrassée voluptueusement, sa langue avait suivi celle de l’homme. Elle avait apprécié ce baiser fougueux, tandis que le type avait baissé la fermeture éclair de sa robe si courte…

Le vêtement à terre, elle s’était retrouvée nue, en bas et porte-jarretelles, livrée, attachée à la convoitise de l’homme, qui la caressait fébrilement sous tous les angles. Elle gémissait de ces contacts clandestins, tandis qu’elle regardait son mari se régaler de la déchéance sexuelle de son épouse. L’homme ordonna alors à Saddam de s’approcher d’eux :

Toi le mari, ça te plaît de me voir avec ta femme, je vais la baiser cette salope ; aide-moi à lui relever le bassin.

Et servilement, Saddam se plaça derrière son épouse, et tout en lui soulevant les fesses et les cuisses, pour qu’elle présente son sexe ouvert et humide à l’homme, il lui enfonçait un majeur dans l’anus. Bizarrement, Françoise qui n’aimait pas la sodomie et ne l’avait jamais pratiquée se délecta à ce doigt qui pénétrait sa dernière virginité. Mais quand elle vit l’homme baisser son pantalon et exhiber un très beau phallus bien érigé, elle eut un mouvement de panique :

Non ! Saddam, s’il te plaît, ne le laisse pas faire, je ne veux pas être pénétrée par un étranger. Caressez-moi, léchez-moi, mais pas de pénétration !

L’homme un peu déçu regarda Saddam qui, embarrassé, opina du chef, et alors il se mit à embrasser sa femme, à lui caresser et lui pincer les seins, tandis que le type qui s’était rhabillé avait sa tête entre les cuisses de Françoise, et qu’il lui dévorait avidement le sexe !

Puis le couple était rentré chez lui, avec un Saddam boudeur, qui ne décocha pas un regard ni une parole à sa femme. Pour lui, ce n’était que partie remise ! Cela, Françoise en avait bien conscience !

Alors, le reste de la semaine avait été une longue descente dans la déchéance sexuelle. Saddam exigeait que sa femme aille au travail dans des tenues toujours plus osées et découvertes. Robes moulantes, petites jupes minimalistes, chemisiers largement échancrés, petits tee-shirts très serrés, qui laissaient apercevoir les pointes toujours en érection de ses seins. Et évidemment jamais rien en dessous, à part le sempiternel porte-jarretelles et la paire de bas; uniquement, des bas en couture ou résille ! Visiblement, Saddam voulait que tout le monde comprenne que sa femme était désormais une "femme publique", toujours nue sous ses tenues extravagantes. Et Françoise acceptait tout… par amour, par peur de perdre son mari, mais aussi par défi et par jeu. Elle devait s’avouer à elle-même qu’elle commençait à s’exciter de tout ce que son mari lui faisait faire.

Elle se demandait simplement, quand il lui demanderait de baiser avec ses patients et patientes, cela, elle n’en doutait pas… avec preuves photo ou vidéo à l’appui !

Comment réagirait-elle à cette demande? Elle n’en savait encore rien !

Deux jours auparavant, Saddam avait trouvé une nouvelle lubie ; il lui avait apporté une cravache, et la lui avait passée sur tout le corps, n’osant pas encore la frapper avec… une question de temps, selon Françoise. Elle ne retenait que sa phrase, quand il lui avait passé vigoureusement la cravache sur ses nymphes, en lui branlant le clitoris :

Ça te plaît, hein, Sharmouta, de sentir la cravache sur ta chatte ?

Une sonnerie tira la thérapeute de sa rêverie, son dernier patient de la journée venait d’arriver, le jeune Thomas !

Françoise, revêtue d’une robe de cuir moulante assez courte, vint accueillir le jeune débauché. Celui-ci écarquilla les yeux quand il vit sa thérapeute, jusque-là toujours habillée de façon conventionnelle, être attifée comme une pute ! Il ne se gêna pas pour émettre un sifflement admiratif, et mater les cuisses recouvertes de bas résille.

Françoise s’était fait une raison :

Bonjour ! Thomas, et bien, quelle est donc la cause de ce regard libidineux ?

Ben, vous, Madame, vous êtes terriblement …

Bandante ?

Oui, oh putain, j’ai pas l’habitude !

Françoise haussa les épaules, et accompagna le jeune homme dans son bureau, qui s’assit de façon désinvolte, le regard fixé sur l’entrejambe de la femme. Saddam avait fait changer l’austère bureau en chêne, bien clos de partout, pour un modèle "design" en verre. De n’importe quel angle de vue, Françoise avait les jambes et son corps exhibés jusqu’à la taille. Il ne lui restait plus, pour protéger son intimité dénudée, qu’à tenir les cuisses fortement serrées.

Tu peux te concentrer, et avoir le regard ailleurs que sur ma chatte, s’il te plaît. Tu viens ici pour te soigner… Enfin c’est un bien grand mot. Alors, quelles saloperies as-tu encore faites avec ta mère ?

Françoise s’attendait à tout, au pire surtout, venant du jeune homme. Pourtant un truc la tracassait.

Dis-moi, de quelle ethnie est le gynéco que ta mère va voir ?

Quelle quoi ?

Pour faire simple c’est un "rebeu" ou un autoch… non, tu ne vas pas comprendre le mot… bon disons un "blanc" ?

Un "rebeu", un Tunisien, je crois. Pourquoi c’est important ?

La nouvelle glaça le sang de Françoise… un doute horrible faisait surface dans son esprit.

Tu m’as bien dit qu’il aimait passer sa cravache sur la chatte de ta mère… et que lui disait-il à ce moment-là ?

Un truc en arabe, mais ça devait pas être un compliment, gloussa le jeune homme.

Heu… tu m’as dit l’avoir filmé ? Tu peux me montrer la vidéo, si tu l’as encore ?

Ben oui, mais je croyais que vous vouliez pas voir ? C’est hard quand même !

J’ai changé d’avis ! Le ton était sans concessions !

Et Françoise vit la mère de Thomas, nue, écartelée sur les étriers de la table gynécologique, le sexe monstrueusement ouvert et brillant, avec un homme de dos, qui brandissait une cravache pour supplicier la femme. Évidemment, les larmes aux yeux, elle reconnut, la cravache tout de suite, et quand l’homme s’adressa à la soumise, elle reconnut la voix de son mari.

Anéantie, les larmes aux yeux, elle repoussa le smartphone. Puis elle se mit à pleurer silencieusement… elle comprenait tout à présent ! Le changement d’humeur de son mari, sa libido décuplée, ses vices odieux. Son amour était tombé entre les griffes de ces deux dégénérés.

Et bien, Madame, qu’est-ce qui se passe ?

Le… le docteur de ta mère, ce type monstrueux sur la vidéo… c’est mon mari !

Non, c’est pas vrai ! Ah ! Merde, je suis désolé ! Je pouvais pas savoir ! roucoula un Thomas, hypocrite au possible !

Je… je sais !

Un grand silence s’installa entre les deux. Françoise, les yeux dans le vague, avait tous les muscles relâchés. Les coudes sur le bureau, la tête ensuite enfouie dans ses mains, elle pleurait sans relâche. Pendant ce temps, Thomas, le "faux idiot incapable", mais à l’intelligence perfide et dévoyée, savourait sa vengeance et la réussite de son plan… Il lui fallait à présent donner l’estocade. Il attendit un peu que la thérapeute soit encore plus désorientée. Pendant ce temps, il se régalait à mater le sexe de la femme, celle-ci était avachie sur son siège, cuisses grandes ouvertes… plus rien n’avait d’importance pour elle ! Il savait que sous peu, il prendrait possession de cette femme perdue, trahie, et bientôt abandonnée à tous ses caprices sexuels… Fixant la vulve sous le triangle de poils noirs, il salivait à l’idée d’en faire son prochain terrain de jeu !

Vous savez, c’est triste ce qui vous arrive, mais il y a des trucs sympas dans la vie. Passez donc à notre propriété demain soir. Ma mère et moi, on saura vous redonner le goût de vivre.

Non ce soir ! Je serai là à 21 heures.

Françoise avait relevé la tête, une lueur de haine et de défi dans les yeux. Thomas en fut presque effrayé !

Je suis désolée, mais j’écourte ta séance, je ne suis plus capable de continuer. On en reparle ce soir.

Et Françoise ramena le jeune homme jusqu’à la porte du cabinet. Celui-ci profita de la proximité de la jeune femme, pour lui passer la main sur les fesses. Il voulait se rendre compte si la proie était prête… La paume découvrit le similicuir de la robe, et se posa sur une fesse nue, barrée d’une jarretelle, dont elle prit possession. Françoise ne s’offusqua même pas du toupet du jeune homme, et se laissa faire. La main caressa les fesses et contourna la cuisse pour avoir accès au pubis… Françoise se laissait faire et ne disait rien, seule sa respiration s’accélérait.

Et puis son cur se mit à battre la chamade ! Elle ressentit une grande sensation de chaleur dans son ventre, tandis que ses nymphes s’ouvraient.

Thomas comprit le trouble de la femme qui cédait à ses propres instincts, et lui glissant deux doigts dans un vagin accueillant et élargi, il lui souffla à l’oreille d’une voix rauque :

Ne t’inquiète pas, ma mère et moi, on va bien s’occuper de toi… On te fera tout oublier !

Françoise, sous le coup d’une excitation démente, acquiesça… et puis referma la porte.

Revenant chez elle, en voiture, dix fois, elle dut se raisonner pour ne pas jeter son véhicule contre un camion ou un bus allant en sens contraire. Arrivée chez elle, elle se déshabilla, revêtit une guêpière avec un dessous de seins, des bas en couture gris, et rien d’autre. S’étant maquillée avec insistance, fard à paupières, rouge à lèvres vif, crayon noir autour des yeux, elle alla jusqu’à se placer un collier de soumis en cuir sur la gorge, avec un anneau bien visible ; puis elle revêtit un pardessus beige. Avec un dernier verre de vodka pour se donner du courage, elle se dirigea vers une adresse que son mari connaissait bien, sans aucun doute ! Celui-ci, absent de l’appartement, avait été invité pour trois jours à un congrès de médecine à Bruxelles.

Arrivée devant l’imposante porte de chêne aux clous forgés, elle sonna sans hésitation.

Elle fut accueillie par la mère de Thomas, qu’elle n’avait encore jamais rencontrée… Elle la trouva tout de suite très désirable, et énigmatique, dans son tailleur anthracite austère. Les deux échangèrent un regard, Françoise comprit tout de suite qu’elle avait trouvé sa Maîtresse… et l’autre, son esclave :

Je suis la thérapeute de votre fils, et incidemment la femme du docteur Saddam, votre amant. Je veux être votre chose pendant deux jours, je veux être fouettée au sang, humiliée, baisée de toutes les façons possibles, et je veux que tout soit filmé. J’ai une immense revanche à prendre, dit-elle, en laissant glisser son pardessus sur le trottoir, apparaissant nue et offerte dans cette rue de Neuilly.

Je comprends, il en sera fait selon votre désir, mais vous allez beaucoup souffrir… et jouir, lui répondit une Céline, qui observait d’un air connaisseur, la nudité très sexy de la thérapeute.

Durant 48 heures, la belle demeure bourgeoise de l’Ouest parisien retentit du claquement des coups de fouet, de cravache, et d’autres instruments cinglants… de même que des cris, de douleur ou de jouissance, d’une femme hallucinée, perdue en Enfer !

Il en avait été fait, tel que selon ses souhaits !

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