Après cette première soirée haute en émotions, j’ai poursuivi mon entraînement quasiment tous les soirs, c’était devenu la chose la plus importante de mon quotidien. Parfois il m’arrivait de ne penser qu’à cela toute la journée.
J’étais arrivé à la conclusion que contrairement à ce que pensait Romain, mon dernier petit ami, j’étais loin d’être nulle et j’avais même des prédispositions pour le sexe. Je n’avais simplement pas été assez curieuse mais surtout je n’avais pas eu la chance de rencontrer à 18 ou 20 ans un homme qui aurait pris le temps de m’accompagner dans la découverte de ma féminité.
Je n’avais pas non plus eu de grande sur ou de copine dévergondée pour répondre à mes questions. Ma seule conseillère avait été ma mère, ses mots résonnent encore dans mon esprit: "Parfois les hommes préfèrent ce qui est laid à ce qui est beau. Ne les laisse pas te faire nimporte quoi. Ne fais rien qui te mette mal à l’aise".
En même temps, j’avais été bien bête: écouter les conseils intimes d’une femme que mon père trompe depuis plus de 25 ans, j’aurais dû me douter que ça ne pouvait rien donner de bon. Heureusement, j’allais rattraper mon retard et laisser ces âneries derrière moi.
Je me souviens d’un jour ou j’avais décidé d’aller plus loin pour l’anal et de m’enfoncer pour la première fois autre chose que mes doigts entre les fesses. Toute la journée, j’ai eu à l’esprit l’image du gode forçant mes petites fesses, je n’ai pas pu me concentrer une seconde au bureau. J’avais hâte de rentrer et en même temps, j’avais peur et un peu honte de m’enflammer pour "ça". Je n’en menais pas large mais je ne pensais qu’au plug que j’avais préparé minutieusement.
Je suis rentrée toute moite, je me suis déshabillée complètement et j’ai commencé à caresser mes seins mon ventre et mes cuisses sur le lit. J’ai approché les doigts de ma main gauche près de ma chatte, j’étais déjà humide. Je me suis roulée sur le côté et j’ai passé mon autre main par derrière; Plusieurs fois j’ai récupéré ma cyprine à l’entrée de ma vulve pour badigeonner ma rosette. C’était sale et sexy: ce qu’il fallait que j’apprenne à aimer.
Je me suis caressée ainsi plusieurs minutes excitant mon clitoris et ramollissant l’entrée de mon cul en même temps. Je devais bien l’avouer: c’était très agréable; je commençais à vraiment aimer les attouchements entre mes fesses. J’avais hâte que ce soit les mains d’un homme et non plus les miennes qui me fassent cela.
J’ai fermé les yeux et presque comme tous le soirs, j’ai imaginé être dans les bras de Mickaël, un camarade de promo que je n’avais pas vu depuis plus de trois ans mais sur qui je flashait à l’époque de l’IUT. Je me suis mise à souffler puis à gémir.
" Haa Mickael, j’adore ça"
" Caresse moi encore"
" Oui plus vite. Tu vas me faire jouir"
Je me suis cambrée, frottant plus fort ma rondelle contre mon majeur.
" Enfonce tes doigts. Je veux les sentir en moi des deux côtés".
Comme si j’avais été lui, j’ai poussé mes majeurs dans chacun de mes orifices. J’ai serré les dents puis j’ai activé mes doigts et repris mes cochonneries. J’ai soupiré que j’aimais ça, que c’était bon et
j’ai joint mon index à mon majeur entre mes fesses. Cela m’a fait un peu mal, j’ai sentie ma corolle se distendre. J’ai poussé un cri et mordu le drap près de mon visage.
" Coquin, doucement"
Mimant un amant peu précautionneux, j’ai fourré mes deux doigts aussi loin que je pouvais et je les ai fait aller et venir sans ménagement. Devant, je me doigtais toujours aussi, j’avais l’impression que je n’avais jamais autant mouillé, mon anus me brûlait mais j’étais chauffée à blanc.
" Ha oui, Mickael; prépare moi bien pour ta grosse queue !"
Enfin, je me suis arrêtée. Fébrilement j’ai ouvert le tiroir de la table de nuit pour en sortir le plug anal que j’avais prévu depuis la veille ainsi qu’un tube de gel.
Le plug était d’un format raisonnable, une douzaine de centimètre et pas trop large, 2 ou 3 centimètres de diamètre sauf à sa partie la plus large qui devait faire un peu plus. C’était un modèle pour débutant(e) mais c’était déjà autre chose que mes doigts tout fins.
Je l’ai léché en fermant les yeux.
" Oui, Mickael"
Puis j’ai retroussé mes lèvres et j’ai commencé à le faire glisser dans ma bouche. Je gloussait des "oui" et des "Mickael" tout en coulissant langoureusement, c’était chaud ! Dans cette bonne ambiance, j’ai passé mes doigts sur mon clitoris ce qui m’a encouragé à gémir de plus belle.
J’ai poussé le plug plus loin jusqu’à n’avoir plus que la base en dehors de la bouche. Je luttais pour ne pas vomir, il était contre ma luette ce qui était très inconfortable. Pourtant il y avait quelque chose qui me plaisait dans cette sensation.
En passant à mon ancien camarade, j’ai fait un peu ressortir le plug pour sentir la partie la plus large écarter mes lèvres retroussées. J’aurais voulu que ce soit la verge de Mickaël: je me sentais prête à passer aux tests réels.
En fermant les yeux, je faisais jouer ma langue sur le plug tout en le faisant coulisser: J’assurais, c’était sûr !
Je l’ai ressorti de ma bouche en embrassant la pointe puis j’ai versé du gel entre mes seins et j’ai poussé un soupir de pétasse.
" Mickaël, je vais te lubrifier entre mes seins avant que tu m’encules".
J’avais beau être seule, j’ai rougi de dire un truc pareil!
J’ai serré mes bras pour compresser mes seins et j’ai fait glisser le plug entre mes jolis nichons. Je me suis demandé pourquoi je ne l’avais jamais fait avec mes ex, j’aimais cette sensation, eux devaient en crever d’envie et c’était sûrement très agréable pour un homme.
Cette impression de se faire baiser la poitrine me rendait toute chose. Cela m’a donné le courage qui me manquait pour la suite. Comme j’en avais pris l’habitude, j’ai murmuré dans ma tête: "Courage pétasse !"
Je me suis allongée sur le dos, j’ai largement relevé et écarté mes cuisses puis j’ai repris une noix de gel que j’ai déposé sur ma corolle. Enfin, j’ai glissé un oreiller sous mes fesses pour avoir le cul encore plus offert: J’étais vraiment dans une position indécente.
J’ai fermé les yeux et j’ai placé la pointe du gode contre l’entrée de mon rectum. Je respirais fort, je voyais mes tétons accompagner le mouvement: Je me suis trouvé sexy et j’ai soufflé comme une chatte.
" Humm, oui"
"Mickaël, vas-y encule moi"
J’ai rougi de nouveau mais il n’était plus temps d’avoir honte de moi. J’ai poussé le plug, les trois premiers centimètres sont rentrés mais ma rosette me faisait déjà souffrir.
Pour ne pas me brusquer, j’ai joué avec le plug le faisant tourner puis légèrement aller et venir sur les premiers centimètres, je le faisais même parfois ressortir. Après quelques minutes de ce traitement, je n’avais plus trop mal et j’ai voulu aller plus loin: J’ai poussé le sex toy centimètre par centimètre en le faisant tourner et bouger régulièrement. Au bout de longues minutes, je suis arrivée jusqu’à la moitié de sa longueur.
Il était de plus en plus large et j’ai senti mon cul me brûler et se contracter. Je ne voulais pas rester sur un échec et même si j’avais conscience que je n’irai pas plus loin ce jour là, j’avais envie que ce souvenir soir un souvenir de plaisir.
Avec précautions j’ai manuvré le plug dans mon fondement, lui faisant faire de petits vas et viens, la gène bien que présente est devenue plus supportable. J’en ai profité pour caresser mon bouton. Il m’a semblé plus sensible qu’il ne l’avait jamais été, comme si la pénétration anale simultanée amplifiait mes sensations.
J’ai fait des mouvements circulaires qui m’ont arraché un cri et j’ai profité de mon excitation pour faire gagner au plug un centimètre supplémentaire et l’activer dans les entrailles. Mon anus et ma corolle me faisaient mal mais j’ai adoré ça. Je devenais une sacrée coquine.
Je suis retourné à mes rêveries en continuant à me stimuler des deux côtés. J’ai poussé des gémissements plaintifs et laissé un filet de bave couler à la commissure de mes lèvres.
" Mickaël, tu me rends dingue"
" Ha oui"
" Encore, encore"
J’ai accéléré le mouvement de mes doigts sur mon clitoris et j’ai senti que j’allais jouir.
" Ha oui Mickaël, je vais jouir avec ta bite entre mes fesses".
J’ai senti l’orgasme me submerger, la présence entre mes reins et la douleur dans mon fondement ont décuplé mes sensations: C’était génial.
Il m’a fallu 2 minutes pour redescendre, j’ai extrait le plug de mon cul dans un mélange de soulagement et de regrets.
J’ai repris mon souffle puis j’ai attrapé un des autres articles achetés en ligne: une sorte de seringue contenant du faux sperme. J’ai déchiré l’emballage et je me suis mise debout. J’ai saisi la seringue et je me suis envoyé une giclée de semence factice sur les seins, c’était froid et cela m’a fait sursauter. J’ai approché la canule de mon visage et j’ai visé mon menton, ma joue puis mes lèvres entre-ouvertes.
Je suis allé à la salle de bain et je me suis regardée dans la glace: mon visage et ma poitrine étaient souillés, je sentais mon anus encore douloureux de la pénétration que je m’était imposée. J’ai souri à mon reflet et j’ai murmuré sensuellement: "c’était bien".
Je me suis trouvé jolie malgré les traînées blanchâtres dégoulinantes sur mon visage. J’ai tiré la langue en faisant mine de récupérer un peu de liquide sur mes lèvres: La fille dans la glace avait l’air d’une vraie petite salope. C’était donc à cela que ressemble la petite amie idéale.
Un sentiment de fierté m’a envahi. De nouveau, j’ai eu une pensée pour mes ex qui avaient préféré me quitter plutôt que de m’apprendre. Pour me venger de ces loosers, j’étais décidée à devenir la meilleure !