-Merci tonton, merci pour tout. Mais maintenant je crois quil faut shabiller.
Jenfile un short et une chemise, je suis tout le temps habillé comme ça, personne ne sera choqué. Claire met aussi un short, un peu moulant et un haut ample avec un petit soutien-gorge que lon devine sous le tissu.
— Tu ne trouves pas ce short un peu « sexy ».
-Je lai acheté avec maman, pas de problème.
Nous nous occupons de la maison et de la cuisine en attendant ses parents. Claire met la table, nous serons cinq, et je fini de préparer le repas quand la sonnette retenti. Elle se jette sur moi pour me poser une dernière fois ses lèvres sur les miennes et se dirige vers la porte dentrée.
-Bonjour papa, bonjour maman, bonjour Marie.
-Bonjour ma chérie.
-Bonjour ma chérie.
-Bonjour Claire.
Paul vient vers moi.
-Ca sest bien passé.
-Très bien, ta fille est adorable.
-Oui, je sais tu la trouve toujours extra, cest peut-être par ce quelle te ressemble. Je vois quelle a bien récupéré.
-Cest venu dun coup, en une nuit.
-Comme dhabitude. Je principal cest quelle aille mieux.
Tout le monde se serre autour de la table basse pour lapéro. Après le repas, je les quitte, Claire vient vers moi pour mettre ses bras autour de mon torse. Elle me serre et pose sa tête sur ma poitrine.
-Merci tonton, merci de têtre occupé de moi comme tu las fait. Merci.
Je les quitte le cur serré, jai senti Claire au bord des larmes. Plus tard jai su que ses parents, sen rendant compte, avaient pris ça comme une marque de reconnaissance, sans aucunes arrières pensées et lavaient consolée.
Le lendemain, Claire me téléphone vers dix-huit heures.
-Tonton, tonton tu ne sais pas ce qui mest arrivé ?
-Ca naurait pas un rapport avec une certaine Tamara.
-Oui, elle vient de partir.
-Raconte.
Elle est arrivée à midi, je lui ai ouvert habillée de ma djellaba qui ne cache pas grand-chose. Je métais caressé pendant un quart dheure avant son arrivée, jétais dégoulinante de cyprine. Je me suis un peu essuyé les cuisses quand elle a sonné, mais mon sexe était brillant comme une étoile dans la nuit. Elle était habillée dune jupe courte et dun corsage transparent sans rien dessous. On voyait très bien ses seins qui en plus pointaient sous son tissu.
Elle ma dit demblée que jétais sa dernière cliente, quelle avait tout le temps. Nous sommes allés dans ma chambre ou jai enlevé ma djellaba pour mallonger sur le lit. En mallongeant, jai fait volontairement écarté un peu les jambes. Elle sest assise sur le bord du lit, cest à ce moment que jai vu quelle navait pas de culotte. Tel quelle sétait positionné, javais une vue imprenable vue sur son sexe lisse comme le mien. Quand elle a préparé la piqure, jai vu quelle tremblait un peu. Je lui ai pris le bras, lui ai enlevé la seringue de la main pour la poser sur mon ventre. Elle ma regardé une seconde et sest jeté sur ma bouche. Son baiser était merveilleux, pas comme les tiens, différent, mais merveilleux.
-Tu vois ce que je tavais dit, tu ne peux pas savoir comme je suis heureux de tentendre me raconter cette histoire, tu vis ma chérie, tu vis et jen suis tellement heureux.
-Merci mon tonton chéri.
-Raconte.
-Donc on sembrasse, ses mains me parcourent le corps, des mains douces, lisses, survolant ma peau. Jétais frustrée, je ne pouvais pas faire la même chose. Je lai faite se redresser, et lui ai enlevé son corsage et fais glisser sa jupe à terre. Elle sest lové contre moi.
-Jattends ça depuis la première piqure que je tai faite.
-Moi jai envie de toi depuis mercredi dernier, depuis que jai vu tes magnifiques fesses dans ton short moulant.
-Oui, je me suis volontairement habillé comme ça pour voir ta réaction, après je suis allé chez moi me changer. Comme javais vu que tu me regardais différemment, je suis venu vendredi pour tallumer. Simplement, je nai pas osé venir sans culotte, il y avait cette personne qui te gardait.
-En tout cas, ça a marché.
Elle se tait un instant comme pour se replonger dans ces instants vécus avec Tamara.
-La suite.
-Oui ça arrive. Tamara a commencé à embrasser tout ce qui lui tombait sous les lèvres. Elle a fini par arriver vers mon pubis. Elle sest redressée pour voir ma réaction. Je lui ai pris les hanches pour amener son sexe au-dessus de ma bouche, elle sest positionnée et jai tiré vers moi. En même temps, elle posait ses lèvres sur mon sexe. Cette simultanéité ma rendu folle. Lodeur du sexe de Tamara dans mes narines plus sa langue sur mon clitoris ma faite jouir presque instantanément. Jai senti la déception de Tamara. Je lai faite mettre sur le dos, je lui ai écarté les jambes et jai posé ma bouche sur son sexe. Là, je me suis souvenu de ce que tu mavais fait. Jai répété les gestes et jai senti son corps sanimer.
Davoir sous sa langue le pouvoir de faire jouir quelquun ma rempli de joie. Elle a bougé son ventre, écarté de plus en plus ses cuisses pour me libérer le plus possible la place. Je me suis jeté sur ce sexe, javais envie de le boire. Lodeur enivrante de ses effluves mexcitait plus que si je métais caressé. Elle a fini par se raidir, ses jambes mont emprisonné la tête et elle a jouit en criant. Je suis remonté vers sa tête pour lembrasser. Jai reconnu mon odeur sur ses lèvres, elle a dû en faire autant avec les miennes. Quand nous sommes revenues à la réalité, elle ma dit quil fallait faire la piqure tout de suite, car il faut les faire à heures à peu près fixes. Là, elle ne tremblait plus et elle ma piqué en douceur. Quand elle a retiré laiguille, au lieu de mettre un pansement, elle a posé ses lèvres sur la trace. Au bout du quart dheure de repos obligatoire, nous nous sommes levées pour aller sur la terrasse nous allonger sous le parasol. Nous avons discuté.
-Tu aime les femmes depuis longtemps ?
-Non, tu es la première femme à qui je fais ça. Jusquici je naimais que les hommes.
-Cest pas possible, on dirait que tu as fait ça depuis toujours. Comment as-tu appris.
-Cest pas vieux. Cest une personne qui a de lexpérience qui ma fait ce que tu mas fait, et jai répété ses gestes. Tous les minets que jai eus avant ny pensaient même pas.
-Je la connais personne ? Ce ne serait pas par hasard la personne que jai vu ici ? Jai remarqué une certaine connivence entre vous, un je ne sais quoi qui vous rendez proches, limite fusionnels.
-Oui, cest mon oncle.
-Ton oncle ?
-Oui, ça te choque ?
-Si il ne ta pas forcé non, mais dans lautre cas, cest un inceste doublé dun viol.
-Il ne na pas forcé, cest plutôt moi qui lai piégé dune certaine façon, mais cest un homme que jaime depuis longtemps, je men suis rendu compte ces derniers jours passés avec lui. Il a essayé de résister, mais au fond de lui-même, il avait de lamour pour moi et ça sest concrétisé. Il est dune grande douceur et soccupe de toi, son but est de te rendre heureuse, pas de tirer son coup.
-Et moi ?
-Toi, tu es dans ma tête depuis quatre jours et tu nen sort pas. Jen ai parlé à mon oncle et il serait très heureux que ça se concrétise entre nous, il ne veut que mon bonheur. Je ne veux pas que tu sortes de ma vie, jai limpression que tu es la personne que je cherche depuis longtemps.
-Toi aussi tu es dans ma tête depuis longtemps. Je ne pense quà toi depuis que je tai vu inerte, allongé sur un lit sans pouvoir bouger. Ça fait un mois que je viens tous les deux jours te faire une piqure, théoriquement on devrait être deux à venir mais jai demandé à être la seule parce que je ne cesse de penser à toi toute la journée. Je ne supporte pas les jours où je ne te vois pas. Il y a quinze jours jen ai pleuré de rage de te voir dans cet état. Je crois que je suis tombée amoureuse de toi, mais toi, tu ne mas remarqué que depuis quatre jours.
-Oui, mais depuis quatre jours je ne pense quà toi. Au fait, tu aimes les femmes depuis longtemps ?
-Depuis toujours, aucun homme ne ma touché. Depuis ma plus tendre enfance je suis attirée que par les femmes et elles ne lont bien rendu. Mais toi, ce nest pas pareille, depuis que je tai vu, je nai eu aucune relation avec une autre femme alors quavant je changeais tous les deux jours ou presque. Je te lai dit, je taime, jaimerai construire quelque chose avec toi.
-Elle se penche sur moi pour membrasser. Nous nous caressons de nouveau, de nouveau nos bouches atterrissent sur nos sexes pour nous emporter au septième ciel. Après avoir mangé un bout, nous sommes allés nous allonger sur mon lit. Jai dormi, mais elle, elle ma dit quelle mavait caressé en effleurant ma peau pendant tout le temps que jai dormi. A mon réveil, elle avait mis un sac sur la table de nuit. Je lui ai demandé ce quil y avait dedans, elle en a sorti un godemiché long avec deux glands. Je nen revenais pas.
-Tu connais ça ? On appelle ça un gode double. Il est étudié pour rendre folles de plaisir deux femmes en même temps.
-Jen ai entendu parler, mais je nai jamais utilisé de gode pour me faire jouir.
-Tu veux que je tinitie ?
-Oui, si cest toi je veux bien.
Elle a pris le grand gode, nous nous sommes mises en vis-à-vis, nos sexes en face lun de lautre. Elle ma introduit doucement une extrémité puis a approché son sexe du mien pour sempaler sur lautre. Rien que de sentir ce morceau de latex dans la chatte, je commence déjà à sentir le plaisir monter. Nous nous sommes rapprochées lune de lautre, jusquà ce que nos sexes se touchent. Le contact de cette vulve sur la mienne ma fait leffet dune bombe. Je me suis déchainée, mon bassin sactive sur son sexe. Cest la première fois que je ressens une telle impression, mon sexe de femme glisse sur un autre sexe de femme et jen tire un plaisir intense. Le fait de faire des va et vient sur ce gode en touchant régulièrement cet autre sexe de femme me fait jouir comme une folle. Je suis restée enfoncée sur ce gode pendant un long moment, à apprécier le contact de ses lèvres humides contre les miennes. Encore un plaisir que je ne connaissais pas.
-Tu vas en connaitre beaucoup dautre, je lespère.
-Tonton, je crois que je suis raide dingue de cette fille. Elle est belle, intelligente, douce, attentionnée, aimante. Elle est partie depuis à peine une demi-heure que je suis en manque. Elle ma proposé de passer la nuit chez elle, mais je ne peux pas, jai mes parents qui viennent demain. Nous nous revoyons demain soir, quest-ce que je fais ?
-Tu lui dis de rester passer la nuit avec toi. Je présume quelle ta laissé son téléphone.
-Oui, bien sûr.
-Alors téléphone-lui dès ce soir pour le lui dire.
-Ok, mais comment je fais avec maman ?
-Demain, tu lui fais comprendre que tu peux te débrouiller toute seule. Dis-lui que ça va bien et que maintenant tu peux rester seule. Reprends tes activités de management, elle verra que tu es opérationnelle et arrêtera de faire la mère poule.
-Bonne idée tonton chéri. Oui mais si ça marche avec Tamara, comment je leur annonce la nouvelle moi ?
-On nen est pas encore là, mais ne ten fais pas si tu te mets avec Tamara, je moccupe de tes parents.
-Cest vrai ?
-Bien sûr, ne ten fais pas je saurai leur vendre ça.
-Merci mon tonton, merci.
Une semaine plus tard, Claire et Tamara ce sont mises en couple. Jai eu pas mal de difficultés à leur faire accepter, mais ses parents ont compris, du moins Paul, plus ouvert que sa femme. Maintenant tout est apaisé, elles vivent en couple depuis dix-huit ans en viennent de se marier. Elles viennent souvent me voir dans ma retraite naturiste du sud de la France. Claire mest toujours aussi attachée, ce qui est réciproque, et je mentends à merveille avec Tamara qui une femme douce, aimante et passionnément amoureuse de ma nièce, ce qui est le principal.
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