Histoires de sexe en groupe Histoires de sexe mobiles

La voyeuse – Chapitre 22




RÉSUMÉ DE LÉPISODE 21 DE LA VOYEUSE

Elle avait un traversin sous le dos. Alain, prenant appuis sur les mains posées à plat sur le lit, à hauteur des épaules dÉvelyne, tendait le ventre. Fascinés, ils regardaient leurs sexes réunis qui sagitaient et glissaient lun dans lautre avec une certaine violence.

Les mains crispées sur le dos dAlain, Évelyne plantait ses ongles dans la peau en sueur et la griffait en tous sens sans se rendre compte de sa cruauté sexuelle. Elle ne pouvait faire autrement. Entre ses jambes un feu violent la consumait et elle succombait à la volupté sans plus se poser de questions quant au fait que lamant qui la satisfaisait ainsi nétait autre que son fils.

    LA VOYEUSE 22

Quand Alain éjacula elle cria. Un cri aigu, irrépressible. Elle aimait ce flot chaud, ce torrent de foutre qui déferlai dans sa fente.

Alain se laissa tomber sur elle, lécrasa de tout son poids. Ils sassoupirent ainsi, en se caressant de leurs mains alanguies, formant un couple parmi des milliers de couples disséminés à travers le monde

Haletantes, Louise et Elsa ne les quittaient pas du regard. Louise avait troussé Elsa et jouait des doigts dans sa fente. Elle haletait. Cochons ! dit-elle enfin. Les cochons ! Ils viennent de baiser comme des salaudsIls ont pris leur plaisir

-Oui, oui, faisait Elsa entre deux gémissements de volupté sous la caresse digitale. Ce sont des cochons mais quest-ce quelle aura eu comme sensationsdes sensations que je voudrais connaîtreLouise ohLouise cest bon des sensations que je ne connaitrai jamaismaistu me fais jouirje jouisencore un peu, Louiseembrasse-moi sur la boucheta langue.

    Quelques jours plus tard

Lhospitalisation de Robert se prolongeait. Elsa lui rendait de fréquentes visites quelle réduisait à leur plus simple expression. Elle ne supportait pas les odeurs et latmosphère de la clinique, ni le va et vient des infirmières, ni toutes les conversations ayant trait à la maladie ou à la clinique.

Robert ne la retenait jamais. Il connaissait sa répulsion car il la partageait. Par la force des choses, il était devenu un être inerte, amorphe. Quand Elsa entrait dans sa chambre il restait sans réaction et lui accordait à peine un coup dil. Il était surtout préoccupé de sa santé et ne se souciait guère de ce que devenait sa femme

Il était devenu incapable dimaginer ce que pouvait être lexistence journalière dElsa. Celle-ci semblait avoir oublié tout ce qui les liait, tout ce quils avaient construit ensemble. Cloîtré dans cette chambre, Robert nétait plus quun être abstrait tandis quelle acquerrait une vitalité neuve et absolument différente de celle qui était sienne auparavant.

Elle sen félicitait, ne supportait plus de regarder Robert étendu sur son lit alors quelle pensait à toutes les choses quelle faisait maintenant. La volupté était présente dans tous les moments de sa vie, dans tous ses gestes, dans toutes ses paroles, dans toutes ses pensées.

Parfois, quand elle sortait de la clinique, elle se révoltait contre le sort qui clouait Robert sur son lit dinfortune. Mais, le plus souvent, lorsquelle franchissait la porte de la chambre abandonnant Robert à son sort dhomme seul, elle exultait, refleurissait à lamour physique, du plaisir.

Dans le couloir ripoliné de blanc, tandis que la porte finissait de se rabattre, elle sentait les brusques battements de son sexe. Elle devenait une éponge pleine de liquide onctueux entre les cuisses, subissait lassaut dune sexualité débordante.

Elle éprouvait le besoin brutal de se masturber. En cet instant cétait à lautosatisfaction quelle songeait uniquement. A laise, dévêtue, toutes les pièces de la maison à sa disposition, face à tous les miroirs. Aux premiers moments de sa libération, la corvée achevée, cétait la seule chose qui put la faire jouir avec le maximum de plaisir. Une autre étreinte après son geste solidaire, diminuait lintensité de ses sensations. Il lui fallait quelque temps avant de retrouver son potentiel vital.

Au début de laprès-midi de la même journée, après un assouvissement quelle prolongea volontairement, Elsa eut envie de retrouver Louise. Elle sortit et alla sonner à la porte de la maison den face. Ce fut la servante qui vint ouvrir. Elle accepta aussitôt la proposition dElsa et quelques instants plus tard elle la rejoignit à bord de la deux chevaux.

-Si on allait au bois ? fit Elsa dun ton qui ne souffrait pas la contradiction. Il fait beauLherbe doit être tendre

-Il y aura peut-être des amoureux, répondit Louise. Toujours aussi voyeuse, nest-ce pas ?

-Cest un vice quon ne perd pas si facilement

-Je le saisQuand je peux voir ma patronne, la jupe relevée, les cuisses fortes et blanches écartées, la fente ouverte pour recevoir la queue de son Alain chériJe vous assure que ça me fait quelque chose. Je bousje fonds dans ma propre chaleurCest bon mais en même temps je suis irritée et jalouse de lune et de lautre parce quils sont deux à soffrir du bon temps Jaccepterais de faire nimporte quoi si jétais avec eux. Ce couple incestueux mexcite plus que tout ce que jai connuCest bien simple, depuis que cest arrivé entre eux, je ne porte plus jamais de slipjéprouve trop souvent le besoin de me mettre le doigt et decest bondêtre dévergondée à ce point de faire des choses

-Ça métonne que vous ne soyez pas encore en tiers dans cette affaire, fit Elsa, à votre place Je ne sais qui des deux jaimerais le plus les deux ?…

-Cela peut paraître étrange, mais jai peurnon pas dAlain cest avec moi quil a commencémais de sa mèreElle pourrait être jalouse. Et on ne sait jusquoù peut aller la fureur jalouse dune femme qui est la maîtresse de son fils. Ça me plairait mais je nose

-Si elle veut garder son jeune amant, votre patronne serait bien obligée daccepter le partage. Et qui sait, peut-être la chose lui plairait-elle. Mais en attendant, vous ne les surveillez plus, vous nessayez plus de voir ce qui se passe entre eux.

-Hier soir encore, répondit Louise. Je les épie constammentMa patronne et Alain regardaient la TV, dans le salon. Je suis soi-disant montée à ma chambre, mais je suis redescendue en douce, sur mes pas

Related posts

Une formation particulière – Chapitre 2

historiesexe

Une descente aux enfers – Chapitre 1

historiesexe

Games Of Chaos – Chapitre 3

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .