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Une drôle de paroisienne… – Chapitre 2




Distraitement, je prenais un second croissant dans la corbeille.

Très intéressante cette conversation sur la bible ma chère Nicole, dis-je en regardant l’intéressée droit dans les yeux.

Heu… oui, me répondit-elle, le rouge aux joues.

Tu te mets à discuter religion avec ma tante maintenant, me dit ma femme, assise à côté de moi.

Ben oui. J’aime bien discuter avec Nicole, c’est une femme très intéressante et pleine de surprise… n’est-ce pas cher Édouard ?

Le mari bientôt cocu, abaissa son journal, et me regarda avec un regard brillant. Je n’aurais su dire s’il y avait de la haine, de la honte ou de l’excitation dans ces yeux-là…

Heum… oui ma femme peut parfois se révéler étonnante, jeune homme. Néanmoins, ne mobilisez pas trop son attention le soir. Le lit reste froid et j’ai horreur de dormir seul.

On parle bien de la même Nicole ? souffla mon dragon de belle-mère, un grand étonnement se lisant dans ses yeux bleu clair.

Allons maman, arrête de te moquer de cette pauvre Nicole !

Nicole piqua un fard et plongea son visage dans sa tasse de thé. Il y en avait de l’ambiance dans cette famille !

La belle-mère, Clara, blonde aux cheveux courts, très directive et sournoise. Elle haïssait la sur de son mari, et essayait toujours de la prendre en faute, et de la faire passer pour une idiote. Il faut dire que Nicole prêtait facilement le flanc à la critique. Elle donnait des conseils à tout le monde, se mêlait de la vie des autres alors que la sienne était une catastrophe : une carrière avortée de peintre artiste, par manque de volonté, pourtant elle ne manquait pas de talent.

Un couple qui battait de l’aile, avec un mari quasiment sur une promesse de rupture. Et chacun savait pourquoi : le peu d’appétence de Nicole pour le sexe, alors que son mari était un chaud lapin…

Tout cela faisait hurler de rire ma belle-mère, qui elle, assumait sa nature de femme… parfois un peu trop !

J’avais mon portable sous la main, et j’avais préprogrammé des SMS courts, mais directifs, pour ma chère tante. Je lui envoyai le premier :

Nicole, écarte les cuisses, je veux voir…

Un petit "ting" sonna sur le smartphone de cette dernière. Très nerveuse, Nicole s’empêcha de saisir l’appareil.

Eh bien, tu ne lis pas ton message, susurra perfidement son mari, à côté d’elle.

Heu… oui… oui.

A la lecture du SMS, la pauvre femme repiqua un fard, mais tenta de conserver son calme. Alors doucement, elle écarta les jambes sous sa jupe, pour une fois un peu plus courte que d’habitude.

Ma belle-mère, toujours à l’affût des faiblesses des autres, regarda Nicole avec intensité, et sembla comprendre quelque chose. En jetant un regard de mon côté, elle sentit que j’avais toute mon attention focalisée sur la femme en face de moi. Elle subodorait quelque chose de clandestin entre nous… cela je m’en aperçus par la suite.

Mais quand je fis tomber ma serviette, et me baissais pour la ramasser, cette diablesse de femme comprit l’entourloupe… ou du moins un truc pas clair, qu’elle allait faire de son mieux pour décortiquer.

Me baissant pour avoir une vue sur les jambes de Nicole, je découvris avec satisfaction qu’elle m’avait obéi… les cuisses étaient suffisamment écartées, pour apercevoir le sexe à la toison noire de ma tante par alliance. Nicole avait donc suivi mon instruction, sur le non-port de la culotte. J’allais pouvoir commencer à façonner cette femme, et en faire une créature de perdition !

Me relevant un sourire aux lèvres, je jetai un il du côté du mari : Édouard avait compris que sa femme s’exhibait pour moi, sous la table… le problème c’est qu’il n’était pas le seul…

Une demi-heure plus tard, j’attrapai Nicole dans le couloir, à l’écart des autres. Édouard s’était caché dans l’escalier, et nous matait comme il avait été convenu.

Ah Édouard, il n’avait pas été très difficile d’en faire un allié, et un mari consentant à la débauche de sa femme !

La conversation téléphonique de la veille avait été riche d’enseignements ! Édouard ne répondait d’abord pas aux questions sulfureuses que je lui adressais. Seule une respiration lourde et rauque se faisait entendre au bout du fil :

" Ça t’excite de voir ta femme faire la salope devant moi ? Hein ? Avoue !

Allons Édouard, ne fais pas le timide…ça fait combien de temps que tu n’as pas vu les nibards, et la chatte de ta femme ? Allez, crache le morceau !

Oui… bon…10 ans au moins ?

Tu vois, avec une petite manip, il m’a fallu 10 minutes ! Tu as aimé voir ta femme se déloquer devant son neveu par alliance… sous tes yeux ?!

Heu… oui !

Tu aurais jamais cru ça d’elle ? Hein, mon cochon ?

Heu… non ! Mais qu’allez- vous lui faire à présent ?

Rien que des trucs sympas !

Mais encore ?

La faire se foutre à poil dans des endroits bizarres. Lui faire porter des fringues vraiment sexy… la baiser évidemment !

Hummm… mon Dieu ! Mon Dieu ! Et… vous allez faire ça où ?

Ça t’intéresse ?

Allez, avoue !

Oui ! Je veux voir… tout !

En fin de compte, c’est moi qui décide…ça t’a plu de voir les nibards à l’air, et la chatte dénudée de ta femme, assise sur mes genoux ?!

Vous savez que vous prenez des risques…

Ah bon ?

Vous me prenez pour un pied tendre, un affamé, un type qui est en manque de sexe… détrompez-vous !

De plus, si vous faites vos cochonneries avec ma femme, sans que je sois au courant, je vous fais tomber pour harcèlement sexuel et manipulation mentale… de plus, je vais me taper votre femme !

Ma femme ? criai-je, abasourdi.

Oui. Moi aussi je peux utiliser les mêmes moyens que vous… les emmerdeuses de 20/30 ans c’est ma spécialité. Les petites connes qui ne baisent pas, les saintes-nitouches comme votre femme, j’en fais des salopes de première !

Alors là, j’aimerais voir ça !

Vous verrez… ah, encore une chose. Nous sommes un peu semblables… je suis sûr qu’on pourrait parvenir à un accord satisfaisant, pour les deux parties."

Je reconnaissais bien là, la logorrhée du juriste, magistrat de son état. Je n’en revenais pas. J’avais toujours pris Édouard pour un pauvre puceau… et voilà qu’il se révélait être un prédateur de première… j’attendais la suite avec intérêt !

" Je vous étonne, pas vrai ? Moi aussi, je suis un pervers… si vous saviez ce que je fais faire à ma secrétaire au tribunal !

Ma femme par contre… rien à faire ! Plus de 10 ans sans la baiser ! Elle se fout de ma gueule.

On va faire un marché : vous faites ce que vous voulez à ma femme, mais je veux tout voir, en " live" ou par enregistrement ! Par contre, je vais me taper la vôtre… vous ne le croyez pas, mais vous verrez ! Vous non plus, vous ne baisez pas la vôtre, de toute façon… moi, je pourrais en faire une chienne à baiser… comme ce que vous vous apprêtez à faire avec la mienne !!

OK Joe, t’as mis dans le mille ! Eh oui, je serais curieux, comme toi avec la tienne, de ce que tu pourrais en faire !

Bon, on part sur de bonnes bases. Ah, un petit bonus… je peux vous donner une autre occasion de vous éclater !

Ah oui ? Avec qui ?

Votre belle-mère !

Attendez ! Vous me dites que je peux me taper Clara ? La belle, la sournoise, la hautaine Clara, mère de ma femme Céline ?

Elle est amoureuse de vous depuis le début. Elle est jalouse de sa fille, votre femme. C’est elle qui voudrait se retrouver dans votre lit ! C’est pour ça qu’ elle déteste votre femme ! "

Et dire que je pensais arnaquer et humilier Édouard. J’étais obligé de reconnaître qu’il me dépassait. Baiser ma femme de 28 ans, lui le magistrat bedonnant de 56 ! J’étais curieux de voir ça. En l’entendant parler de Clara, ma belle-mère, je comprenais enfin beaucoup de choses… oui, l’intégrer dans un jeu vicieux avec sa belle-sur et sa fille… cela pouvait être très excitant !

Bon je crois qu’on peut s’entendre… la belle-mère, vous êtes sûr de votre coup ?

Oui. Voilà comment les choses vont se passer. Vous avilissez ma femme… vous pouvez y aller fort ! Moi je baise la vôtre. Je veux au final une partie de sexe entre la fille, la mère, et la tante !

Impossible ! jamais elles n’accepteront ça.

Dans un premier temps, on baisera chacun la femme de l’autre, en face l’un de l’autre… après les deux se gouineront. J’ai un plan pour qu’elles arrivent à se domestiquer"… grâce au talent d’artiste de ma chère épouse ! Je vais vous le divulguer. Et ensuite la belle-mère comprendra tout, s’occupera de ma femme et punira la vôtre !

Alors on tope là ?

Franchement je serais con de dire non ! Mais je ne comprends pas quand vous parlez de punir ? Pourquoi, comment ?

Vous ne voyez rien jeune homme… vous êtes certainement très intelligent, mais il vous manque de l’instinct !!

Clara est une femme mal baisée, frustrée sexuellement par son mari. Elle vous adore, voudrait vous avoir pour elle toute seule…à 48 ans, quand même… mais c’est sa fille qui est avec vous. Et en plus, elle vous délaisse sexuellement, vous qui êtes un chaud ! Vous voyez le problème ? Elle se dit que si elle était à la place de sa fille, dans votre lit, elle, elle saurait s’occuper de vous. Quand elle verra sa fille devenir une vraie salope, et j’y veillerai, elle va devenir folle de rage et se vengera sur elle et ma femme… même souci, mais avec moi, elle sait que Nicole est une frêle au lit, mais que je suis un chaud !

Vous savez Clara a des penchants dominateurs très sadiques… vous imaginez le tableau ! "

Le soir, à table, en plein dans ce panier de crabes de personnes frustrées, retors, égocentriques ou sadiques, je repensais à la façon que j’avais eu de relever la jupe de Nicole, dans ce couloir, un peu plus tôt, le matin.

J’avais passé un doigt gourmand sur sa fente, puis j’avais saisi la toison du pubis à pleine main. Nicole avait fermé les yeux, et s’était laissée faire. Mais j’avais bien senti un petit gémissement, quand mon doigt avait effleuré ses nymphes !

" Alors l’apprentie humaine… tu fais de gros progrès, tu es en train de racheter ton Salut !

Vous… vous croyez !

Enfin… tu commences à peine. Que ressens-tu quand je passe mes doigts sur ton sexe ?

Je… je ne sais pas. La honte d’être exposée, dénudée ainsi à votre regard. Un sentiment de confusion de nouveauté, et…

Et ?

Une chaleur dans le ventre, une crispation de mon estomac, comme une douleur… une sensation bizarre au niveau de mon… ma…

Chatte ! Dis-le !

Ma chatte. Je me sens comme saoule… bizarre.

C’est bien. On appelle cela l’excitation et le désir sexuel… tu redeviens humaine… mais le chemin est encore long. Tu reviens d’un tel égocentrisme et d’une telle vanité. Bon, autre chose (en lui tirant les poils du pubis, rêches, bouclés, noirs et trop longs, avec les doigts), tu ne peux garder ta chatte dans un tel état. Ce soir, on va défricher… je vais te raser la chatte dans la salle de bain. Après le repas vers 23h00. Tourne-toi et penche toi, présente-moi ton cul… oui comme ça ! Prends une pose aguicheuse !

Comme si tu voulais te faire enculer !

Ho mon Dieu, vous ne me feriez pas ça ?

Allez file, sinon tu vas m’énerver," dis-je, en lui tapant un bon coup sur la fesse. Elle cria, et déguerpit rapidement en remettant sa jupe normalement.

5 minutes après, je recevais un SMS du mari, caché dans l’escalier, qui avait vu toute la scène :

Pas mal ! Vous m’avez bien excité. Vous filmerez la scène du rasage ce soir ! Et si vous parvenez à l’enculer, je veux venir dans son cul juste après vous… continuez !

J’avais la bénédiction du bon Dieu !

Jean, Jean, mais vous n’êtes plus avec nous ma parole, dit ma belle-mère, mi-amusée, mi-agacée.

Je crois que c’est le vin blanc, belle-maman. Que disiez-vous ?

Édouard parlait du talent de sa femme pour la peinture, et de ses projets à venir. Ne voulais-tu pas peindre ma fille Céline ?

Oui nue ! explosa un Édouard, les yeux brillants d’excitation, et visiblement éméché par le petit bourgogne aligoté.

Heu… c’était un projet comme ça ! bredouilla une Nicole, prise sous les feux des projecteurs".

Mais si, il faut le faire… j’ai hâte de vous voir à l’uvre Nicole. N’est-ce pas Céline ? m’immisçai-je dans la conversation.

QUOI ? Me peindre nue ? Moi ? Jamais ? hurla presque une Céline révoltée !

Allons, ma fille, c’est de l’art… et je suis sûre que tu ferais un très beau modèle. A moins que tu n’aies une imperfection à dissimuler… je comprendrais, déclara une Clara perfide, comme à son habitude !

Non, je suis normale… pas de vergetures sur les seins, ou le bas-ventre, si c’est ce que tu veux dire.

Bon alors, où est le problème ? dit Édouard, qui avait ferré le poisson.

Oui, c’est de l’art ma chérie. Ce ne sera pas érotique du tout ! "

Céline se sentait cernée par tout le monde. Elle n’avait pas envie d’une nouvelle bataille verbale avec sa mère ni avec moi alors, elle céda.

Bon OK… mais alors très chaste. Je ne veux pas montrer mes seins ni mon sexe !

Ce serait pourtant dommage, objecta Édouard, le regard grivois…

Décidément, ce fieffé manipulateur d’Édouard avait obtenu ce qu’il voulait… faire peindre ma femme à poil par la sienne… en agissant bien, la suite devrait être passionnante ! Cela était la première phase de son plan pour que nous profitions à deux des charmes de ces dames. Je constatai d’ailleurs que ma belle-mère avait elle aussi le regard fiévreux !

A 23h00, comme convenu j’attendais Nicole dans la salle de bain. Elle y entra subrepticement et se retrouva devant moi la tête basse. Elle se tordait nerveusement les mains.

Vous êtes sûr que tout ce que vous voulez me faire faire m’emmène sur la Voie du Salut ?

Écoute ma belle, si tu ne le sens pas, tu sors d’ici et tu reprends toutes tes petites habitudes de bonne-sur… et puis tu te démerderas avec ton Créateur. Et puis tu sais l’Enfer, ça peut aussi avoir des côtés sympas !

Oh mon Dieu ! Mon Dieu, ne citez jamais ce nom devant moi ! Par pitié !

Ah bon… et il leur arrive quoi aux pêcheurs qui ne veulent expier leurs fautes ? Orgueil… vanité… péché capital, tu te souviens ? Bon allez, fous-toi à poil… on va te démerder avec Satan !

Les yeux embrumés de larmes, elle retira le chemisier, faisant apparaître ses seins magnifiques. Puis dézippa sa jupe grise, qui la laissa, chatte à l’air et pubis en friche.

Je la fis asseoir sur le bidet, cuisses totalement ouvertes. La fente rouge se révéla au milieu de l’exubérance de poils longs et bouclés. Sans pitié, je pris une paire de ciseaux et attaquai le massif ! Ah, elle était touffue la salope !

Arrivé à un centimètre de longueur et une toison en triangle, je décidai d’assurer la finition avec un rasoir coupe chou, à l’ancienne.

Nicole, qui se laissait faire en ne pipant mots (elle allait bientôt piper autre chose ! ), me regardait, effrayée, affûter l’engin sur le cuir.

En passant de la mousse à raser sur le pubis, je débordai sur la vulve et en profitai pour la caresser. Nicole eut comme une secousse et laissa sourdre un gémissement.

Tu aimes ça, hein petite vicieuse ! Tu caches bien ton jeu, dépravée…

Heu… oui… ouuii…

On passera à d’autres exercices après la petite toilette !

Alors je rasai le pubis en laissant une bande verticale de poils noirs. Puis m’occupai du tour de la vulve. Passant mon pouce à l’orée de la fente, je tirai l’une après l’autre les grandes lèvres, pour ne pas blesser ces délicats pétales. Le clitoris de la taille d’un grain de café avait gonflé sous l’excitation du rasage.

Vicieusement, après avoir terminé, je passai le dos de la lame sur l’organe érectile, en écartant les lèvres avec les doigts.

Nicole commença à gémir, d’abord de frayeur, en regardant le dos de la lame aller et venir sur son sexe, puis de jouissance alors que ses nymphes s’empoissaient de cyprine. Elle coulait littéralement sur mes doigts. Puis elle jouit :

Oh mon Dieu, mon Dieu, je me sens toute drôle, je… je… la tête me tourne. Mon cur s’accélère… j’ai chaud… j ai… aaaaahhhhhhhh !

Tu jouis salope ! Tiens, maintenant à moi !

Ahhh… hummm, c’est bon… mais que faites-vous… vous sortez votre sexe. Vous… vous ne voulez pas que… non pas avec la bouche… je n’ai jamais fait ça à un homme !

Prends ma queue dans ta main de sainte-nitouche ! Allez, il va pas te mordre. Alors ?!

C’est… c’est chaud, dur, tendu… c’est moi qui vous fais cet effet-là ? Si je vous contente avec ma main, vous ne me ferez pas autre chose dites ?

Je sais pas, on va voir ! Allez, branle-moi. Tu veux mes doigts dans ta chatte ?

Oui… faites-moi comme tout à l’heure et je vais vous… branler !

Alors tu aimes ce que je te fais ? Et ma queue, tu la trouves comment ?

Oui, j’adore avoir vos doigts qui me branlent la chatte, à l’intérieur c’est encore meilleur… ahhhh… humm. Votre queue, elle est grosse et splendide, elle me plaît beaucoup.

Alors que mon smartphone, posé sur l’étagère, nous filmait, je me disais que le tableau plairait beaucoup à Édouard : Nicole, à poil complètement, assise sur le bidet, la chatte quasi rasée, les deux pieds en appui sur les rebords, produisant un écartement maximal des cuisses, et une ouverture béante de son sexe… avec mes doigts qui la branlaient, et elle qui me masturbait aussi, une main sur ma queue à 30 centimètres de son visage !

Alors que mon apprentie à la luxure gémissait des plaisirs de la masturbation, je sentis une vague jaillir de mon ventre, et éjaculai une bonne dose de sperme sur le visage et la poitrine de la femme infidèle !

Ah mon Dieu ! Vous m’avez souillée de votre sperme !

T’inquiète petite pute débutante, je vais te laver. Entre dans la cabine de douche. Place-toi jambes ouvertes, face au fond, les mains sur la paroi. Bien.

Je me régalais de voir cette sainte-nitouche avec mon sperme sur le visage et les seins, obéissant au moindre de mes caprices. Son cul était plus qu’appétissant, j’avais une envie folle de l’enculer… mais procédons par ordre ! Je pris le pommeau de douche, le réglai sur chaud, et me plaçant dans son dos, lui braquai le jet puissant par-dessous ses jambes, directement sur son sexe. Alors que le jet venait masser sa vulve et lui agaçait le clitoris, je la pris, une main sur les seins, et ayant placé mon sexe de nouveau en érection, contre la vulve glissante de cyprine et bien ouverte, je la pénétrai d’un puissant coup de reins, sans que Nicole puisse objecter quoi que ce soit. Elle reçut mon assaut en gémissant de façon rauque, et me dit entre deux râles :

Ah mon Dieu, c’est trop bon ! Allez-y baisez-moi fort.

Elle ne mit pas 30 secondes pour avoir un deuxième orgasme.

Alors que l’on se rhabillait, elle me glissa à l’oreille, les yeux vers le sol :

Je… j’ai honte, mais j’ai beaucoup aimé comment vous m’avez maltraitée, souillée avec votre semence, masturbée et baisée par surprise. Je crois que j’ai beaucoup joui. J’adore que vous me traitiez comme une putain. Mais aussi peur de faire une erreur en vous écoutant. Suis-je sur la bonne Voie ou pas ?

Bon, tu as un doute, et bien demain vas te confesser auprès de l’abbé Mairain. Lui saura éclairer ton âme.

Vous me le permettez !

Je t’y encourage ! Tu verras l’abbé est un homme vigoureux et exceptionnel, il te dira quoi faire pour plaire à Dieu.

Merci !

Fais attention néanmoins, le doute dans la Foi est le premier pas vers la Perdition !

Rayonnante Nicole me quitta pour rejoindre son mari. Certes, l’abbé était un bon directeur de conscience… mais avec des méthodes… un peu hétérodoxes !

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