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J'ai rencontré la patronne du magasin – Chapitre 1




Salut c’est votre folle de lycra.

Comme chaque année et comme tout le monde, je vais faire mes petites emplettes à l’occasion des soldes annuelles d’hiver. Fidèle cliente d’une grande enseigne assez généraliste quand même, je me promenais dans les rayons pour voir ce qui pourrait m’intéresser. Je trouvais plusieurs pantalons ainsi que plusieurs chemisiers fort à mon goût. Comme chaque année j’ai trouvé mon bonheur dans ce magasin, cette fois-ci une grande et belle femme d’environ quarante ans, brune aux yeux bleus; est venue me proposer ses services. Cette femme avait de l’assurance, respirait le raffinement, je ne pense pas qu’elle devait être vendeuse; ce n’est qu’après que j’ai su que Muriel était la responsable du magasin. Je fais un mètre soixante-dix-huit et je pense qu’elle me dominait d’un centimètre ou deux. Elle portait le parfum Angel qu’il m’arrivait de mettre aussi, j’adore ce parfum car il a un petit côté enivrant. Pendant qu’elle me conseillait, nous nous découvrions; c’est à cette occasion que j’ai appris son prénom, car ses collaborateurs sont passés plusieurs fois.

Elle avait une autorité naturelle et surtout beaucoup de classe pour s’habiller; je ne sais pas si elle était redoutée, mais on voyait qu’elle était respectée. Manifestement nous avions les mêmes goûts vestimentaires, voilà pourquoi je me suis littéralement laissée guider par cette patronne. Ayant fait le plein de ce que je voulais essayer, Muriel m’a accompagnée aux cabines. Il y avait deux colonnes de cinq cabines dos à dos, la première rangée était celle qui servait le plus; la deuxième servait très peu, à tel qu’il y avait des cartons de vêtements dedans, exceptée dans celle du fond qui était vide et opérationnelle. Il n’y a pas à dire, j’allais être au calme pour mes essayages. La patronne avait poussé la serviabilité jusqu’à m’aider à porter mes vêtements, j’étais agréablement surprise. J’ai accroché les vêtements sur les porte-manteaux et le reste sur deux cartons superposés à l’extérieur. Une fois installée, Muriel m’a laissée pour aller vaquer à ses occupations; je me suis ainsi défaite de ma doudoune, ma jupe moulante, de mes escarpins et de mon chemisier satiné.

J’étais en train de me dire que la patronne avait bien fait de me mettre là, car mon petit doigt me disait que risquais d’être longue. Une fois défaite de ma jupe moulante et de mon rose chemisier, il me restait sur moi tanga soutien-gorge et collant fendu; largement suffisant pour commencer mes essais. Les cabines étaient confortables avec de quoi s’asseoir, plusieurs porte-manteaux et surtout un superbe miroir pour que je puisse apprécier chaque tenue. La première jupe me serrait trop au niveau des fesses, le premier chemisier avec les manches qui bâillaient un peu trop à mon goût; au fur et à mesure de l’avancement j’avais fini par mettre les choses qui ne me convenaient pas sur les deux cartons à l’extérieur et ainsi ne garder que les choses que j’allais essayer ou celles qui me convenaient. Puis la patronne est réapparue j’ai ouvert le rideau pour lui demander ce qu’elle en pensait. Elle m’a fait tourner sur moi-même, elle a réajusté la jupe au niveau de ma taille et en a profité pour effleurer mes fesses; une fois qu’elle avait fini les réglages, elle m’a dit que j’étais magnifique ainsi.

Vu que j’étais de son avis, j’ai gardé l’ensemble et elle a de nouveau disparu. Avec ce superbe miroir, j’en profitais pour regarder si mon corps était toujours aussi irréprochable. Le pull et le pantalon d’après me convenaient, du coup je passais à l’ensemble suivant. C’est au moment où j’étais en train de me déshabiller que Muriel a tiré le rideau et je me suis retrouvé en petite tenue devant elle; je me sentais faible et désarmée devant une femme avec autant d’assurance. Elle s’est approchée de moi et sans une seconde d’hésitation elle est venue m’embrasser, j’étais plaquée contre la paroi et la patronne avait glissé une jambe entre les miennes. En quelques secondes elle venait de me soumettre à elle et ne sachant quoi dire ou faire; j’ai répondu à son baiser. De sa main droite, elle me tenait fermement la tête pour pouvoir m’embrasser avec force et conviction. De l’autre main, elle s’était mise à me caresser le sein droit et le pire c’est qu’elle me faisait beaucoup d’effet; elle l’a immédiatement constaté à la pointe de mes seins totalement érigés.

Quand elle m’a entendu soupirer de plaisir, en réponse à ses caresses; j’ai eu le droit à un:

— Tu as l’air d’aimer ça ma belle.

— Tu as l’air d’aimer te faire caresser par une femme.

— Cela fait plusieurs fois que je te vois venir faire des achats dans mon magasin est aujourd’hui j’ai décidé de passer à l’action.

— Tu m’excites depuis la première fois où je t’ai vue.

J’entendais ses mots, je les écoutais et même je les absorbais; leur côté cru me choquait, mais en même temps ils m’excitaient. Je lui étais totalement offerte et je n’avais même pas envie de me défendre en fait j’avais envie de voir la suite, de voir comment cela allait se dérouler. C’est vrai qu’en même temps, pour l’instant Muriel ne me faisait pas mal; certains pourraient dire qu’elle était en train de me violer, ce ne serait pas faux, mais cela ne me déplaisait pas d’être traitée ainsi par cette femme directive. Sa langue était rentrée dans ma bouche et je commençais à prendre plaisir à visiter la sienne. Maintenant elle me malaxait les seins à tour de rôle et cela me procurait le plus grand bien, elle avait l’air de prendre un malin plaisir à me pincer la pointe des tétons.

Je soupirais maintenant de plaisir et surtout de désir, à chacune de ces maltraitances; elle était en train de se rendre compte que j’en redemandais toujours plus. Jamais je n’aurais cru qu’un jour une femme me toucherait, et encore moins qu’elle me donnerait autant de plaisir. Quand les mains de ma violeuse sont descendues entre mes jambes, je me suis étonnée à écarter les jambes pour lui faciliter l’accès. Je découvrais au combien je lui étais soumise, obéissante et offerte, elle aurait pu tout me demander, j’aurais tout accepté; pourvu qu’elle continue ses caresses. Immédiatement elle a accédé à mon intimité qu’elle s’est mise à caresser avec une dextérité qui m’a étonné; c’est à ce moment-là que j’en ai conclu, qu’elle n’en était pas son coup d’essai. Elle m’a littéralement entré plusieurs doigts dans le vagin pour me masturber, ce qui m’a fait un bien fou. Une fois mes doigts bien imprégnés de ma cyprine, elle me les a donnés à sucer; la façon dont cela était présenté m’a énormément excité.

Muriel a relâché la prise un instant pour se déshabiller c’est ainsi que je l’ai découverte dans une tenue on ne peut plus excitante. Elle était vêtue d’un superbe body qui faisait office de guêpière avec porte-jarretelle incorporé le tout en lycra satiné. Elle avait un corps magnifique et une stature un peu plus solide que la mienne. La responsable du magasin était en train de me soumettre à ces jeux sexuels et le plus beau c’est que j’en demandais encore. Ma violeuse a pris ma main pour aller la poser sur son sexe et se malaxer le clitoris par l’intermédiaire de ma main. C’était la première fois de ma vie que je touchais un sexe féminin autre que le mien, ce n’était pas désagréable; d’autant que son entrejambe était très réceptif et marécageux. Au début sa main accompagnait la mienne, mais au fur et à mesure elle m’a laissé l’indépendance de ma main qui rapidement s’est mise à la caresser. Ça y est j’étais en train de donner du plaisir à ma partenaire, j’espère que j’étais aussi efficace qu’elle l’était. Dans l’immense miroir qui était dans son dos, et dans lequel je pouvais voir nos deux corps enlacés en train de se donner du plaisir; j’avais vraiment le regard d’une femme comblée..

J’étais honteuse et fière à la fois; honteuse d’être totalement soumise à une femme, et fière d’apprendre rapidement à donner du plaisir à cette femme. Je voyais mon visage satisfait des caresses que me prodiguait ma violeuse, moi qui avais une petite tendance à dominer mon mari à la maison; là j’étais totalement offerte à cette femme que je ne connaissais que depuis à peine une heure. J’étais vraiment gênée de constater oh combien Muriel me faisait mouillée et maintenant elle me faisait tressaillir à chacune de ses caresses toujours plus précises. J’ai commencé maintenant à l’entendre soupirer de plaisir car elle devait commencer à jouir avec son clito. À un moment la patronne m’a pris la main pleine de sa cyprine pour me la donner à sucer, elle m’a expliqué que c’était un acte de soumission. En même temps au fond de moi, je me disais que ça faisait longtemps qu’elle m’avait soumise à elle. J’avais passé ma main libre dans son dos, pour mieux la plaquer contre moi; ainsi nous étions l’une contre l’autre, je trouvais très agréable le contact de nos deux corps chauds et désireux.

Maintenant Muriel avec sa main qui était dans mon minou, partait se chatouiller aussi le sien elle m’expliquait quainsi cela mélangeait nos cyprines et ça l’excitait. Elle avait la main gauche qui s’occupait de mon minou et de mon sein gauche et maintenant avec la main droite elle est partie m’exciter mon petit trou. Le problème c’est que les sensations étaient de plus en plus intenses, et que j’en arrivais à pousser des petits cris; ma violeuse a réglé le problème en m’embrassant goulûment et appuyant ma tête contre la paroi. J’en arrivais maintenant à vouloir me débattre, mais ce n’était pas pour fuir le plaisir; mais par réaction au plaisir qu’elle me procurait.

— J’étais sûr que tu aimerais que je m’occupe de toi

— Je suis sûre que dorénavant je vais te voir plus souvent dans le magasin.

— Je vais t’apprendre comment une femme peut faire jouir sa partenaire.

C’est sur ces mots et grâce à la fermeté de ses caresses, que je me suis mis à prendre mon pied comme je pense jamais je ne l’avais pris.

Muriel a continué à me caresser avec insistance, histoire que la jouissance arrive à son summum. Quand elle a cessé ses caresses indiscrètes, je me suis pour ainsi dire effondrée, c’est ainsi que je me suis retrouvée à genoux face à son minou qui brillait de cyprine toute fraîche. Elle m’a laissé quelques instants, histoire de reprendre mes esprits puis m’a littéralement plaqué le visage contre son abricot tout mouillé. Voilà comment j’ai fait mon premier broutage de minou dans une cabine d’essayage sous la direction de la responsable d’un magasin. Bien que différents du mien, le goût et l’odeur n’étaient pas pour me déplaire; et c’est ainsi que je me suis enhardie à lui faire sa petite toilette intime. Au début le geste m’était imposé, mais au fur et à mesure j’y prenais goût et j’en arrivais même à prendre des initiatives; elle a même fini par me lâcher la tête car maintenant j’étais accrochée à ses cuisses qui étaient gainées de ses bas voiles.

Quand je voyais comment soupirait Muriel quand ma langue s’attardait sur son clito et ses environs, je ne pouvais conclure qu’une chose; c’était un des points les plus sensibles de son corps. J’étais assez contente de voir que moi aussi je pouvais lui donner du plaisir, lui soutirer des soupirs voire même de petits cris. Alors que Muriel me tenait le visage voilà quelques minutes maintenant, c’est moi qui m’accrochais fermement à ses cuisses pour pouvoir enfoncer mon visage le plus profondément possible entre ses jambes. Par rapport à ma toison qui était entretenue mais sans plus, celle de ma partenaire était vraiment savamment taillée avec goût. Ma langue allait jusqu’à s’aventurer dans son vagin qui me récompensait en me donnant beaucoup de cyprine. J’étais assez fière de moi car maintenant c’est moi qui contrôlais le plaisir de ma partenaire, je lui appliquais ce que mon mari me faisait avec passion. Ça y est j’étais en train d’atteindre mon objectif secret Muriel était en train de prendre son pied et il venait de son clito tellement sensible.

Je suis restée encore quelques instants à lui manger sa friandise puis elle m’a invitée à me relever et elle m’a embrassée avec beaucoup de gourmandise. J’étais en train de me voir dans la glace mon visage était recouvert de son jus intime. Ça y est ma partenaire était en train de reprendre ses esprits et surtout l’ascendant psychologique qu’elle avait sur moi. Elle me serrait très fort contre elle, à tel point que nos toisons pubiennes se touchaient, je trouvais vraiment ça excitant que de sentir son corps chaud et désireux en contact avec le mien. Nous avons continué à nous embrasser dix bonnes minutes avant que ma maîtresse commence à se rhabiller pour repartir travailler. J’étais impressionné par le sang-froid de cette femme qui venait de dévergonder une cliente, et qui repartait travailler comme si de rien n’était. Je vais vous avouer que je n’avais plus vraiment la tête à finir d’essayer mes vêtements, j’ai gardé les vêtements que j’avais essayés et qui me plaisaient puis je suis partie reposer le reste.

Quand je suis arrivée en caisse, une charmante petite caissière était sur le point de s’occuper de moi; quand Muriel est venue prendre son relais. Dans ma tête j’en avais un peu près pour 260 en tenant compte des réductions, une fois que ma maîtresse a fini de m’encaisser; j’en avais pour un petit peu plus de quarante euros. Je ne sais pas ce qu’elle avait bidouillé avec le ticket de caisse, quelque part je préférais ne pas savoir; mais je venais d’économiser plus de deux cents euros. J’ai quitté le magasin avec plein d’étoiles dans la tête et surtout un goût de femme sur mon visage, je garderai à jamais le souvenir de cet essayage où j’ai pour la première fois de ma vie goûté à une femme. Quand je suis rentrée à la maison mon mari Franck s’est moqué de moi en voyant tous les sacs il m’a dit que j’avais encore fait chauffer ma carte bleue. Sil savait le coût de ma dépense… Quand j’ai déballé mes achats dans le dressing, j’ai constaté que Muriel m’avait laissé un petit mot manuscrit dans le sac. Elle s’est excusée pour avoir abusé de moi, elle me remerciait pour le plaisir que je lui avais donné et elle me déclarait sa flamme. Son petit mot était très joliment formulé et à la fin de ce dernier elle me laissait ses coordonnées personnelles et professionnelles.

Ce soir-là je me suis couchée un peu plus tôt, pendant que mon mari restait devant la télé; je me suis fait un petit plaisir en repensant à ce qui venait de m’arriver.

En espérant que cette petite histoire vous ait plu

Bisous à vous

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