— Quelle heure est-il au fait ? Demandé-je.
— Bientôt dix-huit heures, me répond Wilma
— Mince, la voiture de location ! Je ne vais pas pouvoir la rendre avant la fermeture de l’agence…
— Ne t’inquiète pas pour cela, Natalie, j’ai envoyé quelqu’un pour la rendre.
— Ah ? Et les frais de location, je dois te les rembourser ! Et comment allons-nous rentrer ?
— Oublie les frais de location, veux-tu ? Quant à votre retour, cela ne pose pas de problème, je m’en occuperai après le dîner ! Car vous êtes mes invitées, ce soir.
— Heureusement ! S’exclame Sabrina. Sinon nous aurions été condamnées à aller chez McDonald, suite à mon pari perdu !
— Quel pari ? Demande Wilma.
Sabrina explique rapidement qu’elle s’était engagée à porter en elle le godemiché canin pendant toute la journée. Elle détaille l’incident du banc dans lequel la base du godemiché s’était coincée, l’empêchant de se lever. Elle termine enfin par l’épisode dans la forêt où Wilma nous avait surprises.
— Décidément, je suis vraiment heureuse de vous avoir rencontrées, toutes deux ! Vous alliez imagination et perversité et cela me convient tout à fait. Un autre verre de vin ?
Sabrina tend son verre vide sous le goulot de la bouteille que présente Wilma. Je vide le mien rapidement avant de le tendre également.
— À propos de perversité, si tu continuais ton histoire, Wilma ? Proposé-je.
— Volontiers ! Après avoir été fessée par le gardien du chenil pour avoir voulu me faire baiser par lui, j’ai donc essayé d’imaginer comment je pouvais me venger. J’avais donc résolu de châtrer le gardien ! Seulement comment faire ? Deux semaines après ma déconvenue, j’ai pris mon courage à deux mains et j’ai subtilisé un grand couteau à viande dans la cuisine. Je me suis dirigée alors vers le chenil en cachant mon arme sous une veste.
— Brrr ! Je pense que je vais vraiment avoir peur de toi, maintenant, Wilma, indique Sabrina.
— Rassure-toi, je ne suis pas allée au bout de mes actes !
— Qu’est ce qui t’a fait changé d’avis, demandé-je.
— Arrivée près de la porte du chenil, je me heurte à la porte fermée. Pourtant j’entends du bruit à l’intérieur et je reconnais bien vite les gémissements de plaisir de ma mère. Je m’imagine qu’elle est en train de se faire tringler par le gardien. Il faudra donc que je repasse une autre fois pour commettre mon forfait. Toutefois, excitée par les râles de ma mère, je suis brûlée du désir d’espionner le spectacle. J’avise alors la petite fenêtre en hauteur à gauche de la porte et je décide de l’utiliser pour assouvir ma curiosité. Je dépose mon couteau, déplace une caisse sur laquelle je me hisse en guise de piédestal. Je jette un coup dil prudent et je ne peux m’empêcher de pousser un cri de surprise.
— Quel était le spectacle, demande avidement Sabrina.
— Ma mère, nue, à quatre pattes, ivre de plaisir, était accolée cul-à-cul avec un des nos chiens. D’autres molosses tournaient autour, attendant vraisemblablement leur tour pour couvrir ma chienne de mère.
— Et le gardien ? Demandé-je.
— Pas de trace ! Seule ma mère était présente, collé à son amant du moment. C’était la première fois que je me trouvais confrontée à une situation aussi bestiale. Je n’aurais jamais imaginé à l’époque des accouplements de nature zoophile.
— Quelle a été ta réaction, questionné-je ?
— La stupeur tout d’abord. Je ne comprenais pas vraiment ce qui se passait. Je ne pensais même pas que ma mère était véritablement saillie ! Ce n’est que lorsque son amant a réussi a se dégager que j’ai enfin compris que le sexe magnifique qui venait dapparaître était auparavant enfoui dans son vagin. Je n’osais bouger ! Même pour me caresser, alors que je sentais une excitation intense monter en moi !
— Et ensuite ? S’inquiète Sabrina.
— Ma mère restait à quatre pattes et agitait son cul, comme pour encourager un nouvel amant canin à venir la prendre. Deux ou trois chiens vinrent la renifler, la lécher à tour de rôle. À chaque fois, ma mère fermait les yeux et se cambrait pour mieux exposer son intimité. Un des chiens s’est alors décidé à lui enfourcher son bassin. C’est à ce moment que j’ai sentis des bras puissants m’empoigner le corps.
— Le gardien, j’imagine, dit Sabrina.
— Tous à fait ! Il m’a soulevé comme si j’étais une plume et m’a pris sous son bras gauche comme un vulgaire paquet, puis il a sorti la clé du chenil, ouvert la porte et m’a déposée devant le couple que ma mère et son nouvel amant venait de former. Il a alors demandé à ma mère ce qu’il devait faire de moi. Ma mère a souri en me voyant et lui disant de m’attacher au mur avec le gros anneau de fer. Le chien en elle commençait à la travailler fortement car elle est alors partie dans un premier orgasme. Moi, je me suis donc retrouvée attachée par les mains au mur et je regardais avidement le spectacle qui s’offrait à mes yeux. L’envie d’être à la place de ma mère me tiraillait. Plusieurs chiens ont senti mon émoi car ils sont venus renifler sous ma jupe. L’un a commencé à lécher ma culotte et à travers l’étoffe. Cette caresse linguale m’a déjà subjuguée.
— Que s’est-il passé ensuite ? Demandé-je, profondément troublée.
— Voyant mon attitude devant les chiens, ma mère à demandé au gardien de s’approcher et lui a glissé quelques mots à l’oreille. Le gardien à souri et est sorti du chenil avant de revenir avec le couteau que j’avais déposé. Il s’est avancé vers moi, l’air menaçant, le couteau à la main. Je tremblais de terreur car j’étais à sa merci.
