De retour en France après des aventures aux Canaries qui ont renforcées leur couple et ont fait prendre à leur vie de nouveaux chemins, Axel et Aline vivent de nouvelles rencontres…

— Axel, tu peux venir deux minutes ?

— J’arrive Aline.

Je finis de refermer ma valise, de la ranger à sa place, puis descends rejoindre mon épouse en songeant à nos vacances passées, plein d’entrain pour ce qui me semble être une nouvelle direction à notre vie. Je rejoins ma sublime Aline, en petit short et débardeur qui laissent bien entrevoir son corps souple de nageuse. Comme elle tient encore son téléphone et termine son appel j’en profite pour la détailler. La trentaine à peine entamée, un mètre soixante-quatre de sensualité, des seins fermes et ronds que ma main parvient à peine à couvrir, un petit fessier musclé, un visage fin aux cheveux bruns courts et un petit nez mutin qu’elle fronce d’ailleurs un peu en terminant sa conversation.

— Oui, Oui, ok Audrey, à tout de suite alors.

Elle se tourne vers moi, ses yeux noisette toujours aussi pétillants avec leurs éclats d’or et m’indique

— Comme tu l’as compris c’était Audrey, son mec l’a foutu dehors et comme elle n’a nulle part où aller…

— Tu sais bien que oui.

Ma femme me regarde et me sourit, si détendue désormais, si loin de ce qu’elle était avant les vacances. Je sais désormais qu’elle aime vraiment ce qu’elle voit, quasi le même âge qu’elle, quasi

1M80, quasi ventre plat, yeux quasi gris, mais cent pour cent amoureux d’elle.

— Tu rêvasses ? Je sais que tu ne l’aimes pas particulièrement mais sa situation…

— T’inquiète pas, ça ira, c’est pas la place qui manque. Et j’espère bien que j’aurais droit à un récit sur vos turpitudes

— Bon je prépare, le temps qu’elle arrive. Et promis, je te raconterai tout

D’accord je n’aime pas particulièrement sa meilleure amie, je l’ai toujours trouvée imbue d’elle-même, un peu condescendante avec moi juste parce que je ne la ramène jamais avec mon parcours et que ce qu’elle ne sait pas doit l’embêter. Elle est certes très jolie, cheveux blonds courts, fine, seins plus menus qu’Aline, un peu plus petite mais toujours un petit sourire hautain. La jolie blonde des films qui se sent supérieure car ses mecs avaient des gros moyens (si elle savait…) et qui ne se rend pas compte que c’est la copine brune qui a tout gagné au final. Bon après j’ai peut-être un parti pris car j’ai épousé une femme si enfin, si. (Oui, chères lectrices, voilà comment un mari aimant voit sa femme)

Comme le nouvel ex d’Audrey demeurait de l’autre côté de la ville, une bonne demi-heure s’écoule encore avant que son taxi ne la dépose avec ses trois valises devant notre porte. Nous l’accueillons gentiment et elle se rue dans les bras d’Aline pour l’accaparer pardon se faire consoler.

Tout en jouant la mule de charge, j’entends que son ex est un monstre, qu’il l’a renvoyée car sa secrétaire est plus jeune, qu’il est nul, qu’est-ce que je vais devenir, comment je vais faire… etc, etc.

In petto, je me dis qu’elle va peut-être enfin changer, que ses diplômes tant vantés n’ont finalement pas amenés grand-chose conjugués à une tendance à courir après les richards narcissiques et torturés.

Je les abandonne au seuil de la chambre qu’Aline lui a attribuée et qui donne sur l’arrière de la maison et la piscine et vais me faire un peu de lecture dans mon hamac.

Les jours se passent et une certaine routine s’installe, l’ambiance générale remonte peu à peu ; même si vu la présence d’Audrey, nous nous promenons moins déshabillés que d’habitude et je dois me surveiller pour ne pas caresser Aline devant son amie. Inutile de vous dire que c’est frustrant ! Heureusement je savoure chaque soir les charmes de ma femme.

Et puis (je compresse le temps pour les lecteurs !) un matin alors qu’Aline est sortie et que je sors de la douche d’après footing, je suis dans notre chambre quand la porte s’ouvre devant Audrey juste enveloppée d’un court peignoir. Simplement revêtu d’une serviette je lui demande s’il y a un souci.

— Oui.

— C’est urgent ?

— Disons que d’habitude je lui piquais ces mecs plus rapidement mais là je suis un peu perturbée. T’es un beau mec, je sais que cela ne va pas ultra fort entre vous et je me disais que tu devais en avoir marre des brunes.

— Okayyyyy… Alors je te remercie de ta franchise, je note que tu remercies bizarrement ta meilleure amie et que tu ne t’en es jamais privée et, enfin, je présume que tu diras à Aline que j’ai essayé de te draguer, et que je suis un mythomane.

— Pourquoi ?

— Pourquoi ? Mais parce que je te dis non, que tu vas rapidement te trouver un autre pigeon et bouger ton cul.

Elle fait tomber sa serviette, se retrouve nue et dit : – Et maintenant tu dis encore non ou je crie ?

— J’ai déjà vu nombre de femmes nues et la maison est bien insonorisée alors bon…

— Je vais te détruire, Aline va te virer tu vas m’entendre.

— Là tu as raison on va t’entendre crier avec ce qui va t’arriver

— Si tu me touches je crie

— Faudrait savoir… Enfin, moi je ne vais rien faire… Ma femme en revanche…..

Audrey qui a enfin compris les raisons de mon sourire se tourne et se prend une baffe d’Aline arrivée silencieusement au bon moment. Audrey se retrouve à genoux au sol et subit les foudres verbales de ma guerrière en colère.

Elle essaye de se lever mais immédiatement Aline la repousse en lui disant que les petites salopes doivent rester à leur place à genoux.

— Ah tu as voulu me piquer mon mec, ah tu crois que ça allait pas, ah tu voulais goûter à sa queue !

— J’étais perdue, j’avais plus rien, je

— Tais-toi ! Et ne bouge plus maintenant !

Aline s’approche de moi, fait tomber ma serviette, empoigne mon sexe et lui dit " Ça c’est à moi, je vais te montrer si on ne s’entend pas, regarde bien ce que tu n’auras pas."

En un tour de main, elle se met nue, jette rageusement ses vêtements puis se met à genoux devant moi pour emboucher mon sexe durci car évidemment de la voir nue et échevelée de colère a produit un effet certain sur moi.

Elle me suce rageusement au début puis plus langoureusement, m’avalant entièrement, ses mains sur mon dos pour me tirer vers elle. Elle nous regarde alternativement, et entre ses yeux liés au mien et son regard pervers vers Audrey, je m’excite de plus en plus

La bouche de ma nouvelle amazone forme un fourreau de soie autour de mon sexe bandé, ses lèvres serrées m’électrisent et ses ongles qui me griffent un peu le dos me donnent de sacrées sensations.

Elle s’interrompt pour ordonner à Audrey de se rapprocher " Et toujours à genoux, t’as compris !" pour voir ce qu’elle n’aura pas.

Audrey, domptée, se rapproche à quelques centimètres de mon sexe et regarde d’un air hagard ma femme faire son numéro. C’est un vrai festival, gorge profonde, léchouille sur toute la longueur de ma queue avec la langue bien sortie et les yeux brillants, puis masturbation lente tout en disant " Hmm, tu vois comme elle belle, comme elle est grosse, comme elle fait envie…"

Audrey serre les genoux, ses tétons sont érigés, ses seins gonflés, son regard envieux et son visage rouge.

Aline crache deux fois sur ma queue, " voilà comme je l’aime" et me pompe de plus belle, Audrey tend une main hésitante, mais se fait immédiatement rabrouer " pas touche, sale petite traîtresse "

Sa langue s’agite sur le gland, puis elle redescend et gobe délicatement mon paquet dans sa bouche. C’est obscène, ses joues sont gonflées et ma queue tendue qui repose sur le haut de son visage rajoute encore à la perversité de son geste.

Geste qu’elle interrompt pour stopper Audrey qui avait commencé à vouloir se caresser ; celle-ci se tient coite devant le regard impérieux et les rappels à sa traîtrise passée et présente que lui fait mon épouse en mode Valkyrie.

Ma femme me suce merveilleusement bien, m’avalant si profondément que son nez vient toucher mes poils pubiens et reste ainsi quelques longues secondes avant de ressortir ma queue de sa bouche pour reprendre sa respiration. De la salive coule aux commissures de ses lèvres, qu’elle essuie d’un revers de sa main avant d’en projeter le résultat sur les seins d’Audrey, qui a un regard halluciné et tremble de tout corps, ses mains sont crispées sur ses cuisses, tout en elle dit" j’ai envie."

Aline est en mode maîtresse du jeu, me manipulant à sa guise et ses coups de langue, le bruit de sa bouche m’enivrent de plus en plus. Elle s’arrête encore une fois pour asticoter Audrey.

— T’en as envie hein ? Tu mouilles comme une vraie chienne non ?

Audrey haletante, en sueur, tremblante d’excitation, le corps tendu garde le silence mais Aline ne la lâche pas …

— Alors tu réponds petite salope ?

— Oui, Oui putain, j’ai envie laisse-moi goûter s’il te plaît.

— Non,… c’est trop gros pour toi, je parie que t’en as jamais goûté une comme ça. Et réponds. !

— Jamais, mais j’y arriverais, s’il te plaît, s’il te plaît…

Je regarde ma chérie, les yeux brillants, le corps vibrant elle aussi d’excitation, si belle dans son rôle de maîtresse du jeu, qui lape ma queue entre deux phrases.

— C’est moi qui déciderais… Quand je le déciderais.

Audrey geint d’excitation, folle d’envie, le cou tendu, la tête toute proche de mon sexe, son rimmel a coulé, ses seins gonflés sont encore brillants de la salive que lui a jeté Aline mais elle ne peut toucher et sa frustration est ultra bandante pour moi.

Aline m’a repris le gland en bouche, sentant que j’étais au bord de l’explosion, elle me griffe le dos de plus en plus fort, sentant mes crispations musculaires, je halète, je gémis, je me tends et, résultat de toute cette excitation, au-delà de toute retenue, je jouis enfin dans sa bouche en criant.

Je sens qu’elle m’aspire, j’ai l’impression d’être dans un maelström sans fin, je parviens à baisser les yeux à nouveau et la voit, les joues gonflées car elle n’a pas avalé mon foutre, sortir ma queue de sa bouche, recevoir encore quelques gouttes de ma semence sur la joue et le nez, les laisser couler en me regardant et en regardant Audrey, puis, une fois sûre de m’avoir vidé , se relever, face à Audrey, légèrement au-dessus d’elle, ouvrir la bouche et laisser couler tout mon sperme sur le visage d’Audrey.

La scène est d’une intensité incroyable, mon foutre coule de sa bouche et va maculer le haut des cheveux, le front, coule sur le nez et les joues d’Audrey qui sort la langue pour y goûter, mais Aline qui a fini de vider sa récolte, le lui interdit immédiatement.

— N’y pense même pas, tu ne le mérites pas

Aline par contre, comme par habitude se pourlèche les lèvres et les doigts tout en regardant mon sperme couler le long du visage d’Audrey puis le long de son cou avant d’atteindre ses seins. Nous sommes dans une bulle temporelle et je serais bien incapable de dire combien de temps cela prend.

Aline fait se redresser Audrey toujours aussi tendue et lui empoigne les seins brillants dans ses mains avant d’en serrer les tétons avec force, faisant gémir sa captive

— T’es à moi, t’as compris maintenant !

— Hmmm, Ouiii, Oui, oui, oui

Et, comme Aline lui tire encore plus fort les seins tout en la collant contre elle, Audrey part dans un long cri de plaisir et de douleur mêlée, un dernier OUIIIII, qui la laisse pantelante, effondrée au sol , aux pieds d’une Aline ivre de pouvoir et de plaisir.

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