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La vraie histoire du Chaperon Rouge – Chapitre 2




Episode du chasseur et de ses amis (en attendant toujours le loup)

A presque vingt ans le chaperon rouge était toujours innocente. Son vieil ami le chasseur lui fit découvrir le sexe masculin, puis s’apprêtait à lui faire découvrir celui féminin, le sien.

Elle ne s’était jamais caressée, jamais masturbée, et ignorait tout du plaisir charnel.

Elle était maintenant dans la cabane du chasseur, entièrement nue, et se prêtait à tout ce qu’il voulait tellement elle avait confiance en lui qu’elle connaissait depuis son plus jeune âge.

La cabane était équipée pour qu’il y passe des journées et des nuits entières, et possédait entre autre un matelas. Il la fit s’allonger dessus, toute nue:

— Ouvre bien tes cuisses ma chérie, et laisse moi faire, je vais lécher ton sexe comme tu as sucé le mien.

Elle s’offrit sans discussion, il écarta sa toison pour dégager son clitoris, et se mit en devoir de le travailler, de sa bouche et de ses doigts. Il fit très vite éclore son bourgeon, le masturba, le lécha, le suça, l’aspira. La jeune femelle se tortillait devant cette sensation inconnue, jusqu’à jouir violemment. Elle avait à peine repris son souffle qu’un deuxième orgasme encore plus puissant la fit se cambrer et hurler de plaisir. Il faut dire qu’en même temps qu’il lui bouffait le bouton, il lui fouillait l’entrée de la chatte. Ses doigts n’allaient pas trop loin, se heurtant à son hymen, preuve de sa virginité.

Il lui proposa de la dépuceler, lui promettant encore plus de bonheur. Sa confiance en lui était illimitée, et elle accepta après qu’il l’ait prévenue d’un risque de légère douleur et de quelques gouttes de sang naturelles. Il introduisit son gland entre ses lèvres mouillées, puis s’enfonça en douceur. Un petit cri, sans plus, au moment de la perforation, puis des soupirs, des gémissements, du plaisir. Il la limait tendrement, était à son écoute, lui fit connaître ses premiers et inoubliables émois. C’était bon de se faire une pucelle étroite, il était chaud, mais parvint quand même à ne pas perdre la tête au moment de jouir. Il se retira à temps pour éjaculer sur son ventre.

Elle était ravi, nettoya sa queue pour le remercier, récupéra sa semence sur son corps pour la manger. Il la remercia à son tour et lui lécha le minou, nettoya toute trace de sa première fois. Elle se rhabilla et rentra chez elle.

Le lendemain le chasseur avait apporté des ciseaux pour tailler les poils de sa vulve. Il ne voulait pas la raser pour ne pas irriter sa peau si douce, et une fois encore elle se soumit. Il coupa au plus ras, à peine un millimètre, puis lui demanda de se masturber devant lui. Elle s’exécuta et il la matait en se branlant lui aussi:

— Oh salope, c’est bon de te voir faire, elle est belle ton huître, elle sent bon ta mouille, vas-y, vas-y, fais toi jouir petite putain.

— Oui, je vais jouir, tu aimes ça vieux cochon, reluquer ma jeune chounette. Tu as raison, c’est bon de se regarder, j’aime moi aussi comme tu branles ta grosse queue.

— Et que j’éjacule sur toi, ça te plairait?

— Si tu veux chasseur, mais je préférerais dans la bouche, j’ai envie de ton sperme.

— Pas de problème petite cochonne, je vais t’offrir mon jus et tu vas me donner le tien, on va se faire un bon 69.

Elle ignorait ce que cela voulait dire, il lui expliqua, et elle lui demanda de se mettre en position sans tarder. Il la léchait comme un porc affamé, dévorait son vagin, son clitoris protubérant, gros comme une noisette, engloutissait ses orgasmes répétés, sa mouille abondante. De son côté elle le suçait goulûment, il faisait un effort pour se retenir, mais finit par succomber à son talent. Il déchargea de longues giclées épaisses et fournies qu’elle avala avec gourmandise.

Ils se revirent les jours suivants  pour ramasser des champignons le matin, et faire l’amour l’après midi, jusqu’au jour où elle eût ses règles. Il ne pouvait pas la pénétrer et ça leur manquait autant à lui qu’à elle. Il lui proposa alors de la sodomiser, lui expliqua ce que cela voulait dire, la prévint d’une douleur la première fois, puis d’un plaisir encore plus grand que ce qu’elle connaissait.

Une fois encore elle accepta sans discuter, voulait lui faire plaisir. Il prépara son petit trou avec application, de sa langue et de ses doigts, puis plaqua son gland sur sa jeune rondelle encore vierge. Il lui recommanda une fois encore de faire un effort pour accepter la douleur, lui promettant beaucoup de plaisir ensuite. C’est ce qu’elle fit, et très vite elle se mit à jouir sans retenue:

— Oh chasseur, c’est bon ta grosse queue dans mon cul, c’est bon comme tu me sodomises. Continue, continue, n’arrête pas, tu avais raison, c’est encore meilleur que dans ma chatte…

— Salope, petite enculée, j’étais sûr que ça allait te plaire. Je vais te le défoncer ton putain de trou, je vais le remplir de foutre. Et si tu aurais préféré que je décharge dans ta bouche, rassure toi, tu vas pouvoir récupérer mon sperme et le bouffer.

Il fit comme il dit et se répandit à flots entre ses reins. Il se retira, plaça une assiette sous elle et la fit s’accroupir au dessus. Son cul se vidait dedans en même temps qu’elle nettoyait sa queue avec sa salive. Elle lava bien son sexe de sa bouche, avala les dernières gouttes, puis bu le contenu de l’assiette et fit la vaisselle de sa langue.

Ses règles durèrent quatre jours durant lesquels elle s’en prit plein le cul.

Lorsque sa chatte fut à nouveau disponible, le chasseur la baisa à nouveau, mais ça ne suffisait pas. Elle en voulait plus, elle voulait sa queue dans tous ses trous, sa bouche, sa fente et surtout son fion. Le pauvre chasseur faisait le maximum, mais ne parvenait pas à l’assouvir.

Il lui suggéra alors la participation d’un ami, et elle fut ravie de cette proposition. Elle se faisait alors baiser deux fois plus, mais ça ne changeait rien au problème: étant trois pour ramasser les champignons, ça allait plus vite et ça leur laissait plus de temps libre, trop de temps, et ils ne parvenaient à satisfaire ses besoins de plus en plus grandissants.

Le chasseur invita alors deux nouveaux amis, et ils ne furent pas trop de quatre pour enfin la combler.

Depuis ce jour elle passait ses journées entières dans la cabane, et ses partenaires se relayaient pour l’aimer et faire la cueillette. C’étaient tous les quatre des hommes mûrs, la cinquantaine bien sonnée, expérimentés, vigoureux, bien membrés, et bien cochons. Ils ont vite compris qu’ils avaient à faire à une belle petite vicieuse, et organisèrent la semaine pour satisfaire ses besoins et varier les plaisirs en faisant des journées à thème:

 Lundi: Buccal. Elle les suce les uns après les autres, ou bien ils lui baisent la gueule, se servent de sa bouche comme des trous à bites qu’elle a entre les cuisses. Ils jouissent trois ou quatre fois chacun au cours de la journée, et elle avale tout sans perdre une goutte.

Mardi: Vaginal. Ils la baisent comme une putain dans un bordel, plusieurs fois chacun, évitent de jouir dans sa chatte pour ne pas l’engrosser, et éjaculent sur son corps, son visage. Elle récupère tout avec ses doigts, et dévore.

Mercredi: Anal. Son jour préféré. Les hommes sont fous de son cul, ils la défoncent, la remplissent de leur sperme. Son cul recrache à chaque fois dans un assiette, et elle mange tout en fin de journée.

Jeudi: On varie. Ils la prennent trois fois chacun, un seul à la fois, une fois dans chaque orifice. Là encore elle engloutit tout sans rien perdre.

Vendredi: A plusieurs. C’est le dernier jour de la semaine, et ils se l’offrent à deux, et même à trois. Une queue dans chaque trou, ils lui baisent la bouche, la choune, le cul, comme des bêtes. Elle accepte tout, en redemande, et s’abreuve de leurs orgasmes.

Le samedi c’est jour de repos, autant pour la cueillette que pour le sexe, et elle en profite pour se refaire une santé.

Le dimanche c’est visite à sa grand-mère, toute seule.

Deux semaines de plus passèrent ainsi, dans la débauche la plus totale, jusqu’à ce dimanche particulier.

Arrivée chez sa grand-mère, ce n’est pas elle qui l’accueillit, mais le Loup!

A suivre…









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