Les mois qui suivirent furent intenses et jamais Maitresse ne se lassa de jouer de moi comme de Sa poupée à modeler suivant Ses désirs les plus extrêmes. Était-ce leffet du dressage, des opiacés que je prenais continument, ou des piqures que Maitresse me faisaient quotidiennement, mais je navais plus dénergie à mopposer à quoi que ce soit, non que je me sente mou, mais dune totale passivité. Cela contrastait avec la personne que jétais avant que Maitresse ne décide de me briser, lénergie et laction étant ce qui me caractérisait. Maintenant il métait totalement naturel de ne jamais prendre dinitiative, de ne jamais parler en aucune circonstances, de me conformer aux ordres et exigences de mes Maitres, sans jamais apporter le moindre jugement ou la moindre hésitation. Maitresse maurait ordonné de sauter par la fenêtre, je laurais fait sans hésiter.

En remontant à mon appartement, je fus frappé dà peine le reconnaître. De nouveaux meubles avaient été ajoutés, dautres enlevés, des tapis et de la décoration étalaient partout une ambiance très féminine et nouvelle. Je ne me sentais un étranger dans ce lieu que Maitresse sétait totalement approprié. Elle avait passé les dernières semaines à séclater à le redécorer, à mes frais me précisa-t-elle sadiquement. La suite parentale avait même été repeinte, les rideaux changés, la disposition bouleversée. Cétait passé dune décoration plutôt sobre et design, à une chambre immense et plutôt maison de campagne. Le dressing était bien plus rempli quavec les deux valises que javais vidées. Maitresse me fit monter sur la mezzanine, et ouvrir le placard qui serait dorénavant ma pièce à moi. Il était incomparablement plus confortable que la cage, aussi je Len remerciais chaleureusement. Les anneaux fixés à toutes hauteurs en disaient long sur ce qui mattendait. Il nétait pas assez grand pour que jétende mes jambes complètement ni assez large pour que je repose complètement sur le dos. Une petite caméra de vision de nuit projetait un halo blanc, je serais ainsi surveillé, ou contrôlé en permanence. Bien entendu le cadenas fermait à clé, et possédait une petite ventilation. Maitresse mindiqua que ce serait ma demeure, mais que je dormirai aussi souvent aux pieds de Son lit, voulant pouvoir disposer de Sa chose à Sa guise.

Sorti de la cave, jeus droit à un moment de liberté inouï. Libéré de mes ballet boots, ainsi que de ma cage de chasteté et des anneaux de stretching de mes couilles que je portais depuis si longtemps, le corset délacé, jeus droit à un bain moussant pour me relaxer et surtout le nettoyer dune crasse qui sétait bien incrustée. Cette sensation était merveilleuse et je souriais béatement à Maitresse qui surveillait que tout allait bien. Malgré le désir en moi, je fus surpris que mon sexe reste ainsi si mou, la cage laurait-il déjà rendu impuissant ? Maitresse mordonna de me caresser pour le faire durcir, sans aller jusquau bout. La regardant intensément, je me caressais, avec un certain résultat certes, mais bien loin de mes capacités habituelles quElle adorait. Cela La fit sourire, et Elle mordonna darrêter, allant ouvrir au coup de sonnette. Je ne men préoccupais pas, ne me préoccupant plus de rien sinon dobéir.

Maitresse revint accompagnée de mon esthéticienne, qui avait procédé à mon épilation intégrale avant le stage. Ainsi Elles se connaissaient. Florence était venue pour soccuper de moi, avec pas mal de matériel. La journée était chargée, car Florence avait emmené un laser pour une épilation intégrale et définitive, ce qui était normalement interdit, mais la loi sarrêtait à notre porte dorénavant. Après mêtre séché, je fus allongé sur une table de massage, les yeux recouverts de lunette noire. Pendant plus dune heure Florence passa le rasoir sur mon corps, puis le laser qui brulait tous les poils. A certains endroits il sagissait de picotement, à dautre la douleur était très franche, à la limite du supportable. Après sêtre occupée de mon corps des deux côtés, Florence bloqua ma tête dans un renfoncement, et entrepris de faire la même opération sur le visage. Le flux laser était refroidi très fortement et cétait cet air frais qui était curieusement le plus douloureux. Lodeur de chair grillée devint intense, avant quelle ne sattaque aussi à mes sourcils, pour les affinées au maximum, ne laissant quune mince rangée de poils. Jétais épuisé par la tension et laccumulation de douleur. Florence me massa tout le corps avec de la Biafine pour calmer la brûlure, vérifiant navoir oublié aucun passage, y compris et surtout dans mes parties les plus intimes. Je pris beaucoup de plaisir à son massage avec la crème, pas simplement quelle me touche, mais aussi de me sentir ainsi si lisse, et finalement si fragile, vulnérable. Là encore javais un désir dérection mais ma queue ne répondit pas vraiment aux injonctions de mon cerveau. Je regrettais imaginant bien que jallais reprendre ma ceinture très vite, je navais pas pu en profiter, quelle frustration !

Je fus mis assis devant la coiffeuse que Maitresse avait installée dans la suite, et Florence lesthéticienne me coupa les cheveux assez courts. Elle était passée sur le laser à certains endroits, et je compris quElle voulait ainsi rectifier le dessin dimplantation de mes cheveux. Mes pattes avaient ainsi été épilées, tout comme la pointe que javais à lavant. Il ne me restait plus quun centimètre de cheveux, quelle fixa à la verticale avec du gel. Maitresse me permis enfin de regarder mon visage dans la glace et je fus troublé de me voir si beau. Moi qui ne prenais jamais soin de moi, je découvrais un visage bien plus fin que je nimaginais. Bien sur lépilation avait rendu ma peau si douce, mais le dessin des sourcils, celui de mes cheveux, me donnaient une dimension moins virile, que jappréciais beaucoup.

Florence soccupa ensuite de mes mains et de mes pieds qui avaient beaucoup souffert, leur faisant un soin complet. Elle mexpliqua en détail tout ce quelle faisait, mapprenant ainsi à comment moccuper de mes ongles. Au lieu de les raccourcir comme je le pensais, elle les tailla et les affina, nettoyant les peaux, avant de les enduire de vernis transparent et brillant. Jamais je navais eu de si belles mains. Je faisais soigné, apprêté. Florence mappris quelle reviendrait ainsi tous les mois pendant au moins 6 mois, le temps que lépilation laser soit effective et définitive. Jallais rester totalement lisse de façon permanente, cela mexcita et me plu que Maitresse prenne ainsi soin de moi. Florence était très attentionnée, mais je sentais quelle était surtout professionnelle, obsédée par le résultat quelle désirait obtenir, et cette expérience semblait lintéresser ainsi.

Maitresse me mit une ceinture de chasteté différente lorsquelle revint daccompagner Florence. Elle était plus petite, et recouverte à lintérieur de courtes mais acérées pointes qui me blessèrent pour simplement enfiler ma queue toute molle dedans. Maitresse pris des glaçons pour la rendre si petite quelle trouva enfin sa place. Les pointes se faisaient sentir et je ne doutais pas que le moindre début dérection serait très douloureux, je nétais pas prêt de retrouver à bander ! Réchauffant au contraire mes couilles, libérant ainsi la peau qui se dilataient, Maitresse me vissa un anneau supplémentaire, étirant mes couilles de 12 cm depuis leur base. Les deux testicules à lextrémité étaient totalement compressées, encore rouge de lépilation, comme deux petits ballons prêts à éclater. La douleur au ventre qui sétait à peine calmer reprit de plus belle ! Mais cest avec les chaussures que je fus le plus frustré : autant les autres contraintes étaient-elles très sexuelles, autant celle-ci était vraiment terrible et napportait aucune excitation. Jarrivais à peine à marcher avec, mes doigts de pieds étaient martyrisés, et en plus jétais la proie de tous les regards. Je navais pas le choix, et le regard que je levais auprès de Maitresse ne provoqua quune puissante paire de gifle de Sa part. Je La savais colérique, mais je fus surpris par Son accès de fureur que la paire de gifle navait pas calmé au contraire. Ne pouvant me saisir par les cheveux trop courts, Elle me fit mettre à genoux, mordonnant de Lui offrir mon visage. Elle se mit à me gifler à toute volée, alternant gifle et coups du revers de la main, sans se soucier doù Elle frappait, laissant libre court à sa fureur. Pour achever sa démonstration, Maitresse décocha un coup de bien rageur entre mes jambe, frappant mes couilles distendues et menvoyant muet de douleur rouler au sol. Un simple regard de ma part avait déclenché une punition dune rare violence, je comprenais que ma soumission et mon abnégation devaient être absolues. Pendant ces quelques semaines, Maitresse avait laissé développer sa soif de domination, et sétait transformée en la plus implacable des dominatrices. Je neus comme réaction que de me traîner à Ses pieds et Les embrasser en signe de demande dexcuse. Cest lesprit totalement vide que je voyais Ses mains refermer les cadenas des ballet boots qui faisaient dorénavant partie de mon corps.

Maitresse alla chercher un nouveau corset pour remplacer le dernier que javais porté dans la cave. Cétait un corset victorien, avec beaucoup de dentelle, blanche, tandis que le tissu était rose clair. Il avait 6 jarretières et je le trouvais vraiment magnifique, mais ne limaginait pas vraiment pour moi. Dautant que cétait un corset overbust, donc couvrant la poitrine aussi. Cette fois ci je ne fis aucun geste, ni regard qui puisse être mal interprété, et me laissait enfermé dans cette camisole contraignante. Il était prévu pour une femme, mais le travail au forceps déjà réalisé permettait à ma taille de saffiner. Aussi Maitresse put-Elle le serrer de façon aussi contraignante que possible, et sembla très heureuse du résultat. Me demandant de me regarder dans la glace (je gardais en toute circonstance le regard vissé au sol et à Ses pieds), je reçu le second choc de ma journée. La vision était terriblement érotique et très réussi. La taille était magnifiquement marquée, masquant relativement létroitesse de mes hanches. La ceinture de chasteté émergeant au milieu des dentelles donnait une touche délicieusement perverse. Mais jétais surtout surpris de mon allure générale et du remplissage au niveau des seins du corset, comme si la masse récupérée à la taille sétait transférée à mes seins. Mes muscles avaient fondu pendant mon stage, et mes bras, comme mon torse ou mes jambes avaient pris une forme beaucoup plus douce, arrondie sans être grasse (je ne mangeais rien ou presque, comment aurais-je pu faire du gras !).

Au niveau des seins, il se passait autre chose, je le voyais et le sentais. Maitresse avait un regard triomphant que jadorais, je la sentais exulter. Je pensais que le corset avait fait cette forme par pression, mais Maitresse me révéla le pot aux roses. Depuis le début du stage je recevais une piqure dhormones, avec une dose maximale, afin daccélérer lévolution de mon corps et de mon apparence. Si mes muscles avaient fondu cétait bien sur linaction et le manque de nourriture saine, mais aussi ces hormones qui perturbaient mon système. Et me rendaient impuissant comme javais pu le constater. Javais encore une année de traitement intense à prendre, sachant que javais peu deffets indésirables, sachant que cétait surtout des troubles de lhumeur et que cela Elle sen chargeait. De plus les opiacés me maintenaient dans un état de dépendance et passivité totale, donc je subissais cette transformation profonde sans dautres effets que la transformation progressive de mon corps. Je découvrais que chaque fois que je pensais être au bout, au plus bas, Maitresse me montrait quil était possible de me détruire plus encore. Des milliers de questions et dangoisses me vinrent à lesprit, mais je ne me permis aucune réaction. Maitresse senti mon trouble, et au lieu de me consoler mindiqua en riant que jallais devenir sa merveilleuse poupée, sa chérie dont Elle prendrait bien soin. Il faudrait que japprenne à me maquiller, Florence le ferait, mais aussi à bien mhabiller comme une jeune femme qui se tient bien.

Je pénétrais de plus en plus dans Son enfer, dans Ses désirs, sans rien faire pour y résister, mais heureux dêtre là quElle soccupe ainsi de moi. En conséquence jappris que outre de devoir me mettre à Son service complet et permanent, je devrais faire 4 heures de gymnastique par jour pour que je ne mengraisse pas à cause des hormones, sans compter tout lapprentissage pour exacerber ma féminité pourtant bien peu apparente initialement. Je crois que cest justement parce que jétais un homme très virile voire macho que Maitresse prenait ainsi plaisir à prendre le contre-pied et à faire de moi linverse, voulant au contraire que je devienne une poupée ultra sexy, latexée et vivant dans la contrainte.

Les mois qui suivirent furent très laborieux. Est-ce par mimétisme, amour absolu, passion dévorante ? Toujours est-il que je me passionnais pour la quête de Maitresse, minvestissant de toute lénergie qui pouvait me rester à me rendre aussi beau/belle quElle le désirait. Et cest aujourdhui ce résultat que les invités quElle avait convié chez moi/ chez Elle maintenant était venu non pas admirer, mais contempler et détruire ainsi définitivement limage si forte que jaurais pu laisser.

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