Je suis affalée sur mon lit, sur le ventre et nue. Je les entends, mon chéri et Francis, s’approcher dans mon couloir.
Elle est belle, non ?
Putain. Ces fesses, ses cuisses. C’est un plaisir à regarder cette nana. Garde-la au chaud.
Je me retourne, toujours en imitant à la perfection une femme endormie. Ils sont deux à me mater; le pied ! Je dégouline d’envie. Mais ils repartent me laissant frustrée. Je les entends pester contre le poids de cette "putain de tonnelle". Je souris. Ne voulant pas les déranger, je retourne dans les bras de Morphée. Je prends mon coussin et le glisse entre mes jambes; je prends le sien et me gave de son odeur, respirant à plein poumon. Cela me rappelle ma période où Jacques me faisait prendre du popper au masque pour être encore plus salope. J’aimais cette sensation d’être prise par des mecs à la chaîne et de planer. Le pied.
J’entends le bruit de la perceuse depuis ma chambre. Plus la peine de feindre quoi que ce soit, le vacarme est assourdissant. Je me lève, vais prendre une douche et m’habille comme la salope que je suis. Je mets un short en jean minimaliste qui remonte entre mes fesses et un Marcel bien trop grand, laissant voir la naissance de mon énorme poitrine.
Je vais à la cuisine. Les hommes ont presque fini l’installation de la tonnelle. Je m’installe sur ma table de salle à manger. Francis est le premier à rentrer. Il est torse nu. Il s’installe face à moi. Je lui sers un petit café en me penchant plus que nécessaire.
Faites attention, c’est chaud.
Il boit son café en reluquant mes formes. Je me lève pour aller voir Olivier qui balaie ma terrasse. Il est fier de lui en tournant la manivelle. On se retrouve bientôt à l’ombre. Francis est derrière moi, je relève mon Marcel pour lui montrer mon short. Il ne dit rien. Je m’avance vers Olivier et l’embrasse.
Merci chéri. C’est très joli.
Cnest pas moi qu’il faut remercier, dit-il en me plaçant face à Francis.
J’embrasse Maurice comme si c’était un amant de longue date.
Merci, Francis, très gentil à vous.
Euh, euh…De rien.
Je retourne près de mon chéri. Ils me disent qu’ils doivent y aller. Francis doit retrouver sa femme et Olivier finir sa tournée dans les immeubles. Je finis mon kawa allongé dans un des deux transats. C’est agréable, enfin un endroit confortable et chaleureux. Mais pas le temps de rêvasser. J’ai d’autres projets pour moi.
Je m’habille sexy; pas pute, mais sans culotte. Avec ma poitrine, le port d’un soutif est obligatoire. Je prends mon contrat, je file au magasin et je rentre discrètement par l’entrée des artistes, comme l’on aime à l’appeler. Je me faufile jusqu’au bureau de Philippe. Je vois mon boss attablé à son bureau. Il est habillé cool, tee-shirt et jean-baskets. Je toque. Il relève sa tête et son visage s’illumine.
Entre Annie. Tu n’es pas en vacances ?
Si, et je vous remercie. Je suis venue vous remettre mon contrat.
Très bien. Pose-le dans la panière du personnel, tu le classeras lundi.
Le stress vous a passé ?
Oui; ma réunion s’est formidablement bien passée. Merci.
Dommage.
Il me regarde en dodelinant de la tête. Je repars et je croise la petite Elsa dans la salle de repos. Elle a l’air rêveuse. Je la laisse à ses pensées. Je croise Véro, je lui claque la bise.
Je repars chez moi, en passant devant la loge de mon chéri, je le vois, torse nu. Cette vision m’excite. Je le laisse bosser. Je croise Francis, je l’embrasse sur le front. Il en rigole.
Sale petite…Jeune fille.
Je lui souris. Dans mon hall, je croise Hélène.
Je crois que j’ai fait une bêtise. Je suis enfermée dehors, mes clés sont dans mon appartement et ma porte s’est claquée.
Ne bougez pas, j’appelle votre serviteur dévoué. Allo, chéri, tu pourrais venir avec la clé de chez Hélène ? Merci mon amour.
30 secondes plus tard, j’ai la clé, il la reprendra ce midi. Après un petit bisou, il repart vaquer à ses occupations. Dans l’ascenseur, elle me dit :
Halala, que j’aimerai avoir un chevalier servant comme le vôtre.
Il ne tient qu’à vous d’en dégoter un.
Pfft, ma pauvre fille, qui voudrait d’une vieille femme comme moi.
Vous n’êtes pas si vieille que ça. Vous êtes sveltes et avez encore de beaux seins selon Olivier.
Hihihi, il est vrai que l’autre jour, j’ai été un peu trop loin.
Oui, et il bandait en rentrant chez moi. J’ai dû m’en occuper…
On arrive à son étage. Elle me remercie.
Je crois que vous avez raison, je me néglige. Si un jeune homme peut s’intéresser à moi. Je vais faire un effort. Voulez-vous m’y aider ?
Volontiers, allez, on file chez le coiffeur.
Elle prend son sac à main et nous voilà parties chez ma coiffeuse. Elle ne veut pas d’excentricité, mais j’arrive à la convaincre de se faire une couleur, noir de jais. 01 h 30 de soin, de couleur et de coupe; cela me laisse le temps de passer à la boutique de lingerie. Je prends un soutien-gorge demi-balconnet noir et un joli tanga de la même couleur. J’espère ne pas me tromper de taille, mais j’ai l’il. Je repasse récupérer Hélène. Elle est sublime pour son âge et la couleur lui va à merveille. On traverse la route et les automobilistes nous laissent passer, même en dehors des clous.
Tu vois, Hélène, les gens te regardent d’un autre il.
Tu crois ?
Tu crois que ces abrutis s’arrêteraient si l’on avait été deux rombières mal fagotées.
On arrive chez mon esthéticienne. Je lui demande de rajeunir le visage et le cou de mon amie. De lui faire la totale. Je ressors et entre dans mon magasin. Je salue tout le monde. Je file au rayon vêtement. Elle est encore là. Une jolie robe jaune à motifs fleuris. Je regarde la taille, je la prends. Je la fais noter sur mon compte et repars chercher Hélène. Là, Sylvie m’annonce qu’elle ne veut pas qu’on touche à son sexe. Je lui dis que tous les jeunes hommes adorent les sexes glabres. Ils en raffolent. Dépitée, elle accepte. Une fois fait, je prends le soutien-gorge et le tanga et les lui passe. Pile-poil la bonne taille. Elle se touche les seins. Les tétons pointent. Je lui mets la robe, youpi ! Elle est transformée, on lui donnerait tout au plus 60 ans.
On repart chez elle en marchant vite pour que personne ne nous remarque. Une fois chez elle, elle se regarde, s’admire en tournant sur elle-même devant le miroir de l’entrée. Elle est belle, la petite vieille.
Elle s’approche de moi et me dépose un bisou sur mes lèvres. Je retiens sa tête et lui roule un patin bien baveux. On se sépare ? Non, on file chez moi.
Mon chéri est sous la douche et comme à son habitude, sa porte est restée ouverte. Je pousse doucement Hélène devant moi. Elle reluque directement son sexe. Il ne peut pas nous voir, il se savonne la tête. On quitte ce joli spectacle. On s’installe à la terrasse avec un petit Martini. Elle me félicite pour la beauté de ma terrasse.
Quand mon chéri revient, nu, forcément. Il bloque.
Tu aurais pu me dire que tu n’étais pas seul. Bonjour Madame.
La dame se lève et se retourne face à lui. Elle se pince les lèvres, en le voyant nu. Il est ébahi. Elle s’approche de lui et lui fait la bise en posant sa main sur son sexe.
C’est doux et c’est mieux que les poils qui vous gêneraient. Allez, n’ayez pas peur tous les deux. Faites comme si je n’étais pas là.
Ils s’embrassent d’un baiser tendre, au début, qui se transforme vite en un baiser digne des stars du porno. Il fait glisser la fermeture de la robe d’Hélène et la lui enlève. Elle est à moitié nue devant mon mec qui bande comme un étalon. Elle ne ferme pas les yeux, l’expérience parle. Elle lui caresse le dos, les fesses. Ils sont beaux à voir.
Hum, c’est doux, dit-elle en me regardant, j’aime.
Profites-en avant que je ne vienne vous rejoindre.
Elle a compris et s’agenouille devant le rostre de ma grenouille. Elle lui lèche et lui gobe les couilles sans douceur. Il faut que je regarde et apprenne, elle a l’expérience qui me manque encore. Elle remonte le long de la hampe en salivant dessus comme une chienne, joue avec son frein et son méat. Olivier apprécie cette caresse buccale, surtout administrée par une septuagénaire. Elle le pompe directement en gorge profonde sans aucun relent. La bave coule sur les couilles de mon amant. Elle y va fort, les mains sur les fesses d’Olivier. Elle est en apnée, elle est toute rouge. Toutes ces années de frustrations sont en train de devenir un souvenir. Elle arrête et se met debout, en appuis sur ses bras.
Vas-y, mon salop, défonce-moi comme la truie qui te sert de copine.
Là, elle l’a énervé. Il l’embroche violemment. Son pubis claque contre ses fesses. Elle jouit de longues, lançant des mots orduriers, et salaces à l’encontre de notre couple.
Vous n’êtes que des pervers, des dépravés. BAISE-MOI FORT COMME UNE CHIENNE. AAAAHHH OUI, JE SENS TON JUS.
Elle s’affale sur la table. Elle reprend difficilement son souffle. Elle me sourit, je m’installe entre ses fesses et aspire le jus de mon homme qui déborde. Sa chatte toute lisse, ses lèvres étirées, son trou ouvert et luisant de foutre sont un régal. Partageuse, je l’embrasse en mélangeant le jus à nos salives.
Putain, désolée. Le manque d’entraînement.
Tu as été parfaite, dit Olivier; c’est bien plus agréable de te baiser que de se branler devant un porno.
On éclate tous de rire. Olivier aide la vieille dame ébouriffée à se relever, l’assoit sur une chaise et nous sert un Martini. Olivier la complimente sur sa transformation, il ne l’aurait pas reconnue. On l’invite à manger. Elle nous dit qu’elle préfère ce soir, là, il est temps pour elle d’aller se remettre de ses émotions. Elle s’excuse, mais reste encore un peu avec nous, elle aime notre compagnie, notre façon de vivre notre amour. Elle nous trouve très beaux et épanouis. Olivier se lève et s’agenouille entre les cuisses ouvertes d’Hélène.
Il va me tuer !
Chut, laissez-vous faire, lui répond-il, je vais vous manger la moule si appétissante, j’en ai envie.
Il s’attaque à du lourd, et lui plante directement sa langue dans la chatte.
Mais vous mouillez ?
Oui ? Je m’étonne de plus en plus.
Il repart à l’assaut de ce gros fruit juteux. Il lui lèche les moindres recoins. Quand il s’attaque à son clitoris, c’est la décharge. Elle jute comme ce n’est pas permis. Ma grenouille en a de partout sur son visage. Hélène est cramponnée à son siège, bouche et yeux grands ouverts. Il remonte sur son nombril, joue un peu avec ses tétons pour venir l’embrasser.
Laisse-moi, démon, dit-elle en éclatant de rire.
Vous étiez percée.
Oui, une partie de ma vie dont je ne suis pas fière. Je vous expliquerai ce soir. A tout à l’heure, mes amis.
Elle se lève, récupère son tanga, sa robe et sort nue en chantonnant.
