Le film se termine enfin. Je me sens épiée, observée. Par Hervé qui surveille sûrement ce que Gabin peut faire, et par Simon qui le guette sans en avoir lair. Gabin se retourne, il sétire, me sourit et me demande comment jai trouvé le film. Hervé est debout devant moi, il me tend la main pour maider à me lever quand son regard tombe dans mon décolleté avec une fermeture à cinq boutons grossiers. Un pan était resté plié et Hervé a une vue plongeante sur presque tout un sein. Je suis le regard de mon fils et rabat rapidement le pan de ma chemise. Mais ce nest pas possible ! Quest-ce quils ont ce soir ?
Hervé balbutie un peu et me demande si je veux quelque chose maintenant.
Je lui souris, au moins il donne limpression de ne pas lavoir fait à propos. Je réponds gentiment que je vais sûrement aller me coucher. Mais mes garçons me lancent un regard réprobateur accompagné dun « bouh » de désappointement. Ils savent bien que je vais me coucher beaucoup plus tard le samedi soir, parfois même après Hervé. Ce serait bien la première fois que jirai au lit si tôt. Mais javais besoin dêtre tranquille sans trois garçons infernaux autour de moi. Je me retrouve prise au piège. Je finis par accepter un café et un autre film à la télé.
Après une salve de hourra, mon café est servi, le film lancé et le calme revenu. Je me réinstalle à mon aise sur le canapé, Simon est aux toilettes et va sûrement venir leur dire bonne nuit avant daller dans sa chambre. Mais quand Simon revient cest pour sinstaller à son tour sur le canapé, tout contre moi, comme il létait au début de la soirée. Cette fois le petit Simon en posant sa tête sur mes cuisses met aussi une main sur mon genou. Cest vrai quil doit être à peine neuf heures, la soirée avait commencé tôt. Je nallais pas lenvoyer au lit à neuf heures le premier week-end des vacances. Alors je glisse une main sous mes genoux pour coincer ma chemise de nuit et me détendre pour regarder le feuilleton. En fait le contact de la tête de Simon sur mes cuisses est loin dêtre désagréable.
Gabin sappuie sur mon côté droit, la tête légèrement posée sur mes seins. Je commence à être un peu agacée. Ce qui me fait par contre vraiment rougir cest le regard de Gabin, qui un peu dubitatif, fixe ma poitrine déformée par la tête dHervé. Elle semble vouloir durcir, pourtant il ne fait pas froid ! HO NON ! Je ne vais pas à nouveau être excitée par ces vilains garçons. Je me redresse un peu pour que mon fils arrête de jouer à cache-cache derrière mes seins. Je remarque très vite que, soit mon fils est plus que malin, soit la chance est de son côté. En me redressant jai laissé échapper le pan de chemise coincée sous moi et maintenant Hervé qui se trouve assis sur le tapis, me caresse le mollet nu. Ses caresses sarrêtent à la lisière de ma chemise mais jai tout intérêt à la coincer à nouveau. Cependant la main de mon fils qui va et vient sur ma jambe me donne déjà des frissons. Ses doigts sont si doux, si légers. Je me concentre sur la télé, je vois quil sarrête à la lisière de la chemise, mais à chaque passage de ses doigts il repousse le vêtement. Le tissu se déplace lentement à chaque fois, et cest plusieurs centimètres de peau dénudée que mon fils gagne. Au bout dun moment jai les genoux à lair. Gabin se lève, se place derrière moi et vient me donner un merveilleux massage des épaules comme il a quelques fois lhabitude de me le faire. Hervé ne bouge pas dun pouce, il ne joue plus avec le pan de ma chemise de nuit. Je ronronne, miaule presque sous les doigts agiles de Gabin. Cest vrai quil est doué, il la toujours été. Jai presque failli pousser un cri quand les doigts de Gabin ont glissé sous le col de ma chemise et venir frictionner mes épaules. Rapidement je regarde mon décolleté, tout va bien, je lève les yeux pour voir où se pose le regard de Gabin mais cest dans le mien que ses yeux plongent. Je me détends à nouveau et savoure les derniers cercles que décrit mon Gabin sur le haut de mon dos.
Après quelques minutes, Hervé reprend ses caresses, il arrive à ses fins ; ma chemise de nuit ne couvre plus du tout mes genoux. Mais cest quil me déshabillerait complètement sil pouvait ce salopiot. Je ne lui en veux pas, cest de son âge comme on dit, il veut samuser, mais ça nempêche que je ne suis pas à laise. Maintenant Hervé a complètement découvert mes deux genoux et une partie de son visage est maintenant collée sur ma peau. Je veux me redresser quand Simon à son tour passe derrière moi pour me masser à son tour. Je némets quune vague protestation, comment lui dire non alors que Gabin vient de le faire. Mais Simon ne frotte pas sur ma chemise de nuit, il attaque directement dessous. Je me contracte, mais les doigts de mon garçon me détendent tellement. Ses massages sont différents de ceux de son frère. Plus fermes, plus appuyés, chaque muscles et ligament rouler sous ses mains déjà puissantes pour son âge. Simon, moins déluré que ses frères, cependant, son toucher a quelque chose de plus viril, de plus mature. Je passe un bras sur ma poitrine pour cacher les pointes qui nen finissent pas de rappeler leur présence. Après avoir repris sa place à mes côtés, Gabin replie ses jambes et sa tête glisse sur mes cuisses à la place de Simon. Se faisant le tissu sous sa tête glisse de concert et la joue de Gabin est maintenant lovée sur ma peau nue. Ce nest dailleurs plus ma jambe quHervé caresse doucement mais mon genou et ma cuisse. Quand les doigts frêles passent sur lintérieur de ma cuisse, jai un frisson qui me parcourt de bas en haut. Dans son genre, il est très doué lui aussi et ne semble pas se lasser de cajoler mes genoux et mes cuisses. Je sais que ma chemise nira pas plus haut, le contact du visage de Gabin contre ma peau mélectrise.
Gabin se tourne un peu, se replace, cest maintenant son souffle qui glisse sur ma peau. Cette douce chaleur est insoutenable. Mon corps réagit à ces petites stimulations, jai beau me concentrer sur le film, je narrive pas à enlever de mon esprit la moiteur qui émane dentre mes jambes. Jai honte, honte que ces attouchements assez innocents quand même arrivent me mettre dans un état pareil. Je me demande sils sont vraiment conscients de ce qu’ils font. Je nai jamais eu dhomme depuis la disparition de mon mari. Mais comment je peux comparer les mains de mon défunt mari aux caresses innocentes de mes trois jeunes hommes adorés ? Je ne suis pas vraiment chatouilleuse mais quelle femme pourrait supporter sans réagir quon la touche à ces endroits ? Surtout par ses propres rejetons !
Le film se termine et je ne suis pas sûre davoir tout suivi. Les films laissent la place aux programmes des chaînes, latmosphère se détend. Hervé est déjà debout, il explique à Simon que ce nest pas comme ça quon doit masser des épaules, cest de la peau, des muscles, des nerfs et pas une pâte à pétrir. Et sous les yeux attentifs de Gabin, à genoux sur le canapé, Hervé place ses mains sur mes épaules et entame un nouveau massage.
Hervé décrit chacun de ses mouvements, Gabin et Simon regardent attentivement. Que peuvent-ils voir de là je me demande, si ce nest les doigts du grand frère agir sous le tissu. Le cours dHervé est magistral, ses mains aussi. Il appuie un peu plus, fait des gestes un peu plus amples. La fermeté de son toucher rend encore meilleur le massage, il allie cette part de féminité en lui avec la fermeté de Simon. Peut être a-t-il été vexé que je ronronne sous les doigts de Simon. Par moment les mains dHervé descendent sur mes bras. Je ny prête pas spécialement attention, ma chemise est fermée normalement, mais quand il remonte ses mains en les glissant légèrement devant, cest sur la base de ma poitrine que les doigts de mon fils vagabondent. Il ne reste pas, et repart aussi vite quil y est venu mais son geste se répète. Je ne sais plus quoi faire. Sil était seul je nhésiterais pas à lui faire remarquer. Et pourtant il me semble plus audacieux que dhabitude. Ses doigts osent aller toujours un peu plus loin sur ma poitrine sous le regard de ses deux frères. Dans un sens je suis contente davoir une belle poitrine. Les mains sur elle sont si douces, si attentionnée.
Cest un feuilleton qui démarre, Je fais le vide dans ma tête pour essayer de le suivre. La tête de Simon va et vient imperceptiblement le long de mes cuisses. Je me demande ce quil fait dans un premier temps puis au bout de quelques minutes il a dégagé le terrain pour ainsi dire, puis son visage repose entièrement sur mes cuisses nues. Je tente de me rajuster, de me redresser mais cest peine perdue, tout ce que jarrive à faire cest décarter un peu plus mes cuisses. Pour se remettre correctement il faudrait que je me relève complètement. En attendant la tête de Simon est fichée contre mon ventre et son souffle effleure lintérieur de mes cuisses. Cest comme une marée qui monte et descend et amène à chaque passage son flot de sensualité chaude. Il nest plus question de moiteur entre mes cuisses mais dune humidité inquiétante. Ma respiration est plus courte et mes gestes approximatifs. Je ne sais plus où mettre mes mains dailleurs. Gabin prend ma main comme il la déjà fait et la place sur son ventre. La main de Gabin parcourt maintenant presque toute la totalité de mes cuisses, ses doigts viennent se perdre à lintérieur de mes cuisses, à quelques centimètres seulement de mon intimité, jai du mal à retenir un nouveau soupir. Je me rends compte que la main de Gabin nest plus aussi assurée, il doit bien savoir ce quil fait, hélas, il ne sarrête pas. Il ne va jamais trop haut mais reste toujours dans cette partie sensible et chaude de ma personne.
A ce moment, je ne sais plus où jen suis, je jure que dès la fin de cette série télévisée je cours dans ma chambre. Ca doit être ça, trop de frustrations accumulées, trop de pulsions que jai dû enfouir, et maintenant mon corps demande réparation. Enfin une page de publicité arrive. Soulagement, Gabin se lève et veut prouver à son frère quil peut faire aussi bien que lui. A nouveau Gabin plonge ses mains sous mon col de chemise de nuit et vient malaxer mes épaules. Mais là, Gabin va directement sur mes bras.
Le col de ma chemise de nuit est étiré entre les poignets de Gabin. Le massage est des plus agréables, cest vrai, mais pour éviter tout incident je me penche un peu en avant. Gabin na plus trop le choix, il doit se concentrer sur mon dos. Le visage de Simon a presque recouvert ma poitrine. Gabin appuie fermement sur mes épaules et sur mon dos. Ses mains fermes me font pencher encore plus en avant et mes seins sappuient fermement sur le visage de Simon. Instinctivement je me redresse ce qui oblige Gabin à poursuivre son massage sur mes bras. Je ne peux me retenir de frissonner et de laisser échapper un faible « hooooooo ». Gabin na que le côté de mes seins dans ses mains, mais cest bien cette partie de mon corps quil masse un court instant. Ses mains ont lair de rester une éternité sur ma poitrine. Quand je reprends suffisamment mes esprits pour vouloir dire quoi que ce soit. Jen arrive à me demander si mes enfants ne sont pas de mèche mais cest une idée folle, ce ne peut être quune succession daccidents malencontreux. Et que puis-je reprocher à mes fils alors que moi-même suis ostensiblement excitée par la situation. Je ne vois même plus le feuilleton tant mon esprit tente de trouver une solution à cette situation. Je suis là sur le canapé avec la chemise de nuit retroussée jusquà la taille, mon plus jeune fils la tête entre mes seins, laîné dorlote de sa joue mes cuisses nues et les mains de Gabin caressent mon dos et ma poitrine. Je remarque que quand Gabin a tiré sur le col de ma chemise de nuit ça a eu pour effet de la faire encore monter un peu, débarrassant Hervé de quelques tissus entre sa tête et mon entrejambe.
Quand Hervé glisse à nouveau sa main à lintérieur de mes cuisses, je suis certaine de lavoir senti frôler les poils de mon intimité. Huit à neuf ans sans avoir dhomme dans son lit, je nai plus vraiment cherché à entretenir ma pilosité à cet endroit. Je fais juste attention quaucun poil disgracieux ne dépasse de mon maillot en plein été mais pour le reste, cest la forêt vierge. Cest cette forêt vierge qui semble être le prochain but à atteindre pour les doigts dHervé. Je me redresse ou plutôt enfonce mes fesses dans le canapé mais cela na pour résultat que de permettre à ce grand dadais de reculer encore un peu sa tête pour quil soit plaqué contre mon ventre. Je tente de me convaincre que jamais mon garçon naura le courage de me toucher là directement et pourtant, là où je sens le contact de ses doigts ne doit plus en être très éloigné. Deux centimètres peut-être trois, ça doit être tout ce qui sépare le majeur de mon Hervé du lieu où il a vu le monde pour la première fois.
Mais enfin le générique de lépisode annonce la fin de la série du feuilleton, je prends appuie sur laccoudoir et fait mine de me lever quand je vois sur lécran quun autre feuilleton est programmé. Jai envie de crier : « Arrêtez avec vos sales pattes, arrêtez de me peloter vous commencez à ménerver sérieusement, je préfère aller dans ma chambre » Jaurais peut-être dû mais je ne lai pas fait. Je reste là abasourdie et en même temps rassurée de voir que je suis très aimée par mes enfants.
Rassurée de voir que je ne quitte pas ma place, les garçons me disent quils vont prendre soin de moi, Ainsi Gabin reprend son massage sur mes épaules mais ne descend pas plus que ça sur mes bras. Je me sens un peu soulagée, peut-être a-t-il senti quils étaient allés un peu trop loin lui et ses frères, dailleurs quand je regarde leurs yeux, je vois bien que le champagne a fait son effet. Je sursaute quand une paire de main saisit mon pied droit.
Cest Hervé qui vient me faire un massage des pieds. Il sait que jadore ça, surtout le soir après avoir fait les courses ou après une longue balade. Il sait comment il faut tenir le pied fermement et bien presser la plante. Mais ce soir le toucher est très léger ça devient des chatouilles. Hervé sait bien jauger, doser en parcourant tout mes pieds de ses doigts agiles. Par moment je suis bien obligée décarter ce qui amène Simon à glisser un peu plus entre mes cuisses. Je glisse de moi-même au fur et à mesure pour mallonger doucement et laisser Hervé manier mes pieds. Ce qui finit par cacher mon dos et maintenant Gabin ne peut plus faire autrement que dagir sur mes bras et le haut des seins. Ma chemise de nuit a bien entendu fini de se retrousser et une partie des cheveux de Simon est maintenant directement en contact avec le haut de mon pubis.
Cest bien Simon, qui, maintenant, mine de rien, glisse sa main gauche sous mes fesses. Je nen reviens pas ! En fait, jusque là sa main était sous mes cuisses immobile mais ma nouvelle position a placé logiquement cette main sous mes fesses, enfin, sous une fesse. Hervé, de son côté a déplacé son effleurage vers mes genoux pour frôler mes cuisses. Je me relève pour que Simon retire sa main, mais je nai pas pensé que suivant la façon dont est installé Simon, il avait une main dessus et cest sur mon intimité que vient se plaquer son autre main. Sans réfléchir une seconde je me laisse tomber et mon postérieur vient se poser directement sur la main de Simon, ses doigts bien placés entre mes fesses.
Le feu embrase mes joues et mon intimité. Je rassemble tout mon courage et doucement demande à Simon de retirer sa main de dessous mes fesses, que je ne voudrais pas lécraser ou lui faire mal. Simon retire sa main à contrecur, il ne peut dire non, tout ceci doit rester une série dincidents malencontreux. Mais incidents ou pas Simon a bel et bien sa main plaquée sur mon pubis. Jai à nouveau en confiance et me dis quil va retirer sa main dentre mes cuisses pour se rajuster, mais quand je sens les doigts humides de mon fils je ne peux me retenir de rougir à nouveau. Mon fils avait les doigts recouverts de ma mouille. Quelle honte !
Cependant les stimulations nallaient pas sarrêter là, Hervé tout en regardant la télé continue ses câlineries. Il a lui-même les jambes sur le canapé, repliées sous lui. Je me retrouve donc presque allongée de tout mon long. Au bout dun moment, Simon, sans aucune gêne, se retourne complètement pour faire face à mon ventre et lembrasser juste au-dessus de mon pubis. Comment peut-il oser ? Simon a un accès complet à mon entrejambe. Cest alors que pour la première fois je réalise que trois paires de mains parcourent ma peau nue. En fermant les yeux, je pense que je nai plus de chemise de nuit. Cest bien les doigts que je sens sur le haut de ma poitrine, cest bien les mêmes mains qui remontent ma chemise. Je veux protester quand Hervé tire à nouveau sur ma jambe droite pour lattirer un peu plus à lui, il a évidemment de la force car je ne peux me retenir et glisse un peu plus sur le canapé. Il ny a bientôt plus que ma tête qui repose sur laccoudoir alors que les mains de Gabin dérapent sur ma poitrine, mais cette fois, pas sur le haut, cest mes seins quil pétrit de la même façon.
Après diverses manipulations Gabin retire complètement ses mains étirant le col de ma chemise et un nouveau bouton se dégrafe. Ma respiration devient irrégulière. Quand je veux refermer le haut de ma chemise, je sens le chatouillement humide de Simon qui parcourt mon ventre de petits bisous. Je baisse les yeux sur le jeune impudent mais à nouveau Hervé tire légèrement mais fermement sur ma jambe, il étend un peu les siennes et dans un même mouvement ramène mon pied contre son ventre. Ne voici pas que je sens quelque chose de dur venir buter mon talon. Je nose même pas regarder lérection que je devine, je tente de tirer mon pied. En contractant ma cuisse je pousse imperceptiblement Simon qui vient alors déposer un baiser un peu plus bas, à cinq centimètres tout au plus de ma toison. Hervé qui saisit mon recul, se confond en excuse, me promettant quil ferait attention à ne plus me chatouiller. Mais ce nest pas des chatouilles que jai ressenties cest son membre durci. Je regarde lexpression de Gabin, il se penche pour déposer sur mon front un tendre baiser. Rien de bien érotique, un baiser sur le front, comme je le fais quand il va se coucher. Heureusement que la pièce est dans la pénombre et chacun ne voit pas bien ce que fait lautre. Jai les seins gonflés sous les attouchements de Gabin, comment le renvoyer sur le fauteuil alors que les deux autres sont là sur le canapé. Je me sens perdue, je nai pas la force de résister, ils sont trois contre moi à me vouloir je ne sais quoi, mais un nouveau danger minterpelle.
A suivre…
