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Nous sommes vraiment allés très loin avec Tata Geneviève – Chapitre 2




Salut c’est votre folle de lycra

Dans le chapitre précédent je vous racontais comment en tant que jeune étudiant parti étudier sur Montpellier, je me suis retrouvé logé par ma tante Geneviève dans un grand appartement. Cette dernière était une grande et belle jeune femme de tout juste 10 ans de plus que moi. J’étais encore jeune innocent et ne pensais qu’à mes études, mais disons que cela commençait à me démanger entre les jambes. À défaut de mieux j’ai commencé à emprunter les petites culottes et les collants de ma tante pour me faire des petits plaisirs dedans. À l’occasion de la venue d’une de ses amies, Coralie j’ai découvert ma tante sous un nouveau jour; moi qui la croyais coincée, en fin de compte elle était hyper branchée sexe. Un soir nous avons joué franc-jeu et c’est ainsi quelle m’a invité à venir lui faire sa toilette intime avec ma langue. Comme si j’étais hypnotisé, je me suis exécuté et c’est ainsi que nous prîmes l’habitude le matin ou le soir à ce que je lui mange sa friandise quotidiennement.

J’avais pour mission tous les jours de lui nettoyer son intimité, mais pas de lui faire prendre son pied; j’avais en plus le droit de sentir ses petites culottes usagées. Cela a duré plusieurs mois ainsi jusqu’à ce qu’un soir Coralie vienne profiter de ce privilège quotidien, à savoir le nettoyage de minou. Son amie avait l’air plus coquine, limite dominatrice et ce n’était pas pour me déplaire. Voilà comment alors que j’étais toujours puceau, j’étais en train de devenir un expert en broutage de friandise. Avec le temps Geneviève s’est un peu dévergondée en m’invitant à lui faire sa toilette quand elle était assise sur le plan de travail, dans la cuisine, ou assise sur la table du séjour, ou assise sur la baignoire; le must fut le jour où elle m’a invité à passer sous sa robe très longue. J’étais totalement dans le noir pas d’air frais, que de l’odeur de minou à respirer; j’étais un homme comblé. Quelques jours plus tard, elle m’a même invité à lui faire ça alors qu’elle était dans la voiture; nous étions à l’orée d’un bois et elle avait écarté ses jambes une fois, la porte ouverte.

J’ai appris quelques jours plus tard que le passage par la voiture était l’étape finale pour ma formation en tant que nettoyeur de minou. À partir de ce jour-là nous avons passé une étape nouvelle, à savoir que j’avais le droit de donner du plaisir à ma tante et surtout de lui faire prendre son pied une fois par jour avec ma langue. De mon côté j’étais assez satisfait de ce cap franchi, mais au fond de moi j’attendais un peu plus car tous les jours pendant que je lui mangeais sa friandise j’avais toujours une érection de malade. Quelques semaines après Coralie est à nouveau venue dîner un soir à la maison, mais là il n’y avait pas trop de surprise dans ma tête quant au programme de la soirée. À la différence des dernières fois, après le repas c’est Geneviève qui m’a invité à aller donner du plaisir à son amie en m’agenouillant devant elle.

— J’espère que tu vas me faire crier de plaisir ce soir

— Ta petite langue est très efficace pour me nettoyer mon abricot, je compte maintenant sur elle pour qu’elle me fasse monter au ciel

C’est sur ces mots très encourageants que je suis passé à l’action, encouragé par ma tante. La seule différence par rapport au coup d’avant c’est que maintenant j’allais opérer avec ma langue jusqu’au bout.

Bien qu’ayant maintenant l’habitude du goût et de l’odeur de son minou, je prenais toujours un plaisir monstre à me retrouver entre ses jambes; avec ma tête tenue. Comme d’habitude ma langue a commencé par lui faire sa petite toilette intime j’ai commencé à insister fermement sur son clito et sa cachette. Ses petites lèvres aimaient aussi que l’on s’occupe d’elles et elles donnaient beaucoup de plaisir à la propriétaire. Comme les fois précédentes Geneviève est venue embrasser son amie mais avant qu’elle prenne du plaisir ce qui sous-entendait de la gourmandise. J’avais un peu pris confiance en moi et du coup j’ai pris l’initiative de lui mettre plusieurs doigts dans le vagin, elle a beaucoup aimé… A tel point qu’elle allait à la rencontre de mes doigts en donnant des coups de bassin. Avec le recul j’étais en train de réaliser que toutes les parties de son entre-jambes étaient sensibles à mes coups de langue. Pour ajouter un peu de piment à l’instant que nous étions en train de vivre tous les deux, je me suis permis d’aller lui saisir la pointe des seins; c’était la première fois que je faisais ça.

Vu la réaction, je venais de déposer la cerise sur le gâteau et quelques secondes après elle prenait son pied en poussant de grands cris que Geneviève neutralisait en l’embrassant. Coralie se mit à me serrer la tête entre ses jambes, je ne pouvais plus rien faire et à peine respirer. Pour la première fois de ma vie je venais de faire jouir une femme, devant une autre femme.

— Alors est-ce que tu es contente de mon neveu.

— C’est la première fois qu’il fait jouir une femme et je suis contente que ce soit avec nous

C’est vrai que j’étais assez fier de moi, même si j’étais encore en mauvaise posture mais dans un endroit de rêve. J’ai quand même continué à lui manger sa figue jusqu’à ce qu’elle me demande d’arrêter car cela devenait insoutenable.

— Je reconnais que ton neveu commence à être un expert en broutage de minou.

— Voilà bien longtemps que l’on ne m’avait pas fait jouir ainsi.

Avoir des compliments de la part de Coralie sur ce sujet me rendait très heureux car je pense qu’elle était très difficile sur la chose.

Après avoir repris ses esprits, Coralie a fini par me libérer, j’ai pu reprendre mon souffle et je l’ai vue me regarder avec me semble-t-il de l’admiration. Il y avait dans son regard de la fragilité, de la complicité, mais peut-être aussi un peu de respect peut-être venais-je de rentrer dans la cour des grands. J’ai eu à nouveau droit d’embrasser les deux amies mais les baisers étaient un peu plus impliqués, je sentais qu’il y avait quelque chose qui était en train de naître entre nous trois. J’ai réussi à m’asseoir sur le canapé en me faufilant entre les deux amies et nous sommes restés facilement une heure à rêvasser et parler de temps à autre. C’est ainsi que j’ai appris qu’elles étaient amies de collège, elles avaient fait les mêmes études et que Coralie avait commencé à travailler dans la même boîte que ma tante. Puis cette amie a décidé de se mettre à son compte en ouvrant une boîte pour divers tests biologiques. Alors que Geneviève était chef de service dans une multinationale pharmaceutique française, Coralie était à la tête d’une société avec presque vingt personnes. Disons que c’était une petite start-up qui était en train de se faire sa place dans sa niche.

J’ai aussi appris à cette occasion que les deux femmes avaient commencé à jouer à touche-pipi à l’époque où elles commençaient leurs études supérieures. Comme elles disaient pudiquement, elles avaient commencé à se découvrir dans leur chambre d’étudiants. Le pire c’est qu’elles pouvaient passer pour des vieilles filles car apparemment elle n’avait jamais couché avec un homme. Geneviève m’a montré comment elle arrivait à s’en passer en nous emmenant dans sa chambre où elle a ouvert un placard qui était rempli de sex-toy de toutes sortes. Je peux vous garantir qu’à partir de ce soir-là, je n’ai plus regardé ma tante de la même façon, moi qui la trouvais tellement innocente; je suis tombé de haut. Ce soir-là ma tante ne fit que nous montrer, nous n’avons pas eu le droit de toucher et elle a refermé le placard immédiatement à notre grand regret.

— Ce n’est pas au programme des réjouissances de ce soir.

— De toute façon ce ne sont des jouets que pour les filles.

— À moins que…

Je ne sais pas si tata voulait me mettre l’eau à la bouche, si c’était le cas elle avait réussi, mais nous sommes repartis nous asseoir dans le canapé quelques instants avant que son amie ne nous quitte.

Nous nous sommes séparés comme d’habitude sur de longs baisers gourmands et attentionnés. Nous sommes ensuite partis nous coucher et là à ma grande surprise Geneviève m’a appelé pour m’inviter à ce que je dorme dans son lit.

— J’ai envie de te sentir contre moi

— Je suis persuadée que cela va te donner une énorme érection et j’ai envie de la sentir contre moi pour m’endormir.

Voilà comment ce soir-là je me suis endormi dans mon pyjama tout doux mais avec une grosse gaule collée contre le corps de ma tata. Nous avons été on ne peut plus sages et avons dormi d’un trait, bien évidemment au petit matin j’étais toujours en pleine forme mais c’était une forme physiologique si je puis dire. Quand le réveil a sonné j’ai cru rêver quand j’ai réalisé que j’avais dormi contre ma tante qui elle par contre était dénudée. Si je m’étais écouté je lui aurais sauté dessus, à ma grande surprise pour la première fois de ma vie j’ai eu le droit à une fellation de la part de Geneviève en guise de bonjour. Bien évidemment elle n’a pas été jusqu’au bout mais la sensation a été merveilleuse autant que nouvelle.

Je venais de découvrir les bienfaits d’une bouche qui vient déposer des baisers sur mon chibre, enfourne ce dernier et qui ensuite monte et descend sur ma colonne de chaire pour mon plus grand plaisir. J’ai eu le droit à cette faveur durant quelques minutes, mais c’était tellement bon que j’avais l’impression de vivre un rêve d’autant que par-dessus cela c’est a commencé à prendre des initiatives sur mon corps. La cruauté ce matin-là, comme la plupart des soirs, c’est que ma tante me faisait monter la pression puis s’en allait. Quand nous sommes passés à table pour prendre notre petit-déj j’ai encore eu le droit à une nouveauté; ce matin tata a fait comme Coralie en allant mettre ses doigts dans son minou pour me les donner à sucer. Là aussi cela n’a duré que quelques minutes, mais ce sont des minutes qui marquent pour un jeune puceau comme moi. Ah j’avais oublié de vous dire que chacun avait la corvée de faire son lit avant de partir, ce matin-là j’ai gagné un ticket pour m’occuper du lit de Tata. Nous nous sommes habillés pour nous préparer à aller bosser comme si de rien n’était; juste des petits regards qui pour les connaisseurs voulaient dire beaucoup.

Ce jour-là je peux vous garantir que pendant les cours j’ai quand même beaucoup pensé à Geneviève. Cette dernière a même poussé le vice jusqu’à m’envoyer des SMS pour savoir si tout allait bien. Nous nous sommes retrouvés le soir comme si de rien n’était, excepté le fait que ce soir-là tata s’est assise sur le plan de travail de la cuisine a retiré sa culotte poisseuse qu’elle m’a donné et comme il m’arrivait souvent de le faire maintenant elle m’a invité à venir lui manger sa friandise. Vous vous doutez bien qu’en tant que gentleman que je suis, je ne me suis pas fait prier, par contre au bout des quelques minutes habituelles qui m’étaient accordées, elle m’a dit qu’elle aimerait qu’aujourd’hui, je lui fasse prendre son pied toujours avec ma langue; comme je l’avais fait à son amie la veille au soir. Comme avec Coralie, je connaissais maintenant parfaitement l’intimité de ma tante et je savais où insister quand il fallait lui donner du plaisir. Pour la deuxième fois de ma vie j’osais glisser mes doigts, que j’avais prélèvement enduit de salive, dans le vagin de Tata. La nouveauté du jour fut que Geneviève m’a pris la tête, elle aussi, pour la garder sous pression contre son minou.

Il ne lui a pas fallu beaucoup de temps pour prendre son pied mais une fois de plus moi je restais sur la béquille. Elle s’est mise à pousser des cris qu’elle a étouffés avec un torchon qu’elle s’est mise à mordre, j’ai poussé la cruauté jusqu’à continuer encore un peu; histoire de la faire partir dans les nuages. Peut-être était-ce la position qu’il n’y était pas favorable, mais elle ne m’a pas serré la tête entre ses jambes, par contre ces dernières étaient dans mon dos et me plaquaient contre les tiroirs. Quand elle a repris ses esprits nous sommes partis à table et durant le repas elle n’a pas cessé de me regarder avec des yeux coquins et désireux. De mon côté j’étais toujours avec mon érection que je ne faisais même plus d’efforts pour la dissimuler. Après le repas j’ai essuyé à table, j’ai fait la vaisselle, j’ai nettoyé la cuisinière puis nous sommes partis regarder les informations devant la télé. À ma grande surprise ma tante s’est mise à m’embrasser comme jamais elle ne l’avait fait, sa langue est carrément venue me faire un détartrage. Pendant que nous nous embrassions j’imaginais la tête que ferait ma mère si elle me surprenait avec sa petite sur.

En espérant que ce chapitre numéro 2 vous ait plu; je sais, je fais durer le plaisir avant l’acte final

Bisous à vous

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