Chapitre 7 : Le secret de Nancy

  Je remets ça avec ma sur plus vite que je ne l’aurais cru. Dès le lendemain, elle me resaute dessus. C’est une vraie accro de la bite qui n’a aucun tabou ; ce qui n’est pas pour me déplaire, loin de là. Sa façon d’être me rend très à l’aise quand je suis avec elle au lit, cela me fait faire des choses que je n’ai jamais osé avec mes ex. Parfois, nous faisons l’amour comme des amants, parfois, elle veut juste se faire défoncer comme une grosse chienne. C’est la première fois que je me tape une véritable salope. Cela me fait bizarre de savoir que c’est ma sur, c’est assez libérateur aussi. C’est bon de pouvoir se laisser aller et de juste baiser sans penser au lendemain.

  Durant les premières semaines, c’est toujours elle qui prend l’initiative. Il m’arrive de rester des jours entiers dans l’attente qu’elle me réclame quelques coups de reins. Je n’arrive plus à penser à autre chose à chaque fois que je me trouve en sa présence, pourtant, je ne sais pas pourquoi, je suis trop timide pour faire le premier pas. C’est une torture de l’avoir à côté de moi, d’avoir envie de son corps et de prier qu’elle devienne assez en manque pour me laisser en profiter. J’ai sans cesse les images de son corps nu à travers ses vêtements. Je pense à ses seins si bien fait, J’ai faim de sa peau douce au parfum sucré et de ses lèvres mielleuses. Puis un jour, je deviens plus entreprenant. Je la veux, je ne supporte plus d’attendre. Nous sommes seuls dans la maison, elle est dans la cuisine en train se préparer un en-cas. J’arrive par derrière et l’enlace contre moi. Je la caresse tendrement puis lui embrasse le cou. Exhorté par ses gémissements, je deviens plus fougueux et lui pelote les seins. Elle tourne la tête vers moi pour m’embrasser. Elle est à moi, je le sais. Je l’ai conquise, alors je la saute sur la table. Je l’assis dessus, nous débarrasse de nos vêtements, et la lime comme un amant amoureux. J’ai mes mains sur ses fesses tandis qu’elle a posé les siennes dans mon dos. Elle me veut près d’elle, à portée de baiser, et moi, je veux pouvoir me plonger dans son regard sulfureux.

  Nous parlons peu. Je la prends pour lui faire sentir que j’ai besoin de son corps pour jouir. Elle m’accueille comme aucune femme auparavant. Elle a faim de moi. Je suis si bien dans son vagin. Nous atteignons l’orgasme ensemble après plusieurs minutes. Je la remplis de foutre, elle l’accepte comme si elle en avait besoin. J’aime tellement éjaculer dans la chatte de ma sur, comme pour marquer mon territoire. Je voudrais que les prochains qui y entrent sachent que je suis passé par là.

  Mon péché mignon, c’est l’enculer. Depuis qu’elle m’a fait découvrir le sexe anal, je peux plus me passer de son cul ; et maintenant que je n’ai plus peur d’initier nos ébats, je n’hésite plus à en abuser sans attendre qu’elle vienne le réclamer. Ça me fait toujours un effet fou de voir mon sexe disparaitre dans son conduit et de l’entendre hurler de plaisir. Elle est complètement tarée, plus je la prends fort, plus elle aime ça. Je me rends compte en avançant qu’elle aime vraiment être dominée. Cela m’excite terriblement. Il m’arrive parfois d’avoir envie de… la dégrader. Je me sers d’elle comme une brute pour me faire du bien, je la prends comme ma chose et me finis en lui éjaculant au visage sans lui demander son avis. J’adore la voir à genoux devant moi recouverte de sperme. Ce qui m’étonne le plus, c’est de voir combien elle aime ça. À chaque fois, au lieu de se plaindre ou de m’insulter, elle récolte mon jus d’un doigt pour l’avaler. Elle est incroyable. Cela me rend dingue, au point qu’une fois, je me suis remis à bander directe et je lui ai refais son affaire. Son cul était encore béant lorsque je me suis renfoncé dedans. Je l’ai prise à quatre pattes comme une chienne jusqu’à me vider dans ses intestins.

  Nous baisons, mais nous baisons sans arrière-pensées, sans attache. Nous nous faisons simplement plaisir afin de satisfaire nos besoins et nos fantasmes. Il y a de l’amour, de la complicité, de la passion, mais nous ne sommes pas un couple et nous ne le serons jamais. Implicitement, nous le savons tous les deux. Cela me va ; pourtant, je ne peux pas m’empêcher d’avoir une pointe de jalousie lorsqu’elle a un nouveau copain. Je savais que ça allait arriver. J’ai peut-être exagéré quand j’ai dis qu’elle en avait un nouveau toutes les semaines, mais je me doutais bien que ça n’allait plus tarder. Sur le coup, ça a été la fin du monde pour moi. Je n’ai jamais été aussi heureux et comblé sexuellement depuis nous couchons ensemble, je ne veux vraiment pas que cela se termine comme ça. Puis je suis soulagé quand elle vient me voir un jour sous la douche pour me sucer.

Mais… Erika… qu’est ce que tu fais ? lui dis-je.

Quoi ? Pourquoi tu as l’air aussi surpris ? Ce n’est pourtant pas la première fois que je te fais une pipe.

  C’est là que je compris que le fait qu’elle ait un petit-ami ne changerait rien entre nous. Heureux, je la baise face contre vitre avant qu’elle ne me fasse jouir dans sa bouche. C’est vraiment une salope ; on dirait qu’un mec n’est pas assez pour la satisfaire. Je dois cependant avouer que j’aime d’autant plus la prendre en sachant qu’elle trompe son homme avec moi. Parfois, elle est encore pleine de son sperme. Bien que ce soit pervers, cela nous excite tous les deux.

Tout cela m’a fait réaliser une chose merveilleuse : peu importe ce que nous réservera l’avenir, elle sera toujours là pour moi et je serai toujours là pour elle. Plus jamais nous ne souffrirons du manque de sexe. Célibataire ou en couple, nous continuerons de baiser ensemble jusqu’à la fin de nos jours, et le savoir me fait sentir bien, léger. Rien ne pourra jamais nous séparer.

  Du moins, je le pensais ; car notre mère a fini par nous surprendre. Un jour, nous sommes dans ma chambre. Erika vient de me faire éjaculer sur son visage quand maman entre sans se faire annoncer. Elle a entendu des bruits bizarres et s’en est inquiétée. Quel spectacle sordide cela doit pour elle : sa fille dégoulinante de sperme, à genoux devant son frère nu, la verge encore dressée. Elle nous passe un sacré savon. Elle est si folle de rage qu’elle en pleure Elle nous fait promettre que nous ne recommencerons plus jamais, mais notre parole ne lui suffit pas. Elle jure qu’elle nous surveillera tout le temps à partir de maintenant. Elle a ensuite une idée de punition encore plus sévère : nous séparer. Erika va rester à la maison tandis que je vais vivre chez grand-père. Je n’arrive pas à y croire. J’ai l’impression que ma vie prend fin. Je sais que je devrais avoir honte, que je devrais du m’excuser pour ce que nous avons fait, mais au lieu de cela, je ne ressens que de la colère pour ma mère et son châtiment injuste. Je lui réponds, mais cela ne fait qu’aggraver la situation.

  La sentence est appliquée dès le lendemain. Pour éviter d’ébruiter la chose, elle raconte un mensonge à nos cousins pour justifier mon départ. Il n’y a que grand-père qui a été mis au courant. Lorsque j’arrive chez lui, il ne me pose aucune question ni ne me fait le moindre commentaire. Il n’a l’air ni fâché ni déçu, cela me soulage de ne pas avoir à subir de jugement. Il me conduit dans l’ancienne chambre de ma mère et m’indique que je peux y poser mes affaires.

  Les premiers jours me sont difficiles, voire horribles. Je ne supporte pas vivre là-bas. Ce n’est pas que je n’aime pas mon grand-père, mais l’éloignement de ma sur me pèse terriblement. Papy se révèle assez ouvert afin que je puisse me confier à lui. Cela me fait du bien d’en parler à quelqu’un. Il se montre étonnamment compréhensif, je peux sentir qu’il est désolé pour moi. J’y trouve en lui un allié inattendu en qui je peux puiser un peu de réconfort.

  Le temps passe, je m’y habitue peu à peu. Le train-train suit son cours, jusqu’au jour où il se passe un événement totalement surréaliste. Cet après-midi là, je rentre plus tôt de mes cours d’université car un prof ne s’est pas présenté. Je suis d’humeur morose et très en manque de ne pas avoir tiré mon coup depuis aussi longtemps. La maison de grand-père est terriblement vide comparé à la nôtre si pleine de vie, c’est déprimant. Je réalise alors qu’il y a du bruit à l’étage. Je monte les escaliers. Je crois reconnaitre ce qui peut provoquer ce genre de grincement répété, mais je me dis que ce n’est pas possible. Je vois mal mon papy, à son âge, s’envoyer en l’air avec quelqu’un. Oh, il est encore très vigoureux, mais c’est un vieux, avec qui pourrait-il le faire ? Aux dernières nouvelles, il n’a personne dans sa vie. Je crois pourtant entendre des gémissements de plaisir. Je suis de plus en plus intrigué. Je m’approche de la porte de sa chambre. Je ne sais pas ce que j’espère y trouver. Est-ce que je préférerais simplement réaliser que j’ai l’esprit tordu ? Ou découvrir qui est sa mystérieuse partenaire ? Je sais que je ne devrais pas, mais je tire la poignée, je suis scandalisé quand je découvre la vérité.

  Mon grand-père était bien en train de baiser, mais pas avec n’importe qui : avec sa propre fille ! Ma mère ! Des milliers de pensées envahirent mon esprit, je suis épris de sentiments contradictoires. D’un côté, je suis choqué de voir ma mère en plein inceste avec son père, mais surtout, d’un autre, je suis écuré qu’elle ait osé me reprocher mes aventures avec ma sur alors qu’elle-même fait bien pire ! Quelle salope !

  En colère, je pénètre d’un bond dans la pièce. Elle est en train de se faire défoncer comme la dernière des chiennes. À genou, penchée en avant, elle se maintient à la tête de lit. Comme si cela ne suffisait pas, je remarque en plus qu’elle se fait enculer. Je n’arrive tout simplement pas à y croire.

Maman ! m’insurge-je. Qu’est ce que tu fais ! Tu n’as pas honte !

  Elle m’ignore. Elle ne se retourne même pas. Elle est tellement perdue dans son plaisir qu’elle ne fait pas attention à moi. Grand-père non plus ne s’est pas arrêté malgré mon irruption. Non mais quel culot, tous les deux ! Ils n’en ont juste rien à foutre que je sois là !

Entre, fiston, entre, me dit papy d’un air décontracté. Viens regarder ta mère en train de se faire baiser.

Non ! Non ! réagit-elle enfin. Pitié, Sébastien, va-t-en !

Et pourquoi cela ? C’est un homme, maintenant. Ce n’est pas comme si c’était la première fois qu’il voyait ce genre de choses.

Je ne veux pas… qu’il me voit comme ça… fait maman.

Qu’il te voit comment ? Comme une salope qui aime le sexe ? Il faut pourtant bien qu’il sache la vérité un jour, ce petit bonhomme. Il y a droit.

  Je suis sidéré par ce que je vois. Je pense que tout le monde doit voir sa mère comme une personne chaste et pure. C’est d’autant plus vrai dans mon cas que je ne l’ai jamais vue avec un homme. Alors la voir là, non seulement en plein acte, mais avec son père… Je… je sais plus quoi penser. Je croyais que ma mère était une femme seule, triste, en manque d’amour et de tendresse, je réalise que c’est loin d’être le cas. Depuis combien de temps font-ils ça ensemble ? Peut-être depuis des années, peut-être n’a-t-elle même jamais été vraiment seule et que si elle n’a jamais eu personne dans sa vie, c’est parce qu’elle avait déjà quelqu’un pour combler ses besoins.

  Je la fixe, obnubilé. Je réalise pour la première fois que ma mère est une salope, comme ma sur. Je comprends mieux de qui elle tient, maintenant. J’ai honte : je ne sais pas pourquoi, mais cette situation me donne une érection.

Vas-y, Nancy, lui hurle papy. Dit lui la vérité ! Dit lui que tu es une salope !

Non ! Non ! Je ne peux pas ! Pitié !

Dit-le lui ! Où j’arrête de te baiser !

Non ! Pas ça ! supplie-t-elle.

Alors vas-y !

  Elle semble hésiter un moment, puis je la vois se résoudre :

Je… je suis une salope…

Encore ! Plus fort ! Il n’a rien entendu !

Je suis une salope.

Encore !

Je suis une salope ! crie-t-elle.

  Je reste bouche-bée. Mon grand-père est aussi un sacré pervers. Il lui lime le cul comme un animal. Il la tient fermement par les hanches en lui donnant des coups puissants. En voyant ma mère nue pour la première fois, j’ai cette pensée insolite qui survient : elle n’est pas si mal pour son âge. Elle a de beaux longs cheveux auburn et de seins assez fermes malgré ses deux grossesses. Je chasse violemment cette idée en secouant ma tête, je ne comprends pas ce qui me prend. Je crois que je suis en manque depuis trop longtemps.

Dis-lui combien tu aimes ça ! enchérit papy. Dis-lui combien tu aimes la bite de ton papa !

Je suis désolée, Sébastien ! J’adore ! Je suis accro à la bite de mon papa ! Il me baise tout le temps et ça me rend heureuse ! Aaaaah !

  Il vient de lui mettre une fessée.

Cela te plait ce que tu vois, fiston ? s’adresse-t-il à moi. Elle n’est pas belle ta mère ? N’aie pas peur de répondre. Après ce que tu viens de voir, ce n’est pas nous qui te jugerons.

Je… oui… elle est belle, dis-je en rougissant.

Hmm, elle a de si belles courbes, et sa sur aussi.

Tu… tu fais aussi l’amour avec tatie ?

Bien sûr, répond-t-il. Ta tante est aussi une sacrée coquine quand elle s’y met. Ce sont mes petits trésors, je les aime. Elles m’appartiennent, ce sont mes petites chiennes à moi !

  Je remarque que maman n’essaie même pas de se défendre de cette affirmation. J’essaie de m’imaginer mon papy en train de se taper ses deux filles. Je devrais être dégouté, mais cela ne fait que renforcer mon érection. Je l’envie à l’idée qu’il puisse avoir deux chattes à sa disposition dès qu’il en a envie ; puis je réalise : ma tante, ma tante aussi est une salope. Mais dans quelle famille suis-je tombé ?! Cela dure manifestement depuis longtemps. Comment cela se fait que personne ne s’est jamais douté de rien ? Ils ont été incroyablement discret. Cela m’excite de penser qu’il se tape ses filles en secret depuis des années juste devant notre nez.

Tu veux essayer ? me propose-t-il tout à coup. Tu veux baiser ta mère ?

Papa ! Non ! s’oppose la concernée.

N’aie pas honte, Nancy. Je sais que tu en as envie. Je sais que tu en rêves depuis le jour où il est né. Ne me mens pas, je te connais trop bien. Tu fantasmes depuis une éternité sur le jour où ton fils sera assez grand pour faire avec lui ce que j’ai fais avec toi.

Non ! Ce n’est pas vrai ! se défend-elle.

  Mais à son ton, même moi, je n’y crois pas, ce qui me choque encore plus.

  Papy sort de son cul et quitte le lit. Il a une bite énorme ! Maman s’écroule et respire bruyamment pour récupérer son souffle.

Vas-y, me dit mon grand-père. Tu dois être en colère en ce moment avec tout ce qu’elle t’a fait subir, à toi et à ta sur, mais il est temps de faire la paix. Montre-lui que tu l’aimes, donne lui tout ton amour. Elle le mérite.

    Comment mon propre grand-père peut-il me faire ce genre de proposition indécente ?! Si je n’avais jamais pratiqué l’inceste avec ma sur, je serais sans doute scandalisé, traumatisé à vie, mais au lieu de ça, je ne comprends pas, je suis excité. Je bande en voyant ma mère et j’admets avoir envie d’elle. Cela ne m’était jamais arrivé auparavant. Je n’avais jamais remarqué qu’elle était aussi belle. Je ne sais pas si c’est juste le manque qui parle, mais… j’ai… j’ai envie de lui faire l’amour. Alors je grimpe sur le lit et me place derrière elle. Elle reste figée. Elle se retourne pour me regarder, les yeux pleins de surprise. J’y lis de la peur, mais aussi de l’attente. Elle a beau essayer, elle ne peut s’en cacher : elle me veut, moi, son propre fils. Cet aveu me touche plus que de raison. Je suis dur, pour elle, et désormais déterminé à faire ce que je vais faire. Je prends mon sexe d’une mai pour l’introduire doucement en elle. Elle gémit, et je gémis avec elle. Sa chatte est trempée, elle dégouline de mouille. Je commence un va-et-vient en elle, tandis qu’elle reprend son appui sur la tête de lit pour mieux m’accueillir.

  Je n’en reviens pas de ce que je fais moi-même. Je baise ma propre mère ! J’augmente le rythme tant j’ai envie d’elle. Subitement, je me sens envahir de tous les sentiments que j’éprouve pour elle. Je l’aime. Je l’aime profondément. C’est ma maman à moi. Elle m’a donné la vie, ainsi que tout son amour toute sa vie, et il est en temps que je lui rendre la pareille. Je ne lui en veux plus. De toute façon, elle serait mal placée pour m’interdire de recoucher avec ma sur maintenant. Je lui donne des coups de reins pour qu’elle puisse bien me sentir, puis je lui soupire tendrement :

Maman… Oh maman…

Sébastien… fait-elle.

  Son corps réagit. Elle aime ce que je lui fais ; j’en suis heureux. Cela m’incite à continuer.

Je t’aime maman. Je suis désolé si je t’ai fais du mal.

Ce n’est pas grave, mon chéri. Je t’aime aussi. Oublions tout, fais-moi l’amour.

  Je caresse son corps et passe mes mains sur ses seins. Ils sont d’une belle taille, ils me font envie. Sa peau n’est plus aussi lisse qu’une jeune de vingt-ans, elle n’en reste pas moins souple et belle. Elle n’a pas une ride. Je me penche pour lui embrasser l’épaule et le cou. J’en profite pour être un peu plus violent.

  Je remarque que papy est toujours là. Il nous observe en se masturbant. Il ne dit rien, il nous laisse ce moment rien qu’à nous. Je l’en remercie.

Oooh, Sébastien, ton grand-père a raison, je suis une perverse, je rêvais de ce moment depuis si longtemps. C’est si bon…

Ce n’est rien maman. Je suis là maintenant. On fera l’amour aussi souvent que tu voudras.

Vraiment ? Tu as envie de moi ? De ta vieille mère ?

Oui, maman. Tu es magnifique.

Oooh, mon chéri, tu me rends si heureuse. Prends-moi. Prends-moi fort. Ne te retiens pas. Tu l’as bien vu, je suis une salope. J’aime qu’on me prenne sauvagement.

Ooh, maman…

Comme un bon fils, je lui obéis. Ma cadence devient effrénée. J’ai envie de la sauter comme je saute ma sur, ou comme la saute grand-père. Je la déplace un peu pour qu’elle soit bien à quatre pattes. Elle est ma chienne.

Vas-y, mon bébé, m’encourage-t-elle, lime-moi bien, lime bien ta mère. Tu aimes ma chatte ?

Oui maman, je suis si bien à l’intérieur. J’ai envie d’elle.

Profite en bien ! Elle est à toi ! C’est de là que tu es sorti, c’est normal que tu veuilles y retourner. Oooh, mon grand garçon, je suis si fière de toi !

Maman ! Tu es tellement bonne !

Merci, mon chéri.

Je lui ramone le vagin comme un fou, mais en voyant son cul encore à moitié dilaté, j’ai soudainement envie d’autre chose. Sans la prévenir, je sors de sa chatte pour m’enfoncer dans son autre trou. Elle pousse un hurlement de plaisir :

Aaah ! Oui mon chéri ! Tu as envie du cul de maman ? Vas-y, prends-le fort !

  Je deviens bestial. Je la tire par les cheveux. Je la fais mienne à chaque coup de queue. Elle devient mon esclave, prisonnière de ma bite. C’est à ce moment là que papy décide de se lever. Il vient nous rejoindre et présente sa queue à ma mère. Elle ouvre la bouche pour l’engloutir d’un trait.

Aah, suce ma puce, dit-il. Fais du bien à ton papa.

Quelle salope ! Elle baise avec son père et son fils en même temps. Je ne sais pas pourquoi, j’aime la voir ainsi. Je ressens ce même besoin cochon de la dégrader comme avec ma sur. Je veux perdre cette image que j’ai d’elle d’une mère prude, pour celle d’une pute affamée de bites. Cela me fait bizarre de penser que je suis dans le cul de ma propre mère, mais d’un côté, cela me rend fier. Je suis fier que ma mère ne soit pas une petite bourgeoise coincée, mais une véritable femme qui assume son plaisir même encore à son âge.

  J’aimerais faire durer ce moment plus longtemps, mais je sens que mes forces m’abandonnent. Je suis trop en manque pour pouvoir me retenir, j’ai besoin d’éjaculer et me vider un bon coup. Elle doit bien se rendre compte de ma lutte intérieure car elle interrompt une seconde sa fellation pour me demander :

Tu as envie de jouir, mon chéri ?

Oui maman ! Je n’en peux plus.

Mon pauvre amour. Jouis dans maman dès que tu en as envie. Ne t’en fais pas pour moi, soulage-toi. Je suis là pour ça. Et puis, j’ai follement envie de te sentir fondre en moi.

Elle a reprit la bite de papy en bouche. Son consentement me fait céder, mais je n’ai pas envie de me finir dans son cul. Je change alors une nouvelle fois de trou. J’ai l’envie perverse de lui remplir la chatte. Je veux éjaculer en elle, comme mon père l’a fait pour me faire naître, peu importe qui il a été.

  Grand-père l’attrape par la tête et fais du rentre-dedans dans sa bouche. À son air heureux, je regrette presque de ne pas avoir eu l’occasion qu’elle me fasse une pipe. Ce n’est pas grave, il y en aura d’autres. Je m’active dans sa chatte avec la ferme intention de me faire jouir. Je me sers d’elle, je veux décharger mon sperme et tout lui donner.

Maman, maman ! Ça y est ! Je viens ! lui dis-je pour la prévenir.

    Je me laisse aller à ma jouissance. Je sens ma queue exploser et déverser une première giclée. Je jouis dans ma mère, c’est la meilleure chatte du monde. Je veux lui donner tout mon amour sous forme liquide. D’autres salves éclatent. Je la remplis bien. Je trouve ça tellement naturel. C’est elle qui m’a fait, donc ma semence lui appartient pleinement. Je la sens secouée de soubresauts, je comprends qu’elle est prise d’un orgasme en même temps que moi. Cela me rend heureux. C’est ma manière de la remercier de la vie qu’elle m’a donné. Je lui donne encore quelques coups de bassin avant de m’apaiser doucement. Je reste ainsi en elle encore un moment. Je n’ai pas envie de sortir. C’est mon trou à moi. C’est de là que je viens. Ma bite ramollit et je l’abandonne à contrecur.

Alors, je n’avais pas raison, me fait grand-père. Elle n’est pas bonne ta mère ?

Si, c’est un super coup, reconnais-je.

Installe-toi et reprends tes forces. Je vais m’occuper d’elle maintenant. Profite-en bien pour te rincer l’il.

Comment veux-tu qu’il me prenne, mon chéri, me demande ma mère. C’est toi qui décide. Comment veux-tu me voir ?

  Parce que c’est moi qui dois choisir maintenant ? J’ai beau avoir jouis, ce n’est pas encore fini. Les choses sont de pire en pire. J’ai l’impression de m’enfoncer dans les ténèbres, mais je le fais délibérément :

En missionnaire, dis-je.

    Je suis moi-même surpris d’avoir répondu.

Alors on le fera en missionnaire. Viens, papa. Baise ma chatte !

Tu es folle ? Elle est pleine de sperme, rétorque-t-il écuré.

Et alors ? Cela ne te dérangeait pas quand c’était le tien.

Pas la peine de discuter, je te prendrais par le cul et c’est tout !

  Il installe ma mère sur le dos à l’extrémité du lit, l’attrape par les jambes, puis lui presse les genoux contre le torse pour bien lui relever les fesses. Sans perdre une seconde, il s’enfonce ensuite dans son anus offert pour l’enculer debout.

  Je suis toujours sur le lit. Je m’écarte un peu dans un coin pour observer la scène d’un érotisme sans pareil. Maman est pliée en deux, elle retient ses jambes en l’air avec ses bras pour encourager papy à lui perforer le fion avec son énorme chibre. Sa chatte dégoulinante de mon sperme pointe vers le plafond. Délaissée, comme si elle n’était pas digne d’intérêt. Elle ne cesse de crier et de gémir. Elle prend un pied monstrueux. Je la vois pour la première fois comme une véritable femme, et je la trouve belle et attirante.

Je t’aime, mon papa, dit-elle.

Moi aussi, ma princesse.

  Ils m’offrent ce moment intime sans aucune pudeur. Je me sens gêné, j’ai l’impression d’être un voyeur, un intrus. Je n’ai pourtant pas envie de m’en aller. Cela me fait bizarre d’entendre ma mère se faire appeler par un surnom de petite fille ; j’imagine que pour grand-père, elle le sera toujours. Je crois avoir déjà entendu une ou deux fois ma mère appeler Erika de cette façon, je comprends maintenant d’où ça vient.

  Papy a une sacrée résistance pour son âge. Je me demande s’il est sous pilule. Il est dur comme du fer depuis tout à l’heure et il n’a pas l’air pressé d’en finir. J’espère avoir toujours son endurance à son âge. Je me remets soudain à déjà bander. Ce que j’ai sous les yeux m’excite trop que j’ai envie de participer. Un brin timide, je me contente de me masturber.

Ton gamin est de nouveau dur, commente grand-père. Tu as encore envie, petit ? Ne reste pas planté là, viens nous rejoindre.

  Avec son autorisation, je m’approche du couple en plein ébat. Je me place au dessus de la tête de maman et lui présente mon sexe. Je vois ses yeux s’agrandir :

Oh mon dieu ! Mon chéri ! C’est donc vrai ! Tu es à nouveau tout dur pour maman ? Ce quelle est belle ta queue, laisse-moi la sucer.

  Elle essaie de relever la tête pour l’atteindre mais elle arrive à peine à attraper le gland en bouche. Elle s’aide d’une main pour l’attirer vers elle et l’engloutit comme une affamée. Je soupire de plaisir. Je me fais sucer par ma maman, elle me dévore comme une friandise.

Hmm, la queue de mon bébé, fait-elle. Je la veux. Je l’ai faite, elle est à moi.

Oui, maman, elle est à toi, lui dis-je tandis qu’elle me reprend en elle.

  Je lui caresse les cheveux, je passe une main sur ses seins. J’ai follement envie d’elle. Je sens sa langue travailler sur ma bite.

Tu aimes, mon chéri ? Elle suce bien, maman ?

Oui, c’est divin.

Tu n’es pas dans la meilleure position pour en profiter, intervient grand-père, mais ta mère est une pro de la pipe. Elle en raffole. Elle peut sucer pendant des heures sans se lasser.

Oui, j’adore ça, confirme-t-elle. Tu voudras bien me laisser te sucer à la maison ?

J’adorerais, maman !

Hmm, elle est si belle ta queue. Si délicieuse. J’en rêvais depuis si longtemps. Je suis si fière que tu sois devenu un si bel homme.

  Je gémis quand elle me ravale. La chaleur de sa gorge me manquait, même si je m’en étais éloigné que durant quelques secondes. Je regarde ma mère avec amour et tendresse, avant de me rendre compte que le tableau se prête pourtant difficilement à ce genre de sentiment. Papy et moi ressemblons à deux animaux en manque en train d’abuser d’une salope insatiable. Avec une bite dans le cul et une autre dans la bouche. Elle est notre jouet à jouir,et elle agit comme si elle voulait désespérément qu’on s’en serve.

Maman, j’ai envie de te baiser, dis-je soudain à voix haute.

  Je me sens bête, je ne voulais pas le dire comme ça, j’ai simplement pensé à voix haute.

Tu as encore envie d’elle ? me fait grand-père. Attends, j’ai une idée, on va changer de position.

  Il se retire et s’allonge sur le lit. Il invite sa fille à s’empaler sur lui, elle enfourne sa queue dans sa chatte et se met à le chevaucher. Elle est belle à rebondir ainsi sur lui avec ses seins qui se balancent, c’est si érotique. Je me demande en quoi cela va me permettre d’avoir mon tour, jusqu’à ce que je vois papy écarter largement ses fesses.

Vas-y fiston, vient nous rejoindre, encule ta mère.

Papa ! Non ! Tu es fou !

Et bien quoi ! Ce n’est pas la première fois.

Ce n’est pas pareil ! C’était avec la ceinture d’Angela !

Et tu n’as pas envie d’avoir deux bites pour de vrai ?

Je… si…

Allez, petit, viens !

  « La ceinture d’Angela ? » J’ai peur de m’imaginer des choses… M’enfin, je n’y prête pas vraiment attention sur le moment tant j’ai envie de baiser. Cela fait au moins une minute que ma queue ne s’est pas enfoncée dans un trou et la sensation est plus que désagréable. Je m’approche de maman par derrière. J’ai subitement une pensée pour ce que je m’apprête à faire. Nous allons la prendre en double, papy et moi. Je suis terriblement excité par l’idée. Son trou du cul béant m’appelle comme un aimant. Je m’y enfonce aussi loin que je peux. Ma mère pousse un hurlement. Je reste figé quelques secondes, puis je sens grand-père démarrer un va-et-vient dans son vagin. Je décide de faire pareil de mon côté.

Oh, putain ! Oui ! C’est booon ! crie maman.

Tu aimes, Nancy ?

Oui papa ! Cela faisait longtemps que je ne m’étais pas fais prendre par les deux trous ! Cela me manquait !

  Je suis heureux de retrouver l’intérieur de son cul. Il est bien dilaté avec la queue de papy. Nos deux mandrins de chairs sont en train de lui fouiller les entrailles. Nous augmentons le rythme au fur et à mesure. Je n’arrive pas à croire qu’elle soit pleine de bites et qu’elle aime autant ça. Elle est formidable. Je suis de nouveau épris de pensées perverses. J’ai envie de la prendre comme une brute et de me faire du bien avec son corps. Je veux qu’elle sente combien je l’aime, combien j’ai envie d’elle, que je serais toujours son fils adoré.

Maman, maman, ce que j’aime te baiser le cul !

Maman aime ça aussi, mon chéri. Continue, fais-moi du bien.

Oh oui, je veux te faire du bien maman. Je veux te faire jouir. Ma belle maman à moi.

Oh, mon bébé, je suis si heureuse.

  Je passe mes mains sur son ventre pour l’enlacer et lui donne de puissants coups de bassin maladroits. Je dois ressembler à un chien en manque en train de sauter une femelle. Elle doit l’être tout autant à se faire sauter par deux males. Elle est notre petite chienne en chaleur. Il faut que je m’enfonce en elle, c’est un besoin vital.

Ce que j’aime vos queues, mes chéris ! déclare-t-elle. Pitié ! Prenez-moi Je suis votre chose ! Votre sac à foutre! Faites-moi jouir !

  L’entendre parler de façon si salace me donne envie de balancer la sauce dans son cul. J’ai du mal à me retenir. Je ne sais pas comment grand-père fait sachant qu’il la baise depuis plus longtemps que moi. Je suis néanmoins résolu à lui donner son orgasme d’abord. C’est plus important que tout, plus important que mon propre plaisir. Au pire, j’éjaculerai au moment où elle jouira.

Si nous la faisons jouir et que tu te retiens, fiston, déclare mon papy comme pour me contredire, je te promets un final que tu n’es pas prêt d’oublier.

  C’est malin, j’ai envie de voir de quoi il parle maintenant. Cela rend ma tâche encore plus difficile. Je prie que cela ne dure plus très longtemps.

Je suis si heureuse d’être prise par les deux hommes de ma vie ! gémit maman. Par mon fils et son père ! C’est le plus beau jour de mon existence !

  Je crois avoir mal entendu. Sur le coup, je n’y accorde aucune importance, bien trop excité par ce que je suis en train de faire, jusqu’à ce que j’entende mon grand-père confirmer en disant :

Je ne pense pas que ce soit de cette façon qu’il aurait voulu l’apprendre, ma chérie.

  Je ne parviens pas à arrêter mes coups de reins, bien que je reste frapper de stupeur. Suis-je en train de délirer ou quoi ? Depuis que je suis rentré, j’ai l’impression que tout ce qui se passe est un rêve. Grand-père qui baise maman, moi qui les rejoint, et maintenant ça ?

Ma… maman ? C’est vrai ? dis-je pour m’assurer d’avoir bien compris.

Oui, mon chéri. Je suis désolée, c’est lui ton père… Mon papa est aussi le tien.

Mais tu n’es vraiment qu’une salope !

Oui, C’est vrai. Alors baise-moi, s’il te plait. Ne t’arrête pas maintenant, mon chéri. J’ai besoin de toi !

  Je ne veux pas m’arrêter, j’ai bien trop besoin de jouir, mais je n’en crois pas mes oreilles. C’est le bordel dans ma tête. J’ai du mal à appréhender tout ce que cela implique. En réalité, je ne suis pas seulement en train de sauter ma mère, mais je saute aussi… ma sur ? Ma demi-sur ? Je chasse cette idée, ce n’est pas le moment de penser. Je réfléchirais à tout cela après, il faut d’abord que je finisse ce que j’ai commencé.

  En dessous de moi, je sens ma trainée de mère à l’agonie à force d’être prise en sandwich. Elle est notre captive, elle ne peut pas s’enfuir. Elle est prisonnière de son propre plaisir. Elle ne peut que profiter de ce que nous lui faisons et se laisser envahir par les sensations de nos queues qui la ravagent.

Oh, mes amours, je vais venir ! nous prévient-elle. Continuez !

Je redouble de courage, c’est bientôt terminé. Je la lime de plus en plus brutalement afin de la finir. Je sors ma bite presque entièrement de son cul ; lorsque je me lance de ton mon poids en avant pour la perforer un bon coup, je sens que cela déclenche son orgasme.

Ouiiiiiiiiii ! Aaaaaaaaaaaah ! hurle-t-elle.

  Je suis fier de savoir que c’est moi qui lui ai donné l’assaut final. Je me délecte de ses cris. Je lui mords l’épaule. Elle tremble entre nos corps brulants. Elle est magnifique, je tuerais pour pouvoir voir son visage en cet instant. Comme avec ma soeur, je sens son anus avoir des soubresauts comme pour me supplier d’éjaculer avec elle. J’essaie de résister à cet appel. Je ne comprends pas pourquoi. Il me serait tellement plus facile de me laisser aller et de lui remplir le cul avec mon foutre. Je suis vraiment dingue de ne pas le faire.

  Au bout d’un moment, sa vague de plaisir finit par passer et elle s’affale sur papy ; ou sur papa, je ne sais plus, je suis perdu. Par reflexe, je continue à la pénétrer, c’est si difficile de s’arrêter. Quand je trouve enfin le courage de sortir mon sexe d’elle, j’ai hâte de passer à la suite. J’ai besoin de jouir, c’est viscéral.

  Nous attendons qu’elle récupère. Pour moi, c’est vraiment trop long. Lorsqu’elle revient à elle, grand-père lui commande enfin :

C’est à notre tour maintenant, Nancy. Suce-nous, et aide-nous à nous finir sur toi.

    Elle ne dit rien, elle se contente d’afficher un sourire béat. Elle bondit hors du lit et se met à genoux pour nous inviter à la rejoindre. Je n’arrive pas à croire de voir ma mère aussi soumise. Je viens me placer à sa gauche, papy se mets de l’autre côté. Elle agrippe nos sexes en main puis se met à nous sucer à tour de rôle.

Vas-y, ma princesse, l’encourage notre père. Cela doit faire longtemps que tu rêves d’avoir deux bites à pomper rien que pour toi. Profite en bien. Elles sont dures pour toi, avec leurs bourses pleines de sperme qui ne demandent qu’à éjaculer.

Je veux les faire jouir, déclare maman en nous branlant, je veux vous gouter et être recouverte de votre jus.

Aaah ! Salope ! dis-je en gémissant quand elle me prend dans sa bouche.

  Je n’ai jamais vu un tel regard. Il me supplie d’éclater pour elle. Elle joue avec mes couilles comme si c’était des objets précieux. Elle me les masse comme si elle contenait le nectar le plus délicieux de l’univers dont elle mourrait d’envie de boire. Moi aussi, j’ai envie. J’ai envie de la souiller. J’espérais secrètement que c’était ce que grand-père avait en tête, je suis si heureux de ne pas m’être trompé. Après l’avoir sautée comme une trainée, j’ai envie de me vider sur elle comme sur une pute. Je veux la voir dégouliner de foutre. J’ai l’impression de mourir lorsqu’elle m’abandonne pour s’occuper de papy. Je suis jaloux. Elle le suce avec la même dévotion. Je suis profondément soulagé lorsqu’elle revient vers moi.

Aaah, maman ! C’est trop bon !

Ne te retiens pas, fils. Décharge-toi sur ta mère quand tu en as envie. Crois-moi, elle adore ça, je suis bien placé pour le savoir.

  Elle passe de l’un à l’autre comme une chienne servile. Elle s’amuse avec nos bites comme si c’était un jeu. Elle est à nous, rien qu’à nous, juste pour notre plaisir. J’ai l’impression que nous sommes ses maitres et que nous pourrions faire ce que nous voulons.

  Alors qu’elle m’a en bouche, papy se masturbe encore quelques instants puis s’exclame :

Nancy, ma puce, vient, je vais jouir.

  Elle lâche mon sexe tandis qu’il lui attrape les cheveux pour l’amener à lui. Il lui colle son sexe au visage et l’éclabousse de giclées de sperme. Il grogne si fort que j’ai l’impression que son cur va s’arrêter. Ses jets sont abondants et puissants. Il la recouvre d’épais filets gluants qui lui coulent dessus. Le spectacle est saisissant. Il a l’effet de déclencher chez moi mon propre orgasme et je la préviens de ce qui est en train de m’arriver :

Maman, je viens, je jouis !

  Papa n’a pas encore tout à fait terminé qu’elle se précipite en ma direction. Elle me fixe des yeux la bouche ouverte, la langue sortie. Je fonds littéralement pour elle. Je sens mes bourses éclater et j’éjacule enfin sur ma mère ; ou sur ma demi-sur, peu importe. Je suis un pervers, je cherche à la salir le plus possible. Je guide mes salves là où la peau est encore visible, puis je le dirige vers ses seins. Je ne sais plus ce que je fais. J’ai l’esprit totalement embrumé par le plaisir. C’est encore plus intense que la première fois. Je pousse un râle qui n’en finit pas, comme si je satisfaisais un besoin que j’ai retenu trop longtemps.

  Lorsque j’arrive enfin à la regarder et que mon cerveau parvient à m’envoyer une image de ce que mes yeux voient, j’ai le bonheur de la découvrir tapissée de foutre chaud. Elle dégouline de partout. Elle en a même dans les cheveux. D’un doigt, elle essaie de se dégager les yeux. Du sperme pend sur son menton. Des gouttes tombent sur sa poitrine et laissent de longues traces sur ces seins. Plusieurs filets se glissent sur son sternum, descendant jusqu’au nombril. Nous l’avons vraiment saccagée, souillée comme notre trainée. Elle nous fixe d’un air béat, contente de son sort. Papy et moi nous regardons et sourions, comme un père et un fils heureux d’avoir partagé un moment de complicité.

  Pendant que nous reprenons nos esprits, madame fait sa toilette. Elle joue avec notre sperme pour se s’étaler partout sur le corps. Elle en goute un peu avec un doigt rien que pour son plaisir. Ma mère est une sacrée salope, papy a dû bien s’amuser avec elle durant sa jeunesse. Je crois que si je n’avais pas déjà éjaculé deux fois, j’aurais rebander direct et l’aurais reprise comme un animal.

  Je commence à réaliser ce qui vient de se passer. Après ce que je viens d’apprendre, je devrais sans doute être choqué, écuré, malade ou en colère, mais étrangement, il n’en est rien. Je suis content. J’ai un père et je suis heureux d’apprendre qu’il ne nous a jamais abandonné. En réalité, il a toujours été près de nous et il a toujours pris de soin de nous en secret. Je l’aurais découvert dans d’autres circonstances, je n’aurais sans doute pas aussi bien réagit. Il va malgré tout me falloir du temps pour digérer cette information. Ma mère est aussi ma sur. Ma tante du coup aussi. Soudain, il me vient alors une question :

Les enfants de tatie Angela, ils sont aussi mon frère et ma sur ?

Oui, mon chéri, répond maman. Ce sont plus que tes cousins.

  Ce n’était pas plus mal dans un sens, je les ai toujours considérés comme tel.

  Plus tard, papa et maman me raconte toute l’histoire. Je les interromps à de nombreuses reprises pour leur poser des questions. Je n’en crois pas mes oreilles lorsque j’apprends que les deux filles de papa s’aiment aussi et couchent ensemble. Cela explique tellement de chose. Nous ne sommes plus que deux familles qui habitent sous le même toi, nos deux mères sont simplement un couple. Je n’ai jamais eu le moindre soupçon. Cela me fait drôle de penser qu’elles ont du se cacher pour baiser ensemble durant toutes ces années. Combien de fois l’une s’est-il glissé dans le lit de l’autre durant la nuit ? Et quels efforts ont-elles mis en place pour que nous nous rendions compte de rien ?

    À la fin de leur récit, ils me demandent de garder le secret. Je ne dois en parler à personne, pas même à ma sur. Je ne sais pas trop si je suis d’accord avec ça. D’un côté, j’estime qu’ils méritent de savoir la vérité, mais d’un autre, je peux comprendre que tout le monde ne soit pas capable de l’accepter. Je finis par promettre que je garderais le silence, mais je sens que cela va être difficile.

    Au soir, peu avant qu’elle reparte, j’ai une conversation privée avec ma mère. Elle me confie que je vais pouvoir rentrer bientôt, je dois juste patienter encore un peu. Lorsque je proteste, elle m’explique que c’est parce qu’elle va devoir trouver une excuse valable pour expliquer mon retour prématuré. Je ronge mon frein en comprenant ses raisons. Elle me donne enfin officiellement l’autorisation de coucher avec ma sur, mais à une seule condition : que je m’occupe d’elle aussi un peu. Naturellement, j’accepte. Avec ce que je viens de vivre, je ne demande pas mieux que de remettre ça.

  Je rentre enfin plusieurs jours plus tard. Les retrouvailles avec ma famille me fait chaud au cur. Tous sont venus m’accueillir en héro comme si je revenais d’une expédition dangereuse. Je réalise que nous n’avons jamais été séparés aussi longtemps. Je suis heureux de les revoir, ils m’ont tellement manqué, cela me fait plaisir de voir que ça a été réciproque. Ça me fait du mal de leur mentir sur ce qui s’est passé, mais je sais que c’est mieux ainsi. En dévisageant tante Angela un instant, j’ai eu une pensée un peu salace en me l’imaginant en train de coucher avec papa et maman. Pendant une seconde, je l’ai également vue comme une sur, et non comme ma tante. Cela me fait bizarre de savoir tout ça.

  Le soir même, ma sur et moi recouchons ensemble dans ma chambre. Elle était si heureuse lorsque je lui ai dis que maman était d’accord, par contre, je n’ai pas pu lui expliquer les raisons qui lui ont fait changer d’avis. Elle m’a fait la fellation la plus longue de ma vie, puis elle m’a suppliée de l’enculer. Je l’ai prise sauvagement tant elle m’a manqué. Ses courbes, son corps, ses seins, je ne peux plus vivre sans, il me les faut. Après l’avoir faite jouir, je lui demande de m’avaler. Elle me suce avec plaisir jusqu’à me faire éjaculer dans sa bouche. Hmm, la gorge chaude de ma petite sur, je fonds pour elle en gémissant. Nous sommes comblés.

    C’est bon d’être de retour à la maison. Ma vie reprend son cours normalement. Les jours qui ont suivi mon retour, j’ai beaucoup sollicité Erika. L’éloignem

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