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La vérité est ailleurs… – Chapitre 9




Une fois de plus, cette sensation de malaise, à présent familière, m’affecta à nouveau.

Arrêt du temps, sensation de sortir de soi-même, distorsion de l’espace… sauf que cette fois-ci, je ne sombrai pas dans les ténèbres. Au lieu de cela, il me semblait m’élever dans le ciel, puis les étoiles. La voix dure et inhumaine me parla alors, comme jamais elle ne l’avait fait auparavant.

Sois en paix Terrien, je suis venu t’expliquer pourquoi nous sommes venus, et ce que nous vous avons fait. Nous sommes les

"Ebzts" une très vieille race d’humanoïdes. Il y a encore 100000 de vos années, nous étions proches de vous au physique. Mais nous avons lentement dégénéré, au point qu’il nous est devenu difficile de nous reproduire. À part par la science.

Tout concept de sexualité, d’excitation, d’érotisme nous est devenu étranger. Nous sombrons dans l’anomie, la perte de sens… en un mot, notre vie est devenue inutile… NOUS sommes devenus inutiles. Alors il fallait réagir, trouver une race humaine, une planète où ces concepts existent encore. Je suis le chef de la mission de la dernière chance pour ma race. Mais grâce à ton épouse et toi-même, notre mission a été un succès… il ne reste plus qu’un dernier test à exécuter et nous rentrerons chez nous ! "

Cette fois-ci, je réussis à voir cette créature qui ne me parut plus aussi terrifiante qu’auparavant… un effet hypnotique ! De plus, la voix était beaucoup moins agressive, et la perception de l’être, beaucoup plus amicale !

Alors que la voix résonnait dans mon esprit, je vis un système solaire, des planètes industrialisées, des villes mégapoles, des vaisseaux spatiaux gigantesques et étonnants ; la quintessence de la recherche et de l’expansion industrielle et scientifique.

Puis, effectivement, une race de personnages petits, maigres presque faméliques, vêtus de tenues grises métallisées, noires ou blanches. Il semblait ne pas y avoir de différenciation sexuelle… tous les individus semblaient être pareils. Pas de joie, de rires, d’émotions visibles.

Alors, évidemment, pas d’envie et pas de sexe… donc plus d’avenir !

Je formulai des questions dans ma tête :

" Pourquoi moi, ma femme ? Tous mes cauchemars n’en étaient pas ?

Non, tout était bien réel. Au début, nous enlevions ta femme, et grâce à un amplificateur psychique, elle pouvait matérialiser son fantasme, dont le polymorphe, créature issue dingénierie génétique, reproduisait les caractéristiques physiques. Quand ta femme a eu envie d’une créature issue de son imagination, le polymorphe est devenu cette créature.

Et ensuite, nous te passions le film de l’expérience sexuelle de ta femme pour examiner ton excitation et évaluer ton plaisir.

Évidemment, nous avons recueilli toutes vos semences, cyprine, hormones…

Ensuite, après la phase préparatoire en labo, nous avons placé un émetteur récepteur télépathique dans le crâne de ta femme qui nous envoyait ses impressions et son vécu en temps réel.

Nous avons " poussé" ta femme à des relations incestueuses avec ses parents, et avons étudié ton degré d’excitation… ensuite ce fut la plante fouineuse. Nous n’aurions jamais imaginé que ta femme mêle vos amis à cette expérience. A présent, ils en font eux aussi partie…

Que voulez-vous maintenant ?

La phase d’essai pratique : nous allons tester nos trois modèles mutants, hypersexualisés avec vous, et voir si nous-mêmes sommes assez reprogrammés biologiquement pour être excités, et participer à votre orgie.

Et si nous refusons ?

Ta femme fera tout ce que nous voudrons… nous lui avons ouvert tout son imaginaire fantasmatique… elle na plus de limites, et cherchera toujours nouveauté et diversité : copuler avec des extra terrestres l’excitera beaucoup. Et d’après ce que nous avons compris de tes fantasmes… la voir prise par tout un tas de créatures bizarres, ne serait pas pour te déplaire…

Un peu étonné et bouleversé par ces entités extraterrestres qui "parlaient" directement dans mon esprit, et lisaient en moi, comme dans un livre ouvert, j’essayais de faire une phrase… mais les images mentales que nous ne contrôlons pas, s’imposèrent d’elles-mêmes. Un ricanement de l’Ebzt me confirma qu’il avait vu comme moi, l’image de ma femme nue, partouzée par ces étranges créatures… et l’excitation fugace qui s’était emparée de moi, à cet instant.

Ton vu va être réalisé, humain… de même que pour votre amie Julie. Nous allons.

Mais Julie n’est peut-être pas consentante ?! "

Un peu effrayé, je me disais que je n’allais quand même pas assister au "viol en réunion" d’une femme par une bande de "racailles extraterrestres" !

Me vint alors en images, ces êtres gris avec de grosses médailles en or sur leur torse, des casquettes à l’envers et la gestuelle des rappeurs.

L’Être avait de l’humour !

N’aie crainte. Quand ton amie aura senti l’odeur corporelle de nos.

Elle a toujours rêvé d’expériences sexuelles trash, sans oser le demander à son mari ! Drôle de créature, qui imagine des situations sexuelles extrêmes, sans oser les réaliser !

D’ailleurs, tu as constaté comme nous tous, le plaisir que ton amie Julie a pris avec le xénomorphe végétal.

 ???

La "grosse plante baiseuse de femmes"… c’est ainsi que ton esprit l’interprète !

Oui… effectivement, la scène a été très érotique.

Et tu as très envie de tester toi aussi la jeune femme… déshabille-toi Terrien. Nous avons envie de vous voir copuler. Toi avec Julie et ton ami Tony avec ta femme !

L’étude de votre Espèce nous a régénérés intellectuellement… notre civilisation moribonde était si triste avant… "

Alors le pollen de la plante, le xénomorphe, nous parvint à tous, brassé par l’air, et les esprits se troublèrent. Tony se jeta sur mon épouse couchée sur le sol, cuisses grandes ouvertes. Il la pénétra très vite de son mandrin. Moi, je me plaçai derrière Julie, pour lui attraper les seins, en tordre les pointes, et passer ma main entre ses cuisses, pour limer son sexe, tandis que sa main attrapait ma verge et la masturbait.

Puis la retournant, je la soulevai du sol, l’appuyai contre un mur, alors qu’elle entourait mes fesses de ses jambes, puis, positionnant mon sexe à l’entrée de sa chatte, je la pénétrai d’un coup sec !

Alors que les deux femmes jouissaient sous nos assauts, je vis nos " visiteurs" retirer leurs combinaisons argentées, et nus, venir approcher nos deux couples enlacés.

Les Ebzts nus, avaient une peau grisâtre, un corps lisse qui semblait peu musclé, pas de pilosité… et des organes sexuels peu élaborés.

Il y avait 6 mâles, à la verge minuscule, et trois femelles, à la poitrine d’adolescente, avec de tout petits tétons.

Tout en besognant Julie, je pensais à ce que cela devait être avant leur recomposition sexuelle !

3 mâles et une femelle s’approchèrent de nos deux corps emmêlés, allant jusqu’à nous effleurer de leurs trois doigts. Les mâles commencèrent à caresser Julie et à s’intéresser à sa rondelle exposée, vu sa position, assise sur mon sexe. Les doigts très souples s’infiltrèrent dans le petit trou de la jeune femme, l’élargirent, et firent leur chemin… Julie se retrouva bien vite enculée, fistée par une petite main ET, puis deux, qui s’enfonçaient jusqu’au poignet.

Ses cris de plaisir devinrent suraigus.

Quant à la femelle ET, elle se plaça entre nous deux, et je sentis bien vite une bouche lécher mes couilles, tandis que deux doigts venaient entourer mon sexe, à sa racine, le troisième posé le long, s’enfonçant lui aussi dans le vagin…

Alors les observant, je vis que leurs visages ascétiques s’animaient, les mâles avaient des érections, conséquentes pour leur espèce, et les femelles avaient leurs petits seins qui pointaient, et un liquide qui s’écoulait de leur entrecuisse !

Ils exerçaient comme un effet aphrodisiaque sur nous, une odeur, un toucher, qui nous excitaient encore plus !

A côté, je voyais les trois autres mâles, caresser les seins de ma femme, tandis que les femelles s’intéressaient vivement au phallus de Tony, qui pilonnait ma femme.

Et puis de nouvelles apparitions… trois créatures d’environ 1,80 m de taille, avec un corps déjà un peu plus sculpté et de vraies silhouettes sexuées.

Le mâle, avec un crâne beaucoup moins allongé et la mâchoire plus carrée et "humaine"… avait surtout une verge hallucinante pour ces ET ! Au moins 18 centimètres de long, au bas mot.

Quant aux deux femelles, elles avaient un visage plus doux, un regard très troublant, des cheveux longs, lisses et noir de jais, des seins parfaits, et un pubis décoré d’une mince bande de poils noirs. Mais le plus important était le caractère hautement érotique et aphrodisiaque, qui se dégageait de leurs personnalités.

Dès qu’ils s’approchèrent de nous, nous cessâmes nos ébats avec nos partenaires, et fûmes attirés par eux, comme par un aimant…

Julie et ma femme se jetèrent à genoux devant le mâle, et les mains rivées sur sa verge et ses couilles, le sucèrent chacune leur tour.

Tony et moi enlaçâmes les deux belles femelles exotiques, et nous commençâmes à leur caresser leur corps divin, pour ensuite leur faire l’amour dans des positions très variées, tant elles étaient souples.

Tandis que je pénétrais mon ET en levrette, je regardais Julie, enculée par le mutant, allongé sous elle, tandis que l’un des Ebzts la pénétrait par la chatte et l’autre se faisait sucer.

Cécile quant à elle, se faisait partouzer par 3 mâles et deux femelles, qui lui caressaient les seins, et se faisaient gougnotter par mon épouse. Chaque ET eut droit à tous ses trous, pénétrés par les sexes pour les mâles, et les mains pour les femelles… avec à chaque fois déchaînement de râles et cris de jouissance !

La voix retentit une fois de plus dans mon esprit, avec un semblant d’excitation :

Alors Humain, cela te plaît de voir ta femme baisée, partouzée et fistée par des créatures venues de l’espace ?!

Les ET mâles et femelles "terminèrent" nos femmes, en les fistant jusqu’au coude avec leurs petits bras, dans leurs chattes inondées de cyprine, et leurs petits culs de salope… avec parfois trois petits bras pour un seul orifice, dont les doigts devaient procurer des sensations inédites, au fond, à nos deux salopes de femmes ! Cela se lisait sur leurs visages ravagés par les orgasmes !

Julie se révéla vraiment en femme déchaînée sexuellement ; elle n’avait cessé d’exprimer très fort son plaisir, demandant à tous les ET, des pénétrations de plus en plus sauvages !

Le chef s’adressa de nouveau à moi, par télépathie :

" L’expérience est concluante ! Mes frères de race ont réussi à faire l’amour à vos femelles… et à y prendre du plaisir ! Quant à nos mutants régénérés, ils équivalent bien votre race, en termes d’efficacité sexuelle.

Je suis heureux, Terrien, ma mission scientifique est un succès. Mais malheureusement, il nous faudra bien une cinquantaine d’années pour régénérer tous mes concitoyens… la mission n’est pas terminée !

J’ai peut-être une solution ! "

Étonnés, nous tournâmes la tête vers Julie, nue, les seins pointant et l’entrecuisse dégoulinant d’un sperme verdâtre… qui venait de nous interpeller télépathiquement.

Quand elle eut exposé son plan au chef, celui-ci réussit à sourire, ce qui était un phénomène jamais vu chez les Ebzts, depuis au moins 10 millénaires !

Épilogue.

Tony et Julie étaient partis avec les Ebzts dans leur univers, la constellation du Lion, avec leur monde central situé près de l’étoile R Leonis, à environ 600 années-lumière de la Terre !

Là, Julie était en quelque sorte devenue l’impératrice du sexe chez les Ebzts ! Un empire de plus de vingt planètes habitables !

Elle s’était offerte, pour aider ce peuple à redevenir sexué, tandis que leurs savants modifiaient les individus par ingénierie génétique… processus trop long.

Alors Julie, dans son palais créé pour elle et son mari, avec ses caprices de confort et de richesse enfin réalisés, éduquait le peuple à la sexualité et l’érotisme.

Toutes ses orgies, avec des individus régénérés ou non, mâles ou femelles, étaient retransmises par moyens vidéo, sensitifs, télépathiques… chaque être pouvait suivre en direct ses ébats, et les vivre en réel, pour apprendre le plaisir, l’orgasme et le désir.

Et cela marchait très bien ! Julie était suivie tous les jours de 32 heures, par 200 milliards d’Ebzts !

Je pouvais y avoir accès une fois par mois, quand la conjonction stellaire était bonne, grâce à une technologie télépathique qui se riait des parsecs, goûter à ses prestations de haute qualité érotique… les expérimenter dans ma chair. Cécile et moi nous branchions en faisant l’amour… pour décupler notre plaisir.

Julie, Déesse de l’amour d’une race extraterrestre, idole suivie par 200 milliards d’êtres…"Tipo in share" pouvait aller se coucher…

Elle en avait fait du chemin, la petite épouse coincée et frigide !

Tony quant à lui, laissait faire… profitant des largesses d’un harem de femmes mutantes ET, il avait même réussi à avoir différents nouveaux "types humains", niveau taille de seins, de cul, couleur des yeux et des cheveux… mais surtout il pouvait s’adonner à ses deux grandes passions : l’astronomie et l’astrophysique en "live", et la recherche sur une civilisation extra-terrestre multimillénaire… plus une toute nouvelle : mater sa femme se faire partouzer par la moitié de l’univers connu !

Fin.

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