Maryse 3 les cradingues

Le temps ma semblé long, mais mon absence du bureau, malgré les communications quasi journalières, ma donné de quoi être occupé. Sonia, ma secrétaire fait un peu la gueule, sûrement que son mec la plaquée.

Je nai pas téléphoné à Maryse et elle na pas mon numéro.

Pendant trois jours, je joue le jeu et évite la salle de bain.

Le troisième soir je téléphone.

— Bonsoir ma Douce, tu es libre ce soir?

— Non, jattends mon Prince charmant depuis trois jours, il doit venir me voir!

— Et cest qui ce Prince?

— Sil te plait, viens vite, je pue et jai tellement envie de toi! .

— Jarrive! .

Sans excès, je sollicite les chevaux de ma voiture et me plante devant lécole vers 8 h du soir. Elle guettait et sort immédiatement.

— Si ça texcite, jai mis des collants pendant trois jours, je nai pas changé de culotte, T-shirt à manches et, bien sur pas de rasage ni sous les bras ni les jambes. Mais toi, tu as triché, tu es rasé mon Amour! .

Nous allons dîner dans un bon resto du coin, il fait chaud et nous transpirons autant que le serveur.

Le souper terminé nous rentrons dans ma maison au milieu de nulle part.

Cest en nous câlinant que chacun ôte les vêtements de lautre. Maryse sent fort et je crois que je nai rien à lui envier.

Une fois nus tous deux, elle glisse à genoux, décalotte mon gland et constate une belle quantité de dépôt blanc. Elle glisse sa langue pour prélever un peu de salissure, mâche, avale puis: – Cest ce que tu voulais? .

— Oui, je pourrais en faire autant? .

— Tu ne vas pas être déçu, je suis dégueu-la-sse!.

Elle reprend le nettoyage jusquà ce quil ne reste plus rien sur mon gland puis entreprend de glisser sa langue au coin de laine. Tu pues mon salaud, jAime . Elle me retourne et nettoie mon trou du cul Mais tu as encore triché? Tu tes essuyé après ta grosse commission?

Mon ventre, mes aisselles, mes pieds sont léchés et je bande comme un fou.

— Maintenant à toi mon cur! .

Je commence par les pieds, jaime cette odeur forte mais là cest très très appuyé. Je remonte vers le haut des cuisses, titilles laine du bout de la langue et vois le sexe qui suite de désir. Jécarte délicatement les grandes et les petites lèvres, cest aussi dégueulasse que mon gland tout à lheure, je dévore cette chatte qui pue, me délecte des dépôts de trois jours en bougonnant: – Tu schlingue salope, je ne sais pas si je ne vais pas jouir que de te sentir. .

— Tu vas morfler encore plus, bouffe moi le cul, moi je ne me suis pas torchée, je suis restée souillon, juste pour toi mon Amour. .

Je lui relève le cul, cest incroyable, la merde séchée se dilue sous mes coups de langue, le goût est au rendez-vous, cest dégueulasse mais tellement jouissif.

Elle se tend bien et jouit répandant sa liqueur sur mon visage. Des gouttes perlent au bout de mon gland tendu à lextrême.

— Baise moi mon crade chéri! .

Je monte sur elle, me glisse dans son ventre en fourrant mon nez sous son aisselle. Je peux plus, elle le sent, son sexe se contracte et je me répand longuement, fou de son odeur et de son corps.

Lendroit sent le sexe, lamour, le plaisir. Maryse a un fin duvet sous les aisselles et ses jambes auraient besoin dun coup de rasoir.

Lovée contre moi elle murmure: – Tes un grand malade mais quel pied davoir un Amant comme toi. .

— Tu nes pas en reste ma Belle, je me demande ou sont tes limites? .

— Hum, je ne sais pas, tu peux me faire des tas de choses Peut-être pas me frapper ou du moins pas me faire mal en me frappant.

— Faut que je pisse mon Cur  ! .

— Dans ma bouche? Sur moi?

— Si tu veux.

Dans la salle de bain nous entamons une séance uro ou nous pissons lun sur lautre, tantôt elle me boit puis javale son liquide chaud et doré.

A un instant elle pète

— Zut faut que je fasse caca!

— Te prives pas .

Elle vide ses intestins sur moi puis me propose de faire la même chose mais jai pas envie.

Nous prenons une douche puis nous nous installons près du feu et, sans concertation, chantons de vieilles chansons.

Il est tellement nuit, je ferme les volets puis propose à ma Douce un instant sous les étoiles. La nuit est belle, la lune claire, sans nuage, le ciel est velouté, clouté détoiles. Nous sommes nus sur le pas de porte à considérer lunivers. De toutes parts des bruits nous parviennent, froissement de feuilles, chant de grillons Nos peaux sont caressés par le souffle de la nuit. Je devine un hérisson qui vient croquer je ne sais quoi. Une chouette hulule au bois voisin. Je sais dexpérience quà quelque 800 mètres des sangliers se roulent dans un étang presque sec dont il ont fait leur bauge.

Un bruit différent minforme que le voisin, sans doute sorti pour pisser, sest embusqué pour profiter du spectacle. Je me penche à loreille de Maryse et lui explique la situation. Tu vas ruiner ma réputation si tu me prends maintenant! . Je massied sur le seuil et elle vient sempaler sur mon sexe redevenu vaillant. Il veut un show lautre naze, on va lui en donner. Ma chérie est ouverte face à la cachette de notre voyeur, son sexe a englouti le mien et elle bouge lentement.

Je veux que lautre con en ait pour sa soirée, je demande à ma Belle de me sucer, cul tendu vers la planque du voisin. Jaimerais presque être à sa place, il doit se branler furieusement. Pour quil ne perde rien je propose à Maryse une sodomie, suffisamment fort pour être entendu, je prononce: Chérie, je veux ton cul, je vais texploser la rondelle! . Je fais le tour et me contorsionne pour que la vue sur notre union soit visible. Je pénètre doucement lorsque ma compagne mannonce, pour être entendue: Je vais jouir mon cur, lâche toi dans mon cul! .

Jai la certitude que notre voyeur est en train de jouir.

Elle décolle et mexplique son plaisir pour provoquer mon éjaculation.

Putain que cest bon!

Lorsque nous reprenons nos esprits notre mateur a disparu.

La discussion glisse sur la fidélité dans le couple. Moi, je men cogne.

Réfléchi, Tu jures fidélité et tu trouves une occase? Dans le fond, le coup de canif sera inéluctable? Alors comment tu peux interdire à ta compagne de donner des coups de canif dans le contrat?

Sans compter sur le pied dêtre cocu et de gérer la situation. Les filles ne calculent que difficilement le mal quelles peuvent occasionner, cest en réalité au mec de gérer le problème. Si tu y penses, déjà vers 45 ans tu faiblis du tuyau à trombiner, à cinquante tu pers un peu la pèche avec ton casse croûte quotidien A soixante ans, Il faut te prévenir à lavance pour honorer ta conquête. A soixante dix on te suce moins, on te mâche, comme un chewing-gum. A 80 ans tes grave hors jeu et plus tard, trouve un passe temps.

Maryse mexplique quelle serait un peu jalouse si javais une copine de jeu dun autre côté elle aimerait essayer la pluralité. Cest un peu antinomique tout ça. Elle continue, sûrement quune partie carrée serait le moyen le plus élégant pour que ni elle ni moi ne soit lésé Jai déjà goûté à l’échangisme et aux clubs libertins, je lui raconte Il faut un Amour solide et des années de vie commune pour ne pas céder au besoin dêtre amoureux, juste pour faire brûler la passion. Cest là que les couples se désunissent pour une passade de quelques jours, de quelques mois. Mais reformer un couple qui a vécu ce traumatisme de la séparation, parce que lun des deux rêvait dun autre Amour, nest pas simple, presque impossible.

Elle se serre contre moi: – Cur je voudrais que nous allions dormir .

Nous rentrons pour sombrer tendrement enlacés, dans le grand lit.

La nuit fut peuplée de mes vieux démons, des images de soirées sur le front de Seine Je revoyais les visages familiers du noyau dur de notre groupe Nicole, Cathy, Pascal, Philippe, Le gros Charles, Nadine

Jai poursuivi ce voyage dans le passé jusquau bout de la nuit.

Très tôt je suis sorti pour bénéficier du petit jour. Maryse dormait encore.

Pas le voisin, le salingue était embusqué comme hier soir mais je le distinguais très bien.

Je me suis fait un plaisir, bandant comme un âne, de mexhiber avant de pisser fort et dru.

Et puis, pour être complètement satisfait, je me suis fendu:- Tas pris ton pied mon voisin? Hier soir lorsque jai fait lAmour à ma copine? Tu moufte, je te démonte la gueule, tu la fermes et tu auras peut-être droit à du rab! . Le con senfuit.

Le feu reprend de la vigueur dans lâtre ou jinstalle le pied et la grille. Mon vélo, un saut au village pour ramener du pain tout frais.

Maryse se réveille lorsque je rentre et je passe dans la chambre pour lembrasser délicatement.

Elle est nue, ouverte, en demande, mais jai un autre projet pour linstitutrice.

Je grille les tartines au feu de bois, les enduit de beurre pendant quelles sont encore chaudes. Par habitude je sors du jambon et quelques tranches de lard

Elle ne veut que ses tartines

Elle sinstalle toujours nue à table et commence son petit déjeuner. Je glisse sous la table et moccupe de son sexe. Ce doit être agréable, jentends les crunchs de ses dents dans les tartines et reçois une rosée odorante sur mon visage.

En haut jentend: – Jai pas encore fait pipi !

— Cest du carrelage, on sen fout, laisse toi aller! .

Sans cesser de grignoter elle minonde le visage dun jet puissant.

Puis son visage vient sous la table, elle me regarde: – Tes tout trempé mon Cur mais jai bien aimé, il va falloir te laver et te changer, tu ne pourras pas sortir tout plein de pipi! .

Je prend une douche tandis quelle fait son caca du matin juste à côté de moi.

Elle me regarde tendrement puis mannonce, tout à trac: – Si tu me trompes, je te pardonnerais Tu comprends, je tAime Mais jAimerai que tu sois bien avec moi, que tu nais pas envie de me laisser tomber. .

Elle prend sa douche tandis que je me sèche. Un pschitt de parfum, des frusques propres et me voilà prêt et pimpant.

Elle sort de la douche, minaude, mais je ne cède pas. Choisis mes vêtements, sil te plaît! .

Je farfouille, un petit haut en soie naturelle et une jupe gitane comme celle quelle portait le premier jour.

— Pas de sous-vêtements mon cur?

— Ben disons que je nai pas cherché, donc tu nen as pas besoin! .

— Quest-ce qon fait aujourdhui?

— Jai une idée, nous allons déjeuner en ville! .

Une heure plus tard nous montons dans mon bolide. Maryse rayonne comme une femme Amoureuse. Pour être franc, je dois être radieux aussi.

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