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Le maître de stage – Chapitre 3




Deuxième jour de stage.

8h15 du matin, je suis dans le bus, avec mon casque sur les oreilles et du rock à fond comme souvent. Aujourd’hui il pleut, j’ai sorti le manteau, j’ai mis un jean serré taille basse avec comme à mon habitude mes Converse. Je me presse de descendre à mon arrêt, car je suis en retard à cause des bouchons. Je marche vite dans la rue sous cette pluie qui ne cesse pas. Je n’ai pas pris de parapluie avec moi, du coup mes cheveux lisses du matin deviennent des bouclettes indisciplinées.

J’arrive enfin dans la boîte, puis j’attache mes cheveux mouillés en queue de cheval . Je rentre dans la pièce et salue tout le monde d’une poignée de main. Franck lui, vient me faire la bise. Sa bouche est tellement près de mon visage que je peux sentir son haleine, celle-ci dégage une odeur de tabac, et étrangement j’aime bien ça. Il me dévisage d’un air enjoué et me dit « Bah alors ma belle Hannah, tu sors tout droit de la douche! ». J’aime qu’il me parle comme ça, j’aime qu’il m’appelle comme ça… "ma belle" . Je lui souris et enlève mon manteau.

La journée commence par un catalogue à créer sur l’ordinateur, je me met à la tâche. Pendant ce temps, Franck est occupé, il court à droite à gauche, et passe des appels téléphoniques. Je ne le vois pratiquement pas de la journée à part pendant les pauses. Mais aujourd’hui il m’a à peine prêté un regard. La journée se termine et comme hier on se fait la bise pour se dire au revoir.

Je me sens un peu frustrée tout à coup, je me dis quau final jai dû mal interpréter les choses, je me fais sûrement des illusions Peut-être que Franck est juste tactile avec les gens, ce serait tout simplement sa façon d’être Puis ces regards scrutateurs qui me paraissaient ambigus sont juste anodins Je me pose trop de questions sur cet homme, alors que je devrais plutôt penser à mes études car c’est avant tout pour ça que je suis là.

Les jours passent…

Nous sommes Vendredi, c’est déjà mon cinquième jour de stage, je me suis bien intégrée dans la boîte. Je sens que les autres m’apprécient. Cyril, l’infographiste, m’a même gravé un CD de musique rock. Franck, lui, a été très occupé pendant ces derniers jours.

Aujourd’hui c’est plutôt calme, nous ne sommes que quatre et je suis la seule présence féminine ici.

Il est 12h, il fait beau et chaud, alors nous décidons de déjeuner sur la terrasse. Chacun chauffe son repas, cette fois-ci j’ai amené le mien aussi. Je m’assieds à table, en face de Franck. Il me sourit et me dit que mon repas a l’air très bon.

« Oui, ça sent très bon ! Quest-ce que cest ? me demande Cyril, dun air intéressé.

_ Du riz sauté au poulet.

_ Mmmhh ça a lair délicieux ! Cest toi qui las cuisiné ?

_ Oui ^^

_ Oh là là, tu nous nargues ! Regarde, nous on se tape des plats cuisinés industriels. Cest même pas nutritif, ces conneries »

Le troisième homme à table répond à Cyril, et le sujet de conversation est lancé. Je savoure mon repas en suivant leur discussion. Pendant ce temps, Franck lui est plutôt silencieux, il mange et nous regarde. Soudain, je sens quelque chose me toucher le pied. Cette chose bouge et me tape doucement en insistant, elle monte et me chatouille la cheville. Aujourd’hui j’ai mis un long short en jean s’arrêtant à la hauteur des genoux, autrement dit un bermuda, alors je sens bien cette chose me frotter la peau. Je me courbe discrètement pour voir ce qu’il y a sous la table. Puis, instantanément, je me redresse, mon cur fait un bond, et j’avale de travers. Les autres se taisent net en me voyant tousser de la sorte.

« Oula! tu vas bien? me demande Cyril.

_ Oui, oui (je tousse encore et Cyril me sert un verre d’eau)… Merci … J’ai juste avalé de travers, c’est rien. ^^" »

Je prend un moment pour me calmer après avoir failli m’étouffer. Je réalise ce que je viens de voir, Franck me faisait du pied et depuis un moment il me scrute du regard. D’ailleurs, je l’ai même vu sourire à l’instant, lorsque jétais en train de m’étouffer. Je me sens bête, d’avoir réagit de cette manière pour si peu, et cela me fait rougir.

Il continue de me caresser doucement la cheville avec la sienne à travers son pantalon, ça me trouble mais je fais semblant de rien. Ses yeux cherchent les miens, en vain, mais je fais mon maximum pour l’éviter. Ce n’est pas une tâche facile sachant qu’il est assis juste en face de moi, et qu’il n’y a rien d’autre dans sa direction à part un mur blanc et épais juste derrière lui.

Je finis par poser d’un pas décidé mon regard sur le sien, il me sourit comme s’il n’attendait que ça. Je souris à mon tour, mais je suis complètement paralysée telle une statue de glace, mes membres sont figés, je ne sais pas pourquoi. Il n’y a que mon cur qui s’agite, il bat la chamade et je sens la chaleur monter en moi, je suis gênée et excitée, je ne sais pas comment réagir. A présent j e dois être rouge comme une tomate.

Les deux autres ne se doutent de rien, mais Cyril, très bavard, se tourne vers Franck et lui demande son avis sur le débat en cours. Ce dernier lui répond naturellement comme s’il avait suivi toute la conversation, puis s’en va sous prétexte qu’il ne trouve plus son briquet sur lui.

Nous avons fini notre déjeuner. Les deux hommes restent sur la terrasse pour profiter du soleil. Je débarrasse ma place et m’en vais aux toilettes.

Les toilettes sont dans une pièce unisexe avec deux boxes. En ouvrant la porte de la pièce, je croise Franck qui sort en même temps. Il me sourit et me demande si je vais bien, je lui réponds "oui ça va" d’un ton naturel, il s’en va et je rentre dans un boxe faire mes petites affaires. Je tire la chasse, ressors et me lave les mains; au même moment Franck revient dans la pièce et me regarde. Je le regarde alors, perplexe. Il se met à côté de moi, et se lave les mains dans l’autre lavabo. * Silence total * il me fixe à travers le miroir en face de nous. Je suis un peu gênée par ce silence, et par son regard fixée sur moi, mais je continue de faire comme si de rien nétait et je lui souris. Au fond de moi je veux ses mains sur moi. Nous nous séchons les mains toujours en silence. Je pars devant lui, il me suit derrière et me frôle la main. D’après moi, ce geste était volontaire, mais sur le moment je n’ai pas réagit.

Il part fumer une cigarette dehors, moi je vais masseoir tranquillement à mon bureau pour me ressaisir, car mon cur n’a pas cessé de battre depuis l’épisode du pied sous la table.

Mais cela ne va pas s’arrêter là, car plus tard vers 15h, alors que je suis à mon bureau en train de continuer la conception d’un catalogue à l’ordinateur, Franck vient me voir et s’assied à côté de moi. Il ne parle pas, regarde juste ce que je suis en train de faire, et de temps en temps il me dévisage. Son regard a le pouvoir de me pétrifier, me troubler, m’exciter, me dominer, et tout cela en même temps.

« Tu travailles bien, c’est super… » me dit-t-il de sa voix douce en approchant son visage du mien.

Son souffle chaud à l’odeur de café vient se déposer légèrement sur mon cou. je frémis et lui rends son sourire. C’est alors qu’il dépose sa main gauche sur ma cuisse. Il caresse tendrement ma peau à travers le tissus de mon bermuda, je peux sentir la chaleur qui émane de sa paume. Mon cur se met à bondir de plus belle dans ma poitrine. Voyant que je le laisse faire, il continue. Sa main chaude me caresse la cuisse et la parcourt jusqu’au bas de mon genou, puis elle revient doucement sur ma cuisse. Je sens que sa main glisse timidement vers le creux de mes cuisses, mais elle s’arrête net à côté de mon entre-jambes sans aller plus loin. Subitement, une sensation étrange me titille dans mon bas ventre. Les battements de mon cur se font plus rapides qu’ils ne le sont déjà. Le pire dans tout ça, c’est que j’essaye toujours de faire comme si de rien nétait car les collègues, bien qu’ils ne peuvent pas voir ce qu’il se passe devant mon bureau, sont présents dans la pièce. Ma respiration saccélère, le désir monte en moi quand tout à coup…

« Franck ! » Nous sommes interrompus par Cyril qui s’amène. Il lui demande quelque chose par rapport au travail. A peine ai-je eu le temps de le voir arriver que Franck a déjà enlevé sa main de ma cuisse et changé sa posture.

« Euh! oui, oui, j’arrive… » Il se lève précipitamment et sort de la pièce avec Cyril.

Me voilà plus troublée que jamais… Surprise, excitation, doutes, désirs, peur et frustration… c’est un mélange démotions et de réflexions qui m’empêche de me concentrer sur mon travail.

Je sens comme un vide sur mon corps, comme si la présence de cette main chaude posée là il y a 5 minutes me manquait. Je me surprends en train d’imaginer ce qu’il se serait passé si Cyril nétait pas intervenu. Mais en même temps, je me pose encore des questions. Franck me cherche, ou bien il s’amuse juste à me tester ? je ne sais pas trop quoi penser… je m’en veux de ne pas réagir et me laisser faire, mais d’un côté j’aime bien ça… Et s’il continue, j’ai peur de céder. Qu’en sera-t-il pour la suite ?

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