Histoires de non consentement Histoires de sexe noir

Nocturne au salon – Chapitre 1




Comme tous les 2 ans, mon entreprise participe à un salon spécialisé dans le bâtiment. Aujourd’hui, avant dernier jour, et ce soir c’est nocturne. Il est 22h00, le salon ferme ses portes et sur le stand, il reste deux clients. L’un nous quitte. Il reste Mickaël, un de nos plus gros clients, Stéphane, mon chef d’agence et Sébastien, le commercial de Nantes venu en renfort. Mickaël est un homme de 58 ans, physiquement pas très beau, petit, gros, arrogant et pas très propre sur lui. Bref, le genre de type qui me répugne, mais quand il propose que nous allions prendre un dernier verre pour finir la soirée, Stéphane accepte. Je décide de partir, Mickaël est déçu. Stéphane vient vers moi et me demande.

— Fais un effort. On prend un verre pour lui faire plaisir. On ne peut pas refuser, on attend une grosse commande de sa part. C’est l’histoire d’une heure.

J’accepte à contrecur. Et nous voilà rendus dans un bar situé sur les quais. Comme je suis la seule femme, je me fais ouvertement draguer. Ce n’est pas la première fois. J’ai l’habitude. Même, si depuis des années, de nombreux hommes m’ont fait des propositions, je les ai toujours refusées. Je suis une femme fidèle. J’aime mon mari et je le respecte.

Même si j’ai bu un peu plus que d’ordinaire, j’ai les idées claires. Mickaël tente une approche, je le renvoie en fond de cour. Il revient à la charge, cette fois je suis moins conciliante et le repousse violemment. Il est loin d’être le plus bel homme de la soirée, et je déteste l’arrogance de ce type. Surtout, ce que je n’apprécie pas, c’est l’immobilisme de Stéphane.

Il est proche de minuit, cela fait plus d’une heure que nous buvons, discutons et surtout que je supporte Mickaël. Je décide de partir, mais ma voiture est resté sur le parking du salon, Stéphane propose de me ramener chez moi. Les autres décident aussi de partir. Mais je constate que Mickaël n’est pas apte à conduire. Comme il nhabite pas loin de chez Stéphane, il se propose de le ramener chez lui. Je monte à l’arrière du véhicule pour le surveiller et l’empêcher éventuellement de vomir. Sébastien est monté à côté de Stéphane. Il sera le premier à descendre, son hôtel se trouve à peine à 10 minutes d’où l’on se trouve.

Après avoir déposé Sébastien à son hôtel, nous voilà repartis en direction de mon domicile. J’habite à une quarantaine de kilomètres du salon. Mickaël redevient entreprenant, excité, il pose sa main sur ma cuisse et tente de la faire glisser sous ma robe. Je le repousse violemment, mais il est plus fort que moi et j’ai du mal à le retenir. Je demande à Stéphane de s’arrêter. Nous sommes sur la rocade, et il prétend qu’il ne peut pas s’arrêter pour l’instant. D’être patiente que dans moins de 20 minutes, nous sommes arrivés chez moi.

— Allez ! Sois gentille…tu verras, tu ne le regretteras pas…et puis, je suis sure que t’en as envie aussi…

— Certainement pas avec un gros porc comme vous !

Sa main est en contact avec mon sexe. Il découvre que je ne porte pas de culotte.

— Tu ne portes pas de culotte…Stéph, elle ne porte pas de culotte !

Mickaël caresse ma chatte à travers mon collant. Je me débats et supplie Stéphane de s’arrêter, mais il me demande d’être patiente, et continu de rouler. Mickaël arrive à me bloquer, et met une main sur ma bouche. Son autre main continue de caresser mon sexe à travers mon collant. Je ne peux plus bouger, je subis ses attouchements, et contre toute attente, une chaleur commence à envahir mon bas ventre. Je me mets à mouiller. Ce qui n’échappe pas à Mickaël.

— Tu vois, toi aussi t’es excitée ! C’était pas la peine de faire tout ce cirque pour en arriver là !

Il déchire mon collant, avec ses doigts, je sens ses doigts prendre possession de ma chatte. Il en enfile un, puis deux, et il commence à me doigter. Excitée par ses caresses expertes, je gémis et après quelques minutes, je jouis. Stéphane se réveille et demande.

— Ça va derrière ?

— Impeccable !

— Ok et laisse Chrystelle tranquille !

— T’inquiète…je serais gentil avec elle…et puis elle ne dira plus rien maintenant…

Mickaël retire sa main de ma chatte dégoulinante, il se déboutonne et il baisse son pantalon, toujours en me tenant fermement. Il m’allonge sur la banquette arrière et il vient sur moi, sa queue bien dure à la main.

— Prête pour le grand frisson, ma belle…

Il a toujours sa main sur ma bouche, je fais un geste négatif de la tête.

— C’est un non qui veut dire oui. Le gros porc va te baiser, salope !

Je sens son sexe à l’entrée de ma chatte. J’ai beau me débattre pour l’empêcher de me pénétrer, mais il a raison de moi et sa queue glisse facilement dans ma fente. Une fois bien en moi, il me regarde et me dit.

— Ta chatte est très accueillante. Aujourd’hui elle n’appartient plus à un seul homme. Elle en aura connu un autre.

Et il a commencé à me limer. Je me surprends à gémir sous ses coups de reins. Mickaël retire sa main de ma bouche. Stéphane entend mes cris et se retourne et demande.

— Mais vous faites quoi !

— Ben, tu vois bien je baise ta secrétaire…je te la prépare pour tout à l’heure…elle aime ça, la salope…

Il est vrai que pour la première fois, un autre homme que mon mari est en moi. Je ressens un autre plaisir, différent.

— Prends ça, salope ! Depuis le temps que je rêve de te la mettre…sale pute.

Ses mots crus qui d’ordinaire m’auraient offusquée, curieusement m’excitent davantage. Mickaël me baise sans vergogne, comme la dernière des putains. J’ai beau essayer de résister, mais je n’y arrive pas. Je me libère et rapidement, un violent orgasme s’empare de moi. Mickaël, continu de me limer, je gémis de nouveau sous ses coups de reins puissants.

Stéphane arrive devant chez moi. Il coupe le moteur. Mickaël lui dit.

— Viens nous rejoindre à l’arrière…viens baiser cette salope !

Il ne se fait pas prier et je me retrouve entre les deux hommes. Mickaël sort de ma chatte un moment. Je découvre sa queue bien plus grosse que celle de mon mari. Il retire ma robe et mon soutien-gorge. Je suis nue devant ces deux hommes, avec pour seul vêtement, mon collant déchiré. Stéphane déboutonne son pantalon et me tend sa queue pour le sucer. Je n’ai jamais sucé un homme de ma vie. Avec l’excitation, je prends des libertés que je n’aurais jamais prises avant. J’embouche la queue de taille moyenne de mon chef d’agence et maladroitement, je me mets à le pomper. Mickaël reprend sa place dans ma chatte et me baise de nouveau.

— Regarde cette salope ! Elle joue les saintes nitouches et elle se fait enfiler par deux queues…

— Putain t’as raison, quelle salope ! Suce-moi bien la queue…sale pute…

Ce que je vis est surréaliste. Je suis à quelques mètres de ma maison, je peux apercevoir la fenêtre de notre chambre conjugale, où dort actuellement mon mari. Je le trompe sous son nez en me faisant baiser par deux hommes en même temps, à l’arrière de la voiture de mon chef d’agence. Qui en passant n’est pas non plus un bel homme.

Mickaël m’offre un troisième orgasme tout aussi puissant que le second. Vaincu à son tour, il jouit et inonde ma chatte de sa semence. Stéphane ne tient plus, retire sa queue de ma bouche et éjacule sur mon visage.

Je n’ai pas le temps de reprendre mes esprits que les deux hommes échangent leurs places. Stéphane, qui n’a pas débandé, prend possession de ma chatte encore dégoulinante du sperme de Mickaël. Ce dernier, la queue plus molle me demande de lui redonner de la vigueur en le suçant. Je ne réfléchis plus et m’exécute. Je ne contrôle plus rien, seul le plaisir compte. Stéphane me baise sans retenue, pendant que je sens la queue de Mickaël grossir dans ma bouche. Je gémis sous les coups de reins de mon chef d’agence. Pendant que je le suce, Mickaël caresse mes seins qui durcissent au contact de ses doigts.

— Elle prend son pied la salope ! Défonce bien cette pute, Stéphane ! Remplis bien sa chatte de ton foutre !

— Elle est trop bonne…hum…je ne vais tenir longtemps…

— Moi non plus, elle m’excite trop cette pute…

À ce moment, je sens le sperme de Mickaël s’écraser au fond de ma gorge. Il me tient fermement la tête pour que j’avale sa semence. En passant, je découvre le goût de son sperme qui m’enivre.

— Avale tout, salope !

Stéphane jouit à son tour. Je sens son sperme remplir mes entrailles, mais je n’ai pas eu d’orgasme. Ils se retirent, je me redresse et m’assois. J’aperçois ma robe et mon soutien-gorge sur le siège avant de la voiture. Soudain, je prends conscience de ce que je viens de vivre, et je me sens honteuse de mon comportement. Pourtant j’ai adoré ça. Il est temps de mettre un terme à mes frasques. Je vais pour prendre ma robe et prendre congé de ces messieurs, mais Mickaël, pas encore rassasié me dit.

— Tu veux déjà nous quitter ma belle, mais j’en ai pas fini avec toi…j’ai encore envie de te baiser. Et toi Stéphane ?

— Je t’avoue que je suis HS. Je te la laisse…

— Tant pis pour toi, moi j’y retourne. Une chatte pareille, je ne m’en lasse pas…et cette pute commence à prendre goût à ma queue.

Je n’ai pas eu le temps de dire quoi que ce soit, qu’il m’a attrapé par le bras, en me demandant de m’empaler sur sa queue redevenue bien dure. Sans me faire prier, mais honteuse de ne pas contrôler mes pulsions, je me déhanche sur son chibre. Mickaël s’occupe de mes seins, qu’il caresse et lèche avec gourmandise.

— Regarde cette salope, comme elle prend son pied !

Stéphane ne répond pas, mais devant le spectacle que nous lui offrons, reprends de la vigueur. Mais pas assez pour prendre à nouveau son pied. Mickaël est sur le point de jouir, mais il se retient voulant prolonger le plus longtemps possible le point de non-retour. Sans aucune retenue, je me masturbe sur sa queue bien raide. Je suis fatiguée, pourtant, j’en veux encore. Je nen plus. Je jouis pour la quatrième fois. Mickaël jouis à son tour, déversant en moi ce qu’il lui reste de semence.

Cette fois c’est terminé. Je prends ma robe, mais Mickaël me dit.

— Rentre chez toi nue ! On te regarde.

Soumise, je suis sortie de la voiture, mon sac à main et ma robe sous le bras. Je suis éclairée par les phares de la voiture, je me dirige vers la porte d’entrée, souillée en scrutant que personne ne puisse voir la scène. Je rentre chez moi et je me dirige directement vers la salle de bain. J’ai mis ma robe dans la machine à laver, et j’ai jeté mon collant poisseux à la poubelle. Épuisée, mais comblée, je vais rejoindre mon mari dans le lit conjugal. Je le regarde. Il dort. Curieusement, je n’ai aucun remords. Je ne pensais pas que c’était aussi simple de tromper son mari.

Le lendemain matin, le réveil a été très difficile. Je ne savais plus si j’avais rêvé ou réellement vécu ce moment de débauche. Mais très vite la réalité a pris le dessus. Surtout qu’en ouvrant mon portable, j’ai découvert un SMS de Mickaël, me demandant de mettre des bas et une robe sexy. En le lisant, j’étais excitée. Mais en voyant mes enfants prendre le petit déjeuner, j’ai pris conscience de ma folie.

Stéphane est arrivé vers 8 heures pour m’amener au salon. Mickaël était assis à l’arrière de la voiture. Je suis allée le retrouver et je lui ai dit qu’après ce qui sétait passé, je ne pouvais pas retourner travailler. Que je viendrais lundi au bureau pour en discuter. Ils sont partis, au fond de moi je regrettais déjà leur départ. J’ai reçu un SMS de Mickaël qui disait : À bientôt, on se reverra…pour prendre du plaisir, rien que toi et moi…ta chatte me manque déjà.

Related posts

Ma soeur et sa fille – Chapitre 5

historiesexe

la directrice – Chapitre 4

historiesexe

L'autre sexe au naturel. – Chapitre 4

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .