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Bah.. l'auto-stop, quand on est étudiante – Chapitre 1




Salut c’est votre folle de lycra.

Je viens tout juste d’avoir 18 ans, je suis étudiante à la fac d’Orsay dans la vallée de Chevreuse, du haut de mon mètre quatre vingt, je suis plutôt jolie fille. Je me prénomme Coralie, j’habite à Luigny dans l’Eure-et-Loir et j’ai une chambre d’étudiant à Bures le long de l’Yvette. Pour rentrer tous les weekends j’avais trois solutions: je rentrais en voiture mais je n’en avais pas, je prenais le train mais c’était une véritable expédition, je rentrais en stop car là c’était pratiquement direct mais il y avait un risque quand même en tant que fille à prendre la voiture avec des inconnus. N’étant pas farouche et n’ayant pas froid aux yeux, voilà comment en octobre de cette année-là je me suis mise au niveau des Ulis à faire du stop en espérant que quelqu’un me prenne directement pour l’autoroute. Les premières fois j’ai un peu galéré en ce sens où je mettais deux heures voire trois heures pour rentrer, mais malgré cela j’allais bien plus vite qu’en train. L’avantage c’est qu’une fois installée dans la voiture les gens me déposaient au péage de Brou.

Pour le retour c’était toujours assez simple car il fallait juste que je cherche des gens qui allaient jusqu’au bout de l’autoroute A10 sans aller direction Évry. Un vendredi soir alors que je faisais du stop au niveau des Ulis, une magnifique Bentley s’est arrêtée, la vitre à l’arrière s’est baissée et une superbe femme d’une bonne cinquantaine d’années m’a demandé où j’allais. Je lui ai donné ma destination et elle m’a invitée à venir m’asseoir à ses côtés. Quand j’entends, à ses côtés, c’était un bien grand mot car elle était tout à gauche de la voiture et moi toute à droite, le véhicule était très spacieux et surtout monstrueusement confortable. Une fois bien installée, j’ai constaté que le conducteur était une conductrice et que cette dernière était son chauffeur particulier. Les vitres extérieures étaient teintées, tout la vitre qui nous séparait du chauffeur, bref tout ce que nous disions restait entre nous. Cette femme savait qu’elle était très belle, elle était limite hautaine, elle devait être directive et autoritaire; cette femme devait être une riche héritière, une chef d’entreprise ou une politicienne.

Sur les premiers kilomètres nous fîmes connaissance, c’est ainsi que j’appris qu’elle était effectivement une riche héritière mais surtout une actionnaire majoritaire dans de nombreuses sociétés. Elle avait une demeure au niveau de Saint-Rémy-lès-Chevreuse et une grande propriété au niveau de la Ferté-Bernard. Elle passait la semaine sur Saint-Rémy pour le travail et le weekend à la campagne. De mon côté je ne pouvais mettre en avant que mon modeste statut d’étudiante à la fac. Quand je suis rentrée dans la voiture, j’étais un peu mal à l’aise mais au fur et à mesure que nous parcourions la distance elle me rassurait. Cela m’a fait tout drôle quand elle a parlé dans un micro pour demander à la conductrice de faire un détour au niveau de Brou quand nous y arriverions. Nous étions dans un palace roulant et maintenant j’étais confortablement installée, cela m’a aidée à converser avec elle. Malgré son air hautain cette femme devait être très gentille en dehors du travail mais elle devait être très dure en affaires. Elle m’a expliqué qu’elle était bien née et qu’elle avait su faire fructifier tout ce dont elle avait hérité.

Vu que j’avais attendu longtemps qu’une voiture s’arrête pour me prendre, j’étais un peu fatiguée et c’est ainsi qu’en confiance, je me suis assoupie, sans doute une bonne demi-heure. C’est cette femme qui m’a réveillé tout délicatement, comme si j’étais un diamant, en me disant que nous étions arrivées au péage où je désirais être déposée. Je me suis confondue en excuses auprès d’elle pour m’être endormie et j’ai eu le droit à une bise de sa part quand nous nous sommes séparées. En plus d’être arrivée avec beaucoup d’avance sur mon planning j’avais trouvé le moyen de me reposer dans la voiture. Cela m’a fait tout drôle quand ce palace roulant est reparti dans l’autre sens en se faufilant entre les plots. Quand je suis rentrée à la maison, qui n’était pas bien loin du péage, j’ai raconté mon aventure à mes parents et ils ne m’ont pas cru. J’ai profité de mon weekend pour me changer les idées mais aussi réviser bien évidemment, en même temps je repensais à cette dame. Je me disais que si un jour je réussissais dans la vie, c’est cette voiture là que je m’ achèterai.

Le dimanche soir quand je suis repartie à la fac j’ai eu de la chance, car une voiture m’a rapidement prise mais surtout elle allait presque à côté d’Orsay du coup elle a eu la délicatesse de faire un détour pour moi. Pendant la semaine, j’ai préféré ne pas parler de mon histoire avec la voiture, car je pense que mes copines et copains se seraient moqués de moi en me traitant de marseillaise. Le vendredi suivant je me suis repositionnée au même endroit pour faire du stop, quelle ne fut pas ma surprise de voir à nouveau cette magnifique voiture s’arrêter. Comme la première fois, la vitre arrière s’est baissée et ce coup-ci la dame avait fait l’effort de se déplacer dans la voiture pour m’inviter à venir m’installer sous réserve que je parte au même endroit. Ce coup-ci j’étais un peu plus fraîche et nous avons pu faire causette et surtout plus ample connaissance. J’ai ainsi appris qu’elle se prénommait Geneviève, de mon côté je lui ai donné des détails sur les cours que je prenais et aussi les conditions de vie en résidence universitaire. Voilà comment, au fil de la conversation, nous avons découvert que tous les deux rentrions le dimanche soir sur la vallée de chevreuse.

C’est à cette occasion que Geneviève s’est proposée que nous nous retrouvions le dimanche soir au niveau du péage ainsi nous ferions le retour ensemble. Je me suis confondue en remerciements, au fond de moi je me disais que j’étais vraiment tombée sur une dame très gentille et surtout serviable. Nous avons échangé nos numéros de portables personnels, je pense que c’était un privilège d’avoir le sien. Elle avait le tout dernier portable d’une marque connue sud-coréenne, alors que moi j’en avais un de la firme de Cupertino mais qui était un peu dépassé pour ne pas dire obsolète. Ce coup-ci j’étais un peu triste quand nous sommes arrivées à destination, car je n’avais pas vu le temps passer tout comme les kilomètres. Avant de nous quitter nous nous sommes fixé rendez-vous le dimanche soir un peu de chose près au même endroit. Quand je suis rentrée à la maison toujours avec de l’avance par rapport à d’habitude, j’ai donné les mêmes raisons à mes parents et une fois de plus ils ne m’ont pas cru.

Contrairement à d’habitude, le dimanche soir je suis partie un peu plus tard, mes parents m’ont avertie qu’il n’était pas sage que je parte si tard, car la nuit allait bientôt tomber mais je leur ai expliqué qu’il ne fallait pas s’inquiéter. Quand je suis arrivée à la hauteur du péage la voiture était là à m’attendre, j’ai allongé le pas pour essayer d’écourter l’attente et c’est Geneviève en personne qui m’a ouvert la porte. Une fois rentrée dans la voiture, elle m’a fait la bise, cela m’a fait tout drôle que cette dame à ce point distinguée fasse régulièrement la bise à une étudiante inconnue. Cette patronne d’entreprise faisait tout pour me mettre en confiance et elle réussissait parfaitement. Sur le chemin du retour, nous avons causé de choses et d’autres, surtout de ce que nous avions fait ce weekend chacune de notre côté. Arrivées au niveau des Ulis, elle s’est proposée de me déposer à la fac, j’étais un peu gênée car j’avais peur que cela fasse jaser au niveau des mes copains et copines.

J’étais un peu surprise, car avec le peu de détails que je lui avais donnée au premier coup, elle savait exactement où se rendre, manifestement elle connaissait très bien la région. Elle s’est garée sur les places le long du stade, j’étais arrivée à destination dans le vaisseau amiral d’une filiale des voitures du peuple. Une nouvelle fois, elle me fit la bise et nous nous séparâmes comme si nous étions de la même famille. En sortant de la voiture, j’ai bien veillé à ce que personne ne me voit, car j’avais peur de me faire ensuite chambrer pendant les cours. Dans la semaine, à ma grande surprise, j’ai reçu un sms de Geneviève qui me donnait rendez-vous le vendredi d’après, rue du Docteur Collé à l’intersection avec l’avenue de l’Yvette. Elle m’a expliqué qu’elle ne voulait pas me mettre mal à l’aise par rapport à la voiture qui venait la chercher. Voilà comment la veille du weekend suivant elle est venue me chercher dans sa magnifique berline et nous sommes rentrées direction Luigny, cela me faisait tout drôle de faire une bise à cette femme qui voilà peu m’était inconnue.

Ce soir-là, vu qu’il pleuvait, Geneviève a décidé de prendre le péage et de me déposer dans mon village qui se trouvait juste à proximité. Elle voulait me déposer devant la maison, mais j’ai fait attention à ce qu’elle ne le fasse pas trop près car là non plus je ne voulais pas que ça jase. Au moment de sortir de la voiture, elle m’a donné une petite boîte alors qu’elle me faisait la bise. Étonnée et curieuse, j’ai voulu rester dans la voiture pour ouvrir le cadeau en sa compagnie, mais elle m’a dit qu’elle préférait que je l’ouvre une fois arrivée chez mes parents. Je me suis donc exécutée et je suis rentrée avec grande hâte à la maison, même si ce n’étaient pas les quelques gouttes de pluie qui tombaient qui m’ont fait allonger le pas. Une fois rentrée à la maison, j’ai fait un gros bisous aux parents et je suis montée tout droit dans ma chambre car je voulais savoir ce qu’il y avait dans cette boîte.

Une fois dans ma chambre, au calme, à l’abri de tout regard, j’ai défait l’emballage et là je suis tombée sur le cul c’était exactement le même téléphone que Geneviève. Il y avait une petite lettre qui accompagnait le cadeau où elle m’expliquait que:

— D’après ce que j’ai compris tes parents ne roulent pas sur l’or

— Je pense qu’une fille aussi courageuse que toi mérite d’avoir un téléphone digne de ce nom.

— J’espère que ce présent te motivera à continuer à travailler comme tu le fais.

— Je t’ai même préparé une petite lettre, des fois que tes parents se demande d’où vient ce téléphone.

— Tu pourras leur faire gober que des amis se sont cotisés.

J’ai passé toute la soirée à paramétrer le téléphone pour qu’il soit opérationnel le plus vite possible. Une fois le téléphone bien connecté, je n’ai pas pu me retenir de lui envoyer un SMS pour la remercier et lui dire que j’étais très gênée de ce qu’elle venait de m’offrir.

Il ne lui a fallu que quelques secondes pour me répondre que le but était de me faire plaisir. Je peux vous garantir que tout le weekend cela m’a perturbé que l’on me fasse un cadeau d’une telle valeur surtout venant d’une personne qui me connaissait qu’en tant qu’auto-stoppeuse. J’ai quand même réussi à travailler mais aussi à aller me promener histoire de penser à autre chose. À dix-sept heures, j’ai reçu un message de sa part m’invitant à me présenter sur les côtés de mon église dans une demi-heure. J’ai trouvé ça très délicat de sa part qu’elle m’évite de marcher, mais en même temps j’étais conscient que sa voiture ne passerai pas inaperçue dans le village. J’ai vite plié bagages pour repartir direction la fac, arrivée à sa voiture il y avait Geneviève et son chauffeur en l’occurrence, une magnifique femme d’une trentaine d’années. Toutes les deux avaient l’air de regarder l’église, même si cette dernière n’avait rien de transcendant exceptés les deux petits arbustes joliment taillés sur le côté.

Geneviève m’a présentée Muriel, nous nous fîmes la bise, mais j’ai surtout sauté au cou de ma bienfaitrice pour la remercier pour le téléphone. Au moment où je constatai que Muriel tutoyait sa patronne, cette dernière m’a dit que je pouvais aussi la tutoyer. Décidément nous étions en train de devenir très intimes, je lui ai dit que je le ferai mais que cela ne viendrai pas naturellement. Après avoir fait connaissance nous avons pris le chemin du retour et ce coup-ci nous étions pratiquement côte à côte avec Geneviève dans la voiture. Son parfum était vraiment un plaisir à humer et ce soir elle avait mis une jupe assez courte avec des bas qui mettaient en valeur ses jambes magnifiques. C’est bête à dire, mais je ne pouvais me retenir de regarder ses jambes toutes les cinq minutes, je pense que si j’avais été un homme j’aurais été tenté de les caresser. De mon côté j’avais une robe longue qui ne laissait pas vraiment voir mes jambes.

Quelle ne fut pas ma gêne quand Geneviève m’a demandé si j’avais un problème avec ses jambes.

— Il n’y a pas de problème madame, c’est juste que vous avez des jambes magnifiques.

— Je ne peux me retenir de les regarder, pour le plaisir des yeux.

Je ne sais pas ce qui m’avait pris de lui répondre ainsi avec tant de naturel.

— Ce compliment de ta part me touche.

— J’ai toujours aimé m’habiller de façon élégante voire un peu provocante.

— J’en profite car il ne me reste plus beaucoup de temps pour pouvoir le faire, après je serai trop vieille.

C’est vrai que le résultat était magnifique et j’en avais même envie de toucher. Voir de si jolies jambes réveillait en moi des pulsions que je ne me connaissais pas, par-dessus cela elle avait son parfum qui me chamboulait complètement la tête.

— Et toi tu es aussi une très jolie fille, pourquoi ne t’habilles tu pas de cette façon.

Pendant qu’elle me parlait, elle est venue me remettre des cheveux en place derrière mon oreille gauche, cela me faisait tout drôle qu’elle prenne une telle initiative. Quand elle me regardait j’étais complètement hypnotisée par son regard bleu océan et mon petit doigt me dit qu’elle le savait.

— Avec le corps que tu as, tu pourrais aussi t’habiller ainsi et faire en sorte que les hommes se retournent sur toi.

Au fond de moi je me disais que cela n’aurait pas été déplaisant, mais que je pensais que je sois pas prête à cela aujourd’hui. Quand je ne la regardais pas dans les yeux, j’admirais ses jambes et même un peu plus haut.

— Coralie votre regard me met mal à l’aise j’ai l’impression que vous avez envie de moi.

Cette phrase m’a fait rougir en quelques instants, mais surtout m’a fait mouiller ma culotte à la même vitesse.

Quand elle a pris ma main pour aller la poser sur sa cuisse la plus proche, j’étais complètement retournée. C’était la première fois que je touchais une femme et la douceur de ses cuisses gainées de lycra ne me laissait pas indifférente. Moi qui m’étais limitée à des flirts avec les garçons, voilà que j’étais la main posée une cuisse féminine et que cela m’excitait comme jamais je n’aurais imaginé. Je me sentais totalement dirigée par Geneviève, et elle se caressait carrément la cuisse avec ma main. Quand elle a retiré sa main de la mienne, cette dernière est restée sur sa cuisse, je la caressais pour en savourer la douceur. Sa main droite est délicatement venue me saisir la nuque pour attirer mes lèvres aux siennes. Je me suis laissée faire et quelques secondes après nos lèvres entraient en contact. Pour la première fois de ma vie, j’embrassais une fille et cela s’est fait tout naturellement. Elle n’a pas eu besoin de tirer mon corps à elle, c’est moi qui me suis approchée, je ne sais pas ce qui me prenait mais cette femme me faisait envie.

Les fois où j’ai embrassé des copains, je savais que c’était en coup de vent, mais là, il y avait autre chose quelque chose de plus sérieux, que je sentais plus solide avec elle. Me retrouvant plaquée contre elle, je ne savais plus où remettre ma main précédemment posée sur sa cuisse, je l’ai posée sur son corps avant de la poser sur sa poitrine. J’avais l’impression de me sentir entraînée dans une spirale de désir, chose à laquelle Geneviève savait parfaitement répondre. Le contact de ses lèvres avec les miennes m’a fait partir dans les nuages, et je ne vous raconte pas quand sa langue a rencontré la mienne. Ce qui me faisait tout drôle c’est que j’avais l’impression que tout se déroulait naturellement, ni elle ni moi ne dirigions les opérations. Maintenant elle n’avait plus besoin de tenir ma tête c’est moi qui allait chercher son baiser et en plus avec gourmandise.

Je ne sais pas si Muriel savait ce qui se passait derrière elle, mais elle ne roulait pas trop vite, nous ne sentions pas du tout les vibrations de la voiture, ni les bruits de roulement quelques qu’ils soient. Ce qui était aussi agréable c’est que la voiture ait des vitres teintées car on voyait ce qui passait à l’extérieur mais personne ne nous voyait. C’est comme ça, dans un petit moment de déconcentration, que j’ai pu constater que nous arrivions au péage de Saint-Arnoult donc que le chemin commençait à arrivé sur sa fin. Ce soir-là m’a permis de constater qu’en plus d’avoir des seins magnifiques, Geneviève les avait très sensibles et et ses tétons marquaient énormément. Nous nous sommes encore accordé dix bonnes minutes de plaisir, avant de nous rendre de nouveau présentables. Cela commençait à sentir bon l’intimité féminine dans l’habitacle; Alors que nous étions sur le point d’arriver sur Bures-sur-Yvette, Geneviève a pris l’initiative de me défaire de ma culotte qui était trempée pour me donner la sienne à enfiler. J’ai trouvé l’idée très érotique et je suis rentrée dans le jeu à fond, nous sommes arrivées sur le parking juste au moment où nous finissions notre échange très intime.

Nous nous sommes quittées sur un baiser langoureux en veillant à ce que personne ne nous voit pas même Muriel.

En espérant que ce premier chapitre ne vous ait pas semblé trop long, j’ai des idées à foison pour cette histoire…

Bisous à vous

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