CHAPITRE 2
Je passais ma matinée dans un sex-shop que je connaissais bien où jachetais un nombre impressionnant daccessoires qui allait me servir dans mon initiation : godes de toutes tailles, plugs, ufs vibrants, pinces à seins, fouets mais aussi, sur recommandation du vendeur, une pommade aphrodisiaque spéciale qui, à ses dires, était dune efficacité redoutable !
Une fois mes emplettes terminées je rentrais chez moi pour préparer la soirée. Javais dans mon congélateur dexcellents plats fins surgelés qui feraient en sorte, quaccompagnés dun excellent champagne, sa première visite soit une réussite.
Deux jours avant je naurais jamais, même dans mes rêves les plus fous, pu imaginer quune très jeune fille aussi belle puisse soffrir à moi dans de telles circonstances. Dhabitude, avec toutes les femmes que javais connues, il fallait souvent passer par de longs préliminaires pour arriver à les « décoincer ». Avec mon ex-femme nous étions très en phase sur le plan sexuel mais il mavait fallu près de trois ans quand même pour quelle accepte la sodomie.
Je passais mon après-midi à surfer sur Internet dans lattente de la venue de Capucine. Elle ne me déçut pas et à 18h00 pile, après que jeus entendu larrivée de son scooter dans le garage, je la vis apparaître nue dans le living alors que jétais légèrement vautré dans mon canapé de cuir.
Sa démarche était hésitante et son corps frissonnait ; la fraîcheur du living en cette saison. Intimidée, elle baissait la tête et ses mains, rabattues devant elle, protégeaient son sexe, en contradiction complète avec son attitude lors de notre conversation via Skype. Ses seins, légèrement compressés par ses bras, pointaient vers moi, arrogants. Elle était sublime. Elle fit quelques pas dans ma direction et sarrêta.
— Tu es à lheure cest bien.
— Je te plais ? Tu nes pas déçu ?
— Non ! Avance ! Tourne sur toi-même que je puisse admirer ta plastique. Tu as une magnifique poitrine et ton cul est divin ! Montre-moi bien ton abricot ! Je vois que tu tépiles complétement, cest bien. Positionne-toi entre mes cuisses et écarte les jambes !
Je me redressai et massis confortablement dans le canapé. Je pris ses fesses fermes dans mes mains et, les pressant vivement, je fis avancer son ventre vers ma bouche pour baiser légèrement son nombril. Elle se laissait faire sans rien dire. Elle attendait mon bon vouloir. Je voulais avant toute chose découvrir son corps, menivrer de son odeur de jeune fille vierge dont je sentais naître lémoi. Dire quaucun homme ne lavait possédé jusque-là et que, aujourdhui ou demain peu importe ; je voulais quelle soit dabord dans un état de dépendance total ; jallais déchirer son hymen et lui faire connaître son premier orgasme avec un sexe dhomme.
Ma main droite quitta ses fesses et remonta vers son sein gauche pour lempaumer. Je commençai un léger massage pour le pétrir doucement puis de plus en plus fermement. Dans le même mouvement je pris entre mon pouce et mon index son téton déjà durci et le fis rouler entre mes doigts.
Sa respiration devenait de plus en plus forte, proche du halètement, sa peau avait la chair de poule.
Ma main gauche remonta vers son épaule droite et dans un mouvement descendant je la fis plier légèrement les genoux pour que ma bouche puisse venir téter ses seins. Mes lèvres se posèrent sur droit pour venir en gober le bout. Jécartai largement mes lèvres pour englober son aréole et entamer une succion diabolique de son mamelon. Capucine gémissait de plus en plus fort et me pressait la tête pour mencourager à continuer. Inutile de vous dire que je bandais comme un cerf vu lérotisme de la situation. Ma bouche continuait son travail pervers en reprenant son téton droit entre mes dents pour le mordiller et le mâchouiller à ma convenance. Ma main droite continuait le malaxage de son sein gauche à la limite de la douleur tellement je le compressais. Ce nétait plus que des cris de jouissance que dès lors elle émit jusquau moment où, tétanisée, dans un ultime sursaut, un orgasme violent sempara delle ne lui laissant plus aucune force. Elle sécroula devant le canapé, inerte.
— Eh bien, dis-moi, on dirait que tu nattendais que cela ! Je me trompe ?
— Cest la première fois que ça marrive tu mas faite jouir uniquement en toccupant de mes seins. Jaurais aimé que tu me déflores à cet instant. Jétais prête en venant ici.
— Cest encore un peu tôt pour ça, tu dois le mériter. Je me suis occupé de toi cest à toi maintenant de me montrer ce que tu sais faire. Donne-moi ta main !
Je la posai sur ma braguette tendue par mon pénis gorgé de sang. Jamais je ne métais senti aussi dur. Javais besoin de faire relâcher cette pression.
— Tu vois quel effet tu mas fait ? Mon vit est tendu à mort. Libère le !
Elle se mit à genoux et tout en me regardant profondément elle entreprit de faire glisser mon pantalon après avoir au préalable desserré la ceinture et les boutons qui le retenaient. Je nétais plus quen caleçon et ses mains fines se posèrent, à travers la fine étoffe, sur ma bite qui nattendait que ça. Je ressentis comme une décharge électrique et je faillis éjaculer tellement ma surprise fut grande. Mais, expérience aidant, je réussis à maîtriser mes émotions. Pour faciliter son travail je fis glisser mon caleçon le long de mes cuisses, libérant mon phallus de toutes entraves. Il jaillit tel un diable sorti de sa boîte juste devant ses yeux.
— Oh mon dieu comme il est gros.
— Tu as pourtant peu de références pour comparer non ? Il est dans une moyenne honorable tu auras loccasion de vérifier par la suite
— Oui cest vrai mais je le trouve tellement beau que je suis impressionnée !
— Alors tu vas le lécher doucement, comme un esquimau, bien le mouiller. Tu vas le presser tout le long avec tes lèvres, descendre pour englober mes bourses, puis tu passeras ta langue sur mon périnée
— Ton périnée ?
— Ah je vois que ton éducation sexuelle est à faire. Cest la partie entre la base de mon sexe et mon anus. Cest une partie sensible qui, dès quelle est stimulée, peut accroître le désir dun homme. Tu iras ensuite me lécher le cul en faisant pénétrer la pointe de ta langue dans mon trou plissé.
— Mais cest sale ce que tu me demandes de faire ?
— Non car jai pris ma douche et je me suis lavé profondément. Mais cest surtout de ta part un gage de soumission extrême. Tu ne veux pas le faire ? Tu es libre
Là je poussai le bouchon un peu loin mais cétait le moment ou jamais de tester sa motivation !
— …tu peux ten aller. Tu descends dans le garage, tu te rhabilles et tu ten vas à jamais. Alors ?
— Non, non, je veux rester je me renseigne seulement car je ne lai jamais fait.
— Bon jaime mieux ça. Allez ! Vas-y ! Montre-moi ce que tu sais faire ! Fais attention à tes dents et noublie pas, à la fin je veux finir dans ta bouche pour que tu puisses avaler tout le sperme que je cracherai dans ta bouche.
Capucine acquiesça et entreprit sa fellation. Elle était douée. Sa bouche parcourut ma queue goulûment, descendit vers mes couilles quelle goba, lécha mon anus comme je lui avais indiqué et remonta pour faire pénétrer mon gland dans son adorable bouche. Elle accomplit ce mouvement plusieurs fois. Cétait divin. Je décidai alors de passer à la vitesse supérieure. Je la fis allonger sur le canapé, la tête pendante en dehors il ny avait pas daccoudoir – bien en arrière. Dans cette position, son larynx était dans le prolongement de sa bouche : Idéal pour une première gorge profonde.
— Ouvre la bouche en grand !
Innocente, elle ne voyait pas où je voulais en venir. Je pris position au-dessus de sa tête et je fis pénétrer mon sexe dans sa bouche lentement. Lune de mes mains soutenait son cou pour que ma bite puisse bien trouver sa place au fond de sa gorge. Elle commença à hoqueter et à saliver énormément. Je lui prodiguai des conseils :
— Détends-toi ! Fais tourner ta langue autour de mon vit et respire profondément par le nez sinon tu vas tétouffer !
— Mffff ! Mffff !
Il est évident que dans cette position elle ne pouvait pas parler. Ses yeux étaient emplis de larmes, sa bouche dégorgeait de salive. Je lui ménageais quelques instants de répit pour quelle prenne toute la mesure de ce quelle accomplissait et puisse respirer. Puis, sentant quelle shabituait, jamplifiais mes mouvements et je lui baisais carrément la bouche. Ma main libre tordait alternativement les pointes de ses seins. Inutile de vous dire que de la voir ainsi à ma merci, une aussi belle fille, jeune et consentante, me faisait redoubler dardeur. Toute la tension que javais accumulée depuis son arrivée se libéra dun coup dans un orgasme puissant et jéjaculais une quantité impressionnante de sperme au fond de la gorge de Capucine qui manqua suffoquer.
— Navale pas encore !
Je la fis redresser et ouvrir sa bouche pleine de ma semence. Son visage était en larmes après la dure épreuve que je lui avais faite subir et son rimmel coulait le long de ses joues. Elle était pathétique mais dune plus grande beauté encore tellement elle était revenue à un état naturel.
— Tu peux avaler maintenant !
Je la vis déglutir puis me fixer dun regard quasiment amoureux. Je la pris alors tendrement dans mes bras et japprochai ma bouche de la sienne pour entamer notre premier baiser. Elle répondit immédiatement en enroulant sa langue autour de la mienne. Jentourai mes bras autour de son corps nu dans une étreinte sauvage. Ce nétait pas suffisant pour elle.
— Je te veux nu toi aussi !
Jarrachai ma chemise, le seul rempart qui me restait, et nous roulâmes par terre nous étreignant comme des bêtes. Ma queue durcissait à nouveau et se dressait contre son ventre. Nos bouches se retrouvèrent. La sienne avait le goût de mon sperme mais aussi celui de la fraîcheur de sa jeunesse. Je pris ses fesses dans mes mains, elle en fit autant avec les miennes. Javais envie de ses seins aussi je remontais lentement le long de son corps pour placer ma bite entre eux. Comprenant ce que je voulais faire elle les serra pour que je puisse coulisser à lintérieur comme dans un fourreau.
Sa respiration saccélérait. Capucine poussait des cris de plus en plus forts.
— Je nen peux plus ; viens en moi, sil te plait. Je te veux.
— Tu veux quoi ?
— Que tu me fasses devenir femme.
— Mais encore ?
— Je veux sentir ton sexe me pénétrer, me défoncer, déchirer mon hymen.
— Tu prends la pilule ?
— Oui ! Et toi tu mets un préservatif ?
— Non jai fait un test récemment tu ne crains rien. Tu es sûre dêtre prête ?
— Je ne te lai pas déjà prouvé ?
— Si mais, ne préfères-tu pas le faire avec un garçon de ton âge ?
— Non cest toi que je veux ! Je veux tappartenir entièrement même si tu es plus vieux que moi.
— Cest un bel hommage que tu me rends il faut que je réexamine la situation. Plaisantais-je.
Sur ces mots je redescendis le long de son corps, libérant ses seins, afin que nos sexes se retrouvent au même niveau.
— Allez, viens ! Ne me fais pas attendre
Je vis à cet instant quelle nen pouvait plus et que je navais plus quà cueillir les fruits de ma préparation. Je positionnai mon vit à lentrée ruisselante de son abricot et dune légère poussée je fis entrer juste mon gland. Capucine poussa un cri. Mais je voulais faire durer le plaisir en jouant à un petit jeu quelle ne connaissait pas encore. Dressé entre ses cuisses que jécartais au maximum, je pris ma bite en main et entamai un lent va-et-vient entre son clitoris et lentrée de son vagin faisant pénétrer juste lextrémité de mon sexe que je ressortis immédiatement. Je répétai lopération plusieurs fois de suite pour lamener au summum dun plaisir quelle exprimait fortement :
— Ouiiiii Vas-y ! Cest bon Je ten supplie prends ma virginité Dépêche-toi je nen peux plus !
— Bon. Puisque telle est ta volonté, fais-je sur un ton faussement blasé, je me vois contraint d’obéir.
Cest à ce moment précis que je menfonçais en elle dune lente et inexorable poussée dans son con accueillant. Cétait chaud, doux et humide à la fois tant elle jouissait de ce moment. Ses chairs sécartaient au passage de mon sexe triomphant jusquau moment précis où elle devint « Femme » dans un ultime mouvement que je fis en en elle. Elle poussa juste un petit cri et me serra fortement dans ses bras en me disant « Je taime ».
Jattendis quelle prenne la juste mesure de lintrus qui était en elle en arrêtant ma pénétration et je fis, par des mouvements contrôlés, palpiter mon gland au fond de sa matrice. Tout en elle était gémissements de bonheur, de murmures, de mots damour. Je profitai de cet instant de répit que je lui accordais pour lui téter les seins et lui mettre un doigt dans lanus.
— Tu nes plus vierge maintenant. Je tai fait mal ?
— Non ! Jai juste senti comme une petite déchirure. Tu as été très doux. Je savais que tu le serais. Je veux que tu me mènes à la jouissance ultime.
Galvanisé par ces mots je me déchaînais en elle faisant sortir et entrer à nouveau mon sexe dur comme de la pierre, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Jétais comme fou tant cette gamine me faisait de leffet. Je voulais que ça dure. Pour mieux la pénétrer je lui fis relever ses cuisses et je continuai ma défonce inexorable. Elle hurlait son plaisir me demandant darrêter pour, quelques secondes plus tard, me demander de continuer. Heureusement que la maison où jhabitais était située à lécart on ne risquait pas de lentendre
Je la pris très fort sous les fesses, ma bouche rejoignit la sienne dans un baiser fougueux et dans un ultime effort je lui criai :
— Je vais jouir en toi, tinonder de mon sperme, te féconder ! Viens avec moi ! Jouiiiiiis !!!
— Oui mon chéri je suis avec toi ! Finis en moi !
Dans cette action finale jéjaculai toute ma semence, au fond de sa matrice. Ses chairs, dans un ultime sursaut provoqué par lorgasme commun que nous venions davoir, enserraient ma bite comme dans un doux étau. Ensemble, nous avions fini ensemble elle avait eu un ultime cri pour me le signifier.
Je mécroulai sur Capucine, repus, mon sexe palpitant encore en elle. Je la remerciai dun léger baiser sur ses lèvres. Mon vit, ramolli, sur un mouvement involontaire de sa part, sortit de son antre après quelques minutes.
— Tu ten vas déjà ? Jétais bien.
— Cest de ta faute tu as bougé lui-dis-je en riant.
Je basculai sur le dos. Elle se redressa au-dessus de moi et caressa mon torse. Ses yeux me regardaient tendrement, amoureusement. Quelle était belle, avec son visage ruiné par les larmes dû au coït buccal brutal que je lui avais prodigué avant quelle ne perde sa virginité et avec son corps détendu après cette jouissance violente que nous avions eu ensemble. On la sentait libérée, sereine.
Elle membrassa doucement la figure, faisant courir sa langue sur mes paupières, mon nez, ma bouche.
Sa main progressait lentement vers le bas pour aboutir au but quelle sétait fixée, empaumer délicatement mon sexe.
— Alors ? Cest ce petit oiseau qui ma tant fait jouir dit-elle avec le sourire. Il a lair tout fatigué et recroquevillé. Je ne lai pas tué jespère ?
— Non ! Dailleurs si tu continues comme ça il ne va pas tarder à renaître pour devenir très, très gros
Capucine avait une autre idée en tête. Son visage vint rejoindre sa main, sa bouche titillant au passage mon nombril pour venir emboucher mon sexe délicatement. Elle releva la tête :
— Jaime le goût de ta bite mêlé à mes sucs personnels, jaime ton odeur dhomme. Avant je ne connaissais que la saveur de nos mouilles respectives lors de nos ébats lesbiens avec Juliette mais maintenant je sais que jaime aussi le sperme.
— Alors on va se goûter mutuellement ! Viens te mettre au-dessus de moi, tête-bêche ! Ce sera ton premier « 69 » avec un homme !
— Hum jadore déjà
Pendant quelle sattaquait au léchage de mes testicules, je lui bouffai littéralement la chatte, mon nez plongeait dans son cul légèrement odorant tandis que ma langue sintroduisait dans son abricot, bien en profondeur. Elle tortillait son cul me montrant ainsi que le traitement que je lui infligeai lui plaisait. Elle nétait pas en reste en descendant plus bas pour lécher mon anus auquel, manifestement, elle avait pris goût. Puis remontant à nouveau, elle aspira mon sexe entre ses lèvres pour entamer une pipe danthologie qui ne tarda pas à me redonner de la vigueur.
— Oh le petit oiseau se réveille dit-elle dun ton émerveillé. Ah non, pas petit oiseau mais gros saucisson Je vais te faire cracher ton sirop de corps dhomme.
Sa fellation devint plus intense. Elle pompait, pompait comme si elle ne devait sa vie quen sabreuvant de mon liquide spermatique.
Ma langue, elle, sattaquait à son clitoris que je venais de débusquer des chairs dans lequel il se tenait caché.
Capucine continuait son travail jusquau moment où, dans un sursaut de ma queue, elle arriva à ses fins me faisant cracher ma semence quelle savoura lentement avant de lavaler.
Elle navait pas encore joui sous ma langue aussi je décidai de porter lestocade avec ma botte secrète : je lui mis un doigt dans le cul au moment même où je mâchouillai son clitoris.
Au mouvement brutal de ses fesses, suivi dun affaissement de celles-ci, je compris quelle venait davoir un orgasme. Larrosage de mon visage par un jet de mouille puissant le confirma. Je bus avec délice cette rosée de jeune fille.
Nous étions toujours allongés par terre. Je la fis relever et la pris dans mes bras. Elle posa sa tête sur mon épaule, puis la relevant pour me regarder elle me sourit et vint poser ses lèvres sur les miennes. Elle était heureuse.
— Tu nas pas faim ? lui dis-je inquiet.
— Si je dévorerai la terre entière après tout ce que tu mas fait subir. Je suis moulue Tu mas tuée
— Je nous ai préparé un bon dîner fin. Tu maides à mettre la table ?
— Je reste comme ça ? Nue ?
— Tu attends quelquun ? dis-je avec le sourire.
— Oui toi
— Alors restons comme ça ! Si lenvie nous en prend encore nous resterons disponibles sans avoir à nous déshabiller
