Voici enfin le vendredi ! Paul n’en peut plus d’attendre. Il a du mal à se concentrer sur son écran, assis à son bureau. A 16 heures, il pourra prendre congé de ses collègues pour rentrer chez lui.

Adepte de self-bondage, il a organisé cette soirée depuis quelques temps déjà.

Dès jeudi, il a placé les clefs de deux cadenas dans une poche d’eau. Accrochées à une ficelle, il a veillé à ce qu’elles se placent au milieu de la poche puis il a placé celle-ci dans le congélateur, callée bien droite. Tout en préparant ses clefs, son membre gonfler, mais il a résisté à l’envie de se masturber.

Il a vérifié ensuite, pour la énième fois, la barre d’écartement qu’il s’est confectionnée avec un tube de métal muni de sangles à

chaque extrémité. Sangles qu’il peut verrouiller avec des cadenas. Les clefs de ceux-ci seront placées au fond de son jardin, dans le cabanon où il range ses outils de jardinage. Il habite un petit pavillon dans un quartier sans vis-à-vis. Il profite de cette tranquillité pour ses jeux … en particuliers pour pouvoir vivre féminisé.

Au centre de la barre d’écartement, il a percé un trou par lequel un cadenas le retiendra au sol sur un piton profondément vissé. Sa clef se trouve dans le congélateur.

Avec les deux clefs des cadenas de cheville, il a placé celle dune paire de menottes. Celles-ci seront pour ses poignets et dont la petite chaine sera accrochée à un anneau prisonnier du plafond de son sous-sol par un cadenas dont la clef se trouve aussi au congélateur.

Le scénario est simple finalement. Après avoir fixé au plafond le glaçon contenant les clefs avec la ficelle à portée de ses mains menottées à l’anneau, il aura au préalable placé la barre entre ses chevilles, verrouillé les sangles avec les cadenas et arrimé la barre au sol. Il lui faudra attendre la fonte du glaçon pour utiliser les clefs qui libéreront ses mains du plafond et la barre du sol, puis se rendre menotté et les chevilles entravées jusqu’à son abri de jardin pour finir de se libérer.

Le voilà enfin rentré. Il ferme fébrilement sa porte d’entrée, sentant son excitation grandir de plus en plus. L’odeur familière de sa maison propre. La femme de ménage est passée en début d’après-midi. Débarrassé de ces tâches ménagères, il a plus de temps à consacrer à Sarah, son autre moi, Paul féminisée, et aussi à ses auto bondages si jouissifs. Il agit maintenant comme un automate. Il se rend dans sa chambre pour se dévêtir, puis il gagne la petite pièce de son sous-sol où il range tous ses jouets. Il enfile une paire de bas et fixe le dernier porte-jarretelles qu’il vient de s’offrir. Il choisit ensuite une paire d’escarpin à talon aiguille. Tout de suite il se sent …. Sarah. L’;excitation grimpe d’un ton. Ses tétons sont déjà tout durs. Et ils le seront encore plus. Dans un tiroir, elle trouve les deux pompes à tétons qu’elle positionne sur sa poitrine. En reculant, le piston attire le téton, l’allonge. La douleur est minime. Elle est habituée. Elle remonte alors dans la cuisine pour récupérer la poche de glace emprisonnant les clefs. Elle décide de fumer une cigarette avant de commencer.

Elle sort sur sa terrasse et aspire doucement la fumée. Elle aime déambuler ainsi, dehors en dessous féminins. Dès qu’elle le peut, elle arpente son jardin en jupe, ou en robe, essaye différentes chaussures avec des hauteurs de talons différents. Elle affectionne les talons hauts, qui affinent ses jambes.Elle aime la douceur du nylon sur sa peau toute lisse, les caresses du vent entre ses cuisses …

Elle écrase son mégot dans le cendrier et repasse dans la cuisine. Elle retire la poche de glace du congélateur et descend au sous-sol. Apres avoir défait le plastique autour du glaçon, elle attache la ficelle au plafond. Sur l’étagère, elle choisit un plug après s’être mis un bâillon boule. Cela fait partie de ses derniers achats aussi. C’est un plug gonflant et vibrant. Elle l’a essayé dès qu’elle l’a reçu et a pris bien du plaisir à le sentir grossir en elle, puis à vibrer contre ses chairs intimes.

Une fois le plug en place, elle positionne la barre entre ses chevilles, verrouillant la première sangle avec le cadenas. Elle aime le bruit du cadenas qui se ferme, le petit clic qui annonce l’immobilisation des prochaines heures. Cela lui provoque toujours une boule au ventre…est-ce prudent …?…et si….

Penchée sur la deuxième cheville, elle verrouille le deuxième cadenas. Elle se saisit des menottes et les ferme ses poignets, rapidement, comme pour ne pas pouvoir revenir en arrière. Elle peut encore tout arrêter. Il lui suffit d’aller dans le jardin. Mais le cliquetis de ses bracelets d’acier qui se referment l’excite. Avant de lever les mains au plafond, elle attrape des pinces vibrantes à tétons qu’elle positionne sur les pompes à téton. Pour alimenter ses accessoires vibrants, elle a imaginé de les commander

par une minuterie qui les déclenche pendant cinq minutes tous les quart d’heure.

Elle se saisit du cadenas qui va verrouiller la barre au sol. Elle tremble un peu ….d’excitation sans doute mais aussi stress, de doute …. ce sentiment si particulier qu’elle recherche : être totalement tributaire du temps, le temps qu’il faudra à la glace pour fondre. Elle jette un il sur le glaçon qui ne semble pas voir bougé beaucoup. Elle lève alors les mains au plafond et regarde le dernier cadenas se verrouiller avec un claquement qui lui semble plus fort encore. Voilà, elle est prisonnière d’elle-même, du

temps…. la buée couvre entièrement la glace et masque son contenu, comme si les clefs n’étaient pas. Un sentiment furtif de peur, de terreur même passe dans sa tête…..et si les clefs disparaissaient !

Soudain les vibrations du plug lui envahissent le ventre. Elle ne peut retenir un gémissement de plaisir, obligée qu’elle est de subir cette situation. Ses tétons réagissent eux aussi aux vibrations des pompes, sensibilisés par la tension des pistons. Elle bande fort avec tes ces sollicitations. Puis les vibrations cessent, la laissant gémissante, la queue raide, un filet de liquide séminal glissant du méat.

Le glaçon semble de pierre. Elle se dit qu’elle a été trop ambitieuse. Combien de temps cela mettra-t-il pour libérer les clefs ? elle le touche du bout des doigts. Elle lui semble lourd, indestructible. Elle va rester là des heures ….. Oh oui des heures…..son côté maso prend le dessus, elle se remet à bander …..et les vibrations reprennent.

Cela fait maintenant cinq ou six fois que le plug s’est mis à trembler au fond de son ventre et que ses tétons se sont durcis encore d’avantage avec les pinces vibrantes. Le glaçon goute doucement, très doucement. Sa mâchoire est douloureuse, tout comme ses jambes. Perchée sur ses talons aiguilles, elle sent les crampes arriver.

Une sonnerie retentit. Son téléphone posé sur la commode s’est allumé. Elle distingue vaguement le nom : Virginie….;la femme de

ménage……. Mais pourquoi m’appelle-t-elle ? elle ne revient que lundi …..

Humm……;les vibrations reprennent. Elle contracte ses sphincters sur le plug gonflé en creusant les reins. Elle aimerait s’accroupir pour mieux le sentir encore, et se caresser…..se branle……Sa queue est raide comme du bois, lui presque mal et la douleur lancinante lui brule le ventre ……et l’excite encore plus. Le glaçon goute toujours doucement. Elle le saisit pour le faire fondre plus vite. Elle essuie la buée et regarde les clefs de la délivrance la narguer dans leur gangue de glace.

Un bruit de clef dans la serrure de la porte d’entrée la terrifie. Qui

entre ainsi chez elle, sans prévenir…..des cambrioleurs ?…qui d’autre à la clef ?….

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