Cest au cours des vacances de Février que je fis la connaissance de Pierre, un ami de fac de mon père, il était gérant de lhôtel restaurant dans lequel nous logions maman, papa et moi.
Javais 19ans, étais en première année de droit et jaccompagnais à regrets mes parents pour ce que jespérais être mes dernières vacances avec eux.
Julie, mon amie et ma complice, avait invité quelques amis dans le chalet de ses parents.
Il y avait Marc un beau garçon qui ne laissait aucune filles indifférentes et moi en particulier, jétais sure de rater un occasion en or.
Jétais en conflit ouvert avec mes parents, et passais le plus clair de mon temps seul sur les pistes.
Nous partagions uniquement le repas du soir et en général je ne décrochais pas un mots, le troisième jours je reçus un appel de Julie qui finit de manéantir, le beau Marc venait de conclure avec une fille que jappréciais moyennement.
Le soir venu jaccompagnais léquipe du personnel de lhôtel pour une virée nocturne qui se termina en discothèque, javais un peu forcé sur le mojito et commençais à faire un peu tout et nimporte quoi au milieu de la piste tout ça encourager par quelques garçons.
Cest au moment ou jallais me mettre les seins à lair que Pierre fit irruption, il mentraîna à lécart, je linsultais copieusement pendant tout le trajet qui nous mena dehors.
Dehors je fus saisit par le froid et par la gifle que je reçus, cela eu pour effet de me calmer.
Pierre me couvrit avec sa doudoune et nous prirent la direction de lhôtel lun contre lautre sans un mots, on emprunta lentrée de service pour accéder a ses appartements.
Pierre occupait une grande chambre composée de deux pièces avec une salle de bain, a peine étions nous rentrer quil mattrapa un grand drap de bain.
— si tu ne veux pas rentrer dans ta chambre tu peux rester ici je prendrais le clic-clac
— merci je hummm
— tais toi et file sous la douche
Lorsque je sortais de la salle de bain, nue dans mon grand drap de bain, Pierre sétait dévêtu ne gardant que son boxer et il consultait ses e-mail, je fus surprise par son physique, rien a voir avec mon père, Pierre a 45 ans avait un corps que beaucoup de jeunes auraient pu lui envier, des pectoraux bien dessines, le ventre plat, des cuisses musclés dommage quassis je puisse bien voir ses fesses.
Fatiguée de mes excès je mapprochais de lui pour lembrasser avant de me coucher, a cette instant il se leva et cest le moment que choisit ma serviette pour tomber à terre me laissant complètement nue. Pour cacher ma nudité je me plaquais contre Pierre lenlaçant de mes bras la tête sur son épaule, nosant plus bouger, le temps me paru sarrêter avant de sentir ses mains se posaient sur le haut de mon dos et descendre peu à peu lorsquelles arrivèrent aux creux de mes reins je me plaquais encore plus contre lui.
Je sentais son sexe bien dur contre moi,je me suspendais un peu plus a son coup,il maida a me soulever et les jambes autour de sa taille,que nous nous sommes embrassés.En même temps que nous échangions ce long baiser Pierre me porta jusquau lit.
Il mallongea dessus, quand nos regard se croisèrent il me mit le doigt sur la bouche en signe de silence, ses mains descendirent mon corps effleurant mes seins pour glisser le long de mes jambes, il sagenouilla entre mes cuisses, le visage a quelques centimètres de mon sexe lisse, je sentis un doigt parcourir mes lèvres humides, les écartant, découvrant mon bouton rose.
Lorsquil posa ses lèvres sur les miennes et que sa langue se posa sur mon clitoris je me cambrais, écartant les jambes pour mieux moffrir à cette délicieuse caresse, le plaisir monta très vite en moi, je me mordais la lèvre pour ne pas hurler, lorsque jatteins ce qui allait devenir le premier orgasme de ma vie, jenserrais à la fois la tête de Pierre entre mes jambes aux rythme de mes spasmes, et mes seins à pleine main en étirant ces tétons nouvellement long et dur.
Quand la pression de mes jambes lui en laissa la possibilité, Pierre se releva, membrassa plein de ma liqueur tout en couvrant mon corps nu de la couette et me souhaita bonne nuit.
Je tentais de le retenir mais il se libéra, éteignis la lumière et partit à la salle de bain.
Deux minutes après je tombais dans les bras de Morphée.
A suivre…
