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Une visite surprenante – Chapitre 5




En s’éveillant, le souvenir de la soirée revint à son esprit. « Odile ! Voilà qui je suis. » Ces quelques mots étaient sortis spontanément. Le dire, le vouloir ne lui semblait pas aussi simple. Une partie de son esprit luttait encore, cette idée impensable il y a peu de temps devenait acceptable. En s’asseyant dans le lit, elle ressentit une gêne. Ce devait être les séquelles de sa première expérience de ce côté-là. Les chiffres affichés sur le radio réveil l’informaient de l’heure tardive. « Bon sang neuf heures trente, j’ai dormi comme un loir. Il est temps de se bouger. » Au même instant, des grattements à la porte se firent entendre.

Coucou, Odile, es-tu éveillée ma belle ?

Oui, à l’instant, entre donc.

La porte s’ouvrit, laissant apparaître Élise, vêtue une fois encore d’un ensemble bleu qui lui allait bien. La petite différence était la forme de l’encolure, elle était en V et découvrait un peu plus que d’habitude la poitrine menue. Cela rajoutait un petit côté aguicheur. Bien évidemment, le regard partant à la découverte n’était pas passé inaperçu. Cela fit sourire la jeune femme, qui s’avança jusqu’au lit.

Ma petite chérie, tu as un regard coquin ce matin. Cependant, je l’apprécie énormément. As-tu bien dormi ? Comment vas-tu ?

Tout en parlant, elle s’était penchée pour l’embrasser, un mouvement qui permit à Odile de découvrir deux jolis petits seins bien dessinés, pointus et entourés par des aréoles larges. Proximité et images tentantes, comment y résister, une main baladeuse était venue à la rencontre des globes offerts. Déjà, les doigts caressaient les mamelons, les bouts déjà proéminents pointèrent un peu plus.

Ah ! Mais tu m’as fait frissonner, coquine. Tes doigts sont merveilleusement doux, j’aime tes caresses ma chérie.

Ce n’est pas moi la coquine, c’est toi qui m’as dévergondée. À tel point que mon petit trou est sensible ce matin.

Oh ! Pardon, ma chérie, je vais te passer un peu de pommade. Ne t’inquiète pas, tout va bientôt rentrer dans l’ordre. Il me faut juste le temps que je…, bon, donne-moi deux minutes, je reviens.

L’absence fut de courte durée, elle lui demanda de se tourner sur le ventre et entreprit de passer le produit sur la zone enflammée. Rapidement, la pommade fit son effet et la gêne disparus. Pour indiquer que le traitement était terminé, elle lui claqua la fesse.

Aïe ! tu es quelquefois un peu brutale. Mais bon, ce n’est pas bien grave, je ne sens plus rien. Je suis contente d’avoir pu voir et toucher tes seins, ils sont très beaux.

En réponse, elle obtint un baiser langoureux et des mains qui se promenèrent un peu partout sur son corps.

Bien, Odile, ma chérie, mon petit cur, viens, allons déjeuner, tout est prêt, non ! Ne t’habille pas, ce n’est pas la peine. J’adore te voir nue, je ne m’en lasse pas. Tu me rends folle quand je vois tes petites fesses bouger.

Le petit-déjeuner copieux dura longtemps, Élise ne fut pas avare de paroles. Sans cesse, elle lui adressait des compliments. Souvent, Odile perdait le fil, son regard fixé sur l’échancrure et le souvenir tactile du contact avec la peau blanche et douce. Sa partenaire souriante développait son discours.

Tu ne m’écoutes pas ! Non…, je le vois bien. C’est ça que tu regardes.

Joignant le geste à la parole, Élise déboutonnait son corsage pour laisser apparaître ses seins. Une vision qui fit apparaître un large sourire sur le visage d’Odile. Pour une fois, l’initiative ne vint pas du même côté. Deux mains s’avancèrent pour prendre, toucher, caresser les deux globes offerts, une nouvelle étape venait d’être franchie. Élise était surprise, mais pas décontenancée, elle lui claqua la fesse. Odile sentit des picotements, aussitôt la main vengeresse commença à caresser le postérieur.

Hou ! Coquine et un peu vilaine, cela fait deux fois que mon amoureuse me touche sans autorisation. Je te pardonne parce que je t’aime.

Hahaha ! Je suis ton amoureuse, tu dis m’aimer et je n’aurai pas le droit de te toucher. Je trouve que tu exagères un peu non ?

En guise de réponse, elle lui sourit, puis déposa un baiser sur son prépuce tout en le caressant le corps. Ces caresses la faisaient frémir et l’incitaient à laisser sa copine poursuivre la conquête. Maintenant, les lèvres, les mains, les doigts allaient partout, visitant chaque endroit. Lentement, le plaisir revenait à nouveau, Odile commençait à réagir aux caresses. Elle se sentait prisonnière de ces mains qui la caressaient. Elle était pleinement consciente qu’Élise savait exactement comment agir avec elle. Dans le même temps, elle se rendit compte qu’elle ne pensait plus au masculin.

Hihihi ! Ma coquine, tu aimes ce que je te fais si j’en crois tes mouvements et tes soupirs. Tu ondules sans cesse et ton petit oiseau est sur le point de chanter.

Ce fut l’introduction d’un doigt entre ses fesses qui provoqua le débordement annoncé. Le bassin en avant Odile s’épancha dans la bouche offerte qui visiblement n’attendait que cela. Quelques mouvements digitaux supplémentaires provoquèrent un autre type d’orgasme qu’Élise perçut facilement.

Oui ma chérie, c’est excellent. Je vois, je devrais dire que j’ai senti que ta jouissance était différente. Tu viens de serrer mon doigt. Je t’aime ma belle.

Élise venait de la prendre dans ses bras et la serrait contre elle, puis l’embrassa goulûment. La pénétration de sa bouche lui procura une sensation nouvelle. Elle découvrait le goût de la salive mélangée au sperme. En même temps, Odile pouvait sentir les petits seins et leurs pointes érigées contre sa poitrine. Elle se sentait vidée, mais était contente de voir que son amie était excitée. Elle ne se posait plus de question et se contentait de vivre le moment. Cette aventure lui plaisait de plus en plus. Ses mains s’étaient naturellement posées sur les fesses de sa partenaire. C’était un plaisir nouveau que de sentir ces formes arrondies et bien musclées. Jusque-là, l’ampleur des vêtements lui avait dissimulé ce joli postérieur.

Hihihi ! Dis donc toi, tu es en train de me palper mon cul si je ne me trompe. Non ! Ne t’arrête pas, c’est agréable et puis tu y as droit toi aussi.

Elles restèrent enlacées un petit moment, l’une nue et l’autre vêtue. Les yeux fermés, Odile écoutait la respiration de son amie. Elle se délectait du silence et des sensations que lui procuraient ses mains.

Ma chérie, je vais te faire un massage pour te remercier de ta douceur et de ta gentillesse.

La prenant par la main elle la conduisit dans la chambre où la table avait été préparée. En souriant, elle invita Odile à s’installer. Aujourd’hui, il y avait un petit changement vestimentaire, son amie venait de retirer le haut. Torse nu, elle lui offrait une vision directe sur sa poitrine, petite, mais belle.

Ma chérie, tu sais que tes seins sont très beaux. Les aréoles sont bien dessinées. J’adore tes tétines. Je suis contente que tu aies enfin décidé de me montrer un peu de ton corps.

Tu es un amour, merci, je suis contente de voir avec quelle aisance tu as accepté ta nouvelle situation. Je suis fière de toi. Maintenant, laisse-moi faire, j’ai envie de te faire monter au ciel. J’ai envie de t’entendre, gémir, me supplier, que tu sois femme, que tu m’appartiennes totalement.

Dans les paroles et le ton employé, Odile sentait tout ce que son amie voulait dire sans bien comprendre ce que cela voulait vraiment dire. Elle était confiante et pourtant une petite inquiétude était apparue. La sodomie de la veille avait été difficile à supporter, tout au moins au début. Élise avait pris en bouche son petit pénis essayant depuis quelques minutes de le faire réagir.

Ouh ! la vilaine elle me résiste. Ton petit oiseau ne veut pas se réveiller. Je vais essayer autre chose.

Prenant les jambes d’Odile elle les lui fit prendre en main. Couchés sur le dos les jambes tenues écartées, dans cette position elle était entièrement offerte. Élise lui souriait, satisfaite de ce qu’elle offrait à son regard. Comme à son habitude, elle lui claqua les fesses, suffisamment fort pour que des picotements soient ressentis.

Tu sais ma chérie, j’adore te voir sous cet angle. Je croquerais volontiers ton petit oiseau, si je n’en avais pas besoin. Ta minette est attirante aussi. Je vais y goûter immédiatement. Chut ! Contente-toi de te laisser faire.

Joignant le geste à la parole Élise s’était penchée pour lécher le sexe rabougri, puis rapidement est descendue sur l’orifice rose. Odile sentait la langue aller et venir, chaque contact la faisait frissonner. La langue poussait pour tenter d’entrer, mais en vain. Les mains d’Élise la tenaient aux hanches, Odile sentait la force, la poigne de la jeune femme. Brusquement, elle se sentit tirée vers le bas. Son corps venait d’être déplacé d’une vingtaine de centimètres. Elle avait maintenant les fesses dans le vide.

Tu sais, ma chérie, il te suffisait de me le demander et j’aurai glissé vers le bas.

Hihi ! Je sais, mais c’est plus amusant comme ça. Garde la position, je t’aime mon petit cur.

Élise s’était redressée et le regardait en souriant. Cela lui permettait de voir à nouveau les jolis petits seins dressés et visiblement durcis par le plaisir. Complètement offerte, elle regardait son amie qui la tenait par les hanches. Un contact sur ce qu’elle nommait minette la fit frissonner, l’expérience de la veille allait se reproduire. Une petite appréhension réapparue aussitôt dissipée par le sourire de sa compagne. Odile pensa qu’elle avait dû rapprocher le godemichet sans qu’elle le voie, elle se détendit, attendant la pénétration. Ses yeux passaient de la poitrine au joli visage qui lui faisait face. Elle écoutait la respiration d’Élise tout en lui souriant, puis elle remarqua que les mains de son amie étaient toujours posées sur elle. L’idée d’un gode-ceinture lui vient à l’esprit au moment où elle sentit la poussée et l’entrée dans son intimité.

Détends-toi ma chérie, laisse-toi faire. Je vais procéder doucement.

Elle était surprise de ne pas ressentir la douleur de la veille, même si l’irritation persistait encore. Elle sentait le mouvement qui conduisait le bassin d’Élise contre son périnée. Les mouvements de son amie s’amplifiaient, elle la pénétrait profondément chaque fois. Les coups de reins étaient forts, elle voyait les petits seins bouger en cadence. Elles se souriaient en silence, les respirations seules se faisaient entendre. Petit à petit, Odile sentit revenir les sensations de la veille. Le plaisir augmentant la respiration aussi, de temps à autre elle gémissait.

Ma chérie, je ne sais pas comment tu fais, mais continues, c’est bon, oui, j’aime, aah…

En tirant sur ses jambes, Odile pouvait apercevoir le haut du bassin d’Élise. Visiblement, cette dernière s’était dénudée. C’était la première fois qu’elle pouvait voir autant de peau de son amie. Intrigué, elle vit qu’elle n’avait pas de ceinture, de quelle sorte était l’objet qu’elle utilisait pour faire l’amour ? En attendant de connaître la réponse, elle se disait qu’elle était belle, fine et musclée. Les sensations étaient fortes et sa respiration accélérée, Odile regardait son ami en souriant, sans s’en rendre compte son regard avait changé. Le plaisir était là, il arrivait en vagues de plus en plus fortes.

Ouiii, c’est bon…, je viens…

Oui, ma chérie, moi aussi, je jouis.

Elles prenaient leur plaisir en même temps, l’anus d’Odile se contractait sur le membre qui la pénétrait. Elle vit Élise plaquant son ventre contre ses fesses le visage déformé par la forte jouissance. Ce qui la fit rire parce qu’elle avait certainement fait le même genre de grimace.

Merci, ma chérie, c’était vraiment bon.

Pourquoi ris-tu ? Merci à toi, tu m’as donné beaucoup de plaisir.

Hihi ! Je viens de me rendre compte que j’ai fait la même grimace que toi mon petit cur. Plus le temps passe et plus je me rends compte que tu sais t’y prendre avec moi. Je t’aime. Je suis contente, aujourd’hui tu m’as montré beaucoup plus de ta jolie personne. Bientôt, je pense que je vais avoir droit au reste. Tu es si belle, ma chérie.

Je t’aime aussi, je suis contente que tu aies eu autant de plaisir. En plus, nous l’avons partagé et ça s’est parfait. Merci pour ta patience et ta gentillesse, mon instinct ne m’a pas trompé. Oui, je sais, je fais toujours dans l’excès, ou du moins presque toujours.

Odile qui se sentait toujours remplie par le membre souriait à son amie. En relâchant ses jambes, elle provoqua la séparation. Ses mains libérées elle lui tendit les bras pour l’inciter à s’approcher.

Viens donc m’embrasser comme tu sais si bien le faire. J’ai envie de tes caresses.

Elle fut surprise de voir son amie se hisser sur la table en se frottant sur son corps. Elle frissonna au contact de la peau de la jeune. Elle était ravie de ce premier vrai contact. Elle l’aidait dans sa reptation en la soulevant par les aisselles. Ce qui lui donnait le plaisir de voir les seins de son amie approcher par petites étapes. Elles furent bientôt suffisamment proches pour échanger le baiser demandé. Pendant qu’Élise l’embrassait avec fougue elle sentait ses mains la caresser, l’une d’elles venait de prendre possession de son sexe. Pour ne pas être en reste Odile imita son amie et voulut lui caresser le coquillage. Elle fut étonnée de sentir sa main repoussée.

Mais pour quoi ne veux-tu pas que je te caresse le minou ?

En encadrant le visage de son amie, Élise s’était relevée sur ses coudes, son ventre appuyant fortement sur le bassin d’Odile. Elle la regardait dans les yeux affichant un visage sérieux. Après avoir pris une profonde respiration la voix un peu tremblante elle commença à parler.

Odile, ma toute belle, je dois te dire quelque chose…

Qu’as-tu ma chérie, tu es malade, c’est grave ?

Odile devenue inquiète la regardait avec attention, attendant une réponse.

Attends s’il te plaît, je tiens beaucoup à toi, c’est difficile, laisse-moi aller jusqu’au bout.

En voyant les yeux embués de larmes, elle se tut pour permettre à son amie de dire ce qui lui pesait sur le cur. Elle prit une profonde respiration pour faire baisser son angoisse et évacuer les idées les plus folles qui lui venaient à l’esprit. Pour l’encourager à s’exprimer, elle la regardait en souriant avec ce regard nouveau que ces émotions récentes lui avaient donné.

Bien, voilà, je ne suis pas tout à fait comme tu as pu le croire. Je suis un peu différente…

Mais non, tu es belle comme un cur, je suis ton amoureuse, tu te souviens.

Chut ! s’il te plaît…

Contre toute attente, Élise venait de sauter de la table et maintenant lui faisait face, Odile écarquillait les yeux de surprise. Elle voyait une verge maintenant molle entre les jambes de son amie. À cette vue, ses yeux se remplirent de larmes, trompée et humiliée, c’est ce qu’elle ressentait. Oui, elle était profondément blessée parce qu’elle était amoureuse.

Attends, non ne pleure pas, je vais t’expliquer.

Il n’y a rien à expliquer, tu es un homme. Tu m’as menti depuis le premier instant.

Non attends, regarde, je suis simplement hermaphrodite. J’ai un sexe de garçon et je suis une fille. Je ne t’ai pas menti, j’ai simplement attendu le moment propice pour te le dire.

En soulevant le sexe mâle, elle lui montra sa vulve. Odile n’en revenait pas, tout en sachant que cela existait. Elle ne se sentait pas en colère, mais elle était déçue. Les yeux embués de larmes elle s’était approchée à la demande de son amie. Elle comprenait pourquoi Élise avait conservé ses vêtements jusqu’au dernier moment. Poussée par une impulsion, elle la prit entre ses bras, dans la seconde qui suivit elles sanglotaient l’une contre l’autre.

Une fois les larmes séchées, naturellement, pour la première fois, elles allaient passer la nuit ensemble dans un même lit. Après quelques caresses simultanées, Morphée les prit dans ses bras. Odile fut un peu plus longue à céder au sommeil. Cette journée très agréable comme les précédentes venait de se terminer par une découverte inattendue et un peu difficile à supporter. Des sentiments contradictoires l’agitaient. D’un côté, l’attirance, l’amour l’incitait à passer l’éponge, d’un autre, ce qu’elle ressentait comme un mensonge, une duperie voulait la rupture. À côté d’elle, elle entendait la respiration de son amie endormie. Odile fit jouer l’interrupteur de la lampe de chevet pour enfin découvrir ce qui lui avait été caché. La lumière douce de la lampe lui permettait enfin de voir son amie intégralement nue. Encadré par ses cheveux, son visage fin et détendu lui plaisait, son regard en descendant resta longtemps sur cette petite poitrine si joliment faite.

La tentation de toucher était importante, pourtant elle retint son geste. Elle hésitait à poursuivre et laisser son regard descendre encore, l’envie étant la plus forte elle découvrit le pubis glabre. Elle regardait ce sexe mou et bien dimensionné. « Ouf ! Le mien à côté ressemble à un clitoris. » Elle se mordit les lèvres, elle s’engueula mentalement pour avoir comme d’habitude soliloqué. Cette fois encore la tentation de touche était grande, mais elle sut se retenir. Après avoir pris une grande inspiration, elle pressa l’interrupteur pour éteindre la lumière. Elle se tourna sur le côté pour chercher le sommeil. À peine allongée, Odile sentit le bras d’Élise sur son flan et la chaleur de son corps qui venait de se coller à elle. Le contact la fit frissonner de plaisir, en souriant elle se laissa glisser dans les bras de Morphée.

Des baisers mouillés la tiraient de son sommeil. En grognant Odile s’étira avant d’ouvrir les yeux.

Bonjour, mon amour, ma belle endormie, as-tu bien dormi ? Pour ma part, j’ai fait de doux rêves où nous étions toutes deux heureuses et souriantes.

Oui ma chérie, j’ai dormi comme un bébé, mais qui a fait des rêves érotiques.

Tu n’es pas fâchée alors, je suis la plus heureuse des femmes.

Non, j’ai beaucoup réfléchi avant de m’endormir. Comme je t’aime, ça y est, je te l’ai dit. Je pense qu’il faut aller de l’avant. c’est à mon tour d’être jalouse. Comparé à ton pénis, le mien est un clitoris.

Hihi ! Tu as donc un clitoris et une minette, certains diraient une chatte.

Les dernières paroles déclenchèrent des rires suivis par un pugilat amoureux où les caresses s’enchaînaient les unes après les autres. Ces ébats les conduisirent jusqu’à l’heure du déjeuner. Elles plaisantaient, se taquinaient, se bécotaient sans cesse et Odile était ravie de pouvoir regarder évoluer son amie sans le moindre vêtement. Maintenant, il n’était plus question de départ, mais d’organisation de leur vie future. Fini les interrogations, Odile entrevoyait un avenir serein.

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