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Sea, sex and sun – Chapitre 1




Cette année, jai décidé de partir seule en vacances. Sans petit copain mais surtout sans amie disponible, jai réservé une chambre dans un hôtel à côté dAgde. Mon choix sest porté sur un hôtel proche des plages naturistes, avec piscine, réputé pour accueillir une clientèle ni trop âgée ni trop familiale. Le coin abonde de clubs libertins et de discothèques érotiques : tout est prévu pour que mon activité sexuelle moyenne augmente considérablement.

Arrivée sur place, je découvre une chambre confortable, spacieuse, avec des lits jumeaux. Les murs clairs et les tentures aux teints pastels en font un espace aéré et reposant. Jouvre les tentures et sors sur le balcon. Comme je lai demandé, la chambre donne sur la piscine et la petite pinède qui sépare lhôtel de la plage. Je me rends dans la salle de bain pour y installer mon nécessaire de toilette. Le sol et les murs sont couverts dun carrelage clair, légèrement orangé, et la vaste cabine de douche minspire directement le sentiment que je my rendrai souvent pour que mon corps y soit bien soigné. Jenlève le short taille basse et la blouse légère que jai mis pour faire le voyage et y entre. Jouvre le robinet et leau tiède ruissèle sur ma peau mate, dégoulinant de mes seins et longeant lintérieur de mes cuisses pour mon plus grand bonheur.

Certes, mon corps nest pas parfait, mais il a beaucoup pour plaire. Je suis de taille moyenne, ni mince ni forte. Un ventre presque plat, des fesses rebondies, une poitrine très généreuse et un peu lourde (ce qui, contrairement à ce quon peut penser, plait énormément aux hommes), des cuisses et des épaules charnues, un pubis légèrement rebondi et agrémenté dun petit grain de beauté, particularité toujours bien visible grâce à lépilation intégrale de mon sexe. Juste au-dessus de mes fesses, un tatouage représentant un aigle aux ailes déployées. Pas de bourrelets inutiles ni de plis inélégants, pas de cellulite. Mes longs cheveux bruns, laissés libres la plupart du temps, sont lisses et soyeux.

Je me caresse langoureusement les seins avec la mousse, passe délicatement sur mes lèvres intimes et ne résiste pas à la tentation denfoncer mon index dans mon anus déjà dilaté. Quelques va-et-vient et je commence à pousser de légers gémissements. Le plaisir sintensifie jusquà ressentir des secousses qui me font lancer un cri.

Après ce court moment de détente, je choisis dans ma garde-robe une tenue qui me permette de ne pas passer laprès-midi seule. Dans ma valise, il ny a que des tenues sexy : pas de sous-vêtements (je déteste emprisonner mes beaux nichons et mon sexe glabre), mais des mini-jupes, des shorts taille très basse tellement courts et moulants quils montrent la moitié de mes fesses et la forme de ma vulve, quelques robes très courtes et très légères, et des tops aux diverses qualités : très décolletés, très moulants ou quasiment transparents. Tous ces tops laissent évidemment au moins mon nombril à lair libre. Bien que jaie prévu de fréquenter principalement les plages nudistes, jai quand même emporté des bikinis pour profiter de la piscine de lhôtel. Parmi ma collection, jai privilégié les plus décents, ou plutôt les moins indécents : ceux dont le string couvre le pubis mais pas plus, et dont le soutien-gorge couvre entièrement mes larges mamelons. Jai laissé à la maison ceux qui cachent à peine mes lèvres et ceux dont la transparence montre mon sexe et la totalité de mes seins. Je sais ainsi que je respecte les règles de lhôtel mais que je peux exciter le plus sage des maris. Cette garde-robe légère ma aussi permis de nemporter quune petite valise pour faire le voyage.

Jenfile une mini-jupe moulante fuchsia qui ne couvre que mes fesses à larrière et dont lavant ne monte pas plus haut que la limite dune toison que je nai plus depuis le jour où jai décidé de moffrir une épilation définitive. Je mets un top blanc très décolleté et tellement court quil laisse à lair une grande partie de mon ventre. Je sais que si je lève les bras, la partie inférieure de mes seins et mes mamelons seront aussi à lair. Je ceins une fine chaîne dargent autour de ma taille, sur ma mini-jupe. Prête à me faire draguer, je descends à la terrasse de la piscine et minstalle à une table. La serveuse, une jeune métisse, vient prendre ma commande. Sous son uniforme sobre, je devine un corps svelte et une poitrine haute ; son visage est fin et harmonieux, et ses cheveux lissés et attachés la font ressembler à une des Pussycat Dolls. Quelle beauté ! Je lui commande un Cuba libre sur glace et me mets à regarder les gens, à la recherche de jeunes personnes avec lesquelles je pourrais certainement sympathiser

Jai à peine le temps de faire un tour dhorizon que trois beaux blacks passent devant moi. Je sens mon sexe shumidifier et mes mamelons imposants se raidir. Je décroise les jambes et les écarte quelque peu, ma courte mini-jupe laissant ainsi un aperçu alléchant du haut de mes cuisses. Ce geste néchappe pas à un des trois mâles débènes. Je lui fais un clin dil et meffleure le sein gauche de la main. Je suis sans sous-vêtements et mes tétons durcis se voient sans peine à travers la légère blouse que je porte. Il fait un geste pour attirer le regard de ses copains, qui comprennent directement quil y a là de quoi passer un sacré bon moment. Ils sassoient à ma table et me déshabillent du regard.

— Salut les mecs, fais-je.

— Bonjour ma belle, répond lun dentre eux. Tu viens darriver ? Cest la première fois quon a le plaisir de te voir à cette terrasse.

— Je suis ici depuis une heure. Je me suis installée, jai pris une bonne douche et je suis descendue à la terrasse.

— On aurait aimé la prendre avec toi, cette douche. Je suis sûr que tu as un cul denfer

Je suis un peu surprise par ce côté direct, mais finalement, cest ce que je souhaite.

— Et des nichons magnifiques, ajoute un autre.

Il me caresse la cuisse. Cest le plus beau des trois, un véritable Apollon. Cest lui qui me décide à prendre les choses en main. Je me lève, touche son épaule avec ma belle poitrine et je leur dis :

— Suivez-moi discrètement, les gars. Je vais vous montrer ce que vous voulez voir. Faites seulement attention à ce que ça ne se remarque pas de trop.

Les trois garçons se lèvent, me laissent prendre un peu davance et me suivent. Je vois que lun deux a déjà une énorme bosse dans le short

A ce moment, je croise la serveuse qui arrive avec mon verre. Je paie et javale le cocktail dun trait pour le lui rendre directement. Un peu surprise, elle reprend le verre vide, se demandant pourquoi jai agi de la sorte. Elle voit les trois mâles derrière moi et écarquille les yeux : elle me fait un sourire coquin, mais je peux aussi lire un peu de jalousie dans ses yeux. Elle me regarde partir avec les trois suiveurs. Côté discrétion, cest loupé

Je ne prends pas lascenseur afin de ne pas perdre mes trois mâles et, arrivée au deuxième étage, je me dirige vers ma chambre. Je sens que ma chatte humide dégouline déjà et, comme le couloir est vide, je décide de relever ma mini-jupe afin de montrer mon beau cul aux trois blacks qui me suivent à quatre ou cinq mètres.

Devant ma chambre, je me retourne vers eux, montrant ainsi ma chatte bien lisse, et compose le code pour ouvrir la porte. Les trois gars sont gonflés à bloc. Je peux deviner leur sexe en érection à travers leur short et lun deux est déjà en train de se masturber, le sexe à lair.

Nous entrons dans la chambre et, en guise daccueil, jembrasse langoureusement chacun des hommes, palpant leurs corps débène et caressant leur membre. Immédiatement, Je sens mon corps envahi de mains viriles : mes fesses, mes cuisses et mes seins sont palpés et malaxés. Jai toujours adoré cette sensation qui consiste à être le centre dintérêt sexuel de plusieurs personnes qui nont dyeux que pour moi.

— Montrez-moi vos grosses bites, leur dis-je en enlevant ma mini-jupe. Je vais men occuper comme elles le méritent.

— Tout se suite, ma belle, répondit le plus grand. On compte bien prendre soin de ton beau corps nous aussi.

— Parfait. Je sens quon va passer un bon moment tous les quatre

Ils enlèvent leur short. Je prends leur sexe dur comme du roc dans mes mains moites et commence à les branler. Ces trois gars-là ne sont pas là pour démentir la réputation des blacks : ils sont terriblement bien montés. Lun dentre eux a une bite exceptionnellement longue, sans doute pas loin de 25 centimètres, et un autre a un gland et des couilles énormes. Le troisième a une bite de taille raisonnable, mais dun diamètre largement au-dessus de la moyenne. Ils ont enlevé leur chemise et sont maintenant nus autour mon corps en chaleur. Ils sont grands et musclés. Celui qui a la bite la plus longue meffleure sans cesse avec son gland. Pendant que je branle les deux autres, il prend son gourdin en main et le fait passer entre mes cuisses, par derrière. Il commence un mouvement de va-et-vient pour se frotter contre mon anus et ma vulve en ébullition. En regardant mon sexe, je vois le beau gland apparaître et disparaître successivement. Il a pris la précaution de mettre un préservatif. Mais où a-t-il trouvé une capote de cette taille ? Je commence à pousser des soupirs de plaisir.

Jadorerais me mettre à genoux pour les sucer, mais je mettrais alors fin au plaisir que me procure ce long membre qui se frotte entre mes cuisses pulpeuses. Les deux autres mecs comprennent ce que je veux et montent chacun sur une chaise. Je peux alors sucer, lécher et embrasser les deux beaux chibres, tellement gros que je narrive pas à les mettre tous les deux en même temps en bouche. Je les suce donc chacun à leur tour afin quils aient le même plaisir. Je me sens chaude comme une chienne en chaleur, mon sexe est trempé et le plaisir de la baise envahit tout mon corps. Des frissons de désir me parcourent de haut en bas. Je me penche légèrement, écarte les cuisses, prends la longue bite en main et la dirige vers mon vagin bien ouvert. Le gars me pénètre profondément et jémets un long gémissement. Il me prend en levrette debout, sa longue bite lui permettant une souplesse extraordinaire dans cette position. Ses copains descendent de la chaise et enlèvent mon top. Ils peuvent maintenant admirer et prendre à pleines mains ma forte poitrine qui se balance au rythme des coups de bite que je reçois avec tant de plaisir. Je reprends les deux bites en main et les suce longuement. Les coups de bite saccélèrent peu à peu dans mon vagin et je me sens jouir. Je laisse échapper un cri puissant quand les spasmes de lorgasme agitent mon corps tout entier et au même moment, le gars se retire de ma vulve, enlève sa capote et éjacule abondamment sur mon dos : je sens même quelques gouttes de sperme sur la nuque. Le gars au gros gland se met derrière moi et enfonce un doigt dans mon anus. Jaime particulièrement quon soccupe de cette partie intime de mon corps. Le type met un deuxième doigt : il estime alors que je suis prête à accueillir sa bite. Il enfonce lentement son sexe tendu jusquau moment où je sens ses couilles contre mon vagin. Il se met à me pilonner de manière assez virile, assez profondément. Tout à coup, il sassied sur le bord du lit et mentraîne avec lui. Jai maintenant les jambes bien écartées, mes pieds sont posés sur les genoux de mon amant et mon dos maculé de sperme repose contre son torse musclé. Il continue à me baiser avec force, pendant que le troisième gars se met contre moi et enfonce son large phallus dans mon vagin. Je rugis de plaisir. Même si jai déjà joui, je sais que cette double pénétration peut moffrir un deuxième orgasme, surtout avec daussi belles bites. Jembrasse goulûment mon partenaire qui senfonce profondément en moi. Après quelques secondes, nous nous couchons sur le lit et les mecs changent de trou. Je suis couchée sur le dos, sur le black au sexe large. Je le sens senfoncer dans mon cul pendant que lautre me pénètre. Le gros gland me fait rugir de plaisir. Je suis de nouveau au septième ciel et je me mets à crier tellement fort que je crains dêtre entendue dans lhôtel, mais cest plus fort que moi. Un souffle chaud embrase ma nuque et jentends un râle : le deuxième expulse sa semence dans mon anus. Je sens le liquide chaud à travers le fin latex. Le troisième amant sort de mon vagin, jette son préservatif sur le bord du lit, se branle quelques secondes et éjacule de manière spectaculaire : une douzaine de jets puissants de sperme épais sortent de son beau gourdin, arrosant mon ventre, mon visage, mes cheveux et même le lit et le mur. Les yeux fermés, le gars jouit pendant plus de dix secondes. Malgré ma longue expérience des hommes, je nai jamais vu autant de sperme sortir dune seule bite. Un peu confus, il explique quil a toujours des éjaculations extraordinaires, ce qui est compréhensible au vu de ses énormes couilles : nous éclatons de rire.

— Bien joué, les gars. Vous avez fait ça comme des pros. Revenez quand vous voulez, et si vous avez dautres copains aussi bien montés que vous, amenez-les pour quils me baisent !

— Tu es une vraie petite salope. On aime ça. La prochaine fois, on reviendra avec nos potes pour te faire jouir pendant plusieurs heures.

Les trois gars se rhabillent et membrassent. Je prends une bonne douche, enfile mon mini-bikini noir, mets mon pareo autour de ma taille et prends une serviette de plage pour aller à la piscine.

Au moment où jarrive, mes trois amants se font servir une bière bien fraîche par la belle métisse. Je les vois échanger quelques mots et je la regarde, songeuse. Jaime presquautant les femmes que les hommes, parce quelles savent me donner énormément de plaisir. Il leur manque juste ce que jadmire tellement chez les hommes : la capacité dexpulser leur semence dans un liquide aux innombrables vertus. Nos regards se croisent. Elle sapproche de moi et me demande si je souhaite boire quelque chose. Je commande un Mojito quelle mapporte avec la souche et je vois immédiatement quon a écrit quelque chose au dos de cette souche. Je le retourne et lis : « Rendez-vous ce soir, 21h30, chambre 03. Il y aura tout ce quil faut pour samuser ». Que lui ont dit mes trois amants débène ? Je fais un large sourire à la métisse, en signe dapprobation. Elle veut massocier à ses ébats ? Tant mieux…

La suite au prochain numéro

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