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Lea : quelques épisodes de ma vie – Chapitre 1




Je m’appelle Léa, j’ai 35 ans, je suis mariée et je suis mère de famille. Mon mari ne doit me toucher qu’une fois par mois environ et mon travail m’ennuie énormément. Pas de quoi faire rêver ! Pourtant, je n’ai pas toujours eu cette vie ennuyeuse et dépourvue de plaisir. J’ai même été, je peux l’avouer maintenant, une vraie coquine pendant de nombreuses années, même si mes proches ont toujours pensé que j’étais une jeune fille sage et timide (il faut dire que je donnais bien le change, étant d’un naturel réservé en public).

Pour me distraire, j’ai décidé de raconter quelques épisodes de ma vie passée, mais dont les souvenirs m’émoustillent encore. Je dois vous avouer que mon mari n’est pas au courant de la plupart de ces aventures. J’aurais trop peur qu’il me juge mal, comme il n’est pas vraiment branché sexe.

Souhaitez-vous faire plus connaissance ? J’ai les cheveux mi-longs auburn. Je ne suis pas très grande, mais je suis plutôt mince, même si mes hanches sont un peu plus généreuses après ma grossesse. Mais ce qui frappe le plus chez moi c’est ma poitrine. Je fais du 85 E, 100% naturels ! Inutile de vous dire que les hommes me regardent peu dans les yeux J’ai eu cette poitrine généreuse assez tôt, et j’ai vite compris que les hommes n’y étaient pas insensibles mais que les filles de mon âge me jalousaient. Bref, une poitrine avec des avantages et des inconvénients. Malgré ma timidité, je n’ai jamais été très pudique, et je n’ai jamais eu aucune difficulté à mettre en valeur mes seins en portant des décolletés avantageux.

Vous m’accompagnez dans ma boite à souvenirs ? L’essentiel est véridique même si parfois un peu romancé.

Mon premier souvenir est mon amie Malika avec laquelle j’ai passé toute mon adolescence. Etant partie à Paris à 18 ans, je l’avais perdu de vue. Une amie commune restée dans notre ville de province m’avait dit qu’elle était devenue une vraie trainée (avec tout le mépris qu’elle mettait dans cette appellation). Malika était devenue musicienne professionnelle et j’ai eu la surprise qu’elle m’appelle pour savoir si je pouvais l’héberger quelques jours car elle devait passer une audition à Paris. Mes parents acceptaient volontiers de l’accueillir, et elle dormirait dans le séjour. Le premier soir, Malika a proposé à mes parents et mon frère d’aller voir un concert. Je ne pouvais me joindre à eux en raison d’un cours qui finissait tard. Je suis rentrée vers 10H30 en même temps que mes parents qui avaient laissé Malika et mon frère boire un verre après le concert.

A minuit, je n’avais plus la force de les attendre et m’endormais paisiblement. Vers 2h du matin, le claquement de la porte me fit sursauter et j’entendais des petits rires étouffés dans le salon. Après quelques minutes de silence, je percevais quelques gloussements étouffés. Curieuse, j’entrouvrais la porte discrètement sans la faire grincer. J’avais ainsi une bonne vue sur le salon. Le temps de m’habituer à l’obscurité, quelle ne fût pas ma surprise de voir Malika agenouillée au milieu du salon au milieu de deux hommes, mon frère et un autre que je connaissais pas. Je me souviens du sang qui m’est monté au cerveau, je devais être rouge pivoine si quelqu’un m’avait aperçu. Je refermais rapidement la porte et me précipitais dans mon lit. Mais là impossible de me calmer, j’avais cette image en tête et cela se passait à quelques mètres de moi, dans le salon où mes parents prenaient le thé. Naturellement, ma main s’était posée sur mon sexe et je commençais à caresser mon clitoris. Ce n’était pas une pratique très fréquente pour moi à cette époque, mais là j’avais besoin d’évacuer une tension qui me parcourait le corps.

J’avais cette image statique en-tête de Malika agenouillée, mais j’avais envie d’en voir plus. Après une longue réflexion, je décidais d’entrouvrir à nouveau la porte pour que mon plaisir soit décuplé. Mon frère et l’inconnu étaient désormais assis sur le canapé familial, Malika suçant tour à tour ses deux amants avec une envie et un plaisir non dissimulé. Je voyais sa main masturber le sexe qui n’était pas occupé par sa bouche généreuse. Ma main s’activait sur mon clitoris et je sentais en moi un plaisir alors inconnu. Soudain, je fus comme tétanisée, parcourue d’un spasme dans tout mon corps, incapable de bouger. Le temps s’était comme arrêté et je ne saurais vous dire combien de temps ce moment intense a duré. Après avoir repris mes esprits, je vis mon frère jouir dans la bouche de Malika qui continuait de le sucer. L’inconnu se masturbait à côté et jouit quelques secondes après sur le visage de Malika qui était tout sourire.

Je les vis tous rire en essayant de ne pas faire trop de bruit, et mon frère servit un bon whisky à tout le monde. Par crainte d’être démasquée, je fermais la porte doucement et retournais dans mon lit. De nouveau, je n’arrivais pas à trouver le sommeil jusqu’au petit matin.

Le lendemain matin, je fus réveillée par Malika qui m’apportait un café et une brioche dans ma chambre. Elle posait le plateau sur mon lit et se glissa sous la couette à mes côtés :

— Tu as passé une bonne nuit ma belle ?

— Oui, euh j’ai eu une nuit assez agitée, je ne t’ai même pas entendu rentrer.

— Je vois que tu sais très bien mentir, je me suis bien aperçue que la porte était entrouverte hier soir et que tu m’as vu en bonne compagnie

— (Très gênée) ah euh oui bon c’est vrai je t’ai vu avec mon frère et un autre homme, vous n’aviez pas l’air de vous ennuyer

— Je les ai juste sucé c’est tout, je me suis bien amusée, mais je crois que tu n’es pas restée insensible

La main de Malika s’était posée sur ma cuisse qui n’était pas couverte par ma courte nuisette. Elle s’aventura entre mes cuisses délicatement, sans résistance de ma part.

— Je vois que tu dors sans culotte ma belle, tu as bien raison. Est-ce que cela t’a excitée hier soir ?

— Euh oui, je dois t’avouer que je me suis caressée en vous regardant, même si la présence de mon frère me dérangeait un peu

— Hum, ça faisait longtemps que je fantasmais sur ton frère, et Fred est un de ses copains sur lequel on est tombés par hasard. Le hasard fait parfois bien les choses.

— Tu sors avec mon frère ou ce Fred ?

— Mais que tu es tradi, on a juste pris du plaisir c’est tout, je ne sors avec aucun d’eux. Toi par contre, mes caresses n’ont pas l’air de te laisser insensible

— Tu es très douée, Malika, c’est la première fois qu’une femme me caresse ainsi, c’est délicieux. (Malika m’embrasse dans le coup)

— Je t’ai toujours trouvé très excitante et je vois que tu t’es un peu dévergondée depuis notre adolescence, alors j’en profite

Malika glissa sous la couette et je sentis sa langue se poser délicatement sur mon téton droit. La sensation de sa langue aspirant doucement mon téton me fit gémir. Sa main disponible prenait possession de mon sein gauche et elle le malaxa avec vigueur.

— Comme j’aimerais avoir des seins comme les tiens ma belle, j’aurai tous les hommes à mes pieds.

— Hum, c’est délicieux Malika, c’est divin, continue.

Au bord du plaisir, ma mère tapa à la porte : Allez les filles, il est tard, le petit déjeuner est servi. Malika et moi explosons de rire, un peu frustrée de cette fin rapide.

— On arrive Maman, 2 minutes

Si vous avez aimé cette histoire, n’hésitez pas à me le dire ou à me faire part de vos remarques. Si cela vous plait, la suite bientôt.

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