Comme tous les jeudis après-midi depuis le début de cet été 2013, je le rejoignais à proximité de son chantier et je me postais derrière le même buisson. Les fenêtres étaient toujours ouvertes peut-être à cause des odeurs de peinture.

Il a 27 ans j’en ais 46 et j’aime à baiser avec lui,lui lécher son étoile surtout quand il m’a bien excitée à les sauter devant moi sans qu’elles le sachent.

Cette femme chez qui il faisait des travaux l’avait aperçue une semaine auparavant alors qu’il sortait de la douche et évoluait, entièrement nu, dans la cuisine. Un grand trouble l’avait prise en observant ses larges épaules, son torse athlétique, ses fesses musclées que terminaient ses cuisses solides.

De voyeuse par hasard, elle le devint volontairement. Elle observait quotidiennement le même spectacle mais il le savait, la fille de 16 ans de cette femme en faisait souvent de même.

La surprise qui attendait la jeune femme ce jour là allait précipiter les choses. Cette fois il ne se contenta pas de se déplacer nu, ignorant qu’on le regardait. Allongé sur son lit, le sexe dressé dans sa paume, il se masturbait. Elle pouvait suivre les va et viens de sa main qui découvrait, puis recouvrait un gland rougeâtre au bout d’une longue verge, dont l’immobilité trahissait la raideur. Deux belles prunes au dessous se ballottaient en cadence.

Son visage, ses yeux clos, sa respiration spasmodique par sa bouche ouverte, tout reflétait le plaisir qu’il se donnait. Sous l’effet du choc, l’excitation gagna brusquement la gamine. Elle sentit s’inonder son string, seule pièce de vêtement quelle portait sous son large tee shirt Mickey. Vite, elle y glissa sa main et atteignit son clitoris déjà gonflé. Elle s abandonna à ses fantasmes, elle s’imaginait dans la pièce avec lui, installée les cuisses ouvertes pendant que, tête-bêche, elle se penchait vers sa queue bien droite.

Un jour excitée comme une puce elle l’a rejoint pour caresser au départ ses couilles bien rasées. Lentement, sa langue passait tout le long de la verge, remontait, léchait le gland luisant en insistant sur ce dernier avant d en serrer le tout entre ses lèvres. Pendant ce temps, elle sentait ses doigts ouvrir sa caverne baveuse, sa langue chaude s’y introduire, y faire des tours qui l’affolaient.

La bouche de mon amant lui aspirait le clito, le tétait, et un index s’introduisait dans son vagin. Le plus surprenant pour lui était qu’à 16 ans elle soit si expérimentée. Vicieux comme il est il reprit le même scénario, à ma demande, avec la mère.

Un bonheur jouissif pour moi il baise la mère et la fille, évidemment envie de voir de faire ma voyeuse, installée dans mon buisson, je le vis à diverses reprises sur son tabouret à peindre un plafond avec juste un bas de jogging la mère arrive et se met à le sucer, elle avale mais il la sodomise juste avant, le lendemain presque le même scénario mais avec la fille qui est avide de son sperme.

Je lui demande un jour de prévenir la mère qu’il baise aussi sa fille et moi je les matte avec les jumelles il le fait elle l’a suçé de plus belle en lui disant je suis heureuse que ma fille puisse s’offrir une queue comme la tienne mais elle perdait le contrôle de ses mouvements. Le jardin était calme et les gémissements qu’elle n’avait pas pu retenir étaient parvenus à moi. Il s’était arrêté de la baiser, le sexe toujours droit et regardait dans ma direction.

Nue, elle s’assit sur la table de la cuisine elle lui présentait ses cuisses ouvertes au maximum, exposant la fente rose sous sa toison noire. Elle se renversa en arrière commençait sa masturbation, il adore, cette fois debout devant la fenêtre pour moi. Entièrement offerte à mon regard, elle entrebâilla son coquillage et recommença à masser son bouton. Elle ondulait, balançait son périnée en avant comme pour venir s empaler sur le sexe érigé de mon amant. De sa main libre, elle rentrait un doigt dans sa grotte, le ressortait, le léchait avant d y joindre un deuxième, pour de nouveaux aller-retour.

Elle avait besoin de plus. Tout en continuant à presser son bourgeon, elle chercha à sa portée quelque chose qui ferait l’affaire puisque lui se faisait plaisir face a moi. Elle trouva un petit vaporisateur de parfum cylindrique, en verre épais. Elle l’enfonça dans sa chatte huilée. l’objet glissait sans difficulté, butait au fond de son vagin qui se serrait autour. " bourre moi bourre !!! C est tellement bon ! " A chaque fois qu’elle poussait, son corps était pris d’un soubresaut. Il l’entendait soupirer, de plus en plus fort. Le paroxysme arrivait. Pour le hâter, elle s’humecta un doigt de salive et s’en pénétra l’anus. A travers la fine paroi, elle appuyait sur le flacon qui coulissait dans son sexe Elle entendit un cri étouffé levant les yeux, mon amant la regardait Son sperme lui coulait sur le ventre..

L’air gêné mais toujours à mon poste, je me suis bien branlée. Le manège se répéta, plusieurs après-midi mais il vient toujours me rejoindre je suis la seule à m’occuper de son étoile…. j’aime à lui donner des ordres et à le voir les baiser sous mes yeux je n’ai pas encore réussie à ce qu’il baise une mère et sa fille en même temps mais je suis tenace j’y arriverais pour ma plus grande jouissance.

Related posts

Vive le triolisme – Chapitre 4

historiesexe

Isabelle, grosse et petite mais belle – Chapitre 22

historiesexe

Ma drole de famille – Chapitre 3

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .