Je me réveille le lendemain, je ne sais plus où je suis, j’ai mal à la tête, j’ai encore abusé avec l’alcool. Je regarde à côté de moi, il y a Marion, complètement nue, je ne suis pas sérieux. Mais je ne peux pas partir comme ça, je la réveille avec des câlins et des bisous.
Elle me remercie pour la partie de jambes en l’air. Puis soudain, en regardant mon téléphone, je m’aperçois que je n’ai pas prévenu Maria que je ne serais pas à la maison hier soir. J’espère qu’elle ne m’en voudra pas.
En tout cas, j’ai vécu une soirée formidable, Marion est vraiment exceptionnelle au lit.
Mais il est l’heure, je dois me lever et me préparer. Je m’habille, et me rend dans la salle principale. Je croise Natasha, elle me demande si je vais bien. Je lui réponds par la négative, prétextant une soirée un peu trop alcoolisée. Je lui dis que j’ai dormi dans le champs qui est à proximité du squat, puis je pars en direction du coin toilette où se situe une douche. L’eau me permet de retrouver une certaine réalité, mais c’était sans compté sur le côté audacieux de la jeune femme blonde.
En effet, cette dernière est derrière moi, elle s’est déshabillée, puis m’a rejoint dans la douche. Je suis surpris, lui demande si elle a enterré la hache de guerre et je comprends très vite que oui lorsque cette dernière saisit mon membre entre ses mains. Elle commence à me masturber puis se met à genou afin de m’offrir une fellation. Ses mouvements sont précis, elle aspire mon gland, avale ma tige, puis se relève.
Je la positionne dos à moi, lui offre un cunnilingus, puis très rapidement la pénètre. Elle se cambre un peu, afin de m’offrir son joli fessier. Au bout de dix minutes, je finis par jouir dans son vagin. Je n’ai pas envie que Marion me voit avec elle, donc du coup j’ai fais au plus vite. Elle me remercie tout de même pour cet échange puis nous sortons de la cabine, nous nous habillons, puis nous retournons dans la salle principale.
Marion discute avec une amie, elle me sourit à chaque fois qu’elle me voit, ce qui provoque chez Natasha un sentiment de jalousie voir de possessivité.
Il est aux alentours de quatorze heures, notre bus va partir dans trente minutes, avec les camarades militants nous nous faisons des accolades, puis lorsque vient le tour de Marion mon cur bat la chamade.
Elle me prend dans ses bras pour me faire un câlin, et me glisse dans l’oreille que je suis le bienvenu à Toulouse. Je ne peux m’empêcher d’esquisser à mon tour un sourire, et lui répond qu’il n’y a aucun souci.
Bien entendu, Natasha me lance une fois de plus un regard noir. Je suis dans le bus, contre la vitre, je repense à cette nuit, et me dis que je suis vraiment injuste avec Maria. Il va falloir que je me rattrape sérieusement, et que je sois beaucoup plus tendre avec elle sinon, ça sera la fin, et je n’ai pas vraiment envie que ça le devienne.
Il est dix-huit heures, je rejoins Maria à notre domicile, nous nous disputons brièvement, non pas pour mon absence de la veille, mais juste parce que c’est un ami qui l’a appelé mais pas moi. Afin de calmer la tension électrique, je l’invite au restaurant. Nous nous douchons chacun notre tour. Elle enfile une robe noire avec un joli décolleté, tandis que je me mets un jean bleu avec une chemise blanche.
Nous partons en direction du centre-ville, nous trouvons un lieu à notre convenance, nous nous asseyons puis nous dînons. Les discussions sont variées, puis soudain, Maria affiche clairement ses inquiétudes. Elle me dit que je pars souvent loin pour suivre des mouvements militants, mais surtout qu’à chaque fois, il y a souvent des étudiantes. Elle ne veut pas faire de clichés sur ces dernières, mais souhaite me mettre en garde sur les intentions de ces filles-là. Je lui dis de ne pas s’inquiéter, qu’il n’y a pas de souci.
Il est vingt-trois heures, nous rentrons à la maison, puis nous partons en direction de la chambre. Je la saisis par la poitrine, à travers le tissu de sa robe, puis lui fait des bisous dans le cou.
Rapidement, des frissons parcourent son corps, puis je lui enlève les bretelles de sa tenue. Dans le noir, je ne vois pas très bien la couleur de ses sous-vêtement, mais je perçois au touché qu’il y a de la dentelle. J’adore ça, j’en suis fan.
Je dégrafe le soutien-gorge, baisse son string puis l’invite à rejoindre le lit. Je lèche sa poitrine avec passion, titille ses tétons, puis descends petit à petit en direction de son puits d’amour. Je fais de même, lui offre un cunnilingus d’une douceur extrême. Je me relève un peu, présente mon sexe à l’entrée de sa grotte puis la pénètre.
Je fais des mouvements variés, puis je deviens beaucoup plus bestial. Elle commence à grogner de plaisir. Je la positionne sur le côté, puis la prend en cuillère. Je fais claquer ses fesses sur le bas de mon ventre, j’essaye d’aller au plus loin tout en saisissant sa poitrine.
Elle aime beaucoup ce traitement, puisque je l’entends grogner. Je la mets à présent sur le ventre, je me positionne entre ses fesses, lui fait un deuxième cunnilingus, et je déborde même parfois sur son petit trou.
Je me présente à l’entrée de son vagin, la prends ainsi, puis j’y vais en force. Intérieurement, je me dis que je vais pouvoir laver les erreurs de ces derniers jours.
Je saisis ses seins à pleines mains, je la soumets totalement à mes coups de butoirs. Quand soudain, je jouis dans ses entrailles. Nous reprenons notre souffle puis nous nous allongeons l’un contre l’autre.
Il est maintenant aux alentours de deux heures du matin, j’ai beaucoup de difficulté à ranger les images qui passent à travers mon esprit. Entre Marion la toulousaine et Natasha je suis un peu perdu, mais je me dis que tout s’arrangera avec le temps.