La vie de Maxime a connu deux bouleversements, deux grands bouleversements. Le premier c’est lorsque ses parents ont divorcé alors qu’il venait d’avoir 17 ans. Son père ayant trompé sa mère plusieurs fois. La séparation était inévitable. Seulement pour ne rien arranger à la situation, sa mère avait décidé de repartir à l’étranger pour le travail, et de ce fait avait cédé la garde de Maxime à son père Corentin, 38 ans. Non pas qu’il s’entendait mal avec son père, mais on ne lui avait demandé son avis pour rien.
Son père et lui sont partout assez opposés. Maxime est fin, calme et pas vraiment travailleur. Son père bien bâti, musclé, en réussite professionnelle. Ces atouts néchappant à la gent féminine il ramenait régulièrement des filles toutes jolies mais surtout très jeunes entre 18 et 24 ans grand maximum.
Sauf qu’un jour, alors que Maxime était dans sa chambre, son père qui venait de rentrer l’appelait pour qu’il descende. Aux côtés de son père, une jeune fille. L’air plutôt studieux, des lunettes, coupe au carré, cheveux noirs, des seins très ronds, de belles jambes, elle avait l’air plus mature que ces conquêtes habituelles.
— Maxime je te présente Marine. Elle a 18 ans, et elle va vivre avec nous. Je suis avec elle depuis six mois maintenant, donc je compte sur toi pour qu’elle se sente comme chez elle.
Maxime se dirigeant vers elle pour lui faire la bise se retrouve vite contrecarré dans ses plans, par la main tendue de Marine qui veut lui serrer la main. L’ambiance est posée. Le dîner ne se passe pas mieux, autant elle a l’air complice avec le père, autant elle est d’un froid glacial avec Maxime.
D’ailleurs très vite elle fait beaucoup de remarques sur Maxime à son père. Sa fainéantise, son taux de présence en cours très faible, son hygiène de vie, tout y passe. Il n’est clairement pas dans les bonnes grâces de Marine,
Les jours passent et rien ne change. Dès qu’elle rentre de l’université, elle s’occupe de certaines tâches, et ne communique quasiment pas avec Maxime. Ce dernier va avoir la mauvaise idée, d’en parler à son père. Une fois la nouvelle arrivée aux oreilles de Marine, elle rentrait dans une colère noire. Je n’entendais pas ce qui se disait, mais ça semblait sonner la fin de leur histoire. Cela n’était pas pour me déplaire.
Retentissait alors dans la maison une porte qui claque, puis quelques instants plus tard une autre. Puis la voix de Corentin criant à Maxime de descendre. En arrivant dans le salon, il voit avec effroi son sac d’herbe qu’il cachait dans sa voiture entre les mains de son père.
— Tu dépasses les bornes Maxime. Je t’héberge chez moi, tu n’en branles pas une, tu ne vas pas en cours, tu passes tes journées à glander, et donc à fumer putain de merde. Tu fais tout pour me monter contre Marine. Donc la situation elle est simple. Vous allez être en vacances scolaires pendant deux semaines. Et je vais être en déplacement pas mal de fois. A partir de ce moment précis, Marine c’est ta belle-mère, tu m’as bien compris. Elle va s’occuper de te reprendre en main, puisqu’on dirait qu’elle a 10 ans de maturité de plus que toi malgré sa jeunesse. Tu vas l’écouter et lui obéir que je sois là ou pas, elle va te donner des cours et te redonner une hygiène de vie. Si tu n’es pas d’accord tu connais la sortie
Marine qui se tenait debout à côté de son père, le visage fermé et sévère.
« Oh putain Maxime je te parle, tu décides quoi ?
— Oui d’accord ça va je vais me reprendre en main !
— Non t’as pas compris ce nest pas un choix que je te donne, Marine te reprend en main point barre !
— Ok d’accord ! »
Maxime retournait dans sa chambre sur son PC, connaissant son père et ses crises passagères il savait que demain ça lui aurait passé. Sauf que pas cette fois-ci,
Le lendemain matin, Maxime était réveillé par des bruits à sa porte. Son père ouvrant la porte, il était six heures du matin.
« Je te préviens par rapport à la conversation d’hier soir au moindre faux pas que me rapporte Marine, ce sera la porte tu m’as bien compris ?
D’une voix lointaine et peu réveillée, Maxime répondait, oui oui ’pa ! »
La porte se reclaquant instantanément. Maxime ne mettant pas longtemps à se rendormir. Sommeil qui fut de courte durée. Une heure plus tard à sept heures Marine déboulait dans la chambre. Elle ouvrait les rideaux. Maxime était complètement ébloui par la lumière du soleil qui avait envahi la pièce. Il pouvait au bout de quelques secondes apercevoir, Marine, dans sa tenue d’équitation bottes, pantalon d’équitation et cravache à la main.
« J’aime être en tenue quand il faut faire du dressage, et là avec toi y a du boulot, alors debout lève-toi.
— Les yeux encore mal ouverts, il lui répondait. T’es sérieuse mais à quoi tu joues là ?
— Elle levait le menton de Maxime avec sa cravache. Je crois que t’as pas bien compris la situation soit tu m’obéis comme un bon toutou soit j’appelle ton père et tu sais ce qui va se passer.
Maxime avait vite compris qu’elle ne plaisantait pas il se leva, sans faire attention que son sexe, la fameuse érection, faisait pointer son caleçon.
« Dégage ton caleçon
— Non mais ça ne va pas ?! »
A peine avait-il terminé sa phrase qu’il reçut un coup de cravache sur son sexe tendu, qui le faisait se plier en deux sous la surprise et la douleur.
— Première règle tu ne parles que si je t’y autorise sinon on va perdre trop de temps. Deuxième règle les punitions sont évolutives. A chaque fois que tu n’obéis pas je double les coups de cravache
Maxime baissait son caleçon, la tête baissée. Du bout de sa cravache elle bougeait le sexe pour l’examiner.
— Heureusement que ton père n’est pas monté comme ça sinon on ne serait pu ensemble, tu n’as pas dû faire jouir beaucoup de femmes ça c’est clair. Bon première étape le matin pour bien te réveiller la douche !
Maxime se dirigeait vers la salle de bain cachant son sexe, quand soudain, Marine lui tirait les cheveux en arrière.
« Troisième règle jamais tu ne caches ton sexe, ou une autre partie de ton corps tu vas apprendre à avoir honte devant moi, ta nudité permanente sera l’occasion de te rappeler qui commande ici.
Ne compte pas non plus aller dans la salle de bain ! Suis-moi.
Maxime commençait à comprendre qu’il aurait vite un choix à faire entre sa fierté, sa dignité ou garder un toit parce qu’il n’avait jamais rien fait de sa vie pour son indépendance, car il n’en était même pas au début…