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Retour du fils prodigue – Chapitre 1




Mon histoire est véridique, même si elle remonte à plusieurs années maintenant. J’ai changé les noms et les lieux.

Cela faisait longtemps que je n’étais pas revenu chez ma mère. C’est son anniversaire et j’ai pensé que c’était le jour idéal pour la revoir. Elle fête ses 55 ans, moi j’en ai 30. Elle est plutôt bien conservée, 1m70 pour 63kgs, des seins en poire qui je pense tombent légèrement, mais des jambes magnifiques. C’est l’effet salle de sport. Mon père voyage beaucoup et nous ne sommes pas proches.

Fébrile je sonne à la porte. J’attends quelques secondes.

« Entrez, j’arrive »

Je pousse la porte et me retrouve dans le hall de la maison. Rien n’a changé en 4 ans. Je suis parti travailler en Angleterre et je suis de retour pour quelques années.

« Bonjour . Mais c’est toi ? »

« Oui, je suis revenu ».

Ma mère ne peut retenir quelques larmes. Elle me regarde puis me prend dans ses bras. Elle sent bon. Elle se serre contre moi et immédiatement je ressens une sensation bizarre, inconnue jusqu’alors. Ses seins s’écrasent sur mon torse et ses mains me parcourent le dos, elle m’embrasse les joues. Je pose ma main dans son dos pour lui rendre son étreinte.

Elle se recule pour mieux m’observer.

« Tu n’as pas changé, ou plutôt si, tu es devenu un homme »

« Toi non plus tu n’as pas changé, tu es toujours aussi belle et radieuse. Je suppose qu’il n’est pas là ? »

« Non, il est à l’étranger, je ne saurais te dire dans quel pays mais il est absent pour 2 semaines. Mais entre »

J’entre dans le salon et me mets à l’aise. Une fois de plus il n’est pas là mais il lui a fait livrer des fleurs.

« Tu veux boire quelque chose, j’ai envie de fêter ton retour ? Tu rentres définitivement ? »

« Non, je pense rester un ou deux ans et repartir. Je n’ai pas fini de découvrir le monde »

Le visage de ma mère s’assombrit. Elle espère tellement que son fils unique trouve l’âme sur et lui fasse des tas de petits enfants. Je n’en suis pas encore là, je n’ai pas fini de faire ce dont je rêve depuis longtemps.

« Champagne ? »

« Pourquoi pas »

Dans la cuisine elle fait sauter le bouchon et revient avec deux coupes et la bouteille. Elle s’assoit en face de moi et me tend une coupe. Comme à son habitude, elle a une tenue assez classique, jupe portefeuille et chemisier, rien de bien extraordinaire.

Nous bavardons, de tout, de rien, d’elle, de moi, nous vidons nos coupes et ma mère nous ressert aussitôt. Une heure plus, tard, la bouteille est vide et nous sommes un petit peu alcoolisés. Pour ma part, je supporte assez bien le champagne, mais ma mère est euphorique. Ma venue y est pour quelque chose, mais je pense que le champagne y est pour beaucoup.

Elle est toujours assise en face de moi, sa jupe est ouverte sur ses cuisses et ne cachent plus le haut de ses bas couture. Depuis mon adolescence, je suis devenu un peu fétichiste des bas couture, pour moi c’est le summum de la sensualité et de l’érotisme. Je n’avais jamais regardé ma mère cette manière. Pour la première fois je la vois autrement, comme une femme à part entière, et la vue de ses jambes gainées de soie provoque en moi une certaine excitation. Bien que j’essaie de me raisonner, je ne peux quitter des yeux ses cuisses, espérant à chaque seconde que sa jupe va s’ouvrir un peu plus et me laisser entrevoir sa culotte, et pourquoi pas son sexe.

« Je vais en ouvrir une autre, qu’en penses-tu, nous n’avons pas à sortir puisque nous dînons ici ? »

« Je ne sais pas si c’est bien raisonnable »

« Pour une fois où tu es ici, seul avec moi, on peut en profiter »

 

Elle se lève et revient quelques instants plus tard avec une nouvelle bouteille. Elle l’ouvre et se penche pour remplir nos coupes posées sur la table basse.

Son chemisier est ouvert sur les trois premiers boutons, ma laissant entrevoir la naissance de ses seins et même un peu plus. Je me sens subitement un peu à l’étroit dans mon boxer. Je commence à bander pour ma mère. Je dois absolument me ressaisir.

Ma mère prend une coupe et me la tend puis retourne s’assoir dans le fauteuil en face de moi.

« Tu ne m’as pas dit comment s’appelle ta copine »

« Je ne te l’ai pas dit car pour le moment je n’en ai pas »

« Ha. Ça veut dire que tu es tout à moi pour le moment ? »

« On pourrait dire ça comme ça en effet »

« Alors je dois en profiter puisque tu vas repartir bientôt. C’est dommage, tu ne verras pas ton père »

« Je lui passerai un coup de téléphone à l’occasion. De tout façon je ne suis pas certain que ma présence lui fasse plaisir »

« Buvons à nous alors »

Nous levons nos coupes et nous trinquons une nouvelle fois. Ma mère est déjà un peu partie et ne s’inquiète pas de sa tenue face à son fils. Sa jupe est largement ouverte sur ses cuisses et je vois nettement sa culotte en dentelle rouge. Mon sexe recommence à gonfler. Lorsque ma mère se penche pour poser son verre sur la table, je vois qu’elle ne porte pas de soutien-gorge. Ses deux seins se balancent au rythme de ses mouvements.

Cette fois je bande carrément et mon sexe commence à me faire mal dans mon jean.

« Tu devrais peut-être refermer ta jupe »

« Effectivement, elle est largement ouverte. Tu veux dire que je dois cacher mes jambes car tu ne les trouves pas belles ? »

« Je ne dis pas ça »

« Ta mère est trop vieille alors ? »

« Non plus »

« Alors je ne te plais pas ? »

« Si, tu es très belle mais la situation est ambiguë et je ne sais pas où poser mon regard »

« Alors c’est moi qui te fais autant d’effet ? »

Je ne pensais pas que ma mère s’était aperçue de la bosse que faisait mon sexe, c’était mal la connaître.

« Ne sois pas gêné, c’est une réaction normale »

« Si tu n’étais pas mère, ce serait normal »

« On ne fait rien de mal »

J’étais très mal à l’aise et partagé quant à l’attitude à avoir. Couper court à cette discussion ou au contraire l’alimenter pour voir jusqu’où elle va aller.

« Ce n’est déjà pas très moral »

« Je ne vois ce que vient faire la morale la dedans »

Elle me fixe droit dans les yeux et écarte ses cuisses pour mieux me troubler et elle y réussit très bien. Mon regard plonge immédiatement entre ses cuisses. Elle dégrafe lentement son chemisier pour laisser apparaître ses seins. Ils sont lourds et tombent légèrement, elle les prend dans ses mains, les soupèse, les malaxe, se triture les tétons en fermant les yeux.

Une de ses mains descend machinalement entre ses cuisses et commence à caresser son sexe à travers sa culotte rouge. Je bande comme un fou, ma mère est très belle et très excitante. Plus jeune je la désirais, mais je pensais que tous ces sentiments étaient bien loin. On n’échappe pas à son passé comme on dit.

Elle avait maintenant enlevé sa jupe, elle gardait les yeux fermés et sa main était maintenant passée sous le tissu de sa culotte. Elle se caressait le sexe devant moi tout en se caressant les seins avec son autre main.

Puis d’un seul coup elle se lève en titubant légèrement, fais descendre sa culotte et son chemisier. Elle est nue devant moi.

« Il y a longtemps que j’ai envie de m’offrir à toi. Me voici, il ne tient qu’à toi de t’en aller maintenant ou de profiter de cette aubaine »

Elle s’approche de mi doucement, toujours assis, ma tête est à la hauteur de son ventre. Je l’attrape par les hanches et je l’approche de moi, je pose mes lèvres sur le haut de son pubis. Je sens son corps trembler.

Mes mains commencent à parcourir ce corps qui s’offre à moi, je lui caresse les seins, les hanches, les cuisses, le dos, les fesses que je trouve splendides et qui m’excitaient déjà il y a quelques années.

Elle gémit doucement les yeux fermés. Elle me caresse les cheveux et colle mon visage contre elle.

« J’ai attendu ce moment depuis si longtemps »

Pour toute réponse, ma main vient effleurer son sexe presque épilé entièrement. Ma mère est vraiment belle, ma main passe entre ses cuisses et je passe un doigt entre ses lèvres humides et déjà ouvertes de désir. Par réflexe, elle écarté les jambes pour mieux me laisser agir. Mon doigt entre dans sa fente et trouve facilement son clitoris, geste qui lui arrache un petit cri. De mon autre main, je luis caresse les seins. Ma mère s’abandonne totalement et se livre à mes caresses.

« Fais de moi ce que tu veux, fais de-moi ton esclave si tu le veux. Je t’obéirai »

« Tu es sûre de vouloir ça ? »

« Je n’attends que ça, je suis ta chose et ta salope »

Ma mère réagit à mes caresses et mon doigt fouille de plus en plus activement sa fente. J’avance ma bouche et ma langue vient remplacer mon doigt. Ma mère est toujours debout, devant moi, nue, jambes écartées, me tenant la tête et moi je commence à lécher son sexe et son clito. Elle appuis fort sur ma tête pour que je pousse ma langue plus profondément. Alors je lèche, j’aspire, je mordille ce clito gonflé comme une petite cerise dans cette fente maintenant dégoulinant de cyprine. Je bois sa source, j’avale.

Mes mains caresse ses fesses, je prends son cul à pleine main pour mieux plaque mon visage contre son pubis. Mes doigts s’égarent entre ses fesses et cherchent son petit trou.

A ce moment, mon esprit bascule et je me change en dominateur, le dominateur que ma mère espère de moi.

Je me lève, me déshabille. Après quelques secondes que je prends pour de l’hésitation, ma mère prend mon sexe dans la main, nous sommes debout face à face, elle me caresse le sexe et pose ses lèvres sur les miennes et enfin m’embrasse à pleine bouche.

Je ne rêve plus que d’une chose, de son cul. Il est vraiment magnifique. Alors après quelques instants de caresse mutuelle, d’embrassade charnelle, je la pousse sur le canapé. Elle est à genoux, les bras sur le dossier et me présente sa croupe.

« Tu es une salope et je vais te traiter telle que »

« Oui, je suis à toi »

Alors je lui écarte les fesses et lui lèche la fente et remonte le long de la raie de ses fesses jusqu’à son petit trou. Je pose ma langue sur sa petite rondelle, je lèche, je titille, je tourne autour et j’entends ma mère qui prend de plus en plus de plaisir.

« Je suis vierge de ce côté »

Pour toute réponse, j’enfonce ma langue au plus profond de son cul et je commence à aller et venir. Ma mère gémit de plus en plus fort. Elle aime. Je lui caresse le clito en même temps que ma langue lui fouille le cul.

Lorsque je la sens prête, je positionne mon sexe à l’entrée de son petit trou, et je pousse lentement. Une fois bien au fond, je commence mes vas et viens et j’accélère de plus en plus. Ma mère qui gémit est déjà sur le point de jouir. Je luis attrape les hanches, puis parfois les seins ou les cheveux et je la sodomise de toutes mes forces. Elle crie, elle gémit, elle tremble de tout son corps et lorsqu’enfin je me vide en elle, elle jouit avec moi.

Après quelques instants je me libère, mon sperme coule de son cul et elle s’écroule sur le canapé.

« Tu as eu ce que tu mérites. Tu n’es qu’une salope et à partir d’aujourd’hui tu feras tout ce que je veux. Je vais prendre une douche et ensuite j’ai des courses à faire. Pendant que je ne serais pas là tu te laveras et tu t’épileras complètement. Ce soir sera un nouveau chapitre »

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