Je me souviens encore du début de notre affaire : elle voulait divorcer, elle mavait choisi au hasard comme conseillère. Avant de lui dire ce que je pensais de cette façon de se séparer, elle me raconte tout : son ex est un salaud, il la trompe depuis avec une jeune quil baise à la maison, même quand elle est là.

Il la met dehors de la chambre pour tirer son coup. Cette situation dure depuis des mois. Sil lavait invitée à partager la fille, elle aurait accepté, mais là elle devait se contenter seule.

Je me demandais comment présenter cette affaire à un juge : il maurait envoyée à la pêche. Cest quand elle entre dans les détails que je commence à mouiller. La garce mavoue à la fois quelle est cocue, quelle est bisexuelle, quelle regrette de ne pas avoir participé à des baises organisées par son mari.

Pour voir jusquoù elle peut aller dans sa déchéance, je lui demande si je pouvais baiser avec son mari.

— Bien sur, il aime baiser de nouvelle femme.

— Avec vous ?

— Oui, jaime aussi les filles.

— Jen ai envie maintenant.

Je me lève pour me mettre juste en face delle. Elle se lève aussi. Pour la première fois je vais savoir ce que ça fait de se faire caresser par une autre fille.

Elle sapproche de moi, prend mes lèvres. Sa langue est dans ma bouche pour chercher la mienne. Cest agréable : elle sait bien embrasser. Je passe un coup de fil à mon assistant pour lui dire que je ne suis plus là : au moins personne ne viendra nous déranger.

Revenue vers cette fausse blonde, à la poitrine pas plus grosse que la mienne, je mattends à assez un bon moment. Jespère que mon collaborateur ne va pas penser que je passe du bon temps avec une cliente. Elle sapproche de moi, me donne encore ses lèvres. Son baiser me donne des frissons. Ou je ne savais pas que jaimais les filles ou elle est très forte, à moins que je change de camp.

Elle me fouille la bouche. Je le lui rends comme je sais embrasser. Elle ne me tient par la taille : je sens son corps venir contre le mien. Si sa avait été un homme je crois que jaurais bien senti sa bite durcir contre mon ventre, chose que jaime. Sa poitrine est contre la mienne. Je sens ses seins comme sils étaient libres et nus contre moi. Je ne me rends compte que maintenant que je mouille.

Ce nest pas la première fois que je suis trempée au bureau pour une foule de raisons, je me masturbe pour finir. Mais maintenant je suis excitée par une fofolle. Fadurle sans doute, mais quelle maestria dans cet art de lesbianisme. Je me laisse faire en attendant la suite qui arrive vite, ses mains sont sur mes seins. Je les sens gonfler, mes tétons durcir. Elle mexcite encore plus. Pourtant elle narrête pas là. Elle sarrange pour lever mon teeshirt pour faire sortir mes seins. Sa bouche est vite sur mes tétons. Je suis impatiente quelle me touche en bas. Tout mon haut est parti je suis torse nu devant cette nana. Maintenant une main vient sur les fesses.

Elle lève ma jupe lentement, très lentement pour me faire mouiller encore plus. Elle arrive à tout lever jusquà ma taille. Maintenant elle passe ses doigts entre mes fesses jusquà mon petit trou. Jaime me faire caresser là, même si je préfère me faire sodomiser. Elle caresse mon rectum doucement, presque insidieusement. Malgré moi je me tends vers son doigt. Elle nhésite pas à le rentrer complètement dans le fondement. Elle sait me faire du bien.

Je suis en retard sur elle, je lui caresse comme je peux la poitrine. Elle me pousse sur le divan décoratif pour me faire assoir. Je reste là, comme hébétée avec une main entre mes cuisses. Je la laisse monter jusquà ma chatte en multiples caresses toujours efficaces.

Quand elle arrive sur ma chatte, je suis obéissante. Elle passe sa main dans toute ma fente, ne cherche rien sinon mon plaisir. Je ne sais quel doigt vient sur le clitoris. Elle le caresse mieux que moi : elle commence lentement, puis de plus en plus vite sans appuyer outre mesure. Je sens un autre plaisir venir dans mon ventre. Il monte doucement, très doucement. Il me semble quelle dose ses mouvements. Dun seul coup jai une illumination quand un orgasme inconnu envahie et mon ventre et le reste de mon corps ; je jouis.

Je ne sais que faire, je pourrai sans doute le lui rendre. Elle ne demande rien. Au contraire elle continu doucement en mettant deux doigts dans ma grotte. Son doigtage est efficace : jen jouis encore plus vite. Juste au moment où elle entre son doigt dans lanus, le téléphone sonne. Mon collaborateur sen va. Il a coupé mon élan. Pourtant elle sait me remettre dans le bain dun baiser.

En touchant à nouveau mon arrière train, elle sait que je vais reprendre mes esprits de luxures. Son doigt rejoint sa place à lintérieur de mon ventre. Les aller et venue me donne une autre occasion de partir dans un autre orgasme. Cest bon.

Nous nous levons, elle fini de me déshabiller, en fait autant pour elle. Rien que de voir un peu sa chatte rasée, elle me donne envie de la branler. Sans rien demander je pose ma main sur elle. Cette fois nous sommes assises nue, la main sur la chatte de lautre. Nous nous masturbons. Je sens son sexe aussi mouillé que le mien. Je passe une cuisse sur la sienne pour être plus ouverte. Dès quelle jouit elle soccupe de moi à sa façon. Elle me laisse assise pour venir sassoir sur la moquette, face à moi. Je vois bien son visage venir sur mon sexe. Jécarte encore plus les jambes pour accueillir sa langue.

Elle me lèche partout même là où je ne vais jamais. Pour être mieux léchée je passe mes jambes sur ses épaules. Maintenant je suis totalement offerte à ses caresses linguales. Je gémis sans arrêt, jai la tête en arrière, mes mains sur mes seins. Je dois ressembler à un tableau érotique du XVIII ° siècle.

Il me semble jouir sans arrêt depuis une bonne demi-heure. Je suis complètement épuisée : pourtant jen veux encore. Que cest bon de se faire faire lamour par une fille. Quand jen parlerai à mon mec, il ne me croira pas et pourtant sil était là il verrait comment je me donne à une autre.

Maintenant il faut bien que je la fasse jouir aussi. Elle vient près de moi, me donne sa bouche pour membrasser : elle a goût à ma chatte. Elle me fait descendre par la moquette en ouvrant ses jambes. Je dois me montrer au moins capable de la faire jouir. Elle sest bien avancée sur le bord du divan. Sa jambe écartée montre le passage. Je vois toute sa chatte. Elle est rosée, entourée de lèvres épaisses. Je vois tout en haut jaillir le bouton. Je ne sais que faire, alors le lèche les lèvres pour le trouver souples, trop sans doute puisque je suis sur son trou trop vite. Jy entre pour trouver une caverne chaude accueillante qui me donne envie dy rester. Je suis dans une ambiance de femme en chaleur : lodeur me grise. Je ne parle pas du gout, comme le mien. Ma langue va et vient dans son vagin. Je lentends gémir. Je continue jusquau moment ou les spasmes de jouissance me bloquent presque la sortie.

Au moment où nous allions arrêter la porte du cabinet souvre brusquement. Cest mon amant qui vient me chercher. Il sarrête net sur le pas de la porte avant de venir vers moi.

— Tu baise avec des filles maintenant ?

— Nous jessayais.

— Résultat ?

— Tu devrais baiser avec nous.

Il ne se fait pas prier. Vite nu, il ne sintéresse pas à moi : il embrasse mon amante dont je connais juste le nom de famille.

— Je suis Gisèle et toi ?

— Moi, Lucien.

— Baise-moi Lucien.

Elle se couche sur le divan les jambes ouvertes offerte comme une sacrifiée à un dieu antique. Lucien vient sur elle, commence à la caresser. Je lui prends sa bite pour quil la rendre dans le trou correspondant. Je regarde curieuse comment entre une bite dans une chatte. Cest excitant ; je pense aux plaisirs des deux amants : je me masturbe devant eux sans remord. Gisèle gémit encore plus quavec moi. Je vois les spasmes de son orgasme. De ses orgasmes. Elle jouit comme une folle avec la bite de mon amant dans le ventre. Jespère quil va lenculer. Il sort delle, me regarde un instant en me disant merci. Merci de lui avoir permis de baiser devant moi une autre fille ? Il la fait tourner pour se mettre sur ses fesses. Je sais maintenant ce quil vise. Tant mieux. Je laide à mettre sa bite sur le cul de mon amante. Je regarde comment son petit trou souvre en se contractant un peu. Je vois la bite aller et venir. Je vois surtout quand elle jouit.

Je vais devant la bouche de Gisèle qui comprend vite ce que je veux. Sa langue revient là doù elle naurait pas du partir : sur mon anus, dans mon anus. Elle me fait encore jouir.

Lucien se lève, il vient de jouir. Je pensais quil allait me baiser devant Gisèle : il lui faut attendre de reprendre des forces. Je connais le remède qui le fait vite bander : sa bite dans ma bouche et deux doigts dans son cul. Ça ne manque pas, il est vite en forme.

Enfin à mon tour de me faire mettre là où il veut. Il prend dabord ma bouche pour le faire bander encore plus, puis il vient sur mon ventre pour baiser. Il me semble quil grossit encore plus. Son poids ne me gène pas du tout. Je sens sa queue au fond de mon con. Il me fait encore jouir. Alors il me met en levrette. Gisèle comprend : elle vient sous moi pour me sucer pendant quil mencule. Cest plus que bon de sentir son ventre contre mes fesses, sa queue au fond du cul et la langue de la fille sur le clitoris ainsi que la mienne sur le sien. Nous arrivons à jouir ensemble.

La nuit est tombée depuis longtemps quand nous sortons à lair libre. Un baiser vite donné à Gisèle: nous nous séparons. Nous allons baiser avec Lucien en couple normal. Quelle journée de baise.

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