" Et je prierais à notre lauréate de ce soir de venir sur l’estrade, pour se faire remettre son prix. J’ai nommé Sabine. Pour le prix de la meilleure employée de l’année 2018 !
Sous vos applaudissements, Sabine rejoins-moi ! "
Sabine, très intimidée, monta les marches, pour rejoindre René Didrot, le directeur adjoint et "Monsieur Loyal" de la soirée, qui clôturait le séminaire. Sabine qui avait une oreillette très discrète, cachée dans son bijou d’oreille, entendait les ordres stricts et clairs de sa Némésis : Clémence !
Sabine, je peux tout observer depuis les écrans de surveillance, et j’ai le regret de te dire que tu n’as pas respecté ta part du contrat. On commence par un petit audio ! Et la musique se coupa pour laisser entendre la voix de Sabine, gémir sous les assauts d’un homme… scène filmée à la plage :
Hummm, oh ouiiiii ! Encore ! "
René se figea :
Ah, notre amie Sabine est tellement contente de recevoir son prix, qu’elle en gémit d’avance… je crois qu’il y a un perturbateur comique quelque part… peut-être pourrions-nous en savoir un peu plus… une image pour illustrer, par exemple ?
Un grand silence se fit dans la salle, chacun des hommes présents, espérant le miracle : voir une vidéo de la bombe sexuelle brune aux yeux bleus, sur le plateau, en pleine action…
Mais non ! Notre comique s’est tu… dommage. Bon, reprenons ! Alors Sabine, quelles ont été tes motivations pour travailler avec cet acharnement ?
Heu… ma famille… mais surtout notre sympathique PDG, et ma copine Cécile, sans qui rien n’aurait été possible… on pourrait les avoir à nos côtés ?
Mais bien sûr ! Max, Max ! Viens nous voir et amène la jolie créature aux yeux verts, à côté de toi !
Cécile, sentant le coup fourré, elle n’aurait su dire quoi, mais son instinct lui criait qu’il allait y avoir un gros, gros problème, regimba, mais dut néanmoins obéir : aux cris de la foule, aux sollicitations de son boss, et aux appels publics du " Monsieur loyal" de la soirée !
Il aurait été fort discourtois de refuser quoi que ce fut au grand patron, qui vous avait invité à sa table… immense privilège ! Privilège dont les courtisanes disgraciées se sentaient frustrées, et lançaient, pour se venger, des regards venimeux à la blonde aux yeux verts, qui montait sur l’estrade… si elles avaient su !?
Max enlaça son nouveau petit canon, Sabine, et lui déposa une bise chaste sur la joue… celle-ci s’empourpra.
René Didrot remit alors un gros bouquet de fleurs à la lauréate, ainsi qu’une enveloppe pour un voyage paradisiaque de quinze jours, pour deux personnes, dont l’on voyait les images sur l’écran, en arrière de la scène !
René Didrot s’adressa de nouveau à Sabine :
Et qu’est-ce qui te ferait plaisir Sabine ? Ce soir, c’est ta soirée, tu peux tout demander. Fais un vu !
Cécile de plus en plus mal à l’aise sentait que quelque chose clochait ici… quelque chose lui échappait. Sabine la regarda avec supplication. Elle venait de recevoir le dernier message de Clémence : " sa culotte "
Je peux vraiment tout demander ? On a fait un pari avec Cécile. La gagnante devrait retirer sa culotte sur scène et la donner à l’autre !
Ouah ! Et comme c’est toi qui as gagné… Cécile, tu sais ce qu’il te reste à faire !
Cécile toute blanche, une expression médusée sur le visage, secoua énergiquement la tête.
Fais-le, lui souffla Sabine, sinon.
Mais Cécile s’emmura dans son mutisme. Alors la musique d’ambiance cessa une fois de plus, de même que les images paradisiaques des îles tropicales, et pendant 6 secondes, chacun put voir avec un filtre foncé, deux femmes faire l’amour, nues sur cette fameuse plage !
Celle-ci se reconnut, en plein plaisir saphique avec sa nièce Clémence, sur l’écran de contrôle, tandis que des sifflets retentissaient et qu’une cohue indescriptible gagnait toute la salle de spectacle.
Ouiii ! A poil ! A poil !
Cécile et Sabine étaient figées. Cette dernière murmura :
Fais-le, elle" vient de me dire qu’elle passait 20 secondes de la suite de la vidéo… sans filtre ! Tout le monde te reconnaîtra en train de faire l’amour avec ta nièce Clémence !
Mais qui ? Bordel !
Te le dirai plus tard… mais elle nous tient ! "
Cécile livide, l’air furibard, releva un peu sa jupe de tailleur, et farfouillant dessous, descendit sa culotte, un string blanc qu’elle enjamba et le tendit à Sabine. Le PDG lui fit lever le bras, pour présenter le trophée, sous les cris de délire de la salle !
Et bien bravo… un défi étonnant, mais somme toute bon enfant, lança le.
M. Loyal", les yeux brillants.
J’ai pas fini ! sexclama Sabine, sous les yeux exorbités de Cécile. Le défi complet était : celle qui perd doit se mettre nue en porte-jarretelles sous ses vêtements… moi j’avais déjà prévu, affirma Sabine, en regardant Cécile avec un regard fataliste, comme pour dire : " je suis désolée".
Ah bon ?! Et tu peux le prouver ? Tenta René…
Bien sûr. "
Et sabine, relevant doucement sa robe moulante jaune, jusqu’au bassin, et se plaçant de trois quarts profil vers l’arrière, montra un morceau de sa fesse gauche dénudée, la fin de son bas et son porte-jarretelles noir… prouvant qu’elle était bien, comme les soldats de l’An I, sans culotte !
René Didrot et Maxime Duprét avaient les yeux fiévreux ! Ils avaient bien vu Sabine, la si autrefois prude, chaste et chiante Sabine, leur montrer une partie de son magnifique petit cul bronzé… et le petit triangle de sa petite chatte, à la dérobée. Max, le boss, se dit que la soirée prenait une tournure inattendue, mais très excitante ! En plus, qui était ce mystérieux personnage, qui passait des morceaux de vidéo porno sur l’écran central ? Enfin, il n’allait pas commencer une enquête… il voulait les deux femmes mûres pour la deuxième partie de soirée… et cela en prenait le chemin !
Cécile fit mine de tout plaquer, horriblement vexée, Sabine la rattrapa et lui dit :
Non, ne fais pas cette bêtise ! C’est Clémence qui nous tient par la pointe des seins. Tu lui désobéis et elle passe les vidéos entières, non floutées de mes…
Alors ma chère tante… ici c’est Clémence… et je n’en aurai aucune à ton encontre. Ah, tu m’as rejetée quand on a discuté en voiture ! Maintenant tu es à moi… vous êtes toutes les deux mes jouets ! Alors obéis aux ordres ! Sinon ! Et garde l’oreillette, c’est à toi que je vais dicter mes volontés !
Et nouvelle bribe de vidéo non floutée cette fois-ci, avec Clémence nue sur le corps de sa tante, en train de la gamahucher… Cécile allait relever son visage quand la vidéo stoppa !
Alors Cécile, anéantie, brisée, vaincue, agissant comme dans un rêve, les yeux exorbités, un regard hébété sur le visage, déboutonna lentement son chemisier, sans même se tourner, en plein en face d’une salle survoltée de mecs en rut, qui ne croyaient plus en leur chance, de voir l’un des petits canons de la société, faire un striptease sur la scène du séminaire !
René Didrot, quoique très excité de voir la femme se foutre à poil, à deux mètres de lui, jeta un regard interrogateur à son boss, Max. Celui-ci relativement ennuyé par la tournure des événements, devait prendre une décision impérative… et rapide, car sa salariée allait très vite se retrouver à poil sur la scène de son séminaire… et comme il y avait des journalistes dans la salle ! Alors en grand capitaine d’industrie, il prit la seule décision bénéfique pour son entreprise et… son envie de se faire les deux catins. Il ordonna par son micro caché, à l’un de ses machinistes, de baisser la lumière, pour que seule l’ombre de la femme soit perceptible, et de lui amener un porte-jarretelles et une paire de bas, ainsi qu’une chaise !
Alors, comme dans un bon show érotique du "Crazy Horse", on vit la femme en ombre chinoise, tamisée par la lumière faible et indirecte, retirer sa veste de tailleur, ouvrir son chemisier, le laisser tomber par terre, puis enlever son soutien-gorge. Chacun put deviner la splendide poitrine aux tétons dressés, sur le mur du fond. Puis elle laissa aussi tomber sa jupe du tailleur. Cécile était complètement nue sur la scène, et Sabine, Max et René pouvaient eux, la voir plus en détail… Max s’en léchait les babines pour la suite !
Alors que l’un de machinistes laissait une chaise sur la scène, derrière la femme à poil, ainsi que le porte-jarretelles et la paire de bas, celle-ci comme une pro, posa une jambe effilée sur la chaise, mit le porte-jarretelles, et doucement monta un bas, entourant sa splendide jambe nue, avec ses mains, qu’elle clipsa aux deux jarretelles, puis exécuta le même manège avec l’autre jambe. Alors, elle revêtit sa jupe, son chemisier et sa veste de tailleur, sur son corps quasi nu. Les lumières se rallumèrent, et un déchaînement de hourras, sifflets, cris d’excitation suivirent le silence religieux, qui s’était fait pendant l’exhibition érotique !
Eeeeeet bieeeeeennn ! sécria un René Didrot chauffé à blanc. On en reste tout ébahi ! Bravo à Cécile, qui a relevé brillamment le défi de son amie Sabine… la prochaine fois les filles, faites un pari… moins "hot"… ou prévenez-nous avant ! Bon, je crois que vous avez bien mérité une bonne coupe de champagne, à la table de notre sémillant PDG ! Pour Max, Hip hip hip !
Houuuurrrrrras !
Et maintenant la suite de la remise des prix, et après le grand numéro de cabaret !
Les deux femmes, ayant chacune un bras de leur boss, leur entourant la taille, descendirent de l’estrade, sous les applaudissements d’une salle en délire, et vinrent rejoindre la petite alcôve discrète, où il allait pouvoir s’en passer des choses ! Max avait deux belles petites salopes, exhibitionnistes et chaudes comme la braise, nues sous leurs vêtements, dont il allait se dépêcher d’étancher la soif, avec force champagne millésimé !
Clémence de son côté, donna ses nouvelles instructions à Cécile, qui avalant sa première coupe de champagne cul sec, pour oublier la honte publique, et pour se donner du courage, sentit la main de son boss, bel homme bien bâti de 53 ans, se poser possessivement sur sa cuisse. Lui jetant un coup d’il appréciateur, et lui faisant un grand sourire, elle se dit qu’après tout, ce ne serait pas si terrible que ça… même plutôt agréable… et puis, il y aurait peut être de la promotion à la clé !
Alors pourquoi ne pas allier l’utile à l’agréable !
Clémence, elle, avait incliné une des caméras juste au-dessus de la petite alcôve, si discrète, si en arrière des regards des autres spectateurs. Elle, elle allait pouvoir assister en direct à tout le jeu érotique qu’elle allait initier, par ses demandes dans l’oreillette de Cécile. Quelle satisfaction et quelle excitation intellectuelle, de voir ces deux femmes, "bonnes-surs" coincées transformées en "salopes de compétition", téléguidées par ses propres fantasmes, et son imagination sexuelle délirante.
Une main dans son pantalon de machiniste, elle se caressait langoureusement le clitoris, alors que les hostilités avaient débuté, en dessous de la caméra ! Évidemment elle enregistrait tout… nouveau moyen de s’immiscer dans la famille de Sabine, et de profiter des ardeurs de ses trois fils, et peut-être de sa fille Laurie… et après, que pourraient donc bien penser Christophe et Pierre, maris des deux femmes bientôt débauchées, des élucubrations pornos de leurs épouses attentionnées ?
Elle en mouillait d’avance !