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Une occasion – Chapitre 1




Une occasion (1)

Jétais marié depuis trois ans et nous attendions notre premier enfant. Ma femme était partie se reposer chez ses parents et jétais seul depuis huit jours. Cétait un samedi soir et jétais allé dîner dans un petit restaurant, puis javais bu quelques bières dans un bar, à regarder un match de foot à la télé , dans une ambiance chaleureuse.

Rentrant chez moi à pied, échauffé et détendu, je longeais le parc principal de la ville, au bord du fleuve. Pris dune forte envie de pisser, je me souvenais quil y avait des toilettes non loin de là. Par une allée ombragée et assez sombre, je me dirigeais vers lédicule faiblement éclairé. En entrant, je constatais quil y avait trois hommes en train de se soulager. Je pris place devant lurinoir, ouvrit ma braguette, sortit mon pénis et commençais à me vider. Javais à ma gauche un homme mûr, chauve et bedonnant et un peu plus loin , à ma droite un grand noir, baraqué. Pourquoi ais-je regardé leurs sexes ? Ce fut plus fort que moi. Jobservais alors quils ne pissaient pas, mais se caressaient la verge, une petite et épaisse pour mon voisin de gauche, un long manche noir et raide pour mon voisin de droite qui avait aussi dégagé ses couilles de son pantalon, grosses, velues et pendantes. A cette vue, je me mis à bander. Affolé, je rangeais ma bite précipitamment dans mon slip et me dirigeais vers la sortie en refermant ma braguette.

Je croisais sur le seuil un homme denviron 40 ans, grand, mince, les cheveux châtains coupés court, à lallure décidée, qui allait entrer. Il me dévisagea sans parler, avec un léger sourire, tandis que dans ma précipitation je le heurtais légèrement en passant. Je me dirigeais vers le fleuve, constatant quil avait fait demi tour et me suivait à distance. Surpris, je fis mine de rien et maccoudais à la rambarde, regardant le courant. Le cur battant, jentendais des pas se rapprocher, me demandant si javais fais une touche, que me voulait cet homme et comment réagir

A 31 ans, jétais un hétéro affirmé et jamais je navais eu la moindre aventure à caractère sexuel avec un garçon. Que marrivait-il ce soir là ? Bander à la vue de verges dressées, me laisser suivre par un homme, et maintenant le cur battant la chamade à lapproche de ce mâle ?

Lorsque je lai senti derrière moi, tout proche, je me suis figé, la sueur au front, la bouche sèche. Une voix grave ma alors demandé : « Vous attendez quel quun ? » Dune voix étranglée je répondis simplement « Non ». Une main me saisit alors la taille et la voix reprit : « Nayez pas peur, je ne vous veux aucun mal. Je cherche simplement un peu de chaleur humaine et vous aussi sans doute ». Sa main descendit sur mes fesses, les caressant par dessus le pantalon de toile et le slip, ce qui me fit frissonner. La voix grave reprit : « Je mappelle Daniel et comme vous je suis marié. Jai vu votre alliance. Sans doute, comme moi, êtes vous en manque ».

Je me retournais brusquement pour faire cesser cette caresse qui menflammait et le regardais. Il était bel homme, avec une figure virile, une bouche bien ourlée, des yeux qui me fixaient franchement.. Bêtement, je ne sus que lui dire : « Vous êtes marié et vous vous intéressez aux hommes ? » « Pas vous ? » me répondit-il avec ironie en posant sa main sur mon sexe dressé dans mon pantalon. « Pourtant vous bandez. Je suis seul à la maison, ma voiture est garée à deux pas, je vous invite à venir prendre un remontant ».

Son geste appuyé mavait fait monter le sang au visage, mais aussi dans ma bite qui, emprisonnée par le slip, tendait maintenant lélastique pour mieux sémanciper. Au fond, jétais en manque, cest vrai. Je navais plus baisé depuis un mois et cet homme avait bon genre, était plutôt séduisant et avait lair franc du collier. Pourquoi ne pas tenter lexpérience ? On dit que les hommes sont plus habiles que les femmes lors de certains actes sexuels, comme la fellation. Un de mes fantasmes ! Or ma femme, très prude sy serait refusée et je navais jamais osé le lui demander. Me prenant par lépaule, Daniel mentraîna. Je me retrouvais bientôt dans sa voiture, assis à sa droite, en route pour une banlieue inconnue. Tout en conduisant, Daniel me posait sa main tantôt sur ma cuisse, tantôt sur mon genou, ce qui me procurait des poussées dadrénaline. Ma verge tendue et comprimée me faisait mal. Heureusement nous sommes bientôt arrivés chez lui. Cétait une villa cossue, dans un grand jardin.

Le seuil franchi, il ma entraîné au salon et, me pressant contre lui, ma embrassé fougueusement de ses lèvres charnues. Je mabandonnais à cette étreinte, entrouvrais la bouche et laissais pénétrer sa langue râpeuse et humide à la rencontre de la mienne. Ses mains pétrissaient mes fesses, puis cherchèrent à sinsinuer sous la ceinture du pantalon et lélastique du slip, pour du bout des doigts effleurer ma peau. Répondant à son baiser, je lui saisissais la nuque, lui caressais les cheveux et de ma langue léchais la sienne, nos baves mêlées

Me relâchant et sécartant, il me dit de sa voix grave et chaude : « Déshabilles toi ». Là, dans ce salon violemment éclairé, en présence des photographies de sa femme et de ses 4 enfants ? Voyant mon étonnement, Daniel entreprit de déboucler ma ceinture, disant : « Oui là. Je veux te voir nu devant moi, dans cette pièce de séjour où je vis avec ma famille, mes amis. Tu me plais énormément et cela mexcite diablement davoir à initier un jeune mec comme toi. Je suis certain que tu nas jamais couché avec un garçon et que tu en as envie ».

Cétait vrai. Subitement jen avais envie Tout mon corps vibrait sous les mains puissantes de cet homme plus âgé que moi, qui commençait à descendre la tirette de ma braguette en disant avec douceur : »Je vais libérer ce sexe qui souffre dans son antre obscur et étroit ». Pendant quil faisait glisser mon pantalon à mes pieds, pris dune fièvre subite, je me débarrassais de mon polo et le jetais sur un canapé proche, exhibant ma poitrine glabre aux tétons bruns, dressés. Daniel entreprit de me retirer mes chaussures et je levais successivement mes deux pieds pour me débarrasser du pantalon qui mentravait. Je me retrouvais en slip blanc et chaussettes blanches, au milieu de la pièce, devant cet homme encore vêtu.

Sapprochant, il se mit à me caresser sur tout le corps, cou, épaules, bras, poitrine, ventre, dos, fesses, glissant ses mains sous mon slip pour toucher la peau de celles-ci et ma raie humide, puis palpant laine, pour venir enfin sur la touffe de mon pubis, surfer sur ma tige bien raide, effleurer le gland qui dépassait du slip, puis descendant sur les jambes. Je navais jamais rien ressenti de tel. Un homme me caressait aux endroits les plus intimes, je lui abandonnais mon corps et je ne ressentais aucune gène, aucune crainte, aucune honte. Haletant, je buvais littéralement ces instants magiques. Tout mon être tendu vers ces mains viriles qui me mettaient hors de moi.

Soudain, prenant à deux mains lélastique de mon slip, il a descendu lentement ce dernier, dégageant entièrement mon sexe et mon cul. Le slip à mes pieds, à poil, le vit bandant ses 23 cm vers mon nombril, le gland violacé, les bourses gonflées, le visage cramoisi, je regardais Daniel se dévêtir à son tour, avec dextérité et sans gène. Il fut bientôt nu comme moi. Il était bien bâti, le bougre et bien membré. Un sexe long et épais pendait entre ses jambes, entre une touffe de poils bruns très fournie et des couilles volumineuses et velues. Musclé, le ventre plat, du poil sur la poitrine, le ventre et les jambes, cétait un mâle dans toute sa puissance et sa maturité. Je me jetais sur lui pour létreindre, ma verge contre la sienne, que je sentais se gonfler de désir et se raidir, mes mains pressant ses fesses couvertes dun doux tapis de poils souples, fermes et rondes.

Désormais jétais à lui, prêt à tout, livré, soumis, respirant son odeur virile, aspirant sa salive dans un nouveau baiser passionné, frottant ma peau contre la sienne, ma verge pressée contre son sexe et espérant, sans me le dire, goûter sa semence dhomme et de père.

(à suivre)

Patrocle

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