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La jeune et grande brute – Chapitre 3




Je commençai à me dandiner, d’abord maladroitement, puis me laissant guider par la musique, les mouvements se firent naturellement plus fluides et sensuels. Balançant mes petites fesses de droite à gauche, je fis glisser mes mains le long de ma taille, puis du long de mon buste, pour finir par les perdre dans mon abondante chevelure blonde. Je relevai lentement mes cheveux au-dessus de ma tête comme pour faire un chignon, puis je les relâchai sensuellement pour qu’ils tombent devant mes yeux, en cascade de longues mèches à travers lesquels j’adressai des regards désireux à mon immense maîtresse. Comme ensorcelé par la présence écrasante et castratrice du corps sculptural de Sylvia, vidé de ma virilité par son aptitude irréelle à porter et soulever mon corps comme s’il ne pesait rien, féminisé par les vêtements en dentelle pour adolescente chétive qui m’allaient à la perfection, j’avais totalement perdu le contrôle de ma volonté et me laissait aller au désir d’exciter mon amazone.

Je crois que Sylvia fût elle-même surprise de la sensualité du spectacle que j’offrais et me regardais avec un petit sourire en coin sadique. Je m’approchai de la jeune ogresse à pas lents, croisant mes jambes comme un mannequin qui défile. Arrivé devant la géante assise, je me retournai pour frotter mon petit cul contre son phallus dressé. Je frémis au contact de l’énorme organe de plastique. C’en était trop pour l’amazone qui ne pouvait résister plus longtemps à mes appels de chienne en chaleur.

Bon sang, tu es vraiment trop bonne. Tu vas voir ce que tu vas prendre, petite pute !

Sylvia, à qui je tournai toujours le dos, baissa brutalement ma petite culotte jusqu’à mi-cuisses, plaça ses énormes mains autour de ma taille de guêpe, et me souleva comme si je n’étais qu’une poupée gonflable. Alors que mon corps chétif était maintenu en l’air uniquement par la force de ses bras et que mes jambes battaient dans le vide, Sylvia salivait devant mon petit fessier qu’elle était sur le point de déflorer.

Tu as un petit cul si désirable ! Je n’en reviens toujours pas que cette culotte de midinette en 36 t’aille si bien !

Fléchissant légèrement ses bras, elle agitait mon corps pour que ma raie frotte contre son chibre et quand elle estima que j’étais suffisamment excité, elle appuya le bout de sa grosse bite contre ma petite rondelle. Devant la résistance de mon anus peu habitué à ce traitement, la jeune brute appuya de plus en plus fort jusqu’à ce que mon sphincter cède brutalement. Alors que seul le gland de son chibre artificiel était en moi, j’avais déjà l’impression d’être totalement rempli. Je gémissais à la fois de douleur et de plaisir, encourageant Sylvia à m’empaler plus profondément encore. Augmentant encore la pression, elle me fit coulisser sur son pénis jusqu’à ce que mes petites fesses entrent en contact avec son pubis et que je sente sa toison si large qu’elle couvrait toute la surface de mon petit séant. J’écartais un peu mes jambes qui pendaient dans le vide pour atténuer la douleur et faciliter le passage du monstrueux pénis.

Je n’osais bouger de peur que mes organes n’explosent, laissant à ma maîtresse l’initiative de me manipuler comme elle le voulait. Sylvia m’avait à sa merci et avait bien l’intention de jouer avec mon petit corps. La grande brute commença à me faire coulisser d’avant en arrière, de plus en plus vite et de plus en plus fort. Le pubis de la géante percutait mes petites fesses à chacun de ses puissants coups de reins. Elle se mit à agiter mes 55 kilos par la seule force de ses énormes bras musclés avec une fréquence qui n’en finissait pas d’augmenter. Alors que j’étais à la limite de perdre connaissance sous le tremblement de terre que Sylvia m’imposait, je sentis une vague de chaleur m’envahir le bas-ventre, et mon clitoris éjecta quelques gouttes de spermes qui s’écrasèrent sur le sol. Je poussai de petits couinements aigus dont je ne croyais pas mes cordes vocales capables, pendant que Sylvia grognait comme un taureau en rut sur la petite génisse que j’étais.

Sylvia, satisfaite par mes râles de pucelle, cessa de m’agiter. Me soulevant sans effort, elle me dés-empala du long chibre de plastique, laissant mon anus de vierge hyperdilaté et béant face à son regard comblé.

Te voilà dépucelée ma mignonne. Tu saignes un peu, mais tu as bien encaissé.

Elle me fit pivoter pour coincer fermement mon petit corps sous son bras gauche et avoir accès à mon petit trou meurtri. Elle saisit un tube de gel dont elle m’enduit copieusement la rondelle du bout de son gros index et le soulagement fut si rapide que j’en gémis de plaisir.

Tu es définitivement une jouisseuse du cul. A peine on effleure ta chatte que tu gémis comme une vierge en chaleur.

Toujours en me maintenant sous son bras, Sylvia alla sasseoir sur le lit. Elle me fit basculer pour me déposer sur sa large jambe droite. Mes cuisses d’araignée paraissaient ridicules contre ses quadriceps surpuissants. Après un tel traitement, mon corps était mou comme du chiffon et je m’effondrai sur l’énorme sein droit de Sylvia, tentant de reprendre mon souffle. Ma culotte baissée jusqu’au genoux me donnait l’air d’une traînée dans laquelle on s’était vidé les couilles. La géante caressait mes jambes dont la finesse et la douceur la fascinaient encore. Sa main finit sur mes fesses et elle était si large qu’elle pouvait entièrement les recouvrir. Elle pétrissait mon petit cul comme une brioche. Je me sentais si bien, habillé comme une pute, mon faible poids reposant totalement sur la cuisse musclée d’une jeune géante qui venait de me sodomiser comme une poupée gonflable.

Tu t’es bien débrouillée. Je pense que mes copines du club de rugby vont beaucoup apprécier la vidéo.

Je regardai la belle d’un regard empli d’interrogation et de terreur. Tournant la tête, je vis les caméras aux 4 coins de la chambre. Sylvia me montra alors une tablette sur laquelle on pouvait voir ce qu’elles filmaient en temps réel. Mon cur sauta dans ma poitrine quand je vis la scène: une petite blonde aux cheveux longs, mince et fine comme une danseuse étoile, avec un slip en dentelle baissée à hauteur des genoux laissant apparaître un sexe féminin totalement épilé, était assise sur la cuisse large et musclée d’une jeune géante à la carrure d’athlète, bardée d’un chibre à l’érection permanent qui oscillait sur ses mouvements. Zoomant sur mon visage, je vis mes yeux autour desquels mes larmes avaient étalé le rimmel. Je paraissais si pitoyable et faible à côté du corps large et musclé de Sylvia. Elle lança la vidéo qui s’était déclenchée quand j’étais entré dans la cuisine. Je me vis mille fois soulevé, porté, manipulé, maquillé, sodomisé.

La géante m’avait utilisé comme une poupée de chiffon, faible et légère, pour satisfaire ses instincts sadiques. Je me mis à sangloter. La porte de la chambre s’ouvrit. Laura entra, nue et rayonnante. Elle ne m’adressa même pas un regard tellement ses yeux étaient connectés à ceux de Sylvia.

Tu t’es bien amusé ma grande ! C’est bien la première fois que je te vois le manipuler avec autant de facilité. Est-il aussi léger que ça ?

Oui ! C’est à peine si je sens son poids. Et tu as vu comme cette lingerie lui va bien ? Je crois que l’on a trouvé la victime parfaite !

Je restais médusé. Laura avait tout suivi par le truchement des caméras. Je fixai les deux complices, cherchant une explication que je n’osais demander. Laura s’approcha et vint se lover comme une chatte sur la cuisse gauche de Sylvia. L’amazone supportait maintenant nos deux poids, sans que ça ne la gêne le moins du monde. Laura palpait le sein gauche de son énorme amante avec sa petite main.

Ils ont encore grossi ! C’est à peine si j’arrive à le soulever !

J’ai dû encore prendre 2 tailles de bonnet. Il faut dire que mes pectoraux ont encore dû prendre du volume maintenant que je pousse 200 kilos au développé couché.

Cette nouvelle sembla exciter Laura qui se mit à regarder Sylvia avec des yeux énamourés.

Tu es si forte ma belle…

Elle se dressa contre le buste de la géante pour l’embrasser toridement. Elle frottait son corps minuscule et bien dessiné contre l’énorme poitrine de ma maîtresse, pendant que celle-ci caressait ses petites fesses. Détachant ses lèvres de celle qu’elle disait sa fille, Laura daigna me regarder.

Tu l’as compris j’espère, Sylvia n’est pas ma fille, mais mon amante et j’aime jouer les rabatteuses de petit minet comme toi pour qu’elle satisfasse ses instincts. Quand je t’ai vu nageant dans ce costume bien trop grand pour toi à ce repas, je me suis dit que tu serais parfait. J’en ai eu la confirmation la première fois que je t’ai vu nu. Ton corps imberbe est si mince et tes membres si fins. Je me doutais que tu étais léger comme une plume et que Sylvia allait te malmener avec facilité, ce qu’elle adore par-dessus tout. Je ne parle même pas de ton micro pénis ! Je savais que Sylvia allait en faire un clitoris parfait.

Je me mis à pleurer à nouveau face à cet aveu lapidaire. Mon mascara s’étala un peu plus et me donna l’air encore plus pitoyable. Sylvia prit la parole.

Il va falloir nous laisser. Maintenant que je me suis échauffée avec toi, je vais faire l’amour à ma petite princesse.

D’une puissante impulsion de sa jambe, elle m’éjecta de son giron. Peu habitué à marcher avec des talons et gêné par la culotte qui entravait mes genoux, je tombai à quatre pattes, exposant mon petit anus encore dilaté et luisant de gel à mes deux maîtresses. Sylvia s’esclaffa.

Regarde-moi cette petite traînée, à quatre pattes, la culotte baissée, le maquillage étalé. C’est un vrai garage à bite !

Elle saisit son portable pour me prendre en photo.

Celle-là, elle est d’anthologie, je vais la mettre en fond d’écran.

Je sanglotais sur le sol quand Sylvia me lança un ordre.

Prends le sac qui est sur cette chaise ! C’est la tenue que tu mettras demain pour venir pour me chercher dans les vestiaires du club à 17H. Mes copines t’attendent et elles doivent être très excitées par la vidéo. Ne sois pas en retard !

Je me relevai tant bien que mal sur mes talons aiguilles et remis ma culotte en place. Sylvia ne perdait pas une goutte du spectacle pitoyable que j’offrais, faisant glisser le petit slip sur mes jambes filiformes. Je pris le sac dans lequel je jetais un coup d’il rapide. Je vis qu’il contenait de la lingerie rose fluo, une minuscule minijupe en jean, des bas résille, un chemisier blanc qui avait l’air ultra-transparent, ainsi qu’un nécessaire à maquillage. A ma grande surprise, je sentais des papillons d’excitation dans mon ventre à l’idée de me vêtir ainsi, pour aller dans un vestiaire rempli de jeunes amazones du calibre de Sylvia.

Une dernière chose : Va directement dans le vestiaire B, ne traîne pas dans les couloirs. Les hommes s’entraînent en même temps que nous et s’ils te voient comme ça, tu vas passer à la casserole. Même si ça t’excite, c’est hors de question qu’ils s’occupent de toi avant nous !

L’idée de me retrouver dans cette tenue au milieu d’une équipe de colosses poilus déclencha une décharge d’adrénaline qui me fit trembler de plaisir. Vivement demain !

A suivre ? Si ça vous plaît toujours ? Un petit commentaire est toujours le bienvenu.

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