Salut c’est votre folle de lycra
Je suis Franck, trente cinq ans, un mètre soixante dix-huit; je travaille au ministère de l’éducation à la station Arcueil sur le RER B. Là où je travaille je suis plutôt entouré de femmes, à force de papoter avec elles, je suis devenu très complice et nous ne nous cachons rien, même au niveau des problèmes intimes. Après douze ans à ne travailler qu’avec des femmes, j’étais incollable sur les dessous féminins, j’étais au courant des problèmes intimes de chacune. J’étais même au courant des préférences sexuelles de mes collègues au niveau des positions et plus encore. Huit de mes collègues étaient plus ou moins fraîchement ménopausées. C’est ainsi que certaines se confessaient d’avoir perdu toute envie sexuelle, la raison principale étant un assèchement vaginale. D’après ce que j’avais compris, maintenant lors d’un rapport sexuel, ce dernier était douloureux car elles ne lubrifiaient plus suffisamment.
Plusieurs d’entre elles disaient qu’elles n’avaient de rapports maintenant qu’à l’aide de petites capsules lubrifiantes déposées au préalable dans leur vagin. Je vous avais dit, à force de fréquenter les femmes, j’étais un expert sur leurs problèmes intimes. Une fois, alors que nous étions une bonne dizaine à converser, je ne sais pas ce qui m’a pris mais j’ai répondu à ces femmes qu’il fallait que Monsieur les préparent un peu mieux. Bien évidemment, il a fallu que j’entre dans les détails et c’est alors que je leur ai expliqué que les caresses préliminaires étaient vraiment très importantes. Je me suis fait chambrer et elles voulaient avoir plus de détails, j’en avais trop dit il fallait maintenant que je me dévoile et que je leur donne envie d’en demander plus à leur mari. Ce jour-là la pause café au rez-de-chaussée a été un peu plus longue que d’habitude mais surtout ma dizaine de collègues féminines étaient toute ouïe à mes propos.
Mes propos étaient les suivants, il fallait qu’elles apprennent à leur mari à ce qu’il leurs donnent des petits coups de langue mais surtout que ces derniers soient moins avares de leurs caresses. Il faut que les hommes prennent un peu plus de temps pour mettre leur dame en condition, les femmes écoutaient mes paroles, j’avais même l’impression qu’elle les buvaient. Ce n’était pas la première fois mais nous étions en train de fortement déborder sur notre pause et c’est moi qui leur ai rappelé que nous étions au boulot il fallait quand même un peu bosser. Notre bâtiment faisait sept étages et était en forme de croix, nous étions au troisième étage et dans une même branche de cette croix. Nous avons tous réintégré nos postes et nous sommes remis au boulot, j’étais le seul mec de l’étage et deux femmes se trouvaient dans mon bureau. Pour vous faire une idée j’étais au courant de ce que portaient comme dessous une dizaine de collègues, car elles venaient très souvent se montrer leurs derniers achats, dessous inclus. Tout cela dans notre bureau car c’était le plus grand et qu’il était au fond du couloir.
Il arrivait même parfois que j’ai mon avis à donner sur ce qu’elles venaient de s’acheter, après plus de 10 ans d’ancienneté mon avis commençait à compter même pour les femmes. En fait je pense qu’avec mon ancienneté au sein de cette maison, elles me considéraient comme l’une d’entre elles. Pour vous faire une idée, il m’était arrivé à plusieurs reprises d’aller fournir en papier toilette une collègue bloquée dans un sanitaire sans papier. J’étais devenu leur homme de confiance elle pouvait tout me dire, j’étais un peu devenu leur confident… Pour vous faire une idée, je savais même que certaines collègues se faisaient un petit plaisir ou dans leur bureau ou dans les toilettes pendant les heures de travail. J’avais oublié de vous dire certaines de mes collègues étaient vraiment très portées sur le sexe, je peux vous garantir que j’en entendais des belles.
Je savais par exemple que Muriel Sophie Isabelle Élodie Coralie étaient peu fidèles avec leur mari et surtout que certaines n’étaient pas contre des aventures bisexuelles. Disons que parmi mes collègues il y en avait quelques-unes quand même qui avait une sexualité débridée, mais je savais au fond de moi que toutes ne racontaient pas ce qu’elles faisaient. Par contre j’avais beaucoup de chance car à l’étage il y avait une vingtaine de filles et moi, elles étaient toutes fort désirables. J’étais tellement bien dans cette équipe, qu’il m’était arrivé à plusieurs reprises d’être invité à venir déguisé en femme pour le mardi gras. À chaque fois, nous avions bien rigolé et tout au long de ces journées j’avais le droit à une finition pour me faire toujours plus belle par mes collègues. À plusieurs reprises, il m’était arrivé de me faire offrir pour mon anniversaire, des culottes ou des tangas usagés par mes collègues. Je vais vous avouer que je gardais chaque culotte dans un sachet hermétique, pour pouvoir les humer de temps à autre. Je ne vous raconte pas les regards complices et les regards coquins qui en découlaient. Tout cela, tous ces détails pour vous dire combien nous étions complices à cet étage, dans cette aile du bâtiment.
Bien entendu j’avais le téléphone portable de chacune, nous échangions beaucoup de sms quelquefois très intimes. Pour vous mettre dans la confidence, je peux même vous avouer qu’il m’est arrivé de coucher avec plusieurs de mes collègues. Sans pour autant avoir vu le minou de toutes mes collègues, je savais pratiquement comment était taillé la toison de chacune. J’avais un peu honte, car parmi mes collègues que j’avais eu pour maîtresse; certaines étaient mariées ou en couple lors de nos rapports sexuels. En fait les filles se passaient le mot comme quoi j’étais un bon coup, je n’étais pas particulièrement un bon baiseur; par contre je prenais toujours beaucoup de soin à donner du plaisir à ma partenaire lors des préliminaires. Voilà pourquoi je m’étais permis de prendre la parole, je savais que parmi mon auditoire il y avait plusieurs femmes qui savaient ce dont je parlais.
Ce soir-là après avoir fait mes commentaires à l’heure de la pause café, Élodie est venue me voir pour me dire que Jacqueline aimerait bien que je lui donne des détails pour ce qui est des préliminaires amoureux. J’étais un peu gêné mais en même temps flatté que l’on me sollicite pour cela, Élodie avec laquelle j’avais déjà couché se proposait de nous inviter Jacqueline et moi chez elle. J’en concluais que les deux femmes avaient déjà tout mis au point entre elles avant de m’en parler, dans ma tête j’étais en train de me dire que pour la première fois de ma vie j’allais me retrouver avec deux femmes; même si je n’étais pas au courant du programme qu’elles avaient prévu. J’ai donc répondu à ma collègue que c’était avec grand plaisir que j’étais prêt à mettre mes applications théoriques en pratique. Élodie m’a dit qu’en fait elle avait déjà donné son aval à Jacqueline car elle savait que j’allais donner une réponse favorable.
Rendez-vous fut fixé le samedi suivant à quatorze heures chez Élodie, j’étais en train de me dire que un rendez-vous à 14h laissait supposer qu’elle avait prévu que l’après-midi soit long. J’étais un peu fier, quand même, de la réputation de donneur de plaisir que je m’étais faite avec le temps. Maintenant je me posais une question, à savoir quoi apporter à Élodie pour son invitation. Je suis parti faire un tour dans un magasin spécialisé dans les produits culturels et là j’ai pris la décision de lui acheter 3 CD de George Michael. La voix chaude et suave de cet artiste pourrait peut-être contribuer à ce que cet après-midi se passe bien. En plus de cela, je savais que toutes mes collègues étaient folles de lui mais surtout dégoûtées qu’il soit homo. Je ne savais pas trop comment cette journée allait tourner, mais mon petit doigt me disait qu’elle allait être chaude. Quand je suis arrivé chez ma collègue, Jacqueline était déjà là, je ne sais pas depuis combien de temps, mais elles me semblaient déjà très proches.
J’ai eu le droit à un baiser sur la bouche de la part de chacune, ce qui n’était pas pour me déplaire, cela laissait aussi augurer de la tournure qu’allaient prendre les événements. Les deux femmes m’ont fait rentrer, elles étaient toutes les deux aux petits soins pour moi, j’ai offert les trois CD à Élodie. Jacqueline s’était habillée plus sexy que d’habitude, elle était fort désirable, si je ne m’étais pas retenu je l’aurais couchée sur la table. Elle devait avoir à peu près mon âge et n’étais pas ménopausée mais avec des gros problèmes avec les hommes car ces derniers n’attachaient pas grande importance aux préliminaires. Du coup, régulièrement quand ses amants la pénétraient, elle avait plus tendance à souffrir qu’à prendre du plaisir. Si j’avais tout bien compris, Jacqueline mettait du temps à lubrifier naturellement son intimité. Élodie lui avait mis en avant mes talents pour les préliminaires, elle comptait sur moi pour que je la pénètre une fois quelle serait bien humide. Si ça ce n’était pas un rendez-vous sexuel, je ne m’y connaissais pas, d’autant que la présence d’Élodie laissait supposer que cela allait tourner au plan à trois; ce serait une première pour moi si c’était le cas.
Voilà à peine cinq minutes que j’étais rentré dans l’appartement, que déjà j’avais une érection de malade. Les deux femmes étaient de la même taille pratiquement habillées de la même façon, avec des jupes très longues mais très douces des chemisiers très fins, sans doute en soie. À deviner la pointe de leur seins érigées comme ils l’étaient à travers leur chemisier, je pouvais sans problème en conclure qu’elles étaient assez excitées. Elle m’ont invité à m’asseoir dans le canapé, Jacqueline est venue s’asseoir à mes côtés, je sentais qu’elle manquait un peu d’assurance mais en même temps qu’elle était pressée de passer à l’acte. Élodie lui a expliqué qu’il fallait qu’elle se laisse faire désormais.
— Franck va prendre les commandes de ton corps et il va essayer de te donner du plaisir.
— Fais-lui confiance, c’est une personne correcte et je sais de quoi je parle.
Élodie venait de présenter les choses le plus précisément possible j’allais maintenant passer à l’action avec une voyeuse qui je l’espère allez être discrète.
Élodie est partie s’asseoir dans un confortable fauteuil et moi je me suis agenouillé entre les jambes de Jacqueline, je l’ai débarrassée de sa culotte en lycra blanc, elle portait aussi des bas autofixants que je lui ai laissé car ils étaient vraiment très doux. Cela a été plus fort que moi, je n’ai pas pu me retenir d’admirer cette pièce de tissu, qui sentait bon la femme et surtout présentait des auréoles, sans doute de cyprine. Pour une femme qui souffrait de sècheresse vaginale, je constatai qu’elle avait une culotte bien mouillée. Sous le regard attentif de Jacqueline, j’ai porté ma langue sur cette tâche qui avait vraiment bon goût, elle m’a regardé avec un regard complice mais surtout coquin. Je ne vais pas dire que j’étais expert dans le broutage de minous, mais je savais que avec un tel goût de cyprine, un vagin ne pouvait pas être desséché. J’ai passé plusieurs minutes à me délecter des dépôts intimes dont était imprégnée la culotte, le goût était vraiment divin. J’ai ensuite fait allonger Jacqueline sur le canapé avec une jambe par terre et une posée sur le dossier du canapé. J’avais maintenant une vue magnifique sur son entrejambe, sa toison était vraiment bien entretenue, moi qui suis très sensible aux odeurs féminines j’étais comblé.
J’ai commencé par effleurer l’intérieur de ses cuisses en faisant en sorte que mes doigts entrent le moins possible, en contact avec sa peau. Rapidement je l’ai entendue soupirer et contracter son corps, j’en ai conclu que j’avais déjà trouvé la bonne technique. Mes doigts se promenaient du niveau de ses genoux jusqu’au sommet de ses poils pubiens, je n’avais juste qu’à frôler ses poils pour qu’elle sache que ma main était dans les parages. Ma main décrivait, un coup des cercles rentrants, un coup des cercles sortants, je changeais de cuisse. J’essayais de faire en sorte qu’elle ne soit concentrée que sur l’emplacement de mes doigts. Il m’arrivait de retirer mon doigt pour le faire réapparaître à un autre endroit. Pendant que j’étais concentré à exciter Jacqueline, Élodie s’est levée pour venir retirer le haut de sa collègue. Ce n’est que plus tard que j’ai pu constater oh combien elle avait un beau corps et surtout des seins magnifiques. Personnellement je préférais que Jacqueline garde sa jupe, car ainsi je pouvais conserver les odeurs intimes qui se dégageaient de son entrejambe.
Maintenant en plus de mes doigts sous cette jupe, j’étais en train de donner des petits coups de langue par endroit et au fur et à mesure je montais jusqu’à son berlingot sans pour autant m’y attarder. Même mes caresses veillaient à ne pas toucher sa friandise ou son vagin, je restais toujours dans les alentours. Le but du jeu était qu’elle finissent par me demander que je touche son intimité, ou plutôt qu’elle me supplie. Histoire de changer d’endroit, je suis sorti de sous sa jupe pour aller m’occuper de son corps si beau, il n’y a pas à dire, sa plastique appelait les caresses. Je peux vous garantir que je ne m’en suis pas privé, d’autant qu’elle était très sensible à la présence de mes doigts; j’en étais à me demander si tout son corps n’était pas une zone érogène. Élodie lui avait laissé son soutien-gorge, mais on pouvait aisément discerner la taille de ses tétons tout durs, ils devaient au moins faire quinze millimètres. J’étais impressionné par la douceur de sa peau, pas une seule aspérité, elle était lisse telle une feuille de vinyle.
Je prenais vraiment tout mon temps pour m’occuper de son corps maintenant je lui sollicitais des alentours du nombril et à tour de rôle le flanc droit et le flanc gauche. C’est vraiment un plaisir que de s’occuper d’elle car je savais, au vu de ces réactions qu’elle appréciait énormément mes caresses et et mes petits baisers. Maintenant pendant que je m’occupais de son ventre, ma main droite était repartie sous sa jupe longue mais au lieu de la caresser, je la massais toujours au niveau de l’intérieur de ses cuisses. Sa peau était fine, ses cuisses l’étaient tout autant, pendant que j’étais en train de réveiller son corps je me disais qu’il fallait vraiment être un mufle pour ne pas prendre soin d’une femme aussi belle. Quand je suis reparti tête baissée sous sa jupe, j’ai pu constater que son minou suintait du surplus de cyprine de son vagin. Puis, par gourmandise, je me suis permis de donner des petits coups de langue sur ses poils pubiens d’où maintenant perlait son nectar féminin.
De mon côté je vais vous avouer que j’avais de plus en plus envie de la pénétrer mais voulais qu’elle lubrifie le plus possible de telle façon à ce qu’au moment où je la pénètrerai, elle prenne du plaisir. J’en n’arrivais à me demander ce qui était le plus doux, ou sa peau de bébé ou alors ses bas voile; il n’y avait pas de comparaison possible la douceur était identique des deux côtés. Maintenant son corps commençait à onduler et je l’entendais soupirer et même pousser de petits cris au fur et à mesure que je m’approchais de son vagin ou de son clito. Même la façon dont elle ondulait lait son corps était d’un érotisme auquel aucun être humain n’aurait pu résister. Voilà maintenant une bonne heure que j’étais en train de m’occuper de Jacqueline et tout se passait pour le mieux, je savais que dans peu de temps j’allais pouvoir la pénétrer. Cela me faisait tout drôle car à l’étage où je travaillais, il y avait plus de la moitié des collègues que j’avais honoré. J’avais la sensation d’être le loup dans la bergerie.
À ma grande surprise c’est Élodie qui est venue passer sa main à l’entrée du vagin de sa collègue pour juger si elle était bonne à prendre ou pas. Elle est juste venue constater l’état d’humidification de l’entrée de son vagin, son regard était approbateur cela voulait dire que maintenant, j’allais bientôt pouvoir la prendre. Maintenant je suis repassé sous sa jupe pour désormais passer un coup de langue et même plusieurs sur son vagin mais aussi sur son clito qui était d’une sensibilité impressionnante. Je serais vraiment resté des heures à me délecter de son nectar intime dont l’odeur et le goût avaient tendance à m’exciter plus encore. Maintenant je faisais en sorte que son clitoris profite de ma langue râpeuse, je me faisais un point d’honneur à ce que son entrejambe soit d’une propreté irréprochable. Cela faisait maintenant plus d’une heure que j’étais en train de préparer Jacqueline à la pénétration et voilà que maintenant on m’invitait à venir dans son intimité.
Je me suis donc redressé pour me défaire de mon pantalon et de mon boxer, mais surtout c’est elle que j’ai redressé pour me faciliter l’accès. Quand je me suis agenouillé de nouveau mon sexe et venu chatouiller l’entrée de son vagin si soyeux. Je promenais mon sexe de haut en bas pour complètement m’imprégner de ce nectar de telle façon à ce qu’il soit bien humide. Je m’attardais sur mon clitoris que je caressais avec mon prépuce et il n’y a pas à dire, Jacqueline adorait la prestation. Là j’ai senti que le moment était propice et j’ai positionné mon sexe juste à l’entrée et je me suis mis à donner un coup de rein. J’ai pris tout mon temps pour arrivé jusqu’au bout et maintenant j’étais au plus profond d’elle, mais surtout elle était en train de me tirer à elle pour que nous nous embrassions. Je sentais ses mains qui s’accrochaient à mon corps mais surtout n’hésitaient pas à me planter ses ongles pour s’accrocher à moi.
La suite au prochain chapitre
Bisous à vous